Post de Dordogne Libre

Athlètes issus de l’enseignement agricole, alimentation et sécurité sanitaire, agriculteurs qui fournissent leurs produits, filière construction bois, engagement de la filière cheval, préparation des pelouses des stades, filière horticole pour l’ornement végétal, mobilisation des établissements d’enseignement agricole ... Découvrez les liens entre les Jeux Olympiques et Paralympiques 2024 et l'agriculture 🏅 #Paris2024 #JOP2024

La revue de presse du retail : "Decathlon doit montrer l'exemple" : l'association PAZ demande à l'enseigne de sport d ...: L'association accuse l'enseigne de grande distribution de sport et loisirs de participer à « un commerce cruel » en vendant des poissons et des crabes ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce

La revue de presse du retail : Les fleuristes de l'agglomération troyenne voient la vie en rose - L'Est Eclair: ... grande distribution, ils cultivent l'artisanat et la proximité ... Pour faire face à la crise et à la concurrence de la grande distribution, ils ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce

C’est un véritable coup de tonnerre qui vient de s’abattre sur les Jeux Olympiques de Paris 2024. Alors que la compétition bat son plein, la délégation britannique a pris une décision radicale : boycotter purement et simplement la cantine du village olympique ! En cause, des problèmes récurrents de rationnement, notamment en protéines comme la viande et les œufs. Face à cette situation, les Britanniques ont choisi de faire cavalier seul en engageant leur propre chef cuisinier. Quand les estomacs des athlètes crient famine Depuis le début des Jeux, de nombreux athlètes se sont plaints des difficultés de ravitaillement rencontrées à la cantine olympique. Malgré les efforts des organisateurs, il semblerait que les quantités servies ne soient pas toujours suffisantes pour rassasier ces machines de guerre que sont les sportifs de haut niveau. Les protéines, indispensables à la récupération musculaire, sont particulièrement touchées par ces restrictions. Les athlètes n’y vont pas seulement pour déjeuner, ils préparent des repas pour le dîner car ils ne veulent pas aller à la cantine du village pour manger. – Andy Anson, directeur général de l’Association olympique britannique Un chef britannique à la rescousse Pour pallier à ces désagréments, l’équipe britannique a décidé de prendre les choses en main en faisant appel à un chef cuisinier. Ce dernier officiera au sein du pavillon de performance de la délégation, situé à Clichy. Les athlètes pourront ainsi se restaurer en quantité et en qualité, sans avoir à se soucier des aléas de la cantine olympique. Un chef cuisinier dédié pour la délégation britannique Des repas équilibrés et adaptés aux besoins des athlètes Un lieu de restauration privilégié au pavillon de performance de Clichy Une logistique bien huilée Mais une telle organisation ne s’improvise pas. Les responsables britanniques ont dû redoubler d’efforts pour mettre en place cette solution de secours dans des délais très courts. Il a fallu trouver un chef disponible et compétent, capable de gérer les contraintes nutritionnelles propres au sport de haut niveau. Il a également été nécessaire de réorganiser les approvisionnements pour garantir des produits frais et de qualité en quantité suffisante. Le risque d’une délégation à deux vitesses Si cette décision peut sembler salutaire pour les athlètes concernés, elle soulève néanmoins quelques interrogations. Tous les pays n’ont pas les moyens de s’offrir les services d’un chef dédié. On peut donc craindre l’émergence d’une délégation à deux vitesses, avec d’un côté les nations capables d’assurer une alimentation optimale à leurs sportifs, et de l’autre celles contraintes de se contenter de la cantine officielle. Cette polémique, bien qu’anecdotique, vient rappeler les enjeux cruciaux qui se jouent en coulisses des grands événements sportifs internationaux. Car pour briller sur les podiums, il ne suffit pas d’avoir les meilleurs athlètes : encore faut-il pouvoir les amener à leu...

𝗡𝗢𝗨𝗩𝗘𝗟 𝗔𝗥𝗧𝗜𝗖𝗟𝗘 : COMMUNIQUÉ. Entretien du golf de Martinique : Un retour à la normale prévu d’ici 3 semaines - https://lnkd.in/etgBWkNe Matinik, 27 novanm 2024  L’entretien des greens du golf de Martinique connait, depuis quelques semaines, des difficultés en raison d’une avarie sur le matériel spécifique de tonte. La Collectivité Territoriale de Martinique informe donc les usagers du golf que la pratique peut se poursuivre, mais dans des conditions non optimales en raison de l’état général du terrain, marqué notamment par une herbe haute. Un retour à la normale est prévu dans les 3 semaines à venir, dès réception des pièces détachées permettant de réparer les tondeuses endommagées. Dans l’intervalle, les équipes techniques sont d’ores et déjà mobilisées et des actions ANTILLA MARTINIQUE

👉 Comment notre casier sert-il les producteurs ? 👉 Comment valoriser la vente directe et redynamiser les communes dépourvues de commerces ? Une belle mise en lumière pour Le Casier Français 🤗 Merci La Voix du Nord pour cet article 🙏

Les conséquences des crues en vallée d’Aspe, la fête du sel à Salies, des mousquetaires en vallée de Barétous, ou des escargots à Lannecaube. Voici 12 infos à retenir ce lundi dans nos villages.

Taxer davantage la filière du cheval : une fausse bonne idée   En France, la filière du cheval génère près de 80.000 emplois. La Fédération Française d’Équitation compte plus de 700.000 licenciés dont les trois quarts sont des jeunes filles. Les courses se déroulent sur plus de 230 hippodromes répartis dans toutes les régions, entretenus par des bénévoles passionnés, qui participent à l’aménagement du territoire et à la préservation des environnements naturels.   La filière cheval est une filière agricole d’excellence reconnue dans le monde entier, elle produit des champions dans toutes les disciplines et les grands investisseurs internationaux se précipitent pour acheter les meilleurs haras normands et les produits de l’élevage français, ce qui joue favorablement sur la balance commerciale.   Non seulement cette filière si vivante et si vertueuse ne coûte rien à l’Etat, mais elle lui rapporte. En effet, ce sont les prélèvements sur les enjeux du PMU qui alimentent les circuits financiers de la filière du cheval. Sur les 10 milliards d’enjeux générés par le pari hippique en 2023, 75% sont reversés aux parieurs gagnants, tandis que 9% sont reversés à la filière. L’État prend lui-même 9%.   Ces 9% reversés à la filière lui sont indispensables. Ils constituent le revenu exclusif de dizaine de milliers d’agriculteurs.   Le projet d’augmenter significativement la fiscalité sur les paris hippiques menacerait directement leur survie, dans un contexte de concurrence accrue des paris sportifs, des loteries et des casinos (lesquels ne financent aucune filière agricole).   Le modèle économique de la filière est déjà fragilisé par une baisse continue des enjeux. La hausse de la fiscalité envisagée aboutirait à une baisse de plus de 13 %, soit 80 M€, pour l’ensemble des éleveurs des entraîneurs, des cavaliers, et de tout le tissu économique sous-jacents. Ce serait mortifère et conduirait à une baisse du nombre de chevaux, donc de partants et par conséquent du volume d’enjeu. On taxerait ainsi davantage une assiette amoindrie car asphyxiée. 

Ce lundi, on parle de l’assemblée générale des élus de montagne, de la situation financière de Parc’Ours, des nombreux festivals à venir, ou d’un jeu radio à Monein. Les infos à retenir ce lundi.

A69 - ou le leurre des lobbies des trois B : bitume béton et bagnole pour vous faire croire qu’une autoroute rapproche les territoires (slogan d’Atosca - concessionnaire privé). - construire une autoroute c’est justifier le lobby des trois B - désenclaver le territoire du sud du Tarn? Un slogan du lobby des 3 B soutenu par le Groupe Pierre Fabre Et le train dans tout cela Carole Delga? Disparu dans le sud du Tarn… pourquoi ici et pas ailleurs? Une autoroute : le paradis des pelleteuses ( pneus, carburants, emplois sous payés). Plus de bagnoles, plus de trajets, plus d’essence… CQFD Alors, des terres pour une agriculture locale du Tarn ou du bitume pour le marché de la fraise espagnole? #LVEL