Post de Les 2 Rives Valence Romans Crest

Le marché : bien plus qu’un lieu de commerce, un véritable lieu de convivialité. 🤝 Au quotidien, travailler sur les marchés, c’est bien plus que simplement vendre du poisson. C’est être plongé dans une atmosphère unique, où la bonne entente et la convivialité se tissent naturellement. Avec les autres commerçants, nous créons une véritable dynamique de famille, où l’entraide et la camaraderie jouent un rôle central. Les marchés, c’est aussi cet espace où les clients deviennent des visages familiers, avec qui on échange quelques mots, des sourires, et des anecdotes. Ces moments partagés donnent une dimension humaine à ce métier que j’adore. 🐟😊 L’aspect familial est essentiel pour moi, et c’est cette proximité qui rend l’expérience des marchés si unique et enrichissante. Et vous, quel rôle joue la convivialité dans votre quotidien professionnel ? #Marché #EspritDeFamille #Convivialité #CommerceLocal #RelationsHumaines #Artisanat

Quelques chiffres qui expliquent (peut-être) que le marché de la restauration est depuis peu saturé, dans Paris. La capitale propose 60 800 commerces dont 15 300 restaurants traditionnels, restaurations rapides, cafés, bars et brasseries. On ne peut pas ramener ce nombre d'endroits ou l'on peut se nourrir au nombre d'habitants à Paris qui s'élève à 2,1 millions. En effet, 1 millions de banlieusards rentrent chaque jour dans la capitale pour y travailler, sans parler du passage et des touristes d'affaires et de loisirs qui s'élèveraient à environ 200 000 personnes supplémentaires. Allez, si on arrondit les chiffres, cela ferait 3,3 millions de personnes par jour dans Paris qui auraient besoin de se nourrir à midi. Il faut tenir compte des repas pris en restauration d'entreprise, dans la restauration scolaire, avec de la restauration automatique, dans les 1730 hôtels, dans les gares, dans les trains, mais aussi des gens souffrants, en RTT, en CP et en télétravail. Mais aussi dans les 1200 boulangeries dont 90% ne ferment plus entre 13h et 16h. A ce propos, la boulangerie du coin, que vous soyez en milieu rurale ou dans les grandes agglomérations est le seul endroit à 13h ou il y a la queue. Pourquoi ? Pour y venir chercher son déjeuner (quiche, sandwichs, salades, pizzas...) Et depuis peu ce n'est plus uniquement devant les boulangeries qu'il y a du monde, il y a les nouvelles générations de Street Food et les commerces de proximité (Franprix Express, Daily Monop...) et les traiteurs asiatiques. Bref, si la saturation de Paris n'est pas prouvée, il y a de grandes chances que Paris soit un énorme "gâteau" qui ne grossit plus beaucoup avec de plus en plus d'acteurs autour avec des "parts" qui se restreignent. Il y a d’autres villes en France dans ce cas nos études de marché nous le révèlent régulièrement. D’où l’intérêt désormais que chaque concept est une vraie valeur ajoutée qui répond réellement à une demande, pour exister plus que d’autres concepts. Bref, d’être différenciant pour être un lieu de destination et non plus un restaurant parmi tant d’autres. Pas uniquement à Paris mais également en milieu rural. C’est notre façon de repositionner ou positionner nos clients chez GIRA , depuis quelques années.

Des marchés nocturnes, un nouveau McDonald’s, une fête du fromage… C’est à lire en ce mercredi 26 juin dans votre récapitulatif des infos dont on parle dans les villages de Béarn et Soule.

Et vous, aimez-vous Paris ? Ce week-end, direction la Ville Lumière ! Non pas pour travailler, mais pour profiter de la famille et des amis. De temps en temps, ça fait du bien de s'évader vers la capitale. À chaque visite, une chose me frappe : le nombre impressionnant de restaurants, cafés et bars à chaque coin de rue. Certains sont bondés, d'autres restent vides. Vous vous êtes déjà demandé pourquoi ? La différence tient souvent à une stratégie bien pensée : une page Google efficace, un site web optimisé, un menu attirant... Des éléments simples mais essentiels. En tant que coach spécialisé en restauration, j'aide les établissements à transformer ces simples outils en leviers de succès. Si vous connaissez des restaurants qui méritent un coup de pouce ou si vous avez des recommandations d'endroits à ne pas manquer, partagez-les ! #coaching #restauration #Paris

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Beaucoup ont des comptoirs, quelques uns ont des bars, peu ont des Bistrot Bertha. Au cœur du projet Bistrot Bertha, il y a cette idée de faire les choses « pour de vrai », d'arrêter de jouer à la dînette, de ne pas se contenter d'un bar qui n'en a que le nom. Alors on va chercher une licence, on crée une programmation ludique et culturelle, et on ouvre le bistrot au grand public. La base, me direz-vous. Exactement. La base. L'ordinaire. La normalité. On veut reconnecter les gens avec la réalité. Alors oui, il y a de l'alcool.  Alors oui, les boissons sont payantes.  Alors oui, ce n'est pas réservé aux résidents, et non, on n'y fait pas d'animations spécifiques pour les personnes âgées. Le vrai défi, c'est de faire cela tout en étant dans un EHPAD.  Et c'est ce qui m'a poussé à imposer certains choix esthétiques que vous avez peut-être remarqués au fil des photos. Un peu comme une signature : - La chaise œuf (parce que quel idiot mettait ça dans un EHPAD !) 😁 - Les couleurs très foncées (vert, bleu ou taupe), y compris au plafond. (Parce qu’on est pas dans un hôpital !) - Les plantes en abondance (pour un effet jungle) - Les guirlandes lumineuses (pour le côté guinguette) - Le tablier du bistrotier (seule tenue professionnelle autorisée dans le bar) - Les jarres de boissons (parce que "show, dont tell" !) ---------- Moi, c'est Antoine, le président de l'association Bistrot Bertha. On vous aide à transformer votre établissement (et vos équipes !) en créant un tiers-lieu joyeux, dépaysant et rentable ! 😊

Le Contexte Donne Tout Son Sens à Une Entreprise Si je disais que dans le marché de la Médina Jdida, on voit fleurir un magnifique restaurant cinq étoiles. Menu gastronomique, décor bluffant et des prix exorbitants. Au plein milieu des magasins dont la marchandise bonde les trottoirs. Et des commerçants avec leurs tables bloquant le passage sur la rue. L'idée paraît farfelue. Car dans la Médina Jdida ; une place très fréquentée où on vient de toutes les wilayas, on ne voit pas le temps passer. Du coup on a une envie d'une rapide Karintika à midi et non d'un filet de boeuf. En plus, on n'y a pas accès en voiture. À contrario, imaginons ce même restaurant sur un grand boulevard ou avec une vue sur mer et un grand parking pour les voitures. Cela le rendrait plus accessible pour la cible concernée, avec un cadre plus reposant, et une grande marge de manœuvre pour une bonne expérience client. Du coup, ça paraît beaucoup plus plausible. Le restaurant est, désormais, en phase avec son cadre. Cela montre que le contexte influence grandement la perception et la performance d'une entreprise. Et pour n'importe quelle entreprise c'est pareil. Ce n'est pas que son produit qui compte. Mais surtout son contexte. On peu avoir le meilleur produit mais si le contexte n'est pas favorable ou est mal préparé...ça sera un flop. C'est pourquoi l'analyse du contexte est la première exigences des normes ISO, dans n'importe quel système de management. Le contexte permet de définir les faiblesses, les menaces, les forces et les opportunités qui encadrent une stratégie. C'est l'un des premiers critères à analyser pour maximiser les chances de succès.

Une version de la gastronomie pour tous ? 🍇 En discutant avec un ami journaliste culturel qui me parlait de "démocratiser la culture " , je me suis demandé ce que cela pourrait vouloir dire si nous l'appliquions à la gastronomie. 🍇 On peut entendre démocratiser en deux sens. 🍇 Tirer vers le bas et baisser prix et qualité, mais parlons-nous encore de gastronomie ? 🍇 Ou bien ouvrir l'accès au plus grand nombre à la gastronomie authentique et véritable 🍇 Le problème c'est que l'Etat subventionne la culture mais pas les restaurants. 🍇 Cela étant... la gastronomie, patrimoine national s'il en est, pourrait bénéficier d'une place dans un pass culture 🍇 Cela aurait le mérite de donner accès à la gastronomie même si ce n'est que ponctuellement 🍇 Cela aurait aussi le mérite de montrer que la gastronomie n'est pas si inaccessible 🍇 En effet, une idée reçue, bien ancrée, veut que les belles tables, raffinées et bien tenues sont plus chères. 🍇 En réalité de très nombreuses ( et j'insiste sur la proportion importante) tables gastronomiques, ou simplement traditionnelles, coûtent moins cher que bien des bouibouis infects. 🍇 D'excellents restaurants proposent des menus trois services autour de 24euros 🍇 Mais l'aspect extérieur bien léché laisse croire que c'est cher 🍇 Et dans le contexte actuel, bien des tables pâtissent de cette réputation, simplement parce qu'elles ont du goût et du professionnalisme 🍇 C'est une réalité que je constate comme critique et comme consultant 🍇 Il y a de gros efforts de communication et d'apprivoisement à faire de la part de ces tables "qui font peur" 🍇 C'est une stratégie que je mets en place systématiquement dans les audits qui accompagnent ces maisons. 🍇 Alors parler démocratisation, me semble, dans un premier temps, signifier communication et éducation des mentalités 🍇 Alors l'idée d'un pass n'est pas, finalement, saugrenue. Illustration @restaurant_les_nympheas #restaurant #gastronomie #democratisation #culture

[LES HALLES EN 5 DATES CLÉS] - En France de 1945 à nos jours. Chez Biltoki alors que nous parcourons sans cesse le pays à la rencontre des élus locaux, on nous demande souvent si le renouveau des Halles ne serait finalement qu'une tendance passagère, voire même un effet de mode. Nous répondons simplement que cette activité millénaire a traversé les siècles. En examinant son évolution au cours des dernières décennies, nous pouvons affirmer que les Halles et les bistrots resteront des piliers dans nos villes, même s'ils doivent aujourd'hui se réinventer pour garder leur attractivité. #Halles #Bistrots #CentreVille

Olivier Ginon, Président de GL events ne cachait pas son enthousiasme lors de la conférence de presse de Sirha Food pour le lancement de Sirha Lyon du 23 au 27 janvier prochain. A vrai dire, il avait quelques bonnes raisons ! En effet, face aux mutations profondes du secteur, ce salon professionnel phare s'impose comme une plateforme privilégiée pour anticiper les évolutions. « Sirha Lyon 2025 se dresse comme le fer de lance des mutations stratégiques du secteur du Food Service. Face à un environnement économique complexe et changeant, il s'impose comme la scène internationale où les acteurs majeurs de l'hospitalité viennent anticiper et apporter des réponses aux enjeux futurs. Il s'impose comme un lieu de résilience, où les professionnels unissent leurs forces pour répondre aux défis globaux et transformer ces défis en leviers d’opportunités” commente Luc Dubanchet, Directeur Délégué Général de GL events Exhibitions Operations. Les restaurateurs doivent désormais composer avec une clientèle aux attentes paradoxales. Les consommateurs recherchent des expériences culinaires rapides et accessibles, tout en exigeant qualité, durabilité et satisfaction immédiate. Cette double volonté redéfinit les comportements de consommation, en particulier chez les jeunes : 66% des moins de 35 ans consomment des plats à emporter chaque mois, tandis que 83% des 25-34 ans attachent de l’importance aux longs moments conviviaux passés au restaurant, montrant une évolution vers une restauration plus fonctionnelle mais toujours orientée vers l’expérience client. 50% des convives français en restauration ont entre 20 et 30 ans, mais le budget de chacun reste une vraie contrainte quand il s'agit de décider d’aller au restaurant. Nous reviendrons plus en détail sur la programmation exceptionnelle de cet événement référent du #foodservice. D’autant que Manger du sens | Réinventons les modèles s’apprête à lancer « Court-Bouillon, accélérateur de transition pour la restauration », avec la volonté d’être utile aux acteurs et parties prenantes. Raison de plus pour faire la lumière sur ce rendez-vous concoté aux petits oignons par Luc Dubanchet et son équipe. #restauration #hotellerie #chefs #transition #impactpositif