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La revue de presse du retail : Montpellier. Précarité galopante : plus de 1200 étudiants à la distribution alimentaire: Les années se suivent et se ressemblent… Le SCUM, le Syndicat de Combat Universitaire de Montpellier, a organisé une nouvelle grande distribution ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce

🎓 La précarité étudiante est un défi majeur qui touche des milliers de jeunes chaque année, notamment depuis les crises sanitaires et économiques. En France, 56 % des étudiants rencontrent des difficultés financières au point de réduire leur alimentation. Les épiceries solidaires répondent en partie à cette problématique. C’est le cas de l'épicerie Le Comptoir d'Aliénor à Talence, adhérente au réseau ANDES et mentionnée dans l’article Le Monde. Cette épicerie a pour objectif de permettre à 500 étudiants d’accéder à une alimentation saine et de qualité, à prix réduit, voire gratuitement 🍊. 🎯 Au sein du réseau ANDES, plus d’une centaine d’épiceries, majoritairement ou 100% dédiées aux étudiants, offre un large choix de produits, notamment ceux auxquels les étudiants doivent parfois renoncer en faisant leurs courses en supermarché : des fruits et légumes, de la vente en vrac ou encore des produits bio voire issus de circuits courts. Pour en savoir plus, c’est par ici ⬇️

Vis ma vie de consultante. 💡Innovation, vous avez dit innovations ? 🍽 Je voudrais aujourd'hui vous raconter une histoire d'innovation en matière de cantine scolaire. Aaaaah ! me direz-vous, on va parler menus végétariens et nutrition ! Point du tout. On va parler gestion des factures de cantine. 📖 L'histoire : Dans la grande commune de X, un jour, Monsieur Dupont demande au service facturation : "Est-ce que vous pourriez m'éditer des factures de cantine qui distinguent le coût du repas et le coût de garde de mon enfant ? Car mon employeur finance les aides à la garde et je pourrais me faire rembourser cette part de mes factures." La demande remonte à la directrice de l'éducation (appelons-la Laurence). Laurence aurait pu avoir la réaction A : 🙄 : "Il me gonfle Dupont avec ses demandes spécifiques incessantes, un jour les menus, le lendemain les temps de sieste, et maintenant les factures ! Heureusement que les parents sont pas tous comme lui. Fais lui une facture à la main sinon il va râler après le Maire je le connais!". Au lieu de cela, Laurence a eu la réaction B : 🤔"C'est intéressant je n'y avais jamais pensé. On pourrait systématiser des factures qui isolent le coût de garde et indiquer à l'ensemble des parents qu'il peuvent s'en faire rembourser le coût par la CAF ou l'employeur". Petit projet interne : adaptation du logiciel, du processus, information des équipes du service scolaire en charge des factures. Résultats : ➡️ augmentation du pouvoir d'achat des familles ➡️ satisfaction de l'Adjointe à l'éducation de renforcer l'accès aux droits des usagers ➡️ fierté de l'agent qui a fait remonter le problème de Dupont, d'avoir pu résoudre son problème et en même temps amélioré le service aux familles ➡️ équité du service public : pas de création d'un régime d'exception sur les factures juste pour la famille Dupont ➡️ efficacité du travail : pas de surcharge pour l'agent qui doit traiter de régime d'exception pour certains, mais un processus nouveau pensé pour être automatique. Les conditions qui ont permis cette innovation : ✅ Relation usager : M. Dupont dispose d'un espace et d'un agent interlocuteur pour exprimer ses demandes et insatisfactions ✅ Pratiques manageriales : Laurence offre un espace à ses agents pour évoquer les problèmes de terrain et écoute activement. Ses équipes se sentent libres d'évoquer les problèmes, même petits, car en confiance dans leur prise en compte par la hiérarchie. ✅ Système d'analyse et de décision : les problèmes dits "marginaux" sont traités comme des révélateurs de défaillance système ou de catalyseurs d'amélioration du système. Oh, et j'allais oublier : ❤ des agents du service public qui ont à cœur de servir citoyens et usagers, mais ça ça va sans dire ! Ce sont souvent les autres conditions qui peuvent n'être pas réunies pour un alignement parfait des planètes innovation. #innovation #FPT #servicepublic

Grenoble - L’épicerie solidaire veut lutter contre la précarité alimentaire des étudiants : La Banque alimentaire de l’Isère a ouvert, cette semaine, son épicerie solidaire pour les étudiants Le Rayon Esope 38. Une nouvelle initiative pour les soutenir face à un coût de la vie qui continue d’augmenter et met beaucoup d’entre eux dans le rouge. En quelques semaines, plus de 200 inscriptions ont déjà été enregistrées. Albane Pommereau - 6.11.2024 Le jeune algérien est arrivé à Grenoble depuis deux mois pour poursuivre ses études d’informatique. « En Algérie, les salaires ne sont pas les mêmes qu’ici. Mes parents ne peuvent pas trop m’aider financièrement. Alors je n’ai que cette solution parce qu’ici c’est beaucoup moins cher que dans les magasins classiques. Pour l’instant, je n’ai pas eu à trop sauter de repas par manque de moyens… ». Au moins 3 000 étudiants en difficulté financière Comme lui, des dizaines d’étudiants ont découvert ce mardi soir l’épicerie solidaire ouverte spécialement pour eux par la Banque alimentaire. Le Rayon Esope 38 en plein centre-ville de Grenoble, est né d’un constat simple : la précarité alimentaire est plus forte que jamais chez les étudiants. Dans l’agglomération, ils sont près de 65 000 chaque année. Et alors que le coût de la vie étudiante continue de progresser, + 2,25 % pour la rentrée 2024 selon une enquête de l’Unef , ils sont de plus en plus nombreux à rogner sur la part de leur budget dédié à l’alimentation. Il y a déjà des structures qui les aident, en particulier sur le campus de Saint-Martin-d’Hères, l’épicerie Agoraé, qui est approvisionnée par la Banque alimentaire, d’autres associations étudiantes, la Croix-Rouge, les Restos du cœur… détaille Chantal Vivier, cheffe du projet pour la Banque alimentaire de l’Isère. Quand elle aura ouvert tous ses créneaux, l’épicerie solidaire de la Banque alimentaire de l’Isère devrait être en mesure d’accueillir jusqu’à 3 000 étudiants par mois. Marine a plusieurs fois fréquenté l’Agoraé à son arrivée sur le campus. Avant d’abandonner face à l’afflux d’étudiants et aux files d’attente qui s’éternisaient. « On faisait 2 ou 3 heures de queue. C’était décourageant. Ces derniers mois, mon budget courses a beaucoup augmenté avec l’envolée des prix. Je mangeais à ma faim, mais toujours la même chose et des produits peu chers. Là, je vais pouvoir varier les repas ». « J’ai acheté des légumes, des fruits, des produits ménagers,… tout ça pour 5 €. Dans un supermarché, ça m’aurait coûté 50 € » « Pour nous, l’origine géographique ou autre des étudiants n’est pas un sujet puisque ce qui est important, c’est qu’ils soient inscrits dans un établissement d’enseignement supérieur de la métropole de Grenoble et que leurs conditions de ressources et leurs dépenses correspondent à des critères que nous avons définis. », Dans le centre-ville de Grenoble, une épicerie avec ses spécificités : Le Rayon Esope 38 est accessible uniquement aux étudiants en situation de précarité.

⛪️ Nouveaux locaux du Centre - Phase 2 des travaux bien amorcée❗️Cette phase porte sur la relocalisation des services complémentaires à la production alimentaire à la fin de 2024 🟩 De nombreux avantages en découleront: ✔️ Bonification des services pour les personnes aînées ✔️ Meilleur accompagnement pour l’écoute et le soutien ✔️ Centre de formation et espace de rencontre pour les groupes communautaires

Être étudiant, c’est souvent jongler entre les cours, les projets, et les dépenses qui s’accumulent. Quand j’ai lu cet article sur le frigo solidaire de Grenoble, je me suis dit : voilà une initiative qui parle à beaucoup d’entre nous. On n’en parle pas assez, mais la précarité étudiante, c’est une réalité. Combien d’étudiants sautent des repas pour économiser ou se privent du nécessaire pour tenir jusqu’à la fin du mois ? Ce frigo solidaire est une réponse concrète, simple, mais incroyablement impactante. Ces initiatives sont essentielles. https://lnkd.in/ezpg639N Campus Eductive Grenoble ESGI Frédérique Moskun Léa Rutigliano Cedrone

🍽️ La précarité étudiante et les files d’attente lors des distributions alimentaires ne cessent de croître. Ces vidéos de files d’attente qui n’en finissent pas, lors de distribution alimentaire à destination d’étudiant·es deviennent récurrentes. Pourtant, il ne faut pas s’habituer à ces images qui illustrent un problème structurel qui est la précarisation de la jeunesse. Avec l’augmentation du coût de la vie, les étudiant·es n’arrivent plus à s’y retrouver et sont de plus en plus nombreux·ses à avoir recours aux distributions alimentaires. Cette situation empêche les étudiant·es de s’épanouir pleinement dans leur vie et études, soulevant des problèmes urgents quant à leur condition de vie. 💰 Pour rappel, 56% des étudiant·es ne changent pas leurs habitudes de consommation par manque de budget. 40% des étudiant·es travaillent dans le cadre ou en parallèle de leurs études pour subvenir à leurs besoins (CNE 2023). La contrainte financière est la contrainte principale que rencontrent les étudiant·es et celle-ci revient dans différents domaines de leur vie : possibilité d’engagement, habitudes de consommation etc. La mise en place d’une allocation d’étude permettra d’améliorer les conditions de vie des étudiant·es et de permettre une plus grande accessibilité aux modes de consommation durable. Les témoignages des étudiant·es interrogé·es par France bleu, dans l’une des files d’attente de distribution alimentaire organisée par l’association Linkee :👉 https://lnkd.in/ePfFwBEh

#AlimentationLocale | Vous travaillez dans le réseau public de l'éducation du Québec, et vous souhaitez offrir des aliments sains, frais et locaux à vos élèves? Il vous reste quelques jours pour déposer votre projet. Grâce au MAPAQ, vous pourriez obtenir jusqu'à 15 000$ pour la mise en place de votre projet. Cliquez pour en savoir plus sur les projets éligibles et le processus de dépôt.

CANNES : LA VILLE AUGMENTE LE PRIX DE LA CANTINE POUR LES ÉLÈVES EN CAS D'UN TROP GRAND NOMBRE D'ABSENCES INJUSTIFIÉES Cédric Adam, Benoît Ruiz avec Laurène Rocheteau Le 19/02/2024 à 21:57 Je vous invite à lire l’article suivant : https://lnkd.in/dde9tsTq La #cantine, c’est un service qui est réclamé par les familles sur lequel règne une grande attente sociale. S’agissant des familles ayant des revenus faibles, elles peuvent naturellement sous certaines conditions, obtenir des aides pour payer la cantine de leurs enfants. Les pratiques et les possibilités sont différentes selon les municipalités et le niveau de scolarisation des enfants : primaire (maternelle et élémentaire) ou collège ou lycée. Mais dans tous les cas, elles doivent se rapprocher d’une assistante sociale municipale afin d’évaluer leur situation. En fonction de leurs revenus et capacités contributives, leur dossier sera pris en charge par le CCAS, de façon totale ou partielle. La situation est d’autant plus délicate que chaque commune a son propre fonctionnement et ses propres difficultés. Selon son budget et sa politique, elle peut prendre en charge une partie du coût de revient des repas. Et c’est le cas de la ville de #Cannes qui absorbe une partie de la dépense liée à la hausse tarifaire. Tout augmente : les salaires, les charges sociales, le loyer, les matières premières et les services. Il est donc normal que les prix des menus à la cantine augmentent aussi. D'augmenter sensiblement le tarif des repas en cas d’absence injustifiée des enfants, est donc une solution tout à fait responsable et pérenne. On parle toute de même de 45 000 repas non consommés ce qui représente un impayé de l’ordre de 250 000 Euros. Il faut espérer que la conséquence ne sera pas une moindre qualité, ou une plus faible quantité des repas servis aux enfants et élèves de Cannes. Mais là, c’est un tout autre sujet.