L’année 2025 sera … sans commune MESURE ! Ce qui ne se mesure pas, n'existe pas " ! Corinne Mrejen le rappelait il y a juste un an. On se croirait à la veille de la dernière saison d’une célèbre série où la grande bataille va avoir lieu : qui va gagner des technos, méthodos, réseaux. D’un côté le royaume des MÉDIAS devenu fragile mais qui conserve la CONFIANCE, l’écrin, le trône convoité. (au passage joyeux anniversaire au Monde et ses 80 ans). De l’autre, les GAFA qui captent plus de 70 % des IP depuis leur forteresse « fermées ». Ils ont aussi su séduire les autres familles de la tech dans l’avénement de la datas pour une meilleure connaissance accessible à tous... ! Les annonceurs sont au milieu du gué, ils détiennent encore le pouvoir et pour autant leurs choix sont contraints entre création de valeur et vente court-terme sans parler d’une ombre qui plane : la déconsommation ! Alors le rôle des gardiens historiques de la mesure, des études, du conseil s’avèrent n’avoir jamais été aussi importants. Comment mesurer l’efficacité, l’attention, le rapport aux marques, la confiance., la qualité, etc. Les Instituts, Régies, Agences, Conseils panels sont là. D’ailleurs le titre du premier épisode de cette saison est : L’accompagnement. Ici pas de religion, ni de médecine ou de magie à attendre. 2025 l’année du concret du « pragmatique » ; où on se dit réellement les choses qui vont, et celles qui ne vont pas, sans faux semblants. Le monde a changé, on s'adapte même si les batailles sont hardies comme celle d'engager les 18-24 ans ! et que dire des plus jeunes qui arrivent ! Enfin, arrivent à point nommé l’espoir dans les prochains épisodes, là où se révèlent des acteurs qui souvent existaient déjà et qui au final regagnent du terrain …d’études. Quel que soit le résultat, il se fera à 4 mains. Le teasing : le probaliste sera rattrapé par le déclaratif. Ils seront tous deux rois. #Mesure #Alliancedigitale #Marketing #Etude #Panel #Médias #Adetem
Post de Laurent Renault
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Michel Serres disparu en 2019 à l'âge de 89 ans avait beaucoup d'aficionados parmi ceux qui prônaient d'embrasser, mode pleine bouche, l'arrivée du digital. puis le temps passant, il est moins cité et de toute façon aurait, peut-être, moins percuté. Serres en conférence aimait installer, pierre par pierre, les éléments de sa réflexion. certes, il y avait des petites phrases qui tuent, parsemés ici et là. cependant, utilisées comme points finaux, histoire d'enfoncer les clous de ses raisonnements. Pas vraiment pour faire du teasing ou de l'hameçonnage à deux balles. ainsi comprendre les avancées, les bénéfices certains du digital, méritaient de s'assoir pour écouter ceux qui avaient réfléchi quant à ce qui se passait et nous arrivait. çà, il ne le proclamait pas. il montrait juste l'exemple qu'il était tout à fait naturel de boire ses paroles pendant, parfois, près de deux heures. Le nombre de vues de ces sorties sur YouTube le démontre amplement. dès le début de nos années 10, il avait, notamment, rappelé qu'il avait toujours été impossible d'imposer son droit dans un autre pays ou contrée, car il y en avait déjà un autre. si bien que ceux que l'on qualifiait, jadis, de brigands, de hors la loi ne vivaient pas dans les bois sans respecter certaines règles. Juste que celle-ci n'étaient pas les nôtres, mais celles de Robin des Bois. selon lui, cela allait être pareil dans le nouveau monde numérique. L'ancien droit n'allait pas pouvoir s'appliquer. d'autres règles allaient émerger qui seraient celles imposées par une jeunesse qui se mettrait à naitre, direct, avec un smartphone en mains. Sur ce point, cette dernière vision se confirme. par contre, n'ayant pas connu Tiktok, on ne saura jamais si Michel Serres aurait réussi la gageure d'être aussi bon en format court qu'en format Youtube. cependant, peu importe, YouTube existe toujours et les vidéos de Serres ont pris bien peu de rides. même s'il faudra que nous acceptions de redécouvrir le plaisir du temps long pour comprendre notre réalité actuelle, tant les réflexions de Serres sont toujours, bel et bien, d'actualités. #PrivateCommunityManager | estocada.
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J'ai demandé à ma fille si elle reconnaissait sa maman sur la photo. Sa réponse : "Oui je t'ai reconnue, grâce à ton téléphone". Dont acte. J'avais oublié de vous parler de ce shooting où j'ai été invitée à PRODURABLE : la campagne #lapireexcuse de #SorryChildren a été créée par Gregory Poinsenet, Pierre Charrier et Josef Helie. De nombreuses personnalités engagées l'ont rejoint depuis 2020. Ma meilleure action pour ne pas avoir à donner cette excuse à nos enfants ? Je murmure à l'oreille des dirigeants ! L'angle d'attaque diffère selon leur activité, leurs craintes, leurs motivations... Ce qui est le plus difficile c'est de trouver le moment opportun. Une fois la rencontre faite, tout devient évident. Comprendre et réduire les impacts environnementaux, sociaux et sociétaux liés au numérique (terminaux, data, IA..) fait souvent partie de leurs attentes. Il faut un peu de temps pour remonter jusqu'au modèle d'affaires, et je suis confiante, avec le parcours #shaketonBM, on y vient. Si vous souhaitez en savoir plus sur les impacts du numérique, des réseaux sociaux, de l’IA.. je donne des conférences et animent des ateliers. Et vous, quelle pire excuse donneriez-vous si vous ne changiez rien ? Retrouvez des milliers de têtes engagées, d’excuses et d'actions à explorer et partager sur sorrychildren.com. Pas d'idée d'excuse ? Vraiment ? Bon il y a même un générateur pour vous en trouver une 😉 Grand merci à toute l'équipe de SorryChildren pour cette initiative et pour nos échanges. La complémentarité de nos actions, j'y crois 💪 #Produdu24 #produrable #numeriqueresponsable Sustainably
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😎 Comment j'ai réutilisé le cadeau de mon amie Agathe BRION pour ma formation sur la transformation digitale avec Axonaut ? Cet éphéméride est bien plus qu'un simple calendrier. 🗓️ ✨ Chaque page révèle des citations et proverbes inspirés par les 4 accords toltèques, un sujet qui me tient à cœur puisque j'en ai fait une vidéo sur ma chaîne Youtube. 📺 Lors d'une session de ma formation, cet éphéméride est devenu un atelier brise-glace. 🧊❄️ En invitant mes apprenants à sélectionner une citation au hasard, j'ai ouvert une fenêtre sur leur perception de leur entreprise. Ce moment d'échange a non seulement enrichi notre session et a permis de partager une partie de ma passion pour l'application des principes toltèques, et les proverbes d'une manière générale. 💡Tout le mois de février dernier, j'avais d'ailleurs fait une série de vidéos sur ma chaîne Youtube et Tiktok sur ces proverbes plein de bon sens que l'on pouvait appliquer au business. 👥 Et vous cela vous arrive d'utiliser vos cadeaux dans le cadre professionnel ? Ou je suis la seule à faire d'une pierre deux coups ? #TransformationDigitale #proverbes #4AccordsToltèques #lesopportunistes🌟
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« Je vais vous aider ✨ » Il y a des jours qui ne ressemblent en rien aux précédents, il y a des moments d’adrénaline et de bascule et j’espère qu’aujourd’hui sera un jour comme ceux ci. 5 ans que nous portons, à 60 mains, un rêve immense : Bugali. Révolutionner l’expérience de lecture des enfants ; gagner la guerre de l’attention par le jeu, le livre et la connaissance ; proposer une alternative magique et crédible en termes d’usage aux 2h/j que passent les petits et tout petits devant des écrans. Bugali c’est une accumulation de défis sociétaux : interpréter le livre pour mieux le faire vivre ; mettre la tech à son service pour en sublimer l’expérience ; introduire dans la vie des enfants un nouveau rituel, qui ne ferait la guerre ni à la tradition ni à la modernité, mais prendrait le meilleur des deux mondes pour mieux éveiller toute une génération. Après 4 ans de R&D nous avons rendu le papier tactile et sonore, après 4 ans d’âpres négociations nous avons embarqué à nos côtés les plus belles maisons d’édition du secteur, après 1 an d’industrialisation nous avons réussi, dans la sueur et le made in France, à produire Bugali. En vrai. Et tout ceci n’était … que l’étape 1. La preuve de marché, la distribution, la logistique, le SAV, la com 360 ; convaincre les familles, l’éducation nationale, les crèches, les hôpitaux, les hôtels…. La route est longue et semée d’embûches. Entreprenendre dans l’industrie française est un truc de fou furieux. Jamais je n’aurais imaginé la teneur des difficultés et des montagnes à gravir. Avant cela je n’avais pas compris à quel point le cash est le fioul de l’ambition enpreneuriale, qui plus est industrielle. Avant cela le « hard is hard » me faisait marrer, je le prenais pour un tic de langage. Avant cela je n’avais jamais eu peur que tout s’arrête, parce que le cash s’épuise et que la route est longue. Avant cela je n’avais pas compris à quel point les plus belles aventures industrielles, aujourd’hui dans les usages de la vie courante, avaient dépendu du courage de certains, pas seulement de la pugnacité des entrepreneurs et des équipes. Alors oui monsieur le président Emmanuel Macron, merci infiniment d’être venu, de vous être intéressé et merci par avance de votre aide. Elle est bienvenue et elle accompagnera notre travail acharné à démocratiser le livre « augmenté ». Parce que tous les enfants n’ont pas la chance d’avoir la lecture du soir ; parce que grandir en compagnie du livre est le premier critère de déterminisme social ; parce que sans investissement massif pour la génération qui arrive il n’y aura de salut pour rien, ni la démocratie ni l’école ni l’écologie, pour toutes ces raisons Bugali est politique et votre soutien, important 🙏🏻. Maud Bailly Barthelemy Guislain Guillaume PO Séverin Cassan Louis Delas Francis JOYAUD Arsène Wenger Clélia Aucouturier Carole Brezillon François Hisquin Philothée Gaymard Clara Gaymard Benoît Pottier Albert Moukheiber Louis MARTY 🌈 Michèle Sabban
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« Une idée sans exécution est un songe », citait Saint-Simon. Alors, cette idée, je ne l’ai pas laissé filer ! Parler sur LinkedIn aux associations sportives et culturelles en leur proposant mes ateliers. 🎯Mais avant tout, j’ai dû en savoir plus... et percer les secrets du fonctionnement des associations sportives et culturelles (ASC) des entreprises. Après avoir compris le mécanisme de ces structures, je suis passée à l’action : 🏹 j'ai lancé mes flèches numériques sur LinkedIn ces deux dernières semaines, espérant toucher droit au cœur ❤️. Mais voilà, les responsables des ASC des entreprises angevines restent insaisissables, éparpillés dans cette vaste toile numérique 🕸️, comme des étoiles filantes dans un ciel d’algorithmes capricieux. Ils sont là, quelque part, se dérobant à ma vue 🔎, cachés dans les ombres des fils d’actualité, peut-être saturés. Je poursuis ma quête avec un sourire 😃, car l’idée ne peut briller que si elle prend forme. Alors je persévère encore cette semaine, puisque la route est sûrement aussi belle que la destination. Je les trouverai, c’est certain, pour leur parler d’une activité innovante que sont LES ATELIERS D’ÉCRITURE ! 🖋️ Vous connaissez une personne qui connaît une personne qui elle-même détient un contact, n’hésitez pas à partager. 🌹 Vous souhaitez en savoir plus ? Je reste à disposition pour en discuter. 🌹 #associationsportive #asc #angers #entreprise #créativité #activité #ludique
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🍷 Le beaujolais nouveau n’est pas encore arrivé.🍷 Mais le nouveau Tymate est déjà là ! 🍾 🫶 🙌 Les difficultés que nous avons rencontrées ont aussi eu des effets positifs : nous obliger à nous réinventer, à repenser ce que doit être une agence digitale aujourd’hui. 🤯 🤩 Voici quelques diapos pour résumer cette nouvelle approche, avec l’IA complètement intégrée à la démarche bien sûr, mais surtout un mode squad pour connecter notre équipe avec les vôtres, quels que soient vos besoins et vos projets numériques. 📲 Plus de qualité, plus d’efficacité, plus de possibilités. ♾️ 👐 Embarquez bien plus que de l’IA. Et comme avec le beaujolais, n’hésitez-pas à partager. A votre santé ! 🥂
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Et si on prolongeait un peu l’effet Paris 2024 ? Cette semaine, je reçois Clara Delétraz, la créatrice d’ENSEMBLE(S), au micro de Learning by doing. Clara est tombée dans l'entreprenariat un peu par hasard, en pilotant la mission La French Tech. Après avoir revendu Switch Collective, elle a choisi de s’attaquer à un sujet capital dans notre société : 𝗡𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗰𝗮𝗽𝗮𝗰𝗶𝘁𝗲́ 𝗮̀ 𝗷𝗼𝘂𝗲𝗿 𝗰𝗼𝗹𝗹𝗲𝗰𝘁𝗶𝗳, 𝗺𝗮𝗹𝗴𝗿𝗲́ 𝗻𝗼𝘀 𝗱𝗶𝗳𝗳𝗲́𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀. On a enregistré cet épisode juste après les législatives : contexte pesant, ça s’entend un peu dans nos voix. Ensemble, on revient sur le sujet du cloisonnement et notamment : → L’impact des réseaux sociaux → Le phénomène de bulles sociales → Le besoin de sortir du tout polarisé → La difficulté à retrouver de la nuance Clara lit (beaucoup) et explore des solutions. Par exemple, le fonctionnement d’un jury populaire de Cour d’Assise qu’elle est allée observer en profondeur. Elle nous explique quelques enseignements à tirer pour fédérer autour d'objectifs communs et faciliter la prise de décision. Bien utile dans nos organisations où tout devient important et donc où rien ne l'est vraiment. Un super épisode qui prend un écho nouveau après la fête des Jeux. Merci beaucoup Clara. Je vous souhaite une bonne écoute, je suis preneur de vos retours. Le lien vers l’épisode est en commentaire ↓
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Solitude digitale La digitalisation de la relation client qu’ont apportée les nouvelles technologies du numérique devait être le graal permettant une simplification des échanges source d’efficacité et donc d’économie. Cette digitalisation permet en effet de rendre plus fluide les process en éliminant les intermédiaires, c’est à dire les êtres humains. Ainsi, plus besoin d’être en contact réel pour faire ses courses, acheter un billet de train ou de cinéma ou encore remplir une démarche administrative. Le contact digital sur un écran à remplacer le contact d’humain à humain. Les personnes ayant pour fonction de jouer les intermédiaires entre une organisation et un individu ont été effacées. Lors du grand oral du bac, de nombreux élèves de STMG, exposent souvent dans leur sujet, cette révolution numérique comme le moyen d’améliorer la relation client. Selon eux, cela permet de proposer une offre bien plus personnalisée, car la machine munie d’une IA récolte de nombreuses informations qui permettent de mieux cerner le profil du client. Au lieu de demander à un être humain dans un vidéo club des conseils sur un choix de films à louer, l’algorithme de Netflix nous propose en fonction de notre historique, mais aussi des personnes ayant les mêmes caractéristiques (âge, sexe, habitudes de consommation…), un choix personnalisé sensé nous convenir parfaitement. Une proposition qui nous enferme sur nos goûts présumés au lieu de nous ouvrir. Ce qui est vrai pour la location de films et vrai pour de nombreux actes d’achat. Il est possible par son application Starbuck de commander son café, qui sera servi dans un gobelet où sera inscrit notre prénom et la machine saura même nous souhaiter un joyeux anniversaire et nous offrir pour l’occasion un point de fidélité, qui permettra d’avoir à la prochaine visite un cookie gratuit. Le personnel de ces établissements étant de toutes les manières précaires, la relation client ne peut réellement s’établir. La café du coin où Gillou, Stéphanie ou Abdel nous servaient l’expresso habituel, ne se rappelaient sans doute pas de notre anniversaire, mais avaient un sourire et un petit mot qui permettaient un contact humain. Même une mine renfrognée cachant mal une mauvaise humeur, donne le signal de s’enquérir du moral de l’interlocuteur. Cela existe évidemment encore, mais cette digitalisation tend à réduire ces échanges de la vie quotidienne. En réalité, je crains que nous soyons entrés dans une ère de grande solitude qui finit par rendre l’autre suspect et potentiellement dangereux. Nous nous repliions sur nous mêmes chacun dans son coin, craignant tout ce qui nous est étranger comme simplement notre voisin. Nous ne faisons plus société, nous nous repliions sur nos communautés respectives qui se regardent en chien de faïence. Plutôt que de demander notre chemin à un inconnu, nous demandons à une borne infaillible. Nous nous perdons plus, mais perdons l’occasion du hasard de la Sérendipité. *(cf commentaire).
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Le début d'une chose est une partie primordiale de l'aboutissement de cette chose là mais le plus important de tous est l'arrivée de cette chose. Voilà pourquoi pendant le cheminement peut importe les blocages, les barrières, les oppressions et autres méfaits gardez en tête l'arrivée ! Je suis Mve Mve Steeven Max Junior votre berger et guide dans le monde du digital! Laissez vous emporter dans cette belle aventure du digital!
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Qui d'entre nous avait capté que 2024 était une année bissextile ? Ce matin, fidèle à mon rôle de bon élève de l'écosystème entrepreneurial, je m'apprêtais à déclarer à l'URSSAF une hausse de +300% de mon CA. (Oui, c'est faux, mais je suis dans l'esprit LinkedIn, je peux être qui je veux, du moment que je le déclare avec assurance.) Revenons sur ces années bissextiles, véritables catapultes de l'histoire moderne : • 2012 : L'année où les réseaux sociaux sont passés de "plaisant" à "indispensable" pour toute stratégie de com' qui se respecte. • 2016 : L'avènement de la réalité augmentée avec Pokémon Go, prouvant que oui, en tant qu'adultes, nous sommes capables de courir après Mewtwo légendaire comme si notre vie en dépendait. • 2020 : Une "légère" pandémie qui a radicalement changé notre approche du travail, de "Où est mon bureau ?" à "Quoi, ce n’est pas du full remote ?". Et maintenant, 2024 se dresse fièrement à l'horizon. Allons-nous assister à l'explosion de l'IA, à un point où notre frigo sera probablement plus intelligent que notre dernier match Tinder. 2024 promet d'être une année… vive. Je vous propose donc de vous joindre à moi : installons-nous confortablement, popcorn en main, prêts à observer le déroulement de cette année comme le blockbuster de la décennie. Après tout, si 2024 doit être l'année de tous les changements, autant en être les protagonistes, non ? (Et pour tous ceux qui, comme moi, voient leur calvitie s'accentuer, rappelons-nous que Jason Statham est là pour nous rappeler que tout est possible.) Et toi, tu vois quoi pour cette année bissextile ? #AnnéeBissextile2024 #PokémonGo #JasonStatham #Innovation
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