Post de Latournerie Wolfrom Avocats

[Parole d’experts 💡] Reed Smith interviewé par Jeune Afrique   🎙️ Sachin Kerur, managing partner du bureau de Dubaï de Reed Smith LLP, souligne dans une interview accordée au média Jeune Afrique, l'importance croissante des Émirats arabes unis en tant que pivot stratégique pour les entreprises africaines cherchant à s'implanter à l'étranger, ainsi que pour les entreprises internationales investissant en Afrique. « Les Émirats arabes unis sont un grand pays qui investit en Afrique. Dubaï est donc devenu un emplacement stratégique pour les entreprises africaines qui établissent des bureaux à l'étranger, ainsi que pour les entreprises internationales faisant des affaires en Afrique » affirme Sachin Kerur. 📝 Retrouvez l’article en ligne ci-dessous ⬇️⬇️⬇️   🤝 Cabinet précurseur, Reed Smith a établi sa présence à Dubaï dans les années 70, marquant ainsi le début d'une collaboration stratégique avec les avocats des autres bureaux du cabinet. Clément Fouchard (Paris) et Matthew Harley (Dubaï), tous deux spécialisés en arbitrage international et très investis dans les projets en Afrique, précisent qu’il persiste aujourd’hui des opportunités grandissantes entre nos deux bureaux : 💬« Nous avons réussi à créer une réelle synergie entre Dubaï et Paris ainsi que le reste de la région MENA notamment grâce à une forte collaboration entre nos équipes en arbitrage et en construction. Dubaï est devenu un hub majeur pour les transactions commerciales liées à l'Afrique et, investit massivement dans des secteurs clés tels que l'immobilier, la finance, les infrastructures et l'énergie. Notre coopération est un atout majeur pour continuer à développer et pérenniser notre activité sur le secteur africain et apporter des solutions juridiques adaptées aux entreprises souhaitant investir dans ce marché. » #Dubai #MENA #Afrique #arbitrageinternational #construction #ReedsmithIA

2025 s’annonce fructueuse avec des perspectives prometteuses d'une coopération économique renforcée entre la France et le Liechtenstein.

Tom BENOIT « Le Moyen-Orient est la nouvelle #Europe » Tom BENOIT compare le Moyen-Orient, notamment #Dubaï, les Émirats, le Qatar et l’Arabie Saoudite, à une “nouvelle Europe”. Il souligne la prospérité, le calme, l’innovation et la quête du “bien” et du “beau” dans ces pays. Il met en avant l’importance des réseaux et des contacts pour réussir dans ces régions, contrairement aux États-Unis où il est plus facile de s’implanter. Il note enfin un certain raffinement et un sens du beau dans l’architecture et le développement de ces pays, en contraste avec ce qu’il perçoit comme une perte de ce raffinement en Europe. Highlights 🏙️ #Dubaï comme nouvelle Europe : Benoit décrit Dubaï et les pays du Golfe comme une alternative prospère et sereine à l’ #Europe, avec une forte innovation et une recherche du bien-être. 🤝 Importance des réseaux: L’accès aux milieux d’affaires dans le Moyen-Orient nécessite des contacts et des introductions, contrairement à l’approche plus individualiste des États-Unis. 🕌 #Musulmans entrepreneurs: Benoit souligne la différence entre les musulmans entrepreneurs qu’il a rencontrés à Dubaï et l’image qu’il a de certains musulmans en France, mettant en avant leur politesse et leur professionnalisme. 🏗️ Recherche du beau et du raffinement: l’approche du développement dans le Moyen-Orient se caractérise par une recherche de la beauté et de l’esthétique, contrairement à ce que Benoit observe comme une prédominance des normes et réglementations en Europe. 🇫🇷🇪🇺 Comparaison Europe-Moyen Orient: Benoit contraste le raffinement et le sens esthétique qu’il perçoit au Moyen-Orient avec ce qu’il considère comme une perte de ces valeurs en Europe.

Monaco se dote d’un nouveau pouvoir d’influence international. Monaco franchit un cap stratégique avec l’admission de l’AMNOR (Association Monégasque de Normalisation) à l’ISO (International Organization for Standardization), permettant à entreprises d’accéder aux cercles de décision des normes qui régissent 80 % du commerce mondial. C’est une étape clé à la fois pour défendre les entreprises monégasques, mais aussi pour anticiper les normes qui façonneront demain l’économie mondiale Cette avancée majeure offre à Monaco une voix égale à celle des grandes puissances économiques et ouvre la voie à des opportunités inédites pour nos entrepreneurs. À travers des actions concrètes, comme le soutien au Yacht Club dans la défense des océans ou des formations pour nos TPE/PME, l’AMNOR incarne un engagement collectif pour l’innovation, la durabilité et la compétitivité. En photo : ✅ Dr Jean-Franck BUSSOTTI, PhD 🌎, CEO et Fondateur AMNOR Pour plus d’informations, cliquez : https://lnkd.in/drbPJKYE #Monaco #AMNOR #ISO #Innovation #Entrepreneuriat, #lagazettedemonaco

(Re)Découvrez ci-dessous les événements à venir de notre partenaire CCI France Suisse (CCIFS) et participez à notre webinaire : 🎯 sur les prix de transferts et les prestations intragroupes 📅 le 4 novembre 2024 🗣️ présenté par notre associée Aurélie CARRARA et Sarah Meriguet Cet évènement sera l'occasion de mettre en avant notre expertise dans ce domaine notamment auprès d'un public d'entreprises françaises implantées en Suisse. 💡 #PrixdeTransfert

💡 🇫🇷🇮🇹 Les principales entreprises françaises présentes dans le Piémont se sont réunies ce lundi à Turin sur le nouveau campus de l'ESCP Business School en présence de l’ambassadeur de France en Italie Martin Briens, du consul général de France à Milan Francois Bonet, et de plusieurs institutions italiennes locales. Une occasion de rappeler leur poids économique dans la région mais aussi de partage quant aux opportunités et problématiques sur le territoire. 📈 La France est le premier investisseur dans le Piémont 📌 200 filiales françaises sont présentes dans le Piémont. Elles représentent près d’un tiers (27,5%) des sociétés étrangères dans la région. 💰 En 2023, le volume d’échanges entre la #France et le #Piémont a dépassé les 16,5 milliards d’euros. 🇫🇷 Parmi les 15 entreprises présentes à la table ronde : L'oreal Italia S.p.A.; Cartier Italia; Kering Italia ; MICHELIN Italiana S.p.A. ; Alstom Ferroviaria ; SNCF Voyages Italia ; emeis Italia ; Valeo Italia ; Petit Forestier Italia ; Framatome Italia ; Midas Italia S.p.A. ; Synergie Italia ; SOVERENCY Emanuele Chieli Alberta Di Giuli Business France Italia #france #italie Plus d'infos 👇

En ce qui concerne l'expansion internationale de MSA Mizar, il s'agit d'un processus complexe et en constante évolution. Actuellement présent non seulement en France, mais également dans huit pays européens, le Groupe envisage également de s'étendre à d'autres marchés étrangers à l'avenir.  Pour relever ce défi, MSA Mizar peut compter sur sa Direction du Business International, constituée d'une équipe de professionnels dédiés à soutenir et à coordonner les différentes filiales dans l'adoption des meilleures pratiques et des stratégies du Groupe.  Cette direction supervise également la mise en œuvre des stratégies internationales et soutient les filiales étrangères dans l'identification des opportunités de marché et des synergies commerciales. Les membres de cette direction participent également à des analyses de marché, contribuant ainsi à façonner l'avenir du Groupe en tant qu'acteur international dont la croissance est un pilier stratégique de consolidation et d'expansion de ses activités. #croissance #externalisationdesprocessusmétier #gestiondesréclamations #multiserass #msamizar

Pour la quatrième année consécutive, Cartier Meyniel participe au Guide 2024 ICLG (International Comparative Legal Guides) sur l'arbitrage international en rédigeant le chapitre consacré à la France. Bonne rentrée et bonne lecture!🚀 Cartier Meyniel #internationalarbitration #arbitrageinternational #disputeresolution

Meilleures pratiques pour vendre en Allemagne

Permettez-moi ce billet d’humeur : ce « Forum Europe » constitue un business case intéressant, bien que préoccupant, de l’état de nos vulnérabilités vis-à-vis de la Chine et ses écosystèmes. Passons sur le lénifiant « mutual success », néanmoins symptomatique de notre laisser aller dans la traduction littérale des termes de référence chinois. En bas, à droite du flyer, vous notez la présence des partenaires stratégiques médias de l’événement : « Huanqiu » (qui appartient au Comité Central du PCC) et « International Finance News » (qui appartient au Quotidien du Peuple, donc idem). Cela n’a pas l’air de poser question. Pourtant, c’est un peu comme si lors d’un meeting Franco-russe, les médias associés étaient, côté russe, la Pravda et RT (ex-Russia Today). Qu’aurions -nous dit ? Nous aurions interrogé l’impartialité voire l’intégrité de l’événement sachant qu’il est de notoriété publique que ces médias sont des relais de propagande de Moscou (interdits en France depuis février 2022 par la Commission Européenne et l’invasion de l’Ukraine pour ce qui concerne RT). Moins connu, le CEIBS, le China-Europe International Business School, est né d’un projet entre le MOFCOM (ex-MOFTEC) et la Commission européenne, en 1994, et qui est devenu avec le temps un incubateur et opérateur d’influence au profit des entreprises chinoises dans leur expansion à l’international. Ce qui est assez fascinant est que ce type d’événement ait pu être monté ouvertement, en bonne intelligence avec les parties concernées, sans susciter la moindre réaction, la moindre objection. Bien au contraire, il faudrait s’en féliciter ! J’entends cependant une observation poindre : comment pouvez-vous comparer cela avec la Russie, nous ne sommes pas en guerre contre la Chine et il s’agit de business ! Premièrement, nous ne sommes ni en guerre contre la Russie, ni contre la Chine, ce qui ne nous a pas empêché d’interdire certains médias russes pour propagande de guerre. Deuxio, invoquer le « business » comme sauf conduit de nos faiblesses constitue un facteur aggravant, comme s’il nous était profitable nonobstant ses conditions d’exécution et sans conséquences aucune par ailleurs sur les plans politique, industriel et technologique. Or, précisément, cet événement présente les caractéristiques d’un exercice piloté de bout-en-bout par des réseaux travaillant avant toute autre chose pour les intérêts nationaux chinois, le tout sous couvert de bonne tenue des affaires commerciales bilatérales. Nous ne sommes plus ici dans un cas classique d’ingérence économique, mais de détournement de nos propres dispositifs de développement économique. Quand on évoque à tout bout de champ notre souveraineté économique, encore faudrait-il avoir le contrôle de ses propres outils.