Le premier semestre 2024 a vu une baisse de 19% des recettes du box-office national par rapport à la même période en 2023, avec des films majeurs comme Argylle, The fall guy, et Furiosa : a Mad Max saga qui ont échoué malgré leur potentiel. Il est intéressant de noter que certains de ces films se sont mieux comportés une fois sortis pour être visionnés à la maison. Est-ce finalement la fin tant annoncée du cinéma en salles? https://lnkd.in/eFACgeui
Post de Le Petit Septième
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" Observons toutefois que ces investissements se concentrent sur quelques grosses productions, et qu’elles ne sont pas toujours fameuses. Le devis moyen d’un #film produit par une #plateforme est de 8,7 millions d’euros, contre 4,5 millions pour l’ensemble des films français, ce qui n’empêche pas les GTMax (Olivier Schneider, Netflix), Libre (Mélanie Laurent, #PrimeVideo) et autres Loups-Garous (François Uzan, Netflix) de susciter la déception. Et pour revenir aux #séries, la meilleure production française reste Hippocrate, dont la troisième saison est à découvrir sur #Canal+. Il faut dire que les éditeurs linéaires (Canal, France Télévisions, TF1…) sont de loin les plus gros contributeurs à la #créationfrançaise, avec 1,2 milliard d’euros de financements sur la seule année 2022." CANAL+ Group Groupe TF1 France Télévisions Prime Video & Amazon MGM Studios
Quotas respectés, qualité mitigée : premier bilan pour l’investissement de Netflix, Prime et Disney+ en France
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Combien a rapporté « Kaizen » le documentaire sur l’ascension de l’Everest par le youtubeur Inoxtag? Extrait de l’article Surf finance: 🎬« Les revenus issus des salles de cinéma Avec 360 000 billets de cinéma vendus, le documentaire a généré environ 5 millions d’euros de recettes. Tous ces gains ne lui reviennent pas directement. En effet, environ 60 % de ce montant est réparti entre les cinémas et les taxes, laissant à Inoxtag 40 % du total, soit 2 millions d’euros. 💻Les revenus issus de Youtube Le succès du documentaire ne s’est pas arrêté aux salles de cinéma. Publiée sur YouTube, la vidéo a déjà accumulé 31 millions de vues. Avec un tarif moyen de 10 € pour 1 000 vues, cela représente un revenu estimé à 310 000 €. Bien que cette somme soit plus modeste par rapport aux ventes de places de cinéma, elle reste un complément non négligeable qui montre la popularité continue du documentaire sur les plateformes digitales. Chaque visionnage contribue à renforcer l’impact financier de ce projet. 📌Les revenus issus des sponsors Inoxtag a également pu compter sur le soutien de sponsors prestigieux pour financer son projet. Avec neuf sponsors au total, dont trois principaux comme Nike, Deer et Aup, les partenariats ont rapporté entre 50 000 et 150 000 € chacun. En moyenne, cela représente environ 750 000 € de revenus supplémentaires. Ces collaborations ont permis non seulement de couvrir une partie des coûts de production, mais aussi d’assurer une visibilité accrue au documentaire. 📌La vente des droits de diffusion à TF1 Le succès du documentaire ne s’est pas arrêté sur YouTube ou dans les salles de cinéma. TF1 a racheté les droits de diffusion pour le diffuser prochainement sur son antenne. Cette transaction représente non seulement une belle reconnaissance médiatique pour Inoxtag, mais aussi un revenu supplémentaire significatif. Bien que le montant exact n’ait pas été communiqué, cette vente pourrait porter les gains totaux à près de 4 millions d’euros. La diffusion sur TF1 permettra également d’atteindre un public encore plus large, augmentant ainsi la notoriété de l’influenceur et de son projet. Les gains nets (ou bénéfices totaux) En déduisant ces coûts des revenus totaux, le bénéfice net pour Inoxtag et son équipe s’élève à environ 2 millions d’euros, un résultat impressionnant pour un premier documentaire. » Article complet: https://lnkd.in/eiru-qgx Crédit visuel: Hitek https://lnkd.in/eaJN54xD ————————————————————- Si vous ne me connaissez pas enchanté! Je suis scénariste et réalisateur de séries et films. Ma prochaine série « Deadline » (6x26min) sortira prochainement sur Ciné+/OCS Bande démo réal : https://lnkd.in/eKf22ray Mot de passe : mdp
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Question: Combien de séries télé originales ont été diffusées aux États-Unis en 2023, toutes plateformes et tous réseaux confondus ? 📺📺📺📺📺📺📺📺📺📺📺📺📺 Réponse: Au total, 516 séries télé ont été écrites et diffusées aux États-Unis l’an dernier, selon un rapport de la chaîne FX cité par Variety. Plus de 500 séries américaines — sans compter les nombreuses émissions québécoises et étrangères aussi offertes —, ça reste énormément de télé. Que regarder ? Laissez L’actualité vous proposer ses coups de cœur, pour vous aider à mieux choisir comment occuper votre temps libre. Inscrivez-vous à la nouvelle infolettre Temps libre:
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🆕 🕰️ Une nouvelle année est là, et on tourne la page de 2024. Pour ceux et celles qui auraient envie de commencer l’année en se rappelant des succès qui ont fait l’année 2024 au cinéma, voici mon article. C’est dans Les Echos aujourd’hui : 🎥 Avec « Un P’tit truc en plus » et « Le comte de Monte-Cristo », deux films français ont été les plus vus en 2024, ce n’était pas arrivé depuis 2011 ! 🎥 Plus de 181 millions d’entrées dans les cinémas en français, deuxième année consécutive de hausse - une rareté surtout dans un marché qui a été impacté par les grèves à Hollywood. 🎥 Avec « Vaiana 2 » (toujours en salle) mais aussi beaucoup d’autres titres, l’animation a aussi été à l’honneur. Et dans l’article vous retrouverez aussi les nombreuses surprises et paris réussis qui ont jalonné l’année du cinéma. 🎬 avec les meilleurs vœux pour 2025, certains de ces films sont encore en salle au cas où vous voudriez commencer l’année par une sortie cinéma 🎬 ➡️ l’article est dans le premier commentaire #media #cinema #economy #culture
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🎬 Le cinéma est en train de mourir… et Netflix accélère l’enterrement. À la sortie du Covid, j’avais déjà écrit un texte sur l’avenir incertain du cinéma. Mon constat était simple : si le cinéma ne se réinvente pas, les plateformes de streaming vont le tuer. Aujourd’hui, Netflix semble plus déterminé que jamais à l’enterrer… L'exemple de À Couteaux Tirés 2 avec Daniel Craig en est la preuve : Netflix a sorti le film en salle une semaine, puis l’a retiré pour forcer les spectateurs à le regarder en ligne. Pourtant, ce film aurait pu faire des millions d'entrées en salle et rapporter bien plus au box-office. Ce choix stratégique est clair : Netflix privilégie son écosystème à court terme, quitte à tuer l’expérience cinéma. 🎥 Alors, que doit faire le cinéma pour survivre ? L’industrie du cinéma doit se poser une question cruciale : sur quelles forces doit-elle tabler pour se différencier ? La réponse est simple, mais pas facile : capitaliser sur l’expérience unique qu’aucune plateforme ne pourra jamais offrir. 𝗖𝗿𝗲́𝗲𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗼𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗺𝗲́𝗺𝗼𝗿𝗮𝗯𝗹𝗲𝘀 : Aller au cinéma, c’est partager un moment de convivialité avec ses amis, sa famille et des inconnus, s’immerger dans une salle obscure, et ressentir les émotions d’un film en grand format. 𝗥𝗲́𝗶𝗻𝘃𝗲𝘀𝘁𝗶𝗿 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗾𝘂𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗹’𝗲𝘅𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝘂𝘁𝗶𝗹𝗶𝘀𝗮𝘁𝗲𝘂𝗿 : Il ne s’agit plus seulement de projeter des films, mais de faire du cinéma un événement en soi. Qu’il s’agisse de la qualité sonore, du confort des sièges, ou même de l’accueil, tout doit concourir à rendre chaque visite mémorable. Redonner au cinéma son statut de "lieu de culte" des grands films : Aujourd’hui, très peu de films deviennent "cultes" comme dans les années 90, et c’est peut-être parce que la magie de l'expérience en salle s’estompe. 📢 Le cinéma ne peut pas se battre sur le terrain de la commodité, il doit se battre sur le terrain de l’expérience. L’avenir du cinéma dépend de sa capacité à se réinventer pour rester pertinent. 💬 Et vous, quelle a été la dernière fois où vous avez ressenti la "magie" du cinéma ? Mon ancien article : https://lnkd.in/e9YY_EcN - 🌐 Vous avez aimé ce post ? Suivez-moi pour recevoir régulièrement des contenus sur la culture, le recrutement et le marketing . J'y partage des astuces concrètes et des réflexions pour faire évoluer notre secteur. #Networking #Apprentissage #Echange
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🎬 « 𝑰𝒍 𝒏’𝒚 𝒂 𝒑𝒂𝒔 𝒅𝒆 𝒎𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆́ 𝒒𝒖𝒊 𝒅𝒊𝒔𝒑𝒂𝒓𝒂𝒊̂𝒕 » - Patrick Belz Découvrez l’interview de Patrick Belz, président d’ARCADÈS dans la LA NOUVELLE REPUBLIQUE DU CENTRE OUEST. L’occasion de partager sa vision sur l’avenir de la vidéo physique en France, un marché qui a encore de belles années devant lui 👍 📺 « 𝑸𝒖𝒂𝒏𝒅 𝒍𝒂 𝒕𝒆́𝒍𝒆́ 𝒆𝒔𝒕 𝒂𝒑𝒑𝒂𝒓𝒖𝒆, 𝒐𝒏 𝒂 𝒅𝒊𝒕 𝒒𝒖𝒆 𝒄’𝒆́𝒕𝒂𝒊𝒕 𝒍𝒂 𝒎𝒐𝒓𝒕 𝒅𝒖 𝒄𝒊𝒏𝒆́𝒎𝒂 » et c’est vrai que les commentateurs du marché de la vidéo physique ont souvent tendance à opposer les usages, mais dans les faits, il y a une réelle « 𝒄𝒐𝒎𝒑𝒍𝒆́𝒎𝒆𝒏𝒕𝒂𝒓𝒊𝒕𝒆́ 𝒅𝒆𝒔 𝒔𝒖𝒑𝒑𝒐𝒓𝒕𝒔 𝒑𝒉𝒚𝒔𝒊𝒒𝒖𝒆𝒔 𝒂𝒗𝒆𝒄 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒍𝒂𝒕𝒆𝒇𝒐𝒓𝒎𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒔𝒕𝒓𝒆𝒂𝒎𝒊𝒏𝒈 ». 📀 L’offre physique en #DVD, #Blu-ray et #4KUltraHD attire une cible de collectionneurs et de passionnés, qui recherchent des éditions de qualité pour des films iconiques ou rares, « Un film qu’on a adoré, on peut avoir envie de l’acheter » ➡️ Retrouvez l’intégralité de cette interview au lien suivant :
Dans l’Indre, ils continuent de faire vivre les films en DVD et Blu-ray : « On peut avoir envie d’acheter un film qu’on a adoré »
lanouvellerepublique.fr
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👉 La fréquentation des salles de cinéma en forte hausse au mois de novembre 🏆 Le mois de novembre 2024 connaît une hausse de 16,6% par rapport à novembre 2023, pour atteindre 17,69 millions d’entrées, selon les statistiques du CNC. 🇫🇷🥇 C’est le succès de nos productions nationales, sans équivalent en Europe avec 46% de parts de marché, qui permet à la fréquentation 2024 de retrouver les chiffres de l’an passé malgré la faiblesse des films américains. Et l’excellent résultat de ce mois de novembre le confirme encore : c’est un film français qui occupe la première place du classement, « L’Amour ouf », d’ailleurs financé à la fois par des chaînes historiques et par une plateforme, ce qui démontre au passage notre capacité à acculturer à notre système d’exception culturelle les grands diffuseurs mondiaux. 👉 Lire le communiqué de presse : https://lnkd.in/eT9zFefe
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Arcom publie les chiffres clés de la programmation TV 2023 des chaînes nationales gratuites. L’information reste le genre le plus diffusé en 2023, et ce pour la sixième année consécutive, avec notamment les quatre chaînes thématiques d’information en contenu (BFMTV, CNews, franceinfo: et LCI) qui représentent 79 % de la programmation globale d’information. La fiction audiovisuelle (hors animation) occupe également une place importante dans la programmation globale des chaînes (en particulier sur le groupe TF1, premier diffuseur de ce genre parmi les chaînes étudiées, et sur France Télévisions, premier diffuseur de la fiction EOF), même si la tendance est globalement à la baisse depuis 2019. https://lnkd.in/e98PHy2F
Les chiffres clés de la programmation des télévisions gratuites nationales en 2023
arcom.fr
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En lisant cet article de Forbes, on se rend compte de l'impact du streaming pour l'ensemble de l'écosystème économique lié au cinéma, la TV, la musique et même le jeu vidéo, et du changement de paradigme pour l'ensemble des acteurs. Aujourd'hui, le modèle de la diffusion en continu (le streaming) a changé la donne, les revenus proviennent principalement des abonnements et limitent les opportunités de profiter d'un succès prolongé. Des séries comme "Friends" ont pu devenir extrêmement lucratives pour leurs acteurs et créateurs car le système traditionnel de syndication télévisuelle permettait de générer des revenus énormes pour les séries à succès, malgré des couts élevés, grâce aux rediffusions et aux accords de syndication, mais aussi à l'achat d'éléments physiques. Pour répondre à ces défis, des modèles de rémunération comme le "Series Bonus Exhibit" (SBE) de Disney ont été mis en place, offrant des primes basées sur des critères de performance, tels que les renouvellements de saisons et les classements dans les services de streaming. Les changements apportés par la diffusion en continu, avec des saisons plus courtes et des budgets serrés, rendent difficile la création de valeur à long terme pour les émissions individuelles.
Long-format | Pourquoi Hollywood ne croit pas à l’avenir de la télévision - Forbes France
https://www.forbes.fr
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Évolution du nombre d'entrées en salles de cinéma en France : une histoire en dents de scie Depuis sa création, le cinéma français a connu une histoire riche et mouvementée, marquée par des périodes de grande popularité et des phases de déclin. Le nombre d'entrées en salles, indicateur précieux de la santé du secteur, retrace cette évolution en dents de scie. L'âge d'or des années 1950-1960 : Le cinéma français a connu son apogée dans les années 1950 et 1960, avec plus de 450 millions d'entrées par an. Cette période faste s'explique par plusieurs facteurs : l'absence de concurrence de la télévision, l'essor du cinéma populaire porté par des acteurs comme Jean Gabin, Louis de Funès ou Fernandel, et l'augmentation du niveau de vie qui permettait aux Français de se divertir plus souvent. Déclin et adaptation (années 1970-1990) : A partir des années 1970, l'arrivée de la télévision puis de la vidéo a sonné le glas du cinéma traditionnel. La fréquentation des salles a entamé une longue descente, tombant à 130 millions d'entrées par an au début des années 2000. Face à cette concurrence redoutable, le cinéma français a dû s'adapter en diversifiant son offre et en misant sur des films plus audacieux et des auteurs talentueux. Renouveau et crise sanitaire (années 2000-2020) : L'arrivée du numérique et de la 3D dans les années 2000 a permis au cinéma de se renouveler et d'attirer de nouveau les spectateurs. La fréquentation est remontée jusqu'à 215 millions d'entrées par an en 2019. Cependant, la pandémie de Covid-19 a porté un nouveau coup dur au secteur, avec des fermetures de salles et des reports de sorties de films. En 2020 et 2021, le nombre d'entrées est tombé à moins de 150 millions par an. Un avenir incertain : L'avenir du cinéma français reste incertain. La concurrence des plateformes de streaming vidéo, comme Netflix ou Disney+, est un défi majeur pour les salles de cinéma. Cependant, le cinéma offre une expérience unique et immersive que les plateformes ne peuvent reproduire. De plus, la reprise des sorties de films à gros budget après la pandémie pourrait attirer de nouveau les spectateurs dans les salles.
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