Post de Karim SELLAMI

Pour : - de l'information de qualité - une démocratie en bonne santé - soutenir la presse indépendante - ou tout simplement pour donner du sens à votre épargne prenez une part sociale chez Coop-médias, la coopérative citoyenne des médias indépendants (50% déductible d'impôts)

Superbe création dans l’économie sociale et solidaire. Bravo à tous les journalistes qui en sont à l’initiative et merci de redonner aux citoyens la possibilité de soutenir l’émergence ou la consolidation de médias indépendants dont nous avons grandement besoin, d’un point de vue démocratique mais aussi d’un point de vue santé mentale. En effet, ces dernières années nous avons pu constater les dégâts psychiques de la pensée unique qui s’est répandue à travers les médias mainstream et a infiltré, comme un goutte à goutte, l’esprit d’une majorité de la population sans même qu’elle n’en soit consciente. Un esprit qui résiste est un esprit libre, qui se nourrit de différentes sources, peut entendre et soutenir la contradiction, peut discerner un mensonge ou une manipulation, peut se constituer une opinion propre et prendre des décisions sans pression, de façon éclairée. Les médias indépendants, en existant, nous permettent d’accéder à un contenu journalistique digne de ce nom, et non à des bouillies informationnelles prémachees par les cabinets de conseils qui pilotent notre pays depuis trop longtemps, avec la complicité des quelques milliardaires qui possèdent les médias français. Donc…de la pensée à l’action : c’est décidé, je deviens sociétaire de Coop-médias. Et vous ?

Parlons #transition avec un sujet primordial : les médias !! 📺 J'ai voulu devenir journaliste à une époque lointaine, voire j'ai pu vivre une humble expérience dans le domaine à l'époque de feu la merveilleuse chaîne Nolife. A vrai dire, je suis un peu nostalgique de l'époque des forums où on trouvait des infos sur nos hobbies de niche, ou de l'explosion des réseaux sociaux et de son déchainement d'infos. J'ai vécu une bonne dizaine d'années entre forums divers et twitter. Les premiers sont un peu passés de mode, le second est mort et enterré... Et j'ai l'impression que les gens ont complètement oublié (ou n'ont jamais su) s'informer 😥 De mon côté, je suis revenu à des médias plus classiques : un peu de presse écrite pour la science ( 😘 Epsiloon ), numérique pour le reste. J'ai abandonné la TV à part pour le sport. 🕵️♀️ Un truc de base quand on s'informe est de vérifier ses sources, croiser les infos pour en éliminer les biais ou plus simplement confirmer le fond (encore plus quand un article affirme un truc qui sort un peu de l'ordinaire). Que chaque média ait une identité et une indépendance pour la défendre me semble une évidence, l'important est d'en avoir conscience. ❌ Indépendance ! Là, pour le coup elle, a quasiment disparue ⚰. 11 personnes possèdent 81% de la presse quotidienne nationale, 95% des hebdo généralistes !! Même sans considérer le discours que ces individus promeuvent de manière plus ou moins affichée (vous vous doutez bien qu'ils ne sont pas dans le décile le plus pauvre des français), il me semble difficile de parler encore d'indépendance avec ce niveau de concentration... 🚀 Mais des médias, de plus en plus nombreux (quoique beaucoup moins visibles), ont réussi à créer des modèles indépendants viables, généralement via des abonnements : Blast le souffle de l’info, Les Jours, Mediapart, Vert, le média qui annonce la couleur, ... Vous voulez soutenir ce genre de presse ? Découvrir des médias qui vous correspondent dans le lot ? Une société coopérative citoyenne pour fédérer ces nouveaux acteurs vient de se lancer : Coop-médias, la coopérative citoyenne des médias indépendants ! Objectif : financer, diffuser, défendre et mutualiser les moyens ! Un très beau projet à soutenir et à suivre ! Plus de détails dans le post de Paloma Moritz ci-dessous 👏

🇫🇷➡Stop aux subventions publiques des médias mainstream et soutien à la presse indépendante qui est plus objective , qui fait un vrai travail de recherche...👇 #actualités #médias #presse #politique  #subventionspubliques #aidespubliques 

👋🏼 STOP ✋ Voici une info d’intérêt public. Marre de l’info biaisée et des relais de propagande antidémocratiques de la plupart des média ? Personnellement je ne les écoute plus depuis longtemps, et je m’informe via Blast le souffle de l’info Vert, le média qui annonce la couleur ou encore Le Média, SCANDERIA, etc… ☀️Voici la solution la plus efficace à ce jour pour tous nous aider à passer à autre chose en quelques minutes : 1- regardez ce pitch de Coop-médias, la coopérative citoyenne des médias indépendants 🧠 2- adhérer (même un peu) et déduisez 50% de votre don, et le milliardaire maintenant c’est vous (lien en 1er commentaire) 💐 3- republier l’info en un clic pour qu’on soit LE PLUS GRAND NOMBRE 🤩 C’est dimanche, on change la France et c’est légal 😘

J'ai décidé de devenir sociétaire de Coop-médias, la coopérative citoyenne des médias indépendants ! Soutenir les médias indépendants est indispensable à un système véritablement démocratique. La concentration des médias en quelques mains fait peser un risque trop important sur la fiabilité de l'information et la discussion publique. Avec Coop-médias, les citoyens et citoyennes peuvent participer à soutenir une information indépendante et diverse. Si vous le pouvez, rejoignez-nous en quelques clics sur https://lnkd.in/e9QYpCzX. Et si vous ne le faites pas pour vous, faites-le pour celles et ceux qui n'en ont pas les moyens et qui sont en première ligne face aux effets néfastes de la concentration des capitaux.

Les chaînes locales et régionales : un pilier du débat démocratique Plusieurs parlementaires ont récemment salué la place indispensable des chaînes locales et régionales, qu'elles soient publiques ou privées, dans le débat démocratique. En cette période complexe, leur rôle est plus crucial que jamais, souligné par la Revue des médias de l’INA - Institut national de l'audiovisuel. 📺 Réactivité et engagement au cœur des territoires Nos chaînes ont été au rendez-vous et ont su se réorganiser rapidement pour que les 500 journalistes de nos rédactions puissent couvrir ces moments inédits de la 5e République. Les chaînes locales et régionales, qu'elles soient publiques ou privées, ont organisé plus de 300 débats sur les deux tours et une centaine de soirées électorales en direct, au plus près des circonscriptions. Grâce à nos antennes, les Français ont pu appréhender la réalité du scrutin, dans la droite ligne de notre mission de service de l’intérêt général. La création du groupe de travail « TVLocalesUnies », réunissant Locales TV, Territoires TV et BFM Régions, prend tout son sens à l'heure où le paysage audiovisuel est en pleine mutation. Toutes nos chaînes ensemble se mobilise au quotidien pour informer les téléspectateurs au coeur des territoires. #TVLocales #DébatDémocratique #ServicePublic #MédiaLocal #Proximité #Élections #Journalisme https://lnkd.in/eerGMtUU

#2030 #RSE #RelocalisationMedia Dorothée Caulier est une femme de combats 💪 Dans cette interview pour INfluencia, elle revient sur le Colloque "Démocratie, Information & Publicité" durant lequel elle est intervenue. Elle y interpelle les pouvoirs publics, les annonceurs et l'écosystème média, en rappelant que l'échéance de 2️⃣0️⃣3️⃣0️⃣ ne concerne pas uniquement les enjeux #climatiques (aussi important soient-ils) ! N'oublions pas en tant qu'acteurs de la communication, les enjeux #démocratiques et #économiques autour des investissements publicitaires des annonceurs. Soutenons nos médias français et locaux ! Extrait : 💬 "Les rapports RSE des annonceurs devraient inclure les bilans de leurs investissements publicitaires (...) Durant le colloque, j’ai été surprise de voir l’absence des annonceurs. Tant qu’ils ne seront pas convaincus de la nécessité de rééquilibrer leurs investissements publicitaires, il ne se passera rien. Il faut mieux éduquer les media planneurs et les jeunes annonceurs. Après la crise, tout le monde parlait de relocalisation industrielle mais n’oublions pas non plus la relocalisation des médias. Le gouvernement doit également cesser d’utiliser sans cesse les réseaux sociaux pour communiquer. Ils peuvent aussi faire leurs campagnes sur les autres médias."

N’hésitez pas surtout à publier vos comptes (comme la loi vous y oblige, que vous ne respectez pas) afin qu’on puisse vérifier ! Et pour une réflexion plus large : la vraie indépendance est la diversité des ressources… Rien n’est plus dangereux qu’un média contraint de donner à ses lecteurs exactement ce qu’ils veulent lire, sans jamais bousculer leurs idées reçues. Les médias qui se prétendent « indépendants » sont trop souvent, en réalité, des médias militants, lus par des militants abonnés, et partant prisonniers de leur idéologie. Emile de Girardin, créateur de La Presse en 1836, alertait déjà du danger de cette presse militante, pour la démocratie : "Les rédacteurs d'un journal ont d'autant moins de liberté de s'exprimer que son existence est plus directement soumise au despotisme étroit de l'abonné, qui permet rarement qu'on s'écarte de ce qu'il s'est habitué à considérer comme des articles de foi", écrivait-il en 1838. Le "despotisme étroit de l'abonné" impose une couverture partisane, aveugle aux faits qui contrediraient sa doxa. Il produit des médias-propagandistes, versant quotidiennement dans le populisme. L'histoire regorge d'exemples, de La Libre Parole à La Pravda, illustrant lugubrement cette loi, tristement humaine... Pour prendre un exemple frappant : si L’Aurore n’avait dépendu que de l’argent de ses lecteurs, jamais il n’aurait publié le J’Accuse de Zola. Jamais. C’est la publicité qui lui a donné la liberté financière de le faire, et d'aller à l'encontre, de bousculer l'antisémitisme latent de nombre de ses lecteurs... De les informer réellement, en les faisant changer d'avis, par la relation implacable des faits. C'est ça, une presse libre. A méditer...

Je vous emmène dans les coulisses de la soirée électorale historique qui s’est déroulée ce dimanche 30 juin, comme si vous y étiez. Qui sont les principaux intervenants de la soirée ? Comment les journalistes et médias se préparent-ils pour cet événement ? Direction l’ancien QG de campagne des européennes de Raphaël Glucksmann, non loin de la Place de la République, reconverti aux couleurs du Nouveau Front Populaire pour les législatives. Nous traversons un couloir qui mène à deux salles où quelques responsables nationaux se trouvent déjà. La première salle, ornée du logo du NFP, est destinée aux prises de parole. Une télévision diffuse en continu France Info. Les premières estimations commencent à affluer sur nos téléphones. Sur le off de Call Pol, nous échangeons et comparons ces premiers résultats. Un embargo nous empêche de les publier avant 20 heures, mais les discussions sont animées au regard des premières tendances. Il faut dire que le RN obtient un score historique. Et l’ambiance n’est pas celle des grands jours. La maire de Nantes, Johanna Rolland, apparaît. Elle s’adresse de manière informelle à nous. « Une chose est certaine, Gabriel Attal ne sera plus Premier ministre. Le moment est historique et demande de la clarté. Il faut que la Macronie soit claire et dise si elle laisse le RN s’installer ou non.» Ce sont les premiers éléments de langage que vous entendrez ensuite partout sur les plateaux télé. Les informations circulent : Ruffin serait en mauvaise posture et Fabien Roussel déjà éliminé. Très vite, j’essaie de savoir combien de poids lourds de chaque parti ont été élus au premier tour ; si les lignes de front géographiques ont bougé et quelles consignes de vote seront données pour éviter les triangulaires. Trois points qui me semblent déterminants pour la suite. Dans l’autre salle, Pierre Jouvet, fraîchement élu député européen le 9 juin, prend la parole à son tour. Il est 20 heures passées. Les résultats sont officiels. Place ensuite aux échanges, hors caméra, avec Sébastien Vincini, secrétaire national du parti. Il lance un avertissement : « S’il n’y a pas de consigne claire du camp macroniste, il y aura une majorité absolue du RN ». Il ajoute avec gravité : « qu’ils aient un minimum de dignité dans leur déshonneur. » Je me dirige ensuite vers la Place de la République où les représentants des partis du NFP doivent prendre la parole. La jeunesse est présente, des slogans résonnent. On entend la foule scander « Tout le monde déteste Bardella. ». Ici, le message trouve un certain écho. Ailleurs en France, rien n’est moins sûr. La crainte d’une libération débridée de la parole raciste et antisémite est forte. À la veille du second tour, des voix s’élèvent pour envisager une coalition en cas de majorité relative du RN.Mais les adversaires électoraux d’aujourd’hui, pourront-ils former une coalition de gouvernement demain ? Réponse le 7 juillet. En attendant, votons. https://lnkd.in/e2WMUzNn