Post de Konseyali

En devenant emeis, le Groupe affirme son ambition : le soin et l’accompagnement personnalisés pour chaque personne fragilisée. Le Groupe annonce une nouvelle étape de son histoire : une nouvelle identité et une raison d’être au service du soin et de l’accompagnement personnalisés pour chaque personne fragilisée.  Emeis incarne l’ambition d’un Groupe qui se transforme pour mieux accompagner les enjeux sociétaux majeurs que sont la santé mentale et physique, et le grand âge. Un nom, résolument tourné vers l’avenir pour les 76 000 professionnels et experts de la santé, au service des patients, des résidents, des bénéficiaires, de leurs proches et des aidants. Ce changement témoigne de la transformation profonde du Groupe pour prendre soin de toutes les fragilités :  🔸 Nous proposons un parcours sur-mesure à nos patients et à nos résidents, parce que chacun d’eux est unique.  🔸 Nous accompagnons les personnes fragilisées à chaque étape, de la prévention au traitement, jusqu’à la réadaptation.  🔸 Nous accompagnons toutes les fragilités, qu’elles soient physiques, cognitives ou mentales, qu’elles concernent un enfant, un adolescent, un adulte ou une personne âgée. Par cette transformation, nous nous mobilisons pour aider toutes celles et ceux qui se retrouvent un jour en état de fragilité. Ensemble, soyons force de vie des plus fragiles.  #emeis #santé #SantéMentale #GrandAge #soin #accompagnement #fragilités Laurent Guillot Fabienne Dulac Fanny BARBIER Pierre Krolak-Salmon Frédérique Raoult Muriel Barnéoud

Je vous encourage vivement à prendre connaissance de cette pétition (et à la partager, si vous le souhaitez!) 🌸 CONSIDÉRANT QU’en juillet 2022, le ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale (MTESS) a publié une nouvelle liste des diagnostics évidents permettant un accès accéléré aux prestations du Programme de solidarité sociale (PSS) qui ne comprenait plus les diagnostics d’autisme, de schizophrénie et de bipolarité; CONSIDÉRANT QUE les personnes ayant des troubles graves de santé mentale et de l’autisme représentent 43,1% des prestataires de la solidarité sociale; CONSIDÉRANT QUE c’est un comité médical du MTESS qui a dressé la nouvelle liste, alors que les travaux auraient dû être faits par une instance indépendante; CONSIDÉRANT QUE pour la majorité des personnes ayant des troubles mentaux graves, l’aide sociale est généralement la seule source de revenus, étant donné que 80% à 90% d’entre elles sont sans emploi; CONSIDÉRANT QUE complexifier l’accès au PSS pour les personnes autistes ou ayant des troubles grave de santé mentale, fait fi des difficultés de compréhension de l’écrit et génère de l’anxiété supplémentaire en cas de refus; CONSIDÉRANT la nécessité de modifier l’évaluation biomédicale vers une approche d’évaluation psychosociale; Nous, signataires, demandons au gouvernement du Québec: la réintégration des diagnostics d’autisme et de certains troubles graves de santé mentale dans la liste des diagnostics évidents donnant accès au PSS; de transformer l’approche d’évaluation des contraintes à l’emploi, passant d’une approche biomédicale à une approche psychosociale; de rehausser les prestations des programmes de Solidarité sociale et de revenu de base pour atteindre le seuil de revenu viable.

👍 La CNSA poursuit son soutien aux groupes d’entraide mutuelle (GEM). La Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA) soutient les programmes de formation et d’animation du secteur proposés par le Collectif national interGEM (Cnigem), la Fédération des groupes d’entraide mutuelle autisme (FéGEMA), l’Union nationale des associations de familles de traumatisés crâniens et de cérébro-lésés (UNION NATIONALE UNAFTC) et la Fédération nationale des patients en psychiatrie (Fnapsy) conformément aux mesures prises lors des Assises de la santé mentale. Retrouvez l'intégralité de cette actualité sur cnsa.fr ▶ https://urlz.fr/pvmQ ✔ La CNSA finance donc des actions de formation visant à consolider le rôle de chaque acteur (notamment les adhérents « gemmeurs », les associations marraines, les associations gestionnaires…) dans la vie du GEM. Ces formations proposent des thématiques adaptées à chaque profil.  📍 Plus de 690 groupes d'entraide mutuelle (#GEM) maillent désormais le territoire français. ⚙ Dispositifs essentiels dans le paysage de la compensation du handicap et de la restriction de la participation à la vie sociale, les GEM sont un outil d’insertion dans la cité, de lutte contre l’isolement et de prévention de l’exclusion sociale de personnes en grande vulnérabilité. Les GEM sont dédiés aux personnes présentant un handicap résultant de troubles psychiques, d’un traumatisme crânien ou de toute autre lésion cérébrale acquise, d’un trouble du spectre de l’autisme ou autre trouble du neuro-développement ; il offre un espace pour se soutenir mutuellement dans les difficultés rencontrées, notamment en termes d’insertion sociale, professionnelle et citoyenne. Eléonore de la Varde   #SantéMentale #Autonomie

🤝La #connexion entre les membres favorise le développement de relations dans la communauté et l'#entraide, ce qui aide à réduire les effets de la solitude. 🏙️ 🏗️Un #GEM permet à davantage de personnes de bénéficier du #soutien de leurs #pairs ou de devenir eux-mêmes des aidants. 🏗️Les groupements d'entraide mutuelle (GEM) représentent un exemple phare de la #pairaidance. 🏗️Un groupe d'entraide mutuelle est une association qui offre aux personnes isolées la possibilité de #partager des activités et des sorties.🏖️ #isolement #entraide #groupe #santé #psychiatrie 🚌La difficulté des #déplacements dans les zones rurales, couplée à l'absence de GEM, a poussé les intervenants à suggérer l'établissement d'un GEM #itinérant pour certaine région. L'idée d'un GEM itinérant est-elle judicieuse ? 🖍️Qu'en pense-t-on ?🖍️

🗣 PÉTITION À SIGNER 🖋 Pour la réintégration des diagnostics d’autisme, de schizophrénie et de bipolarité dans la liste des diagnostics évidents donnant accès au Programme de solidarité sociale (PSS). 📌 Leur suppression a eu pour effet de rendre plus difficile l’accès au PSS : le taux de refus des demandes est d’environ 65,2 % lorsque le diagnostic de la personne n’est pas dans la liste. https://lnkd.in/gEw4TGw9

Je vais bientôt m’exprimer à ce sujet. En attendant, je partage la publication du collectif Les Dévalideuses pour lequel je suis membre active. ------ Avant de pouvoir “mourir dignement” nous réclamons de vivre dignement Le 10 mars un projet de loi sur le suicide assisté et l’euthanasie a été dévoilé, sous certaines conditions :  Personnes majeures ayant un discernement plein et entier, Maladies incurables, pronostic vital engagé à court ou moyen terme,  Souffrances physiques ou psychiques qui ne peuvent être soulagées Le projet de loi ‘aide à mourir’ constitue une avancée pour l’autodétermination et les choix autonomes des handiEs. Mais nous rappelons qu’avant de choisir de mourir dignement nous réclamons une vie digne, des soins de qualité, la fin des discriminations systémiques et la mise en accessibilité de toute la société.  Vivre dignement nécessite La réévaluation à la hausse de l’Allocation Adulte Handicapé (à ce jour, sous le seuil de pauvreté) L’accès universel à des soins de qualité, la réhabilitation et ouverture de centre de soins palliatifs,  Une vie autonome et libre hors des institutions. Hors, l’État réduit de 230 millions d’euros le budget pour le handicap et les solidarités.  Nous nous inquiétons des dérives potentielles d’une telle loi, où des personnes handiEs laissées pour compte par l’État choisiraient le suicide assisté pour échapper à la misère et aux discriminations validistes systémiques.  Ressources :  1/ Fin de vie : Emmanuel Macron se prononce en faveur d’une aide à mourir - Libération https://lnkd.in/epFr6tq2 2/ L’euthanasie n’est pas de gauche - Alexia Soyeux dans Présages https://lnkd.in/eGWCKVze 3/ Les coupes dans le budget du handicap et de la solidarité ne passent pas auprès des sénateurs - Public Sénat https://lnkd.in/eAiMzDNC

[NOS CAUSES] Les politiques publiques ne peuvent plus ignorer les vulnérabilités. De plus en plus nombreuses dans nos sociétés, elles sont issues de phénomènes multiples et structurels que cette liste ne saurait entièrement recouvrir : vieillissement de la population, maladies chroniques, affaiblissement des liens sociaux, perte de sens, etc.    Face aux épreuves de la vie, toute personne doit pouvoir bénéficier d'une aide pour repartir du bon pied, ne pas rester isolée et emprisonnée dans sa dépression. L'entreprise à missions Relais du Bien-être, que nous avons la chance d'accompagner, s'inscrit pleinement dans cet objectif.    ➡️Par son approche unique et innovante, qui puise ses racines dans la philosophie du care, elle accueille en séjour de répit des publics vulnérables pour lesquels le sentiment d'exclusion et d'isolement est souvent puissant et à même d'aggraver leurs situations. Le Relais du Bien-être est convaincu que les politiques en santé doivent être pensées de manière holistique pour travailler au bien-être physique et mental des plus vulnérables.   ➡️Les aidants familiaux, les personnes en rémission à la suite d'un cancer, celles partant en retraite et traversant une dépression, ou encore les personnes endeuillées, sont autant de publics concernés par son accompagnement et ses séjours personnalisés, qui se situent à la croisée de différents champs disciplinaires (nutritionniste, thérapeute, sophrologie, socio-esthétique…).   🙌 La vision du Relais du Bien-être est une source d'inspiration, l'exemple même que les vulnérabilités peuvent être à l'origine d'innovations sociales. Son projet démontre aussi que nos sociétés sont tout à fait capables de s'adapter pour faire de chaque vulnérabilité une force, un véritable levier d'émancipation, de créativité et d'épanouissement pour tous.   Merci à Fabrice Provin et Nicolas Barbarot de leur confiance !   #aidants #vulnérabilités Cercle Vulnérabilités et Société - Guillaume Lesage - France Assos Santé - France Alzheimer - France Parkinson - Ligue contre le cancer Gaëtan de Royer Paul Mac Kain Pauline Rivière Maë Veltz Catherine Vautrin

[𝗝𝗼𝘂𝗿𝗻é𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝗼𝗿𝗱𝗶𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟰 : 𝗳𝗼𝗰𝘂𝘀 𝘀𝘂𝗿 𝗹’𝗮𝗰𝗰𝗼𝗺𝗽𝗮𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗰𝘀 𝘀𝗽é𝗰𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀] 🎯 Regard croisé sur les visages de l’exclusion et le défi de l’accompagnement des mères et de leurs enfants en rue, les personnes en grandes exclusion et celles en perte d’autonomie liée au vieillissement : 👩👦L’accompagnement des mères et de leurs enfants vivant en rue, avec la présentation du 𝗦𝗮𝗺𝘂𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹 𝗘𝗴𝘆𝗽𝘁𝗲 des “women camp” (“séjours de rupture” pour femmes). Ces camps permettent à un petit groupe de se retrouver à l’abri pour bénéficier d’un accompagnement psychologique, travailler sur leur projet de vie et retrouver un cadre sécurisant. Les enfants sont aussi pris en charge par des nounous et participent à des ateliers ludiques et éducatifs. 🧠 La santé mentale dans l’accompagnement des personnes en grande exclusion, avec la présentation du 𝗦𝗮𝗺𝘂𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹 𝗠𝗼𝘀𝗸𝘃𝗮 du soutien psychologique qu’il apporte dans des centres publics municipaux. Pour faire face aux trois principales difficultés identifiées : l’alcoolisme, les conflits dans les centres d’hébergement, et les expériences émotionnelles traumatisantes, le Samusocial Moskva a mis en place un accompagnement diversifié. Une psychologue propose des sessions de conseil psychologique dans un parcours co-construit avec les bénéficiaires. Des activités culturelles et artistiques sont aussi organisées pour permettre aux bénéficiaires de s’exprimer sur leurs ressentis et de créer du lien social. 👴👵 L’accompagnement des personnes en perte d’autonomie liée au vieillissement par ACISE SamuSocial de Martinique,confrontée à la hausse de ce public qui cumule de nombreuses difficultés : isolement (difficultés d’insertion sociale), problèmes de santé et problèmes de santé mentale. L’enjeu est de proposer un projet individualisé et une orientation dans les centres d'hébergement adaptés selon le parcours de vie afin de mettre en place un accompagnement complet. Ces présentations et discussions ont permis aux participants d’échanger sur leurs pratiques, et sur les projets qui pourraient être mis en place. Cet atelier a aussi permis de comprendre que malgré la diversité des contextes d’intervention, les Samusociaux rencontrent des difficultés similaires et peuvent donc renforcer leurs compétences auprès d’autres dispositifs. #vieillissement #santementale #echanges #exclusion

[Temps de sensibilisation] Mardi 25 juin dernier, dans le Rhône, dans les locaux de la SACOVIV, le Réseau Intermed organisait un temps de sensibilisation auprès des bailleurs de la mission diffus* sur les thématiques suivantes : la gestion de l'agressivité, la posture professionnelle, et des informations sur les soins sous contrainte. Les participants ont tous constaté une hausse de situations vécues comme violentes dans leur travail, pouvant générer chez certains d’entre eux un sentiment d'insécurité, mais aussi d'impuissance. Notre objectif était de leur offrir un temps d'échange de pratiques et d'interconnaissance, mais aussi de prise de recul et de réflexion. Nous cherchons avant tout à comprendre les mécanismes et les enjeux de ce type de situations, pour déconstruire et repenser les postures professionnelles et la manière d'appréhender la relation à l'autre. Les participants se sont montrés particulièrement intéressés par cet échange, qui nous a permis d’évoquer différents outils et conseils pour contribuer à l'évolution des pratiques, dans un cadre plus sécurisant. Merci à tous pour cette fructueuse réflexion collective ! _ * Chez Intermed, les bénéficiaires de la mission diffus sont des locataires de logements sociaux, présentant des difficultés de santé non prises en charge (troubles du comportement, addictions, souffrance psychique, pathologies psychiatriques, handicap, polypathologies, entrée en dépendance…) et parfois menacés d’expulsion. L’objectif de cette mission est de créer du lien avec les résidents afin de les accompagner à prendre soin d'eux et de leur santé autour d'un projet de vie et ainsi tenter de prévenir les ruptures de parcours résidentiels et d’améliorer leurs conditions de vie et d’habitat. Pour en savoir plus sur nos missions : https://lnkd.in/dNQpT_eM #sante #medicosocial #mediation #sensibilisation