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🌍💡 La fête est terminée pour les géants du pétrole 💡🌍 Les résultats semestriels récemment publiés des majors du pétrole marquent la fin d'une période exceptionnelle. Après deux ans de prix élevés et de profits records, TotalEnergies, BP, Shell, ExxonMobil et Chevron constatent une réduction significative de leurs marges. 📉 Quelques faits saillants : TotalEnergies : Chute de 15% du résultat net ajusté, à 9,8 milliards de dollars. Shell : Bénéfice net en baisse de 8% à 10,9 milliards de dollars. BP : Effondrement de 79% du bénéfice net au premier semestre. ExxonMobil : Réduction de près de 10% du bénéfice net. Chevron : Diminution de plus de 20% du bénéfice net. 🔄 Retour aux fondamentaux : Les marges de raffinage sont en baisse et les majors ajustent leurs objectifs climatiques. Shell a révisé à la baisse son objectif de réduction de l'empreinte carbone. La production d'hydrocarbures reste toutefois globalement à la hausse, avec des projets majeurs démarrant au Brésil, au Nigeria, en Azerbaïdjan, à Oman, et en Norvège. 🌐 Expansion continue : Malgré ces défis, les géants du pétrole continuent de se concentrer sur le développement de nouveaux champs. BP a récemment signé un accord en Irak, tandis que Chevron étend ses explorations en Namibie, au Brésil, en Guinée équatoriale et en Angola. 🔍 Vers une concentration renforcée : Aux États-Unis, le mouvement de fusions-acquisitions se poursuit. ExxonMobil, grâce à l'acquisition de Pioneer, reste la valeur boursière la plus performante du secteur cette année. Chevron, quant à elle, ressent la pression pour conclure l'acquisition de Hess. #Pétrole #Energie #Industrie #TotalEnergies #BP #Shell #ExxonMobil #Chevron #DéveloppementDurable #Climat #Business

https://lnkd.in/ebykYTnU " La production de pétrole de BP devrait en revanche être globalement stable d'un trimestre sur l'autre, là où le groupe anticipait précédemment à une baisse. L'entreprise s'attend par ailleurs à voir sa dette se creuser sur la période, en raison de l'impact des marges de raffinage plus faibles mais aussi parce qu'il a repoussé au 4e trimestre l'inscription dans ses comptes d'un crédit d'environ un milliard de dollars lié à des cessions. Le bénéfice de BP a chuté de 79% sur un an au premier semestre, déjà plombé par des marges de raffinage en repli mais aussi par des dépréciations d'actifs, à 2,1 milliards de dollars (1,8 milliard de francs suisses). Shell, concurrent et compatriote de BP, qui publiera ses résultats le 31 octobre, avait lui aussi prévenu en début de semaine d'une baisse de ses marges de raffinage au troisième trimestre. "

🌍 𝐋’𝐚𝐧𝐧𝐞́𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟒 𝐚 𝐛𝐨𝐮𝐥𝐞𝐯𝐞𝐫𝐬𝐞́ 𝐥𝐞 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐞 𝐩𝐞́𝐭𝐫𝐨𝐥𝐢𝐞𝐫. 𝐔𝐧 𝐬𝐞𝐮𝐥 𝐠𝐞́𝐚𝐧𝐭 𝐚 𝐬𝐮𝐫𝐩𝐞𝐫𝐟𝐨𝐫𝐦𝐞́. ExxonMobil a pris la tête avec une croissance de +𝟓,𝟐𝟏 %, alors que ses concurrents ont vacillé sous le poids de la transition énergétique et de la baisse des prix. 👉 Pendant ce temps : • Equinor : -24,75 % • bp : -16,56 % • TotalEnergies : -14,71 % • Chevron : -3,10 % • Shell : -3,86 % • Saudi Aramco Total Refining and Petrochemical Company (SATORP): -15,28 % 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐄𝐱𝐱𝐨𝐧𝐌𝐨𝐛𝐢𝐥 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐞-𝐭-𝐢𝐥 𝐢𝐧𝐞́𝐛𝐫𝐚𝐧𝐥𝐚𝐛𝐥𝐞 ? Des finances solides. Des opérations maîtrisées. Une stratégie à toute épreuve. 🛢️ Le secteur de l’énergie évolue à une vitesse fulgurante. Les gagnants de demain se construisent dès aujourd’hui. 📌 𝐏𝐞𝐧𝐬𝐞𝐳-𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐪𝐮’𝐄𝐱𝐱𝐨𝐧𝐌𝐨𝐛𝐢𝐥 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐢𝐧𝐮𝐞𝐫𝐚 𝐝𝐞 𝐝𝐨𝐦𝐢𝐧𝐞𝐫 ? Partagez votre analyse dans les commentaires ! #Énergie #Pétrole #TransitionÉnergétique #BusinessInsights

Les bénéfices de BP s'effondrent de 95% par rapport au troisième trimestre 2023 Le géant pétrolier britannique BP a annoncé, mardi, une chute drastique de ses bénéfices au troisième trimestre 2024, atteignant seulement 206 millions de dollars, contre 4,9 milliards de dollars un an plus tôt. Cette baisse significative est attribuée à la diminution des marges de raffinage, des ventes décevantes, ainsi qu'à des dépréciations d'actifs, dans un contexte de baisse des prix du pétrole. 👉🏼👉🏼👉🏼👉🏼 https://bit.ly/3C1BuKt #kebetu #rig #Africa #fid #licences #offshore #oilfield #oilandgas #oilgas #gaz #energy #naturalgas #gas #partnership #world #new #investments #capital #integration #operations #innovation #management #future #markets #economy #economics #investing #alternativeenergy #sales #strategy #finances #journalism #consultants #share #ona #bp

🌍 𝐋’𝐚𝐧𝐧𝐞́𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟒 𝐚 𝐛𝐨𝐮𝐥𝐞𝐯𝐞𝐫𝐬𝐞́ 𝐥𝐞 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐞 𝐩𝐞́𝐭𝐫𝐨𝐥𝐢𝐞𝐫. 𝐔𝐧 𝐬𝐞𝐮𝐥 𝐠𝐞́𝐚𝐧𝐭 𝐚 𝐬𝐮𝐫𝐩𝐞𝐫𝐟𝐨𝐫𝐦𝐞́. ExxonMobil a pris la tête avec une croissance de +𝟓,𝟐𝟏 %, alors que ses concurrents ont vacillé sous le poids de la transition énergétique et de la baisse des prix. 👉 Pendant ce temps : • Equinor : -24,75 % • bp : -16,56 % • TotalEnergies : -14,71 % • Chevron : -3,10 % • Shell : -3,86 % • Saudi Aramco Total Refining and Petrochemical Company (SATORP): -15,28 % 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐄𝐱𝐱𝐨𝐧𝐌𝐨𝐛𝐢𝐥 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐞-𝐭-𝐢𝐥 𝐢𝐧𝐞́𝐛𝐫𝐚𝐧𝐥𝐚𝐛𝐥𝐞 ? Des finances solides. Des opérations maîtrisées. Une stratégie à toute épreuve. 🛢️ Le secteur de l’énergie évolue à une vitesse fulgurante. Les gagnants de demain se construisent dès aujourd’hui. 📌 𝐏𝐞𝐧𝐬𝐞𝐳-𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐪𝐮’𝐄𝐱𝐱𝐨𝐧𝐌𝐨𝐛𝐢𝐥 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐢𝐧𝐮𝐞𝐫𝐚 𝐝𝐞 𝐝𝐨𝐦𝐢𝐧𝐞𝐫 ? Partagez votre analyse dans les commentaires ! #Énergie #Pétrole #TransitionÉnergétique #BusinessInsights

Le géant américain ExxonMobil vient de publier des résultats exceptionnels pour le 2e trimestre 2023, dépassant toutes les attentes des analystes. Porté par une production pétrolière record et les synergies liées au rachat récent de Pioneer Natural Ressources, le groupe affiche un bénéfice net de 9,24 milliards de dollars, en hausse de 17,26% par rapport à l’an dernier. Une production pétrolière au plus haut Le succès d’ExxonMobil ce trimestre s’explique avant tout par une production d’or noir et de gaz historiquement élevée. Le groupe a extrait l’équivalent de 574 000 barils de plus par jour qu’au 1er trimestre, atteignant un niveau inédit depuis la fusion entre Exxon et Mobil en 1999. Cette performance s’appuie notamment sur les records de production enregistrés au Guyana et dans le bassin permien, haut lieu de l’exploitation du pétrole de schiste aux États-Unis. Le récent rachat de Pioneer Natural Resources, spécialiste du bassin permien, a permis de doper encore davantage les extractions. Le jackpot Pioneer Finalisé 5 mois plus tôt que prévu, le rachat de Pioneer Natural Resources a eu un impact majeur sur les comptes d’ExxonMobil. Selon le groupe, l’opération a contribué à hauteur de 500 millions de dollars au résultat, avec des synergies et une intégration qui ont dépassé les attentes. Cette acquisition transforme en profondeur le profil de production d’ExxonMobil, en renforçant sa présence sur le marché américain du pétrole de schiste. Un positionnement stratégique alors que les États-Unis sont devenus un acteur central de l’approvisionnement mondial en brut. Des perspectives contrastées Malgré ces excellents résultats, ExxonMobil a relevé quelques points de vigilance pour les trimestres à venir. Le groupe a notamment souligné la poursuite de la baisse des marges dans le raffinage, ainsi qu’un recul des cours du gaz par rapport aux niveaux exceptionnellement élevés de 2022. Des tendances qui pourraient peser sur la rentabilité future, même si le groupe peut compter sur sa production record et les synergies liées à Pioneer pour amortir le choc. Avec un baril qui se maintient au-dessus des 80 dollars et une demande qui reste soutenue malgré le ralentissement économique mondial, ExxonMobil a de quoi voir venir. Les chiffres clés d’ExxonMobil au 2e trimestre 2023 Chiffre d’affaires 93,06 milliards $ (+12%) Bénéfice net 9,24 milliards $ (+17,26%) Production +574 000 barils/jour (record historique) Contribution de Pioneer 500 millions $ (synergies plus fortes qu’attendu) Le défi de la transition énergétique Au-delà de ces résultats financiers spectaculaires, ExxonMobil doit aussi relever le défi de la transition énergétique. Alors que la pression s’accroît pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, le groupe multiplie les investissements dans les énergies bas carbone. Le géant américain a notamment annoncé un projet de captage et stockage du carbone à grande échelle au Texas, ainsi que des investis...

_ Les #investisseurs dirigés par BlackRock dans le réseau de gazoducs d'Aramco se préparent à émettre des #obligations pour refinancer un prêt de 13,4 milliards de dollars. L’article BlackRock lancent une émission obligataire pour refinancer Aramco Gas Pipelines est apparu en premier sur energynews.

 #Shell et  #BP paieront environ 15 millions de  #dollars, des coûts opérationnels, pour  #relancer la plus grande  #raffinerie d'Afrique du Sud Les unités sud-africaines de Shell et de BP paieront environ 15 millions de dollars au  #CentralEnergyFund, géré par l'État, pour les coûts opérationnels de la raffinerie  #Sapref. - Ces paiements pourraient contribuer à relancer la plus grande raffinerie d'Afrique du Sud, le gouvernement cherchant à  #garantir la  #sécurité de l'approvisionnement en  #pétrole dans un contexte de baisse de la  #capacité de raffinage. - Le Central Energy Fund (CEF) est en train de demander au National Treasury l'autorisation d'acheter à Shell et BP la raffinerie  #endommagée par les  #inondations, d'une capacité nominale de 180 000  #barils par jour. - L'opération comprend des  #actifs fixes et des  #pipelines de transport dans le centre  #pétrochimique de  #Durban, sur la côte est.  #rediscoverafrica  #investissement  #afrique  #africa  #zonebourse   👉 https://lnkd.in/gakD7rsY

Comme ExxonMobil, Chevron, TotalEnergies, BP ou Shell, Aramco a publié un bénéfice net en légère baisse au deuxième trimestre, atteignant 29,07 milliards de dollars (-3 %). Ce résultat est loin des records de 2022, où l'entreprise avait dégagé un bénéfice de 161 milliards de dollars sur l'année. Amin Nasser, PDG d'Aramco, a néanmoins souligné la solidité financière et la résilience de l'entreprise, affirmant : « Notre volonté de créer de la valeur est soutenue par nos avantages concurrentiels à long terme, notre résilience financière exceptionnelle à travers les cycles et notre bilan solide. » Aramco a été pénalisé par une baisse des marges de raffinage, malgré des prix en légère hausse au deuxième trimestre. La demande en produits raffinés, tels que le diesel, a diminué. La branche downstream d'Aramco, qui inclut le raffinage et la distribution, a enregistré une perte opérationnelle de 262 millions de dollars, comparée à un profit de 788 millions de dollars sur la même période l'année précédente. La décision de l'Arabie saoudite de réduire sa production, conformément à ses engagements au sein de l'Opep+, a également pesé sur les comptes d'Aramco. Le pays produit actuellement 9 millions de barils par jour, bien en-deçà de sa capacité de 12 millions de barils quotidiens. Ces réductions visent à soutenir les prix du pétrole, mais le bilan est mitigé. Les coupes ont maintenu le prix du Brent autour de 80 dollars le baril, mais les incertitudes sur la demande et le contexte économique mondial continuent de faire pression sur les prix. Pour équilibrer le budget de l'Arabie saoudite, un prix du pétrole beaucoup plus élevé, à 96,2 dollars le baril selon le FMI, serait nécessaire, alors qu'Aramco a vendu le sien à 85,70 dollars le baril en moyenne au deuxième trimestre. Malgré ce contexte, Aramco maintient son dividende pour satisfaire l'Etat saoudien, actionnaire à plus de 81 %. Le groupe prévoit de redistribuer 124 milliards de dollars cette année, dont 43 milliards liés à ses performances, ce qui a soutenu le cours de l'action. Cependant, cette politique de dividendes pourrait fragiliser les finances du groupe. Le niveau de cash flow a déjà baissé, passant de 54 milliards de dollars il y a un an à 41,7 milliards aujourd'hui. Salih Yilmaz, CFA, analyste chez Bloomberg Intelligence, estime qu'Aramco pourrait devoir s'endetter à partir du troisième trimestre pour faire face à ses obligations, une première depuis la pandémie. Par ailleurs, l'Etat saoudien fait pression sur Aramco pour qu'il vende cette année plus de 12 milliards de dollars d'actions sur le marché secondaire afin de trouver de nouvelles ressources. Face à ces défis, Riyad pourrait être contraint de revoir ses quotas de production.

ExxonMobil a publié vendredi des résultats en recul sur un an au troisième trimestre. Le géant américain a souffert de marges de raffinage inférieures et de la baisse des prix du gaz naturel par rapport à leur niveau historiquement élevé en 2023. #hydrocarbures