Post de Le Cercle des Talents (Bordeaux)

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MODE LA DIAGONALE DU FLOU Voici les maux qui rongent notre profession. Depuis des lustres, les « dominants », détenteurs du pouvoir financier et médiatique, semblent ne plus avoir aucune entrave pour exploiter au maximum les « dominés ». Maintenant, ils voudraient même faire taire les plus récalcitrants. Pourtant, certains humanistes viennent enrayer leur machine à fabriquer du malheur. Finalement, rien ne change ; les Florentins, cireurs de poulaine du pouvoir, viennent chercher leur obole en courbant l’échine devant les seigneurs du luxe comme autrefois, on venait à la cour de Versailles. C’est la France des privilèges, celle qui, jadis, avait été obligée de se faire couper la tête, comme une blessure que les autres s’infligeaient volontairement. La Fashion Week de la discrimination, celle qui vous empêche de faire votre métier, adoubant des bimbos comme journaliste au détriment des plumes, et si vous n’êtes ni fils de famille, ni courtisan pour un quatre pattes de la soumission, il vous faudra ramer pour atteindre la rive, car cette vague, vous repoussera inlassablement au large des rivages du luxe. C’est la Fashion des dandys vieillissants qui croient faire partie de ce monde alors que la mode ce sont les autres. La Fashion des muses en plastique, plus rapporteuses d’ailleurs que reporteurs. La Fashion de la déréglementation ; celle qui influence la météo en détruisant la planète au profit d’un petit nombre, celle de l’argent qui tourne toujours plus vite. La fashion des sangsues qui grappillent la gloire des autres pour elles-mêmes, car elles sont pour la plupart des artistes ratés. La fashion attachée à leurs vassaux toujours plus vagaux comme un malaise, parce qu’il faut que tout change pour que rien ne change, un moment de présent entaché, à jamais, au futur. FM https://lnkd.in/eU8A4QTK

Depuis 1919, Jean Singer incarne l’image d’Epinal du «sous-traitant horloger». C’est une PME familiale, à 100% détenue par son directeur général, nichée dans l’Arc jurassien, qui ne pipe mot de son chiffre d’affaires et dont les 383 employés travaillent dans l’ombre des marques. Impossible en effet d’éviter les logos les plus connus lorsque l’on circule dans l’entreprise, mais impossible également de les citer dans l’article – Joris Engisch, patron et propriétaire, est catégorique. Les trois usines dans lesquels il est actif (Singer , Someco, Siam Dial) produisent des cadrans pour des montres «Swiss made» à un rythme industriel: environ 1,5 million par an. Depuis mi-octobre, Jean Singer incarne également l’image d’Epinal du méchant employeur impitoyable. La RTS a en effet révélé que l’entreprise faisait timbrer les «pauses pipi» de ses ouvriers. Après le buzz presque mondial, les explications du patron dans les colonnes du Temps ont calmé les esprits. Oui, c’est courant dans l’industrie. Non, ce n’est pas de la maltraitance car les pauses sont incluses dans le temps de travail. «Ce n’est jamais agréable de découvrir qu’on fait la une des médias durant ses vacances, souligne Joris Engisch. Mais j’ai aussi reçu énormément de messages de soutien…» Les employés? «Ils n’ont pas compris cette histoire. Ils timbrent pour chaque moment où ils ne sont pas à leurs postes et c’est logique pour tout le monde. Dans les autres entreprises, soit il n’y a pas de contrôles et cela donne des situations de flicage entre collègues, soit on ne timbre pas les pauses mais le temps de travail… Ce qui revient au même.» Joris Engisch insiste: une fois qu’on prend le temps de l’expliquer, cette façon de faire paraît logique. «En fait, je crois simplement qu’il y a pas mal de gens qui n’ont pas conscience de la réalité du monde industriel…» ✍ Valère Gogniat

MODE LA DIAGONALE DU FLOU Voici les maux qui rongent notre profession. Depuis des lustres, les « dominants », détenteurs du pouvoir financier et médiatique, semblent ne plus avoir aucune entrave pour exploiter au maximum les « dominés ». Maintenant, ils voudraient même faire taire les plus récalcitrants. Pourtant, certains humanistes viennent enrayer leur machine à fabriquer du malheur. Finalement, rien ne change ; les Florentins, cireurs de poulaine du pouvoir, viennent chercher leur obole en courbant l’échine devant les seigneurs du luxe comme autrefois, on venait à la cour de Versailles. C’est la France des privilèges, celle qui, jadis, avait été obligée de se faire couper la tête, comme une blessure que les autres s’infligeaient volontairement. La Fashion Week de la discrimination, celle qui vous empêche de faire votre métier, adoubant des bimbos comme journaliste au détriment des plumes, et si vous n’êtes ni fils de famille, ni courtisan pour un quatre pattes de la soumission, il vous faudra ramer pour atteindre la rive, car cette vague, vous repoussera inlassablement au large des rivages du luxe. C’est la Fashion des dandys vieillissants qui croient faire partie de ce monde alors que la mode ce sont les autres. La Fashion des muses en plastique, plus rapporteuses d’ailleurs que reporteurs. La Fashion de la déréglementation ; celle qui influence la météo en détruisant la planète au profit d’un petit nombre, celle de l’argent qui tourne toujours plus vite. La fashion des sangsues qui grappillent la gloire des autres pour elles-mêmes, car elles sont pour la plupart des artistes ratés. La fashion attachée à leurs vassaux toujours plus vagaux comme un malaise, parce qu’il faut que tout change pour que rien ne change, un moment de présent entaché, à jamais, au futur. FM https://lnkd.in/etdZ3H7k

MODE LA DIAGONALE DU FLOU Voici les maux qui rongent notre profession. Depuis des lustres, les « dominants », détenteurs du pouvoir financier et médiatique, semblent ne plus avoir aucune entrave pour exploiter au maximum les « dominés ». Maintenant, ils voudraient même faire taire les plus récalcitrants. Pourtant, certains humanistes viennent enrayer leur machine à fabriquer du malheur. Finalement, rien ne change ; les Florentins, cireurs de poulaine du pouvoir, viennent chercher leur obole en courbant l’échine devant les seigneurs du luxe comme autrefois, on venait à la cour de Versailles. C’est la France des privilèges, celle qui, jadis, avait été obligée de se faire couper la tête, comme une blessure que les autres s’infligeaient volontairement. La Fashion Week de la discrimination, celle qui vous empêche de faire votre métier, adoubant des bimbos comme journaliste au détriment des plumes, et si vous n’êtes ni fils de famille, ni courtisan pour un quatre pattes de la soumission, il vous faudra ramer pour atteindre la rive, car cette vague, vous repoussera inlassablement au large des rivages du luxe. C’est la Fashion des dandys vieillissants qui croient faire partie de ce monde alors que la mode ce sont les autres. La Fashion des muses en plastique, plus rapporteuses d’ailleurs que reporteurs. La Fashion de la déréglementation ; celle qui influence la météo en détruisant la planète au profit d’un petit nombre, celle de l’argent qui tourne toujours plus vite. La fashion des sangsues qui grappillent la gloire des autres pour elles-mêmes, car elles sont pour la plupart des artistes ratés. La fashion attachée à leurs vassaux toujours plus vagaux comme un malaise, parce qu’il faut que tout change pour que rien ne change, un moment de présent entaché, à jamais, au futur. FM https://lnkd.in/eJ7QVeSS

N°5 Yolande G. @Yolanda Gbletch Dans l'univers fluctuant et exigeant de la mode, une femme se distingue par son parcours exceptionnel, de mannequin à créatrice de mode. Son histoire est un vibrant témoignage des qualités indispensables à tout entrepreneur réussi : créativité, confiance en soi et adaptabilité. Ces attributs ne sont pas seulement les piliers de sa réussite, mais aussi les sources d'inspiration pour quiconque cherche à transformer sa passion en profession. La créativité, cette étincelle au cœur de toute entreprise innovante, brille intensément dans le travail de Yolande. Ayant arpentée les grands podiums du continent, elle a absorbé une myriade d'influences esthétiques et culturelles, fusionnant ces expériences dans ses propres créations. Son approche unique de la mode transcende les tendances éphémères, offrant à son public des pièces qui sont à la fois intemporelles et avant-gardistes. J'ai encore en mémoire le challenge qu'elle a relevé en habillant Coach #HamondChic à ma demande lors de sa grande conférence que j'ai organisé à Cotonou. Ce ne fût pas une mince affaire. Chaque collection chez Woomaan, sa Maison de Couture, raconte une histoire, reflétant non seulement sa vision artistique mais aussi son voyage personnel du mannequinat à la création. La confiance en soi, c'est aussi la lumière qui a guidé le chemin de Yolanda à travers les défis inhérents au changement de carrière. Passer de mannequin à créatrice de mode requiert une foi inébranlable en ses propres capacités et en sa vision. Cette confiance s'est manifestée par sa capacité à prendre des risques calculés, à défendre ses idées créatives, à se former (elle est alumnis de la Master Class MCI Promotion 7) et à se positionner fermement dans un secteur compétitif. Elle inspire par son assurance, prouvant que croire en soi est essentiel pour transformer les rêves en réalité. L'adaptabilité, enfin, est la qualité qui lui a permis de naviguer avec grâce à travers les transitions de sa carrière. Le monde de la mode est en perpétuelle évolution, tout comme le sont les besoins et les désirs des consommateurs que nous sommes. [Chez les femmes c'est encore pire]. Sa capacité de fille de Gbletchou à s'adapter aux changements du marché, à embrasser de nouvelles technologies et à expérimenter avec de nouveaux matériaux et techniques souligne sa résilience et sa volonté de rester pertinente et connectée à son audience. Cette femme entrepreneure, la muse du très inspiré Don Metok dans le clip "Gnonnou" incarne l'esprit de l'innovation et de la persévérance. Sa transformation de mannequin à créatrice de mode est une source d'inspiration, montrant que la créativité, la confiance en soi et l'adaptabilité sont les clés pour ouvrir les portes du succès. Son histoire réaffirme que derrière chaque marque de mode réussie, il y a une vision, un courage et une capacité à s'adapter et à prospérer, quelles que soient les circonstances. #CoachDjarraMoussa #100FemmesdExeception #JIF2024

[ Post & Vidéo à lire et à relire jusqu’au bout sans modération ] ************************************************************************* Je poste cette vidéo de coiffeurs-justes.com ✨ Parce que ce sujet me touche et nous touche tous au quotidien, ✨ Parce que trier les déchets c’est bien mais les traiter durablement et intelligemment c’est mieux, ✨ Parce que c’est avec ce genre d’entreprise que l’on peut continuer à avoir l’espoir d’un meilleur demain, ➡ Parce que certaines entreprises détruisent notre planète 😡 👺 🙅♂️ 🙅♀️ 🚫 et que celle-ci contribue à la réparer 🌍 📣 Je mets à l’honneur aujourd’hui sur mon profil de réseau de professionnels, l’entreprise COIFFEURS JUSTES ! 🚀 ⭐ Coiffeurs justes, c’est le genre d’entreprise qui mérite toute notre attention, ⭐Coiffeurs justes, c’est le genre d’entreprise que tout le monde devrait connaitre et parler dès le plus jeune âge, ⭐ Coiffeurs justes, c’est le genre d’entreprise qui devrait être considéré d’intérêt public, ⭐ Coiffeurs justes, c’est le genre d’entreprise qui mérite de rayonner nationalement et mondialement ! 💫 ➡➡➡➡ Coiffeurs justes, c’est le genre d’entreprise qui nous rend fier d’être Français ! 💪💪💪 🇫🇷 🎉🎉🎉🎉 Eh oui, après l’idée ingénieuse des marins Bretons en 1978 pour nettoyer l’océan de la marée noire grâce à cette simple astuce de grand-mère, les Américains ont été inspirés par cette pratique pour éponger à leur tour, leur marée noire de 2010. C’est ainsi que née leur entreprise Matter of Trust, qui perpétue à présent cette idée française, simple mais lumineuse, sur le sol américain. 🎯 Linkedin est un réseau de professionnels, le meilleur chemin de ce post est donc qu’il arrive aux oreilles de tous les professionnels de la coiffure. Faites en sorte que cela le puisse en diffusant cette vidéo. 🎯 🔔 Ils cherchent constamment de nouveaux salons de coiffure prêt à s’allier avec eux dans leur cause, parlez en à votre coiffeur, la planète vous remerciera ! Un seul mot à dire : BRAVOOOOOOO à vous COIFFEURS JUSTES !!!!! 👏 🏆 🥇🌸

Le sac bleu et les autistes… La femme du Premier ministre singapourien est apparue lors de la réception officielle pendant leur visite aux États-Unis, portant un sac à main bleu qui semblait bon marché et dont la marque était inconnue. Cela a suscité une vague de critiques dans la presse et les médias, surtout en comparaison avec l'élégance et les vêtements que portait son hôtesse, Mme Michelle Obama, l'épouse du président américain. Face à toutes ces critiques, la femme a décidé de dévoiler l'histoire du sac bleu. Elle a expliqué qu'elle l'avait acheté pour un prix modique, équivalent à 11 dollars américains, dans une petite foire à Singapour. Cette foire appartient à une école spécialisée pour les élèves atteints d'autisme, où les produits fabriqués par ces élèves sont exposés pour soutenir leurs talents et comme source de revenus pour eux. Elle a également mentionné que, bien que le sac puisse sembler simple, il est en réalité précieux car il a été fabriqué par un élève de 19 ans, dont le travail ne devrait pas être sous-estimé. Une fois l'histoire diffusée, les ventes de ce sac ont bondi, atteignant près de 200 sacs par jour après que les stocks avaient été quasiment épuisés dans la foire. Il est admirable qu'un simple geste, puisse conduire à la réussite d'un projet aidant les étudiants autistes. Le véritable message authentique et inspirant vient du cœur pour atteindre tous les coins de la terre. Ce ne sont pas les grandes marques internationales qui confèrent du respect et de la reconnaissance, mais votre message dans la vie... C'est votre message qui définit votre valeur. La Science Almobine · Suivre La science Almobine est la fin de l’athéisme13 août

UN SERVICE A CAVIAR EN CRISTAL Directrices, remède contre la constipation de LV, veulent qu’on les considère comme des maîtresses ou rien, (puisqu’il faut tout féminiser). Mon choix est fait, je m’arrête volontiers à la seconde considération. Mais, il est véritablement difficile d’être rien du tout avec plus de perfection ou de profondeur que cette bimbo plate comme une limande qui venait à la cristallerie pour réaliser un service pour le caviar en cristal pour cette marque de bagages logotypés bien connue de tout le monde. Elle commença son discours par « je n’ai pas d’argent !!! » Je lui répondis immédiatement : « vous me dites donc que le groupe LV est en difficulté financière. Est-ce une information que l’on peut diffuser dans la presse, ma femme étant journaliste ? Je continuais pour apaiser ses craintes : chère Mademoiselle le prix en cristal de ce service à caviar dépendra surtout de la qualité que vous allez demander lors de sa fabrication. Si vous voulez zéro défaut, et que nous sommes obligés de jeter 90 % de la production, il faudra bien sûr, y mettre le prix. Par contre si vous acceptez quelques bouillons non visible du grand public ou quelques frisures qui peuvent être réparées ou éventuellement cachées par des accessoires que vous pourriez rajouter sur les parties concernées, le pourcentage de rejet descendra et le prix aussi. Alors, après cette discussion, qui avait atteint des sommets, nous nous sommes mis d’accord sur un prix de 1 500 euros par article, pas vraiment extraordinaire, surtout qu’elle a demandé sans aucun défaut, et pour nous, un mois pour réaliser les 4 000 pièces. Le mois suivant me promenant sur les Champs Elysées, non loin de la boutique Vuitton, je vis mon service à caviar en vitrine dans une valise logotypée au prix de 25 000 Euro l’unité. Ce jour-là, j’ai pensé : « quand une jeune fille arrive chez vous et vous dit je n’ai pas d’argent, il ne faudrait pas la croire. Mais, c’est ce qui fait toute la différence entre les gens de marketing et les industriels, le choc de deux mondes totalement aux antipodes. Je lui parlais industrie, elle me répondait gros mensonge. Une mégère non apprivoisée qui ne représente pas la majorité avec un encéphalogramme plat, mais c’est comme les poissons volants, cela existe mais ce n’est pas la majorité du genre. FM https://lnkd.in/ejEMEQzC