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📢 Merci au bédéiste Jean-Paul Eid et à l’illustrateur Pascal Blanchet de décrire une IA qui ne crée pas, mais vole les idées des autres, comme un bandit dans le Far West du milieu artistique. « L’IA ne crée rien, elle pompe nos images, déplore l’illustrateur [Pascal Blanchet]. Cette machine se nourrit de notre travail sans rien nous donner en retour et en nous privant de contrats. Ça n’a pas d’allure. On ne pourra pas y échapper, mais il va falloir qu’il y ait de la réglementation et une rétribution du droit d’auteur auprès des illustrateurs et des artistes. » « L’IA est déjà très présente dans la ville, sur les affiches, un peu partout autour de nous… Les images qu’elle génère sont moches, vides et froides, sans l’affect humain pour les animer. Elles ont été générées par une machine, et ça paraît. Le dessin a ceci d’intéressant : c’est un geste physique, un travail du corps. » « Qu’est-ce que ça dit sur nous collectivement que, pour économiser de l’argent et gagner du temps, on accepte de ne plus s’exprimer en confiant ça à une machine ? Quand on ne crée pas, on ne réfléchit pas. Un savoir-faire va se perdre… » 📰 Article de Marie Hélène Poitras dans Le Devoir

𝗕𝗶𝗲𝗻𝘃𝗲𝗻𝘂𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗙𝗼𝗹𝗶𝗲𝘀 𝗕𝗲𝗿𝗴𝗲̀𝗿𝗲 Incontestablement, nous sommes à l'ère du loisir "immersif". La VR nous permet d'explorer des mondes comme si nous y étions, nous nous enfermons dans des salles d'escape game, des musées nous invitent à déambuler entre des œuvres projetées sur des murs et les salles de cinéma sont équipées pour nous plonger au cœur de l'action... Le but ? 𝗡𝗼𝘂𝘀 𝗼𝗳𝗳𝗿𝗶𝗿 𝘂𝗻𝗲 𝗲𝘅𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗺𝗲́𝗺𝗼𝗿𝗮𝗯𝗹𝗲. Mais cette quête d'immersion n'est pas l'apanage de notre ère technologique. Peint en 1880, trois ans avant la mort d'Edouard Manet, 𝘜𝘯 𝘉𝘢𝘳 𝘢𝘶𝘹 𝘍𝘰𝘭𝘪𝘦𝘴 𝘉𝘦𝘳𝘨𝘦̀𝘳𝘦 est souvent présenté comme son testament artistique. Nous sommes dans le temple de la fête parisienne à l'époque du french cancan, d'Offenbach et d'Aristide Bruant. Une serveuse nous fait face, appuyée sur le bar, tandis que le miroir derrière elle nous renvoie l'image de la foule des spectateurs devisant à la lueur des éclairages électriques. Mais quelque chose cloche... Regardez le bord inférieur du miroir: il est horizontal. Cela signifie que le plan du miroir est parallèle à celui du tableau. Logiquement, le reflet de la serveuse devrait être derrière elle, caché par son propre buste. Pourtant, Manet a choisi de le déporter sur la droite. Le peintre a bafoué ici la règle optique la plus élémentaire. Pourquoi? Parce qu'en déplaçant ainsi le reflet de la serveuse, il nous permet de voir l'homme qui s'adresse à elle. Or, dans l'espace réel, qui se tient devant la serveuse? Nous. Vous, moi, quiconque regarde le tableau. Ce dandy au gibus, c'est notre incarnation aux Folies Bergère. C'est en quelque sorte notre "avatar". Manet a réussi, par le truchement de ce personnage, à nous projeter dans la réalité (virtuelle) du Paris de la Belle Epoque. Sans Apple Vision Pro. Allons même plus loin... L'homme qui a posé ici pour Manet, c'est Louis Latouche, un ami peintre. La question se pose donc: en nous représentant sous les traits d'un artiste, Manet n'a-t-il pas voulu faire de nous des créateurs, tout comme lui? Non plus des spectateurs, ni même des acteurs, mais des co-auteurs de la scène? Quoi qu'il en soit, avec Manet c'est notre rapport à l'œuvre d'art qui change. La contemplation se fait immersion. Monde réel et univers fictif se télescopent. Et 𝗹𝗮 𝗿𝗲𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘂𝗻𝗶𝗹𝗮𝘁𝗲́𝗿𝗮𝗹𝗲 𝗱𝗲𝘃𝗶𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗶𝗮𝗹𝗼𝗴𝘂𝗲. Voilà ce que nous devons viser, dans nos métiers respectifs. Quel que soit notre secteur d'activité, la notion "d'expérience client" est fondamentale. Et elle sera positive 𝘀𝗶 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁𝗼𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗰𝗹𝗶𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝘂𝗷𝗲𝘁, 𝗽𝗹𝘂𝘁𝗼̂𝘁 𝗾𝘂'𝗲𝗻 𝗼𝗯𝗷𝗲𝘁. Il s'agit de l'inviter dans notre bulle, de le laisser interagir avec elle, de le considérer, de l'écouter, pour faire de lui le cocréateur de la valeur que nous prétendons apporter. Car si, comme l'a dit Marcel Duchamp, c'est le regardeur qui fait le tableau, c'est bien le client qui fait l'entreprise.

#Art #IAGénérative #automatique #HuggingFace #Nightshade Ne laissez jamais l’IA voler votre style : la solution est plus simple qu’il n’y paraît: Les artistes disposent d’outils pour protéger leurs œuvres contre l’exploitation par les modèles d’IA. Glaze, […] L’article Ne laissez jamais l’IA voler votre style : la solution est plus simple qu’il n’y paraît est apparu en premier sur https://lnkd.in/eRuJ_xeD .@ia

Pour porter un peu plus haut l’ambition esthétique de « L’héritage de Bentham », mon prochain court-métrage, qui mêlera prises de vues réelles, images de synthèse et traitements par intelligence artificielle, j’ai créé une campagne de financement sur KissKissBankBank que vous trouverez ci-dessous. https://lnkd.in/g_GC7pHS Le projet sera diffusé pour les éditions 2024-2025 de Chroniques, la Biennale des Imaginaires Numériques, et 2025-2026 de Némo, la Biennale internationale des arts numériques de la Région Île-de-France. Il bénéficie déjà de plusieurs financements mais j’aimerais cependant pouvoir encore affiner la qualité et la subtilité de certains aspects visuels et sonores du court-métrage et c’est la raison pour laquelle je me tourne vers vous via cette campagne participative. Il y a deux contreparties proposées : une première, accessible à peu de frais, vous permettra d'associer définitivement votre nom au film, en apparaissant dans les remerciements de son générique de fin ; une seconde vous permettra quant à elle de bénéficier du premier avantage mais aussi de recevoir en juin une image conceptuelle signée du court-métrage (au format 60 x 40 cm sur papier baryté, chaque image parmi les 20 proposées étant limitée à 5 exemplaires). Votre aide serait très appréciée ! Comptant sur votre soutien. Vous trouverez ci-dessous quelques informations supplémentaires concernant le projet : Synopsis « L’héritage de Bentham » montre sous différentes perspectives les conséquences imprévues à notre époque de la fondation au XVIIIe siècle de l’utilitarisme par Jeremy Bentham. Première tentative d’organiser institutionnellement les plaisirs, l’utilitarisme a abouti à des résultats paradoxaux : Bentham est plus connu pour l’invention du panoptique, une prison, que pour la portée émancipatrice de ses idées. Alors que les États-nations modernes se sont régulièrement appuyés sur l’utilitarisme pour concevoir leur législation, comment cette doctrine structure-t-elle aujourd’hui notre rapport aux plaisirs ? Dans cette même perspective, comment l’industrie numérique concilie-t-elle aujourd’hui ses idéaux hédonistes et de liberté avec l’isolation qu’implique paradoxalement l’usage de ses services ? Le court-métrage est divisé en trois segments interrogeant et mettant en scène ces évolutions, dans différents registres : historique ; surréaliste et horrifique ; satirique et grotesque. Un protocole de création unique L’héritage de Bentham s’appuie dans sa réalisation sur un protocole original mêlant prises de vues traditionnelles et techniques audiovisuelles de pointe (tournage dans un studio de production virtuelle, images de synthèse, IA). Le projet sera réalisé au studio principal de VPH, situé à Trappes en Île-de-France, qui dispose d’une expertise unique en France pour l’intégration in-camera d'éléments digitaux 3D. Vous remerciant par avance pour votre soutien !

Vous l’avez vue, mais l’avez vous regardée ? 🔍 Focus sur l’affiche #LesShiftersOnt10Ans, créée pour l’occasion par Jozi, illustratrice engagée. Sa vision artistique de l’association, ses missions, et ses valeurs qu’elle détaille ainsi 👇 “[...] D’un côté le jour, le Soleil, la campagne, de l’autre la nuit, la Lune, la ville : l’affiche possède deux sens de lecture et peut être positionnée selon le sens que l’on lui préfère. La référence aux éléments naturels participe à l’imaginaire sur la transition écologique et énergétique, portée par l’association. Une transition qui se fait en adéquation avec l’écosystème planétaire. Deux grands personnages se font face, souriant, heureux, aux visages et à la posture exprimant un sentiment de convivialité et de puissance. Par la position de leurs mains, ces deux personnages sont en contact, se transmettent des savoirs, des valeurs, qui rayonnent également vers l’extérieur. Il y a là l’aspect collectif, l’entraide, le groupe, la transmission. Au centre, une roue vient appeler à la continuité. Tant de l’association et de son travail, voué à continuer et à perdurer, que de l’aspect cyclique et résilient de la transition prônée par Les Shifters [...] Au centre, la roue crantée et l’ensemble de molécules rappelle l’exigence scientifique et technique, valeur cardinale de la mission des Shifters.” 📌 Bonne nouvelle : cette affiche sera disponible à l’UniverShifté les 22 et 23 juin. Camille (Cause.s Toujours !) sera présente avec son atelier mobile de sérigraphie pour que vous puissiez vous-même sérigraphier votre affiche, avec en prime 2 nouveaux coloris exclusifs ! UniverShifté 2024 à Lille : il reste des places ! Prenez la vôtre dès maintenant 👉 https://lnkd.in/eDAcXMMz #LesShiftersOnt10Ans #Univershifte #TheShifters

Grâce à cette image, vous allez apprendre un nouveau mot promis à grand avenir… 👇👇 👇 Le mot en question est « promptographie », soit une image d’apparence réaliste réalisée par IA.   Ce terme est utilisé par son auteur, Boris Eldgasen. Grâce à elle, il avait remporté un prix au Sony Awards 2023, qui réunit la crème du secteur de la photographie. Il le refusa en mettant en avant que cette image n’était justement pas une photographie.   Il employa donc le mot « promptographie » pour la désigner et pour marquer la différence fondamentale entre les deux notions. Comme la photographie a influencé la peinture depuis sa création, les images générées par IA influenceront la photographie. Mais ils n’en restent pas moins deux « arts » distincts.   Boris Eldgasen insiste beaucoup sur l’importance de la transparence. Il déplore que certains de ses collègues ou manifestations du secteur entretiennent un certain flou et ne mentionnent que très discrètement l’usage de l’IA.   Ce discours est évidemment salutaire. Mais s’il est besoin de prôner la transparence, c’est bien parce que l’ambiguïté est facilement présente.   Ceux qui ont intérêt à ce qu’elle perdure joueront difficilement le jeu. C’est pourquoi, les autres acteurs doivent absolument se montrer exemplaire en termes de transparence. Pas question de légitimer les tricheurs par nos propres négligences ou paresses.   Espérons que le secteur de la communication joue pleinement le jeu ! ☘️🐄🌽🚜 Ingénieur agronome enthousiaste, je partage ici mes réflexions sur la communication et le monde agricole. N'oubliez pas de me suivre pour échanger sur ces deux sujets. Cette double expertise est aussi au service de vos projets. N'hésitez pas à m'en dire plus sur vos besoins.

💣 La course effrénée vers l'IA : attention au syndrome de l'apprenti sorcier ! Retour sur ma participation à la journée EAT Photos, où j'ai présenté notre projet Hors Piste en collaboration avec fma.lebureau. Une journée riche en échanges qui m'a conforté dans une conviction : l'enthousiasme débordant pour l'IA dans notre industrie masque un danger fondamental. Certes, la méconnaissance et la méfiance actuelles peuvent être surmontées par la pédagogie. Mais le véritable péril réside dans la tentation d'industrialiser la création. Imaginons le scénario suivant. Les marques, séduites par l'efficacité apparente de l'IA, décident d'internaliser leur production créative. Première année : 90% des campagnes sont générées par IA, les photographes ne conservant que 10% des projets. Deuxième année : la production devient 100% IA. Les photographes et artistes, privés de commandes, quittent progressivement le marché. Mais que se passe-t-il la troisième année ? D'où viendra l'inspiration quand il n'y aura plus d'artistes pour repousser les frontières créatives ? Je pense notamment à cette campagne "The Cog" de Honda, directement inspirée de l'œuvre "Der Lauf der Dinge" (1988) du duo d'artistes Peter Fischli et David Weiss. Sans cette liberté d'expérimentation artistique initiale, sans cette capacité à explorer l'absurde et le non-sens, aurions-nous eu un jour ce film incroyable ? L'histoire nous l'a appris : la standardisation tue l'innovation. Le vinyl a resurgi des cendres de sa "mort" annoncée. Le travail à la chaîne a montré ses limites. L'esthétique IA d'aujourd'hui sera-t-elle encore pertinente demain sans le renouvellement constant qu'apportent les artistes ? Les data scientists, aussi brillants soient-ils, peuvent-ils remplacer l'œil de l'artiste ? Et quelle relève artistique pouvons-nous espérer si nous décourageons toute une génération de s'engager dans des carrières créatives ? L'avenir n'est pas dans le remplacement, mais dans l'équilibre. Préservons un écosystème où l'IA enrichit la création sans l'asphyxier. Car sans artistes pour repousser les limites du possible, même les IA les plus sophistiquées finiront par tourner en rond dans un jardin sans nouvelles fleurs. Dimitri Daniloff 🅔🅣🅗🅘Ⓒ🅐🅛 ⒶⒾ #DigitalTransformation #Photographie #IA #InnovationVisuelle #EthiqueIA #eatphotos Artiste de la semaine Zagale by Serial Cut

🎬 Une série réalisée avec l’IA crée la polémique chez ARTE ! 🤖 Arte lance le 16 décembre une série expérimentale, « Prompt », entièrement conçue à l’aide d’outils comme ChatGPT et MidJourney. Une initiative créative qui n’a pas plu à tout le monde : les syndicats d’auteurs dénoncent un manque de reconnaissance du travail humain derrière cette production. ✍️ Dans un tweet, Arte a mis en avant l’IA en oubliant de citer les scénaristes et réalisateurs. Résultat ? Une levée de boucliers des professionnels, rappelant l’importance de protéger les droits d’auteur face à l’essor des intelligences artificielles. ❓ Cette controverse soulève une vraie question : comment encadrer l’usage de l’IA dans la création artistique ? 👉 Suivez-moi pour des actus sur l'IA tous les jours ! #IntelligenceArtificielle #Créativité #DroitsdAuteur

Pour le public d'aujourd'hui, il est difficile de s'imaginer l'impact phénoménal qu'avait eu le film 𝐵𝑙𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒-𝑁𝑒𝑖𝑔𝑒 (1937) sur la culture occidentale. C'était la première fois qu'un dessin animé sortait dans les salles de cinéma sous forme d'un long-métrage. Cela vaut la peine de bien examiner l'affiche, parce qu'elle témoigne de ce contexte unique. L'émotion et l'effort que Walt Disney avait mis dans la réalisation de cette idée folle, car très largement en avance sur son temps, avait fini par payer. Il est remarquable que son coup d'essai fut d'emblée le coup de maître. Le dessin animé entrait ainsi dans le panthéon du septième art, et imposait d'emblée une nouvelle esthétique au dessin animé. Quand on est le premier, on devient le point de référence et de comparaison pour tous les autres qui vont suivre. Ce film d'avant-garde se faisait le porteur d'un rêve de la société américaine, fait certes de dures réalités (le pays venait de sortir d'une crise économique brutale), d'une éthique du travail, mais aussi d'une franche espérance en l'avenir. Malheureusement, la Seconde guerre mondiale est passée par là, et une grande partie des rêves de la civilisation américaine se sont évanouis avec elle; notamment son extraordinaire paysage esthétique qui s'étalait dans les mille et une manifestations de l'Art déco. Ce qu'on appelle le "rêve américain" des années 1950 est un phénomène puissant, mais très différent de la période précédente. Il avait perdu une grande partie de sa fraîcheur sur les champs de bataille, et surtout de sa richesse et sa diversité culturelles. Après une résurrection au cours des années 1970, il s'est épuisé à la fin des années 1980. Ensuite, la moyenne de la production hollywoodienne est devenue extrêmement conservatrice et très hostile à toute prise de risque, sur le plan esthétique et des idées. L'arrivée de la technologie numérique dans les années 1990 est un facteur extérieur, qui a certes profondément modifié la façon de produire des films. Mais malheureusement les Studios Disney ont finalement raté leur virage, car leur esprit bureaucratique leur a fait refuser les nouvelles voies artistiques qui s'ouvraient. Se retranchant dans des codes rigides et un conservatisme étouffant (cristallisés dans une bigoterie dépassée et un prosélytisme irritant) ils ont concentré leur production sur la poursuite de "franchises" au détriment de nouvelles expériences. Ils ne semblent plus faire que des copies de copies, de copies, dont la qualité ne cesse de se dégrader par rapport à l'original. Cet archi-conformisme terne des productions cinématographiques, avec leur regard constamment braqué dans le rétroviseur, a causé le déclin de Disney. Bientôt 90 ans plus tard, le souffle créateur de l'artiste et entrepreneur Walt Disney dans 𝐵𝑙𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒-𝑁𝑒𝑖𝑔𝑒 reste une inspiration pour tous les grands artistes qui veulent oser la folie. (Source de l'image: IMDB)

🎥 Transformez votre espace en quelques secondes ! 🧹✨ Avez-vous déjà rêvé de pouvoir nettoyer une pièce en quelques clics ? Regardez comment notre outil d’IA élimine l’encombrement de la chambre d’un enfant en temps réel. 🛏️🪄 Dites adieu aux objets indésirables et bonjour à un espace parfait sans effort. Que vous éditiez des photos ou que vous souhaitiez simplement désencombrer numériquement, cet outil change la donne ! 👀 Découvrez la magie dans notre dernière vidéo et voyez à quel point il est facile de faire disparaître le désordre. 🔗 https://lnkd.in/eP6X_iBR # Technologiedel’IA # Suppressiond’objets # Nettoyagenumérique # Retouchephoto # Magietechnologique # PropertyBoxFrance #PropertyBox