L’article de La Presse souligne une donnée alarmante : les jeunes suivis par la protection de la jeunesse sont jusqu’à 40 fois plus susceptibles de recevoir des soins en santé mentale. Cette réalité s’inscrit dans les conclusions des recherches de Martin Goyette expert en protection de la jeunesse, qui démontrent l’impact durable des traumas et de l’instabilité vécus par ces jeunes sur leur bien-être psychologique. Ces chiffres ne devraient pas nous surprendre, mais ils doivent nous pousser à agir. Comme le rappelle M. Goyette, il est essentiel de repenser nos façons d’intervenir auprès de ces jeunes pour leur offrir un soutien préventif et continu qui répond à leurs besoins réels, et pas seulement en situation de crise. Pour lire cet article et réfléchir à la manière dont notre société peut mieux accompagner ces jeunes vers une véritable résilience 👉 https://lnkd.in/e_wPDdtW
La DPJ doit arrêter d'être repliée sur elle-même et faire face à la réalité.
Votre acupuncteure de famille
6 j.Est-ce que quelqu'un fait des recherches sur le coût réel des actions gouvernementales? C'est vraiment un domaine où il serait 'facile' et surtout intelligent d'agir. Un autre exemple serait d'étudier le coût collatéraux des conditions de travail des infirmières. Je constate que les interventions en itinérances ont changé pour le mieux grâce à ce genre de prise de conscience.