Il y a moins de 10.000 habitants d’écart entre Lyon et Toulouse, qui gagne 5000 habitants par an en moyenne depuis 2016. → https://l.lefigaro.fr/ox1
C'est le résultat mathématique du taux de natalité très élevé d'une population d'origine maghrébine dopée aux allocs. Bienvenue en enfer.
C’est d’ailleurs pour ça que je l’ai quitté…
La faute aux incompétents écolos de la mairie de Lyon ?
« Ô mon pais, ô Toulouse, ô Tou-lou-se ! »