Post de Louise Girardin

TABLEAU DE LA PHILOSOPHIE FRANÇAISE le [ je pense, donc je suis] Est une de ces illuminations de L’esprit dont Parle Descartes Dans sa lettre au MARQUIS DE NEWCASTLES par lui Il retrouve cette théorie des natures Simples Qu’il avait esquissée Dans son premier ouvrage Le plus génial en un sens Les RÈGLES POUR LA DIRECTION DE L’ESPRIT ces natures simples, ce sont par Exemple La pensée la substance, L’étend L’être. Mais Descartes dans une vue Très profonde place aussi Parmi les natures simples Des relations comme DEUX ET DEUX FONT QUATRE ET COMME LE [ je pense, donc je suis] Ainsi …,, Même on pourrait dire que l’ambition d’un historien de la Philosophie Quand il présente la doctrine de Descartes Serait de voir et de faire voir tout Le système en un instant Et Pour ainsi dire réduire à un point lumineux Nous avons dit que Dieu C’est la rationalité du monde c’est La nature intellectuelle En general Mais Paradoxalement c’est aussi la Volonté infinie . Les deux termes sont unis en cette CLÉ DE VOÛTE DU SYSTÈME CARTÉSIEN, De même que sont unies en lui Lés idées de parfait et d’infini. On voit comment l’échelle Des réalités et L’échelle des perfections sont Une seule Et même échelle Et la plus ou moins grande perfection des degrés du connaître Répond A la plus ou moins grande perfection des degrés de l’être Rien n’est plus utile pour connaître la Structure de la pensée des rationalistes idéalistes de Platon À kant que d’étudier la structure de la pensée cartésienne ……. PLUTON: Dieu des enfers dans La mythologie antique. Il s’agit donc d’un euphémismes signalant la mort de L’OURS . …… On voit en quel sens Descartes Est un idéaliste. De la connaissance que nous avions Des choses Il conclut A leur être. Dû connaître à l’être La conséquence est bonne. Et nous ne pouvons affirmer L’existence d’une chose que si D’abord nous connaissons son Essence.

Journée mondiale de la philosophie Quelle est la nature de la réalité et des individus ? À quoi ressemble notre monde ? Qu’est-ce qu’on mange ce soir ? La philo, c’est quoi ? S’agissant d’une date de célébration mouvante (chaque 3e jeudi de novembre), je souhaite partager avec vous en amont une petite réflexion ludique autour de sa définition. La philosophie, c’est (entre autres) le fait d’utiliser des outils fondés sur le raisonnement pour saisir le tout ou bien pour trouver du sens. On peut décomposer la philosophie en trois branches : 1) "La Métaphysique" : c’est la branche de la philosophie qui étudie la nature fondamentale du monde, de l'univers et de l'être. Par exemple : l'infini univers, qui suis-je, ou vais-je ? Ô rage et désespoir !  2) "L'Épistémologie" qui est l’étude critique de la connaissance de la connaissance (non ce n’est pas une erreur de saisie clavier) : la démarche historiographique, les méthodes d'objectivations, la science et l’idéologie, etc.   3) Enfin, last but not least, "l'Axiologie" qui se décompose également en deux branches : (3.1) L’Éthique : soit l’étude des interactions humaines par rapport à des valeurs. L’éthique n’est pas la morale, l’éthique suppose un code de valeurs qui enclenche des réactions spécifiques. Il ne s’agit pas de dire par exemple que c’est « bien » ou « mal » mais qu’un comportement répréhensible, présuppose d’assumer les conséquences qu’il induit.  (3.2) L’étude du beau, soit la Djomb, la Bella, les critères de distinction : team sculture grecque antique ou peinture néerlandaise ? Vive la philo :) !

🏛️ Esprit critique et philosophie : héritage de l'Antiquité La civilisation athénienne est souvent considérée comme l’un des berceaux de la démocratie, de la science et de la philosophie… non sans raison. Elle a en effet vu l’émergence d’hommes qui se sont interrogés sur notre manière de comprendre le monde qui nous entoure. Ainsi, dès le cinquième siècle avant notre ère, le célèbre stratège et homme État Périclès indiquait que « quiconque émet un jugement sur quelque point que ce soit mais ne peut pas l’expliquer clairement aurait mieux fait de ne jamais avoir pensé au sujet ». Il semblerait donc que, dès l’Antiquité, l’humanité se soit interrogée sur la question de la véracité et de la fiabilité des informations Pour en savoir plus sur l'impact de la philosophie antique sur l'esprit critique moderne, et découvrir les pensées de Périclès, Socrate, Platon et Aristote, nous vous embarquons à travers cet l'article complet 👇

René Descartes, philosophe français du XVIIe siècle, est surtout connu pour sa célèbre formule : « Cogito, ergo sum » ou « Je pense, donc je suis », qui se trouve dans son œuvre Méditations métaphysiques et Discours de la méthode. Mais que voulait exprimer Descartes par cette affirmation ? 1. Le contexte de l’affirmation Descartes cherchait une base de certitude absolue sur laquelle fonder toute connaissance. Dans le monde de l'époque, la connaissance reposait encore largement sur des dogmes religieux et des vérités établies, que Descartes souhaitait remettre en question pour atteindre une vérité indubitable. Son objectif était de trouver quelque chose qui résiste à tous les doutes, un point de certitude qui serait impossible à remettre en question. 2. Le doute comme chemin vers la certitude. Mais une chose demeure indubitable : le fait qu'il doute et qu’il pense. Si Descartes doute, alors il doit exister pour douter. C’est là qu’il arrive à sa célèbre conclusion « je pense, donc je suis ». Peu importe qu’il doute de tout, il ne peut douter du fait qu'il est en train de douter et de penser, et cela prouve son existence en tant que sujet pensant. 3. Signification de « je pense, donc je suis » Par cette phrase, Descartes veut exprimer une certitude fondamentale : la conscience de soi. Ce "je pense" signifie que le fait de douter, de raisonner, de réfléchir est une preuve indéniable de la réalité de notre existence. Le « donc je suis » conclut que le doute et la pensée impliquent nécessairement un sujet qui doute et pense. En d'autres termes, la seule chose dont on peut être certain, même dans le doute le plus profond, c'est que l'on existe en tant que conscience. 4. Le fondement de la philosophie moderne Ce cogito a marqué un tournant majeur en philosophie, car il fonde la connaissance sur la conscience individuelle plutôt que sur les sens ou sur des vérités extérieures. Descartes met ainsi en avant une conception subjective de la vérité, où le sujet pensant devient le point de départ de toute connaissance. En ce sens, Descartes est souvent considéré comme le père de la philosophie moderne, car il place le sujet au centre de la quête de vérité. 5. L’âme et le corps : dualisme cartésien Ce « je pense, donc je suis » a conduit Descartes à une autre conclusion importante : la séparation entre l’âme et le corps (ou l’esprit et la matière). Il distingue la réalité pensante (la « substance pensante », ou l'âme) de la réalité matérielle (la « substance étendue », ou le corps). Pour Descartes, l’âme est immatérielle et indépendante du corps, ce qui a fondé le dualisme cartésien. En conclusion « Je pense, donc je suis » est bien plus qu'une simple affirmation de l'existence personnelle : c'est une invitation à remettre en question toutes les certitudes apparentes pour atteindre une vérité fondamentale et irréfutable.

10 Mai 2024 Le détour vers Camus, à propos de la confrontation entre Sartre et Ricoeur. A la page 261 de son ouvrage sur Ricoeur, Jean-Luc Amalric cite Camus qui irait dans le même sens que Ricoeur, même s’il est aussi d’accord avec Sartre à propos de la vie qui n’a pas de sens. Pour montrer comment le « pour soi » est toujours à l’oeuvre (sans confondre avec Narcisse, mais dans l’association créative !) je me suis demandé si j’avais placé cette même référence de Camus (dans "l’homme révolté"), dans les 365 citations que j’ai publiées sur Facebook entre le 8 Novembre 2013 (Paris) et le 7 Novembre 2014 (Aveyron), entre deux mondes, j’ai cependant géré ces auto-limites (se fixer sur le temps qui passe pour se prouver que l’on est capable de continuité dans l’effort quotidien et la patience. Je suis donc allé vérifier ce matin si la citation évoquée de Camus se trouvait dans les 365 engrangées il y a 10 ans. C’est le cas, voici la citation n° 10 : « Toute valeur n’entraîne pas la révolte, mais tout mouvement de révolte invoque tacitement une valeur ». (L’homme révolté, Partie I, p.26).  Pour Sartre, la négation est première, l’homme doit donc se révolter contre cette négation du monde et de la vie. Selon lui, « l’homme est une passion inutile » (fin de l’être et le néant). Il faut donc que l’homme soit sa propre transcendance. Je traduis comme aujourd’hui, l’homme est dieu (cf. Yuval Noah Harari. « Homo deus, Une brève histoire du futur » 2017) A suivre, retour à la confrontation Sartre-Ricoeur Je joins les 365 citations de Camus, grâce à une nouvelle présentation. . Je reviendrai plus tard sur la confrontation Camus-Sartre, dans laquelle je me suis senti tellement impliqué ! Pierre

Hegel voyait en lui un « héros » ; Valéry, un « grand capitaine de l’esprit » ; Péguy, « ce cavalier français qui partit d’un si bon pas ». Il reste que chevaucher avec Descartes, c’est parfois cheminer parmi les idées reçues. Descartes serait le seul philosophe français, le philosophe de la France, la France même. Les Français, d’ailleurs, seraient « cartésiens par nature » : le cartésianisme ferait partie de leur identité. Certains lieux communs ont un fond de vérité. Quand Hegel définit Descartes comme « le véritable fondateur de la philosophie moderne », il omet de préciser que d’autres que lui ont remis en question les méthodes héritées d’Aristote, mais il dit quelque chose de la volonté de Descartes de bâtir une nouvelle philosophie qui fût parfaitement claire, assurée dans ses fondements, moins spéculative que pratique, et réellement utile au genre humain. Car il y eut bien une « révolution cartésienne » du savoir, un nouveau départ. Descartes s’impose comme le premier philosophe de son temps, et sa pensée marque chaque époque depuis lors. Elle s’exprime au fil d’une œuvre très diverse, entre réflexions sur la méthode et analyse des passions humaines, méditations sur la nature divine et travaux mathématiques, exposés du système de l’univers et répliques à des pamphlets, sans oublier des lettres de première importance, travaillées comme des écrits de cour. L’ensemble gravite autour de quatre grands livres : le Discours de la méthode (1637), suivi des essais scientifiques auxquels il devait servir de préface (et dont on propose ici des extraits) ; les Méditations de philosophie première (1641-1642), ou Méditations métaphysiques (1647), avec sept séries de Réponses aux Objections recueillies auprès de « personnes très doctes » ; Les Principes de la philosophie de 1644 ; et, quelques semaines avant la mort de l’auteur, le traité des Passions de l’âme (1649). Deux autres ouvrages – la Lettre à Voetius et les Sur un certain placard, retraduites du latin pour cette édition – s’inscrivent dans le contexte des querelles qu’a suscitées le développement de la « nouvelle philosophie ». Figurent en outre au sommaire des écrits posthumes aussi importants que célèbres, les Règles pour la direction de l’esprit, Le Monde, L’Homme, La Recherche de la vérité, La Description du corps humain, ainsi qu’un large choix de correspondance, indispensable complément des œuvres et source de précieux aperçus sur la vie sociale de Descartes. Nouvelle édition des Oeuvres de René Descartes (la précédente datait de 1953 par A. Bridoux) dans la prestigieuse Bibliothèque de la Pléiade, rassemblés dans l’espace de deux volumes, sous la direction scientifique de l'éminent spécialiste Denis Kambouchner (Paris1 Panthéon-Sorbonne), ces textes offrent de la personnalité intellectuelle de Descartes, de son entreprise philosophique et de ce qu’on doit appeler son action une image à la fois renouvelée et rééquilibrée, loin des caricatures auxquelles elle a pu donner lieu.

Intention - Signification - Action L’imaginaire Malbranche et Descartes considèrent l’imagination comme “la folle du logis”, ce qui ne permet pas le bon fonctionnement du cerveau. Pourtant, l’imaginaire est ce qui structure la société, c’est ce qui va unir le peuple : les rêves, les fantasmes, les fantasmagories… Chez Foucault, il est impossible de dissocier l’imaginaire de l’épistémè (Archéologie du savoir). Elle est une connaissance qui s’organise, à partir de cette représentation, il y a une organisation de la cité. Dans la tradition grecque, l’épistémè c’est la mythologie (l’Olympe, le panthéon 🏛️, l’amour). Sparte a une autre interprétation, de l’épistémè, c’est la vie spartiate. À la renaissance, l’épistémè sera la théologie puis au 17e siècle, l’épistémè moderne va définir les bases de notre manière d’être. Dans le fond, l’imaginaire détermine la représentation philosophique que nous avons de la société. Comment peut-on décrire l’épistémè postmoderne ? #philosophie #sociologie Eva MULLOR Catherine Dupuy Laurence GRASSI Christian Bidzabi Horace Yoba, CPM®, PMP® Dr Rachel Lawes Dr. Thierry MINDJOS Jacques Eric EBOA Kouotou Aboubakar Sidiki

La phrase de Blaise Pascal, « se moquer de la philosophie, c’est vraiment philosopher » (Pensées), est une critique subtile des prétentions intellectuelles excessives de la philosophie. La véritable sagesse réside pour lui dans la reconnaissance des limites de la raison humaine : en se moquant de la philosophie, on adopte une position réflexive et humble qui est, en soi, philosophique. Émile Bréhier, dans son « Histoire de la Philosophie », affirme que Pascal n’était pas un philosophe à proprement parler, mais plutôt un spiritualiste chrétien, ce qui souligne son scepticisme envers les systèmes philosophiques rigoureux. Au #bacphilo avec la #methodevoyoute, cette phrase peut servir de point de départ pour discuter de la nécessité de l’autocritique en philosophie : parfois, pour véritablement philosopher, il faut savoir rire de ses propres efforts intellectuels, user d’ironie et ne défétichiser les grands de la pensée. Trop admiration nuit à la compréhension et au jugement critique… #philosophie #IVIV #citation #52ref

RAPPORT DE LECTURE Article # 104 – Grandeur et misère de la modernité, Charles Taylor, Coll. L’essentiel, Éditions Bellarmin (Éditions Fides), 1992 Notre place dans le monde s’inscrit dans notre identité. Construire sa propre philosophie de vie bonne exige non seulement de se connaître soi-même mais aussi de connaître le monde dans lequel nous existons. C’est l’« Être-au-monde » selon de Martin Heidegger. Bref, voilà donc pourquoi cet Observatoire de la philothérapie – Quand la philosophie nous aide dépasse son sujet avec le livre GRANDEUR ET MISÈRE DE LA MODERNITÉ du philosophe CHARLES TAYLOR paru en 1992, il y a plus de trente ans. Lire la suite : https://lnkd.in/eStaPbxa #charlestaylor #philo #philosophie #philothérapie #philosophe #philosophepraticien #observatoiredelaphilothérapie #philosopheconsultant #individualisme #modernité #raisoninstrumentale #rationalité #subjectivisme #identité #productivité #efficacité

TABLEAU DE LA PHILOSOPHIE FRANÇAISE LE XVII e siècle L’ambition de Descartes est d’abord De voir clair en ses actions et De marcher avec assurance Dans cette vie. Mais c’est aussi celle des hommes De la renaissance Rendre l’homme maître et possesseur de la nature Lui Faire vaincre tous les obstacles ( comme le dira plus tard BERGSON) Peut-être même la mort. Mais pour cela il Faut la science. Descartes comme pour Bacon, Sciences est puissance ; Comme lui comme pour COMTE il faut savoir pour prévoir afin de Pourvoir. Il faut donc trouver Quelque chose de ferme et de Constant dans les sciences. On discutera sans doute bien longtemps —- et discusión Est bien vaine —- pour savoir qui Est la fondateur de la pensée moderne, Descartes ou Bacon L’un plus EXPÉRIMENTATEUR ( ou du moins donnant les règles De l’expérimentation) L’autre plus rationnel Tous deux sans doute encore Par certains Points sous L’influence de la pensée scolastique Ce qu’on ne peut discuter C’est qu’ayant donné le jour à Descartes La France a produit L’esprit qui détermina le cours Des grandes tentatives Métaphysiques du XVII e siècle Celui que l’on a appelé le père De l’idéalisme moderne ; Et Le même philosophe qui a délivré la Connaissance de l’âme de toutes Les entités scolastiques A délivré aussi la science des corps Et Des mouvements de tous les concepts BÂTARDS que l’on voulait Appliquer à la fois aux âmes Et aux corps. Pour parler de Descartes d’une façon satisfaisante Il faudrait exposer le système de SAINT THOMAS, et par delà Celui d’Aristote Avec ses Quatre causes Dont Descartes Par un coup de génie ne conserve Qu’une seule ( la cause efficiente a laquelle il Unit la cause formelle ) Et Ses multiples âmes dont Descartes Par un autre coup de génie Ne conserve qu’une, Et ses multiples changements dont Descartes ne conserve qu’un Le mouvement local . Comme l’a vu son adversaire pascal Le Plus important de ses adversaires ( avec Kant ) Descartes a été le grand Purificateur. Il conviendrait de restituer le milieu ou La pensée de Descartes Se développa ou lL’INFLUENCE DE MONTAIGNE de CHARRON DES STOÏCIENS SE MÊLAIT À CELLE DES JÉSUITES PUIS À CELLE DES ROSE-CROIX ET OÙ MERSENNE SE FAISAIT L’INTERMÉDIAIRE ENTRE SAVANTS ET PHILOSOPHES OU SORBIERÈRES PROPAGEAIT LA PHILOSOPHIE DE HOBBES Pour parler de Descartes Il faudrait d’abord voir le Descartes de 24 ans Celui qui entrevit En noviembre 1619 Et 1620 Le fondement D’une invention admirable et qui vit Dans un SONGE DES ÉTINCELLES DE FEU LE DICTIONNAIRE DES SCIENCES HUMAINES ET LE RECUEIL DES POÈTES . Il jugeait que son songe signifiait que les poètes ont des sentences Plus chargées de sens que celles Que nous trouvons dans les Écrits des philosophes Et que l’enthousiasme et la Force de l’imagination Font sortir D’eux des semences de sagesse Avec beaucoup plus de Facilité et de brillant même que ne Peut le faire la raison des Philosophe Ect