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La Bretagne première région sportive, les 15 sports les plus pratiqués en club Une étude de l'Insee dévoile le palmarès des 15 sports les plus pratiqués dans des clubs en Bretagne, la première région sportive de France. La Bretagne, première région sportive. C’est ce que révèle une étude de l’Insee (Institut National de la statistique et des études économiques) publiée ce mardi 16 avril 2024. En 2022, la Bretagne comptait 6 300 clubs de sport et recense 609 000 licences sportives. La région se place donc en première position de France, par rapport à sa population. Les Bretons montent sur la plus haute marche du podium devant les habitants de La Nouvelle-Aquitaine et les Pays de la Loire. https://lnkd.in/eXSTfceN

La Bretagne première région sportive, les 15 sports les plus pratiqués en club Une étude de l'Insee dévoile le palmarès des 15 sports les plus pratiqués dans des clubs en Bretagne, la première région sportive de France. La Bretagne, première région sportive. C’est ce que révèle une étude de l’Insee (Institut National de la statistique et des études économiques) publiée ce mardi 16 avril 2024. En 2022, la Bretagne comptait 6 300 clubs de sport et recense 609 000 licences sportives. La région se place donc en première position de France, par rapport à sa population. Les Bretons montent sur la plus haute marche du podium devant les habitants de La Nouvelle-Aquitaine et les Pays de la Loire. https://lnkd.in/eXSTfceN

𝐒𝐨𝐮𝐭𝐞𝐧𝐞𝐳 𝐥𝐚 𝐜𝐫𝐨𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐯𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐜𝐥𝐮𝐛 𝐥𝐨𝐜𝐚𝐥 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐒𝐨𝐮𝐭𝐢𝐞𝐧𝐬 𝐓𝐨𝐧 𝐂𝐥𝐮𝐛 Depuis la fin des Jeux Olympiques de Paris 2024, les clubs sportifs ont constaté une nette augmentation de la demande et du nombre de licenciés, un résultat attendu après un tel événement et les performances des athlètes tricolores selon l’INJEP et l’INSEE 🇫🇷 📈 L’effervescence des Jeux a provoqué un engouement considérable dans certains sports comme la natation, dont Léon Marchand a été la figure. En effet le nombre de licenciés aux clubs de natation à enregistré une augmentation de 9% par rapport à la rentrée de 2023 (contre 4.5% pour les JO de Londres durant lesquels la France avait remportés 7 médailles en 2012) 🥳 🚀 C’est également le cas pour de nombreux autres sports comme le Triathlon qui affiche le plus gros accroissement du nombre des ses licenciés, soit +32%, passant de 22.000 à 33.000 inscrits. 😳 Pour répondre à ces besoins, la Fondation du Sport Français a mis en place le dispositif #SoutiensTonClub, offrant un soutien financier pour le développement et la pérennité des clubs. Tous les clubs peuvent s’inscrire, présenter leurs projets nécessitant un soutien financier, et bénéficier de dons de particuliers ou d’entreprises via le mécénat. 💚 Pour soutenir un club amateur près de chez vous, un projet qui vous touche particulièrement, ou même le sport amateur en général, rendez-vous sur la plateforme Soutiens Ton Club : https://lnkd.in/ev2n62Ua 💪 #clubssportifs #association #clubs #mécénat Charlotte Feraille Thierry Braillard Gil Avérous Robin GAILLOT-DREVON Victor Mutte Delphine Almeida Alia Sifer Dylan Da Costa Guillaume Le Bohellec Adrien VAUDIER Grégoire MICHEL Pauline Paganon Ilona Raza Thibault Cirier Gregory Faivre Manon Damion Fédération Française de Triathlon FFTT - Fédération Française de Tennis de Table Fédération Française de Natation FFA - Fédération Française d'Athlétisme

Les #JO approchent à grands pas et quelques éléments très éclairants (Merci l'Insee - Région Pays de la Loire - Arnaud Degorre) sur le #sport #féminin en #paysdelaloire : 🏃♀️ Les ligériennes sont plus sportives que la moyenne des françaises (78% pratiquent une activité régulière contre 75%), toujours en retrait des ligériens (-6 pts, mais l'écart se réduit). 📰 Sur un million de licences sportives en 2022, 39% sont féminines (214 licences pour 1 000 habitantes). Le top 3 des sports pratiqués en 2022 ❓ 🐴 ↔ 33 700 licences, +2% de croissance annuelle entre 2016 et 2022. 🏀 ↔ 26 400 licences, -2% de croissance annuelle entre 2016 et 2022. ⚽ ↔ 16 200 licences, +11% de croissance annuelle entre 2016 et 2022. De belles progressions à noter pour la natation, la voile, le volley-ball et le golf. La santé, le bien être et l'entretien physique sont les principales motivations avancées. L'étude détaillée par ici 👇

[#handisport #Bretagne] Soyons taquins: "Les Bretons enchaînent les podiums, avec des médailles de toutes les couleurs. Au matin de ce dimanche 1er septembre, la Bretagne compte six médailles : 2 or, 1 argent, 3 bronze. Si on la dissociait de la France, la région serait devant au tableau des médailles (12 podiums pour le reste de la France, mais seulement un en or). Alors, pourquoi les Bretons raflent-ils tout sur leur passage ? Comme souvent, la réponse est assez simple : « On arrive à repérer et accompagner correctement nos athlètes, souligne Stéphane Génevée, ancien président du Comité handisport de Bretagne. On a des journées découvertes et des sélections de jeunes à potentiel, pour aller aux Jeux nationaux de l’Avenir handisport. Les comités départementaux repèrent et suivent les athlètes, on a aussi le comité régional qui fournit une aide quand ils commencent à atteindre le haut niveau. » « Après, je ne sais pas si on est meilleurs que les autres régions, mais c’est vrai que chez nous, il y a du potentiel », plaisante-t-il. Parmi les disciplines, le para-cyclisme porte surtout la Bretagne (4 médailles sur 6, dont les 2 en or). Logique, pour une terre de vélo, et pour un sport qui bénéficie depuis plusieurs années d’un plus fort investissement de la part de la Fédération française handisport. Mais ce n’est pas tout. En athlétisme et en tennis de table, par exemple, les médailles arrivent aussi. Le résultat de clubs accessibles aux sportifs en situation de handicap, surtout situés sur le littoral breton. « On manque de clubs handisports dans le Centre-Bretagne », avoue Stéphane Génevée. Une ombre au tableau, tout de même, des déficiences dans certaines disciplines. « On est présents dans toutes les disciplines, mais on ne performe pas partout. En escrime fauteuil, par exemple, il n’y a pas de ligue handisport. » Cela ne devrait en rien empêcher la suite de la moisson bretonne aux Jeux. Même si la France devrait corriger l’anomalie et repasser devant la Bretagne ce dimanche. Elle a assuré une médaille d’or avec la finale à venir de deux Tricolores, Marie Patouillet et Heïdi Gaugain, sur la poursuite C5, en para-cyclisme toujours. Mais si Heïdi Gaugain s’impose, on pourrait parler de médaille mi-bretonne. Après tout, sa terre d’origine, la Mayenne, n’est-elle pas parfois malicieusement qualifiée de « marches de la Bretagne » ?"

🌟 **Le Sport Collectif en France à l'Honneur avec 5 Médailles : Une Réflexion à la Clôture des JO 2024! Modèle à suivre pour le Maroc?🌟🇲🇦🇫🇷 À l'occasion de la clôture des JO de Paris 2024, l'article de Libération nous rappelle l'importance du sport collectif dans le paysage sportif français, et nous invite à réfléchir à l'impact similaire du sport collectif au Maroc. 🏆 **Le Sport Collectif en France : Plus Qu’un Jeu** Le sport collectif français est un pilier fondamental du développement sportif et social. Derrière chaque succès, il y a des clubs, des bénévoles et des passionnés qui travaillent sans relâche pour former des athlètes et encourager la participation. Ce réseau est essentiel pour le développement des talents et pour renforcer les liens sociaux au sein de nos communautés. 🔍 **Pourquoi est-ce crucial ?** - **Soutien à la Base** : Les clubs locaux et les associations marocains investissent dans le développement des jeunes talents. - **Impact Communautaire** : Ils renforcent les liens sociaux et offrent des opportunités tout en promouvant des valeurs de coopération et de respect. - **Visibilité et Reconnaissance** : Nous devons valoriser le travail des structures locales qui soutiennent les équipes nationales et les athlètes. 💪 **Encourageons le sport collectif au Maroc !** 🇲🇦 - **Valorisons les Clubs Locaux** : Soutenons les initiatives locales qui sont la force du sport collectif marocain. - **Encourageons les Partenariats** : Collaborons pour renforcer les ressources et les opportunités pour les athlètes et les bénévoles marocains. - **Célébrons les Succès** : Reconnaissons et remercions les héros méconnus derrière chaque victoire. L'esprit olympique et l'engagement sportif se manifestent aussi dans nos clubs et associations locales. Soutenons le sport collectif au Maroc et faisons briller la passion à tous les niveaux. 🔗 https://lnkd.in/eYMj66TU #SportCollectif #SportAssociatif #Maroc #EngagementCommunautaire #SoutienLocal #Célébration

Les Jeux Olympiques de Paris 2024 font face à une nouvelle polémique. Alors que la qualité de l’eau de la Seine est remise en question, l’épreuve de triathlon mixte est maintenue ce lundi matin. Une décision qui ne fait pas l’unanimité, surtout après qu’une triathlète belge se soit déclarée malade suite à la compétition individuelle de mercredi dernier. Face aux inquiétudes grandissantes, les organisateurs tentent de rassurer. Mais le doute s’installe. La Seine, au cœur des controverses Depuis plusieurs mois, la salubrité du fleuve parisien est pointée du doigt. Malgré les investissements massifs pour rendre la Seine et la Marne baignables, les analyses révèlent encore des niveaux préoccupants de bactéries fécales, notamment d’Escherichia coli. Des entraînements ont dû être annulés et les épreuves reportées, faisant naître un climat d’incertitude chez les athlètes et les délégations. Si la priorité était la santé des athlètes, alors cette course aurait été transférée depuis longtemps sur un autre site. Nous ne sommes que des marionnettes. – Marten van Riel, triathlète belge Un “héritage fabuleux” remis en question Le président Emmanuel Macron avait salué la tenue des épreuves dans la Seine comme un “héritage fabuleux” pour les habitants et la biodiversité. Mais cet enthousiasme est aujourd’hui tempéré par les révélations sur la santé des triathlètes. Le comité olympique belge a ainsi annoncé qu’une de ses athlètes était tombée malade après avoir participé à l’épreuve individuelle mercredi dernier. Une situation embarrassante pour les organisateurs qui avaient pourtant multiplié les opérations de communication, n’hésitant pas à se baigner eux-mêmes dans le fleuve devant les caméras quelques jours avant l’ouverture des Jeux. Aujourd’hui, c’est leur crédibilité qui est en jeu. Des analyses de dernière minute Face à la pression, World Triathlon et le comité d’organisation ont finalement annoncé dimanche soir que la compétition de relais mixte était maintenue, se basant sur les dernières analyses de l’eau. Les derniers résultats des analyses confirment que la qualité de l’eau de la Seine sur le site du triathlon s’est améliorée au cours des dernières heures, et les analyses prospectives indiquent que la qualité de l’eau se situera dans les limites acceptables par World Triathlon. – Communiqué de World Triathlon et Paris 2024 Mais ces annonces de dernière minute peinent à convaincre certaines délégations qui pointent un manque de transparence et d’anticipation. Le comité olympique belge regrette ainsi que les “leçons ne soient pas tirées pour les prochaines compétitions de triathlon aux Jeux olympiques”. Un test grandeur nature pour Paris 2024 Au-delà des polémiques, cette épreuve de triathlon mixte fait figure de test grandeur nature pour les organisateurs des JO de Paris. La gestion de cet événement sera scrutée de près, alors que d’autres compétitions doivent se tenir dans la Seine, comme les épreuves de natation en...

Pour améliorer le niveau de nos athlètes et les préparer aux plus grands événements sportifs mondiaux, je propose une série de mesures structurantes qui permettront de transformer durablement notre paysage sportif. Tout d'abord, il est essentiel de mettre en place un véritable centre national d'Athlétisme car un centre existant depuis plusieurs années sans voir ses athlètes médaillés n’en est pas un. Ce nouveau centre, doté d'infrastructures modernes et répondant aux normes internationales, servirait de pôle d'excellence pour la formation et la préparation de nos athlètes dans toutes les disciplines de l'athlétisme. En complément, un Centre d'Entraînement national multidisciplinaire doit être créé pour couvrir l'ensemble des disciplines olympiques. Ce centre serait équipé des technologies les plus avancées pour assurer un suivi médical, physique et technique optimal pour les sportifs de haut niveau. Ensuite, il est impératif de doter tous les départements du pays d'infrastructures sportives conformes aux standards internationaux. Cela garantira un accès équitable à des installations de qualité, permettant ainsi de découvrir et de former des talents partout sur le territoire national. Pour renforcer la compétitivité de nos athlètes, il est, également, crucial que toutes les fédérations sportives organisent régulièrement leurs championnats nationaux. Ces compétitions doivent être bien structurées et attractives, afin de maintenir un niveau de compétitivité élevé parmi les sportifs. De plus, il est essentiel d'assurer la participation des athlètes aux compétitions internationales. Cela leur permettra de se mesurer aux meilleurs, d'acquérir de l'expérience et de se préparer mentalement et physiquement aux grandes échéances. Nous devons veiller à ce que les sportifs sénégalais soient dans les meilleures conditions physiques et sociales. Cela passe par un accompagnement médical de qualité, un suivi psychologique ainsi que des conditions de vie et d'entraînement favorables. Enfin, il est primordial, pour l’Etat, de travailler étroitement avec les fédérations pour une bonne organisation des clubs. Une gestion efficace des clubs sportifs est la clé pour garantir une progression continue des athlètes, depuis les niveaux amateurs jusqu'à l'élite nationale. En travaillant main dans la main avec les fédérations, nous pouvons créer un environnement où chaque talent est identifié, soutenu et développé de manière optimale. Il est impératif, pour réussir dans nos campagnes futures, que nous fixions très tôt des objectifs clairs et ambitieux. Ces objectifs doivent être bien définis afin de nous guider dans toutes nos actions et de nous permettre de mesurer nos progrès. Encore une fois, j’adresse mes vives félicitations aux athlètes leur engagement, leur résilience et pour avoir honoré notre pays par leur participation aux Jeux Olympiques de 2024. Merci et bravo à vous tous.

Chaque année, on refuse 10 nouveaux licenciés.   Hier, lors du trophée des sports de la ville de Vandoeuvre, 3 sportifs du club ont été récompensés. Jade pour son titre de championne Grand Est Région Grand Est sur piste ainsi que Solène et moi même pour notre investissement en tant que bénévoles encadrants.   C’est une réalité à laquelle nous sommes confrontés au Roller Skating Vandoeuvre 54 , ici en Meurthe-et-Moselle. En tant que passionné de roller et membre actif du club depuis presque 20 ans, j’ai vu notre club grandir de façon spectaculaire ces dernières années. Avec plus d’une centaine de licenciés, le club rassemble des personnes de tous âges, de 7 à 77 ans, qu’il s’agisse de débutants ou de compétiteurs. Mais voilà, nous faisons face à un problème de taille : le manque d’infrastructures.   C’est une situation frustrante : devoir dire Non à ceux qui veulent nous rejoindre, non pas par manque d’envie ou de motivation, mais simplement parce que nous n’avons pas la place suffisante.   Nous avons essayé de trouver des solutions. L'utilisation des cours d'écoles, l'utilisation des zones industrielles ou le long des voies vertes. Malheureusement, ces lieux ne permettent pas de mettre en sécurité les patineurs et les compétiteurs. La solution idéale est une piste de 200 m par 7 m de large. Mais dans le contexte actuel, ces démarches s’avèrent presque impossibles. Nous savons que d’autres clubs de la FFRS - Fédération Française de Roller et Skateboard sont confrontés à des situations similaires, mais chez nous, l’engouement pour le roller est tel que nous devons vraiment agir rapidement.   Un héritage à saisir après les Jeux Olympiques de Paris 2024   Avec les Jeux Olympiques de Paris 2024, une nouvelle dynamique s’installe autour des sports, y compris ceux dits « émergents » comme le roller. Ce n’est pas seulement une opportunité sportive, c’est aussi un héritage culturel que nous devons saisir au niveau local. Nous voulons faire partie de cette vague d’enthousiasme, développer le roller comme un sport accessible et populaire au niveau local, mais sans infrastructure adéquate, cet élan risque d’être freiné.   Aujourd’hui, plus que jamais, il nous faut l’aide de partenaires et de soutiens pour que cet héritage ne se limite pas à quelques grands événements médiatiques. Le Roller Skating Vandoeuvre 54, acteur majeur du roller dans la région, peut et doit profiter de cet élan pour continuer de grandir et permettre à chaque passionné de rejoindre notre communauté.   Si des entreprises locales ou régionales, sensibles à cette ambition, souhaitent s’associer à nous pour développer de nouvelles infrastructures, soutenir la formation de jeunes talents, ou simplement contribuer à faire vivre cet héritage au quotidien, nous serions ravis de collaborer.   Le roller a un avenir ici, à Vandoeuvre, et nous avons besoin de vous pour l’écrire. Si vous souhaitez nous soutenir ou échanger sur des idées de partenariat, n’hésitez pas à me contacter.

⚽1ère fédération sportive en nombre de licences annuelles au niveau national, la FF de Football (FFF) ressort en tête dans 2 communes sur 3 en 2021. Cette domination de la FFF est particulièrement présente dans certains DROM (Martinique, Guadeloupe, La Réunion) et dans l’ouest (Bretagne et Pays de la Loire) avec des premières places dans 9 communes sur 10. En revanche, cette position apparaît moins dominante en Ile-de-France et dans les régions du bassin méditerranéen (Occitanie, PACA, Corse). 🏇2ème fédération en nombre de premières places locales, l’équitation se distingue notamment en Ile de France et en Normandie (en tête dans 1 à 2 communes sur 10) mais avec une importance locale sur une grande partie du territoire métropolitain. 🎾L’importance de la FF de Tennis apparaît principalement dans des communes d’Ile de France et en région PACA (en tête dans 2 communes sur 10) avec des bastions comme Paris, les Hauts de Seine (7 communes sur 10), ou les Bouches-du-Rhône (1 commune sur 2). 🏉La FF de Rugby ressort principalement en Occitanie et en Nouvelle-Aquitaine (en tête dans 1 commune sur 10) avec certains départements forts comme les Hautes-Pyrénées et le Gers (3 communes sur 10). 🎿 Le ski se démarque principalement dans 3 départements alpins (Hautes-Alpes, Savoie, Haute-Savoie) où il domine dans 2 à 3 communes sur 10. Le basket ressort surtout dans les Landes (en tête dans 3 communes sur 10), le Handball dans la Meuse (en tête dans 1 commune sur 10), tandis que les positions fortes du Judo restent marginales aux niveaux départementaux. Voici les principales fédérations non représentées sur la carte (autres fédérations): ▪9ème : FF de Pétanque (363 communes) ▪10ème : FF de Tir (326) ▪11ème : FF de Golf (315) ▪12ème : FF de Voile (274) ▪13ème : FF de Randonnée pédestre (249) ▪14ème : FF de Natation (166) ▪15ème : FF d'Athlétisme (120) ▪16ème : FF de Gymnastique (112) Parmi ces autres fédérations sur la carte on retrouve quelques spécificités locales: ▪Le Tir en Corse (en tête dans 3 communes sur 10) et particulièrement en Corse du Sud (4 communes sur 10). ▪La pétanque notamment dans le Tarn et le Tarn-et-Garonne (en tête dans 1 commune sur 10) ▪La FF de Bowling et Sports de Quilles à travers la Quille de 8 dans le nord de l’Aveyron (en tête dans plus d’1 commune sur 10)  ▪La Voile le long des côtes avec des places fortes dans le Var et le Morbihan (en tête dans 1 commune sur 10) ▪La Pelote Basque dans les Pyrénées Atlantique (en tête dans 1 commune sur 10). 👉Champ : Fédérations sportives agréées hors fédérations scolaires. 👉Source : Recensement des licences, INJEP-MEDES. https://lnkd.in/g2c7ywBe 👉Note : L’année 2021 fait référence à la saison 2020/2021 ou 2021 selon l’organisation des fédérations.