Post de La Fédération des clubs de la défense

La résilience d’un système réside dans la capacité de ses effectifs à tenir l’effort. Pour cela, le soutien est primordial.

🔴 FLASH INFOS MINISTERIEL 🔵 Avec les 43 Millions d'€ d'aides de l"U.E de ce mois de Mars 2024 pour augmenter et optimiser la fabrication de munitions , SLU table sur un coef 8 à 100% dès mars 2025 pour la production d'armement poudre incluse ! ➡️ En complément de cette infos il convient de rajouter l'obligation d'état de chaque commune de France dans le cadre de la création d'un Service Municipal type BENEVOLAT CITOYEN Question est ce un prémice du warm-up de mobilisation generale pour tester à leur insu les volontaires quelque soit leur age ? 😎 Certaines personnes à ce sujet s'expriment pour me dire que c'est pour canaliser les djeun's ! Alors pourquoi forcer les communes de FRANCE à mettre ce système obligatoire ? ⭕️ EN FINAL DE MON PROPOS EST UN SNE MUNICIPAL DEGUISÉ AVANT LA MOBILISATION GENERALE DE 2025 POUR L'ORGANISATION DE LA FUTURE DÉFENSE PASSIVE DE NOTRE TERRITOIRE ? 📍 ADDENDUM : De mémoire quand une loi est promulguée au J.O celle-ci est faite pour mettre en place des mesures applicables sur l'ensemble du territoire avec un soupçon coercitif pour faire rentrer dans le rang les pinailleurs et/ou persiffleurs non élus considérés comme des trublions car trop clairvoyants ! 😎 PS Pour rappel certaines personnes au sujet de l'article 4 de la loi de programmation militaire votée en AOUT 2023 m'ont dit que cette modification de classes d'âge de conscription n'était une simple mise à jour ! 🤣 🙏 BON DECRYPTAGE À TOUS DE CE POST ET CE SANS BESOIN D'UNE REGMA ! https://lnkd.in/eHNgWiwk

L’industrie de l’armement français tire la sonnette d’alarme. Alors que la nouvelle Commission européenne pousse pour un marché unique de la défense, les industriels français dénoncent une atteinte au principe de souveraineté des États. 👉 Selon le CIDEF, la préférence européenne doit devenir le pilier central d’une politique visant à réduire les dépendances étrangères, plutôt que d’ouvrir la porte à une concurrence déloyale. 📌 Avec plus de 60 ans d’investissement dans l’industrie de défense, la France craint que cette approche ne fragilise ses acquis stratégiques et industriels. Alors, comment concilier souveraineté nationale et collaboration européenne ? Le débat est lancé, et 2025 pourrait marquer un tournant décisif pour l’industrie de la défense européenne.

La solution de détection des départs de feu que l’on développe avec ALBATROS repose sur la vision par ordinateur. C’est un travail long et fastidieux qui nécessite beaucoup d’itérations mais le résultat est au rendez-vous. Nos tests effectués sur de vrais feux se sont révélés concluants.

Le début d'année est souvent synonyme de résolutions. Pour l'industrie française de la défense, 2025 marque plutôt l’heure des décisions stratégiques face à des enjeux cruciaux. La notion de marché unique européen de la défense, mise en avant par la nouvelle Commission européenne, pose de réelles questions. Avant d’être européenne, la concurrence est française. Nos industriels investissent depuis des décennies pour bâtir une base souveraine et stratégique, garante de l’indépendance des opérations militaires françaises et européennes. Comme l’a récemment rappelé le chef d’état-major de l’armée de Terre : « Nous devons bâtir une industrie de défense forte et prête à la guerre. » Cela implique : - Un soutien opérationnel agile et robuste, clé de la disponibilité des équipements sur le terrain, - Une collaboration étroite avec nos forces armées pour répondre aux défis d’une conflictualité accrue, - Une capacité d’innovation permanente, au service de la supériorité stratégique et opérationnelle. Chez Arquus, nous avons toujours su qu’un véhicule n’est efficace que lorsqu’il roule. Soutenir, innover et être prêt à livrer — c’est ainsi que nous faisons avancer l’excellence opérationnelle. Se préparer à la guerre pour préserver la paix : c’est le défi d’une industrie de défense souveraine et résiliente... #DéfenseFrançaise #SoutienOpérationnel #IndustrieDeLaDéfense #Souveraineté

En quelques années, le CAmion Équipé d’un Système d’ARtillerie, ou canon CAESAR, s’est hissé au rang des équipements stars des exportations françaises d’armement, rejoignant le Rafale et le sous-marin Scorpene dans le club très fermé des armements susceptibles de faire les gros titres en France et à l’étranger. Plusieurs échos et déclarations laissaient entendre que de nouvelles commandes pouvaient intervenir à l’occasion du salon Eurosatory 2024. C’est désormais chose faite, puisque l’Arménie, ainsi que la Croatie et l’Estonie, ont signé des engagements pour commander, au total, 60 nouveaux systèmes d’artillerie français. Ce faisant, le Caesar s’impose, dorénavant, comme le système d’artillerie européen le plus largement exporté, que ce soit en nombre d’exemplaires livrés et/ou commandés, comme en nombre de clients, permettant à KNDS France, Ex-Nexter, de revenir dans le palmarès international des exportateurs d’équipements terrestres, après le semi-échec du Leclerc, et l’insuccès du VBCI.

Le Ministère de l’Intérieur peut encore améliorer son processus d’achat au bénéfice des forces mobiles de gendarmerie et de police. Telle est l’observation de la Cour des Comptes dans son rapport Les Forces Mobiles du 03 avril 2024. La Cour souligne la nécessité d’améliorer les mécanismes d’acquisition de matériels de maintien de l’ordre ✔️ La mutualisation des achats est satisfaisante concernant de nombreux équipements (Casques, boucliers, gilets pare-balle, menottes,…). Elle est réalisée par SAILMI de la Direction de l'évaluation de la performance, de l'achat, des finances et de l'immobilier (DEPAFI) ➡️ Cependant, quand un nouveau besoin apparaît, les réponses ne sont pas satisfaisantes : 🔹 Technique A Achat sur devis, pour les montants inférieurs à 40 000 € HT. Avantage : la rapidité. Inconvénient : le trop modeste volume d’équipements acquis. Exemple : La grenade assourdissante a été acquise dans le cadre d’un achat ponctuel n’excédant pas le seuil des marchés publics. ❕Si bien que chaque unité de CRS ne dispose que de neuf exemplaires de ce matériel alors que le besoin avait été estimé à une centaine de munitions par unité. (Oups!) 🔹Technique B Recours à un appel d’offres Le processus complet (appel d’offres, délai de réponse, de test, de notification, de fabrication) peut induire des décalages de plusieurs années entre l’expression de besoin et l’arrivée des matériels. ➡️Recommandation de la Cour des comptes : 🎯Anticiper les besoins des forces en matériels en associant davantage la DGPN et la DGGN au processus d’acquisition des équipements. C’est au fond le mouvement naturel dans l’air du temps : ne plus travailler pour satisfaire des besoins institutionnels, mais des besoins fonctionnels, au service d’une mission. 👍🏾L’impact pour les fournisseurs sera une plus grande lisibilité de la programmation achat du Ministère de l’Intérieur, afin de mieux anticiper les réponses…et de fluidifier le processus d’acquisition. 📢Je suis ancien Commissaire des Armées. J'aide les entreprises à répondre aux appels d'offres publics. Je suis spécialisée dans les marchés publics de défense et de sécurité. #sécurité #police #gendarmerie #commercial #opportunité 🌳L'agence du chêne Emmanuel MARCHAND Yann Le Goff de Kerrac'h

Alors que le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a appelé, le 24 octobre, la Direction Générale de l’Armement, ou DGA, à plus d’audace, les premières annonces d’Emmanuel Chiva, dans ce domaine, en auront certainement surpris plus d’un.  En effet, le Délégué Général de l’Armement n’a pas annoncé un nouveau programme technologique, ou une nouvelle première technique, mais la possibilité, à l’avenir, pour la France, de commander, en anticipation d’export, des coques nues de frégates FDI, auprès de Naval Group. Ce faisant, le DGA se rapproche d’une analyse publiée sur Meta-defense en 2021, qui préconisait, justement, des commandes, en anticipation d’exportation, de certains équipements construits par l’industrie de défense française, afin de réduire les délais de livraison, et les couts de production, afin de s’imposer dans les compétitions internationales à venir. Toutefois, le tampon opérationnel, tel que baptisé alors, allait plus loin dans la réflexion et dans l’utilisation des bénéfices potentiels qu’une telle démarche pouvait apporter, aux industriels français, mais aussi, aux armées. Peut-être est-ce le bon moment, pour faire d’une pierre, deux coups, alors que la dynamique est, de toute évidence, bien lancée, à la DGA ?

Chaque année, le passage au Congrès des projets de financement des armées américaines, est l’occasion d’un bras de fer féroce, entre sénateurs et représentants, d’une part, et les responsables civils et militaires du Pentagone, de l’autre. Ces dernières années, toutefois, ce bras de fer, qui portait le plus souvent sur des questions d’équilibre des investissements, et de protection des investissements locaux, s’est transformé en une confrontation de fond, à front renversé. En effet, ce sont les parlementaires qui s’opposent aux retraits ou réduction des achats, demandés par les militaires.  S’opposent donc les demandes des armées américaines, en particulier pour ce qui concerne le retrait de certains équipements, et la réduction des formats d’acquisition d’autres, et l’analyse faite par les parlementaires, quant aux conséquences de ces réductions de format, sur les capacités de réactions militaires américaines. Cette année encore, cette opposition s’est accentuée, au point que l’on peut s’interroger sur ses fondements, mais aussi sur la possibilité d’en sortir, à l’avenir, et la manière d’y parvenir, le cas échéant ?

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