Post de Média Storming

Evénement historique pour la #radio : la FM va s'arrêter le 31 décembre 2024 au profit de la #diffusion #numérique en #DAB+. Cette extinction de la #FM analogique est inéluctable. Pour les #auditeurs, le DAB+ est la garantie d'une meilleure #qualité d'écoute, sans brouillages ni interférences, de plus de choix de #stations radio repérables de façon intuitive, etc. Pour les éditeurs de radios, ce sont des coûts de diffusion moindres. Mais rassurez-vous, ce #basculement dont il est question dans Edition Multimédi@ ne se fera pas d'ici la fin de cette année en France, mais en #Suisse, à commercer par les radios publiques de la SRG SSR suivies par de nombreuses radios privées. Nos voisins helvétiques ne sont pas les premiers en #Europe à procéder à ce switch-off de la FM : la #Norvège a été le premier pays au monde à le faire, dès fin 2017, et ce fut un succès. Et la #France alors ? Hervé Godechot, membre de l’Arcom, nous indique que "si les cibles des 70 % d’équipements et 50 % d’audience numérique (DAB+ et IP) étaient atteintes, rien ne s’opposerait à avancer le calendrier" par rapport à l'année butoir initialement prévue pour 2033. Dès 2028 ? C'est à lire dans le n°333 de Edition Multimédi@ : https://lnkd.in/ekFZYGQG Roch-Olivier Maistre, Jacqueline Bierhorst, Jean-Marc Dubreuil, Adriano Pitteri, Jean-Michel Cina, Susanne Wille, Bernie ONeill, Office fédéral de la communication OFCOM, Norwegian Communications Authority, SRF - Schweizer Radio und Fernsehen, franceinfo, RTL, France Inter, Europe 1, NRJ GROUP, Les Indés Radios, WorldDAB

Evénement historique pour la #radio : la FM va s'arrêter le 31 décembre 2024 au profit de la #diffusion #numérique en #DAB+. Cette extinction de la #FM analogique est inéluctable. Pour les #auditeurs, le DAB+ est la garantie d'une meilleure #qualité d'écoute, sans brouillages ni interférences, de plus de choix de #stations radio repérables de façon intuitive, etc. Pour les éditeurs de radios, ce sont des coûts de diffusion moindres. Mais rassurez-vous, ce #basculement dont il est question dans Edition Multimédi@ ne se fera pas d'ici la fin de cette année en France, mais en #Suisse, à commercer par les radios publiques de la SRG SSR suivies par de nombreuses radios privées. Nos voisins helvétiques ne sont pas les premiers en #Europe à procéder à ce switch-off de la FM : la #Norvège a été le premier pays au monde à le faire, dès fin 2017, et ce fut un succès. Et la #France alors ? Hervé Godechot, membre de l’Arcom, nous indique que "si les cibles des 70 % d’équipements et 50 % d’audience numérique (DAB+ et IP) étaient atteintes, rien ne s’opposerait à avancer le calendrier" par rapport à l'année butoir initialement prévue pour 2033. Dès 2028 ? C'est à lire dans le n°333 de Edition Multimédi@ : https://lnkd.in/djeajz5 Roch-Olivier Maistre, Jacqueline Bierhorst, Jean-Marc Dubreuil, Adriano Pitteri, Jean-Michel Cina, Susanne Wille, Bernie ONeill, Office fédéral de la communication OFCOM, Norwegian Communications Authority, SRF - Schweizer Radio und Fernsehen, franceinfo, RTL, France Inter, Europe 1, NRJ GROUP, Les Indés Radios, WorldDAB

Un secteur en pleine évolution, mais toujours plus proche de son territoire. 

🔴 PLF 2025 : Qui veut la mort des radios associatives ? 🎧 Les radios associatives ont un rôle fondamental dans le paysage audiovisuel français. Elles sont un acteur clef de la communication sociale de proximité. 🎤En effet, fortes de leur ancrage territorial, elle reflètent les réalités locales économiques, politiques et sociales des territoires. Elles représentent des voix nouvelles, innovantes par des actions culturelles, des opérations extérieures ou des reportages terrain. 👩🎨La pluralité des contenus est unique puisque elle est favorisée par l'expression citoyenne locale. 📻 Aujourd'hui, cette richesse locale, cet espace de liberté et de proximité, sont menacés. Elle est menacée car le PLF, Projet de Loi de Finances 2025, qui prévoit une réduction de 30% du FSER, le Fonds de Soutien à l'Expression Radiophonique, qui représente un socle important du financement des radios associatives depuis 40 ans. Ecoutez cette émission fort intéressante sur la situation critique que les radios associatives sont en train de vivre : 👇 🙏 Si vous aimez votre radio associative varoise, RCF Méditerranée, n'hésitez pas à la soutenir par un don défiscalisable : https://don.rcf.fr/ Un grand merci pour votre fidélité ! #radio #podcast #rencontre #communication #proximité #sociale #économie #politique #reflexion #humanité #pluralité #diversité #contenu

Parler et faire parler de la Télévision Numérique Terrestre au travers du lanchement de France 2 et France 3 en TNT 4K Pour les professionnels de la TNT Les gestionnaires d'HLM Et les syndics de copropriété https://lnkd.in/eWjxixm2

PREMIERES MESURES DU DAB+ EN FRANCE. 8,5% DES AUDITEURS DES STATIONS DES INDES RADIOS ECOUTENT LE DAB+, CHAQUE SEMAINE En France, 1,6 million d'auditeurs écoutent chaque semaine en DAB+ les Indés Radios. Dans ce cas, ces 1,6 millions d'auditeurs via DAB+ doivent être comparés à une audience hebdomadaire totale des Indés Radios de 18,9 millions d'auditeurs, soit environ 8,5 pour cent. Ce ne sont que les premiers chiffres concrets d’écoute du DAB+ en France. Ce chiffre est issu du rapport (non public) EAR Insights Digital de Médiamétrie (septembre-octobre 2024), une étude d'écoute complémentaire sur l'EAR National, l'Île-deFrance et l'EAR Local. Il mesure la couverture radio à l'aide de la technologie du filigrane, grâce à laquelle un filigrane différent (imperceptible à l'oreille humaine) est transmis sur chaque plateforme (FM, DAB+, en ligne). Les Indés Radios sont les premières à intégrer des filigranes différenciés dans tous leurs flux, leur donnant désormais une image précise de l'écoute DAB+. Plus de 80 % des radios indépendantes sont présentes en radio numérique terrestre.

Un nouveau rapport de l'UER sur la radio en situation de crise souligne le rôle indispensable de la radio terrestre grâce aux technologies FM et DAB+, pour maintenir la continuité de la communication lors de ces situations extrêmes...

Pourquoi cette cata de la DAB en Suisse? Le problème de beaucoup de bureaucrates est qu'ils confondent leur feuille Excel avec la réalité. Le monde en général, et la Suisse en particulier, ne se réduit pas à une addition de chiffres sur une colonne. Par exemple, la mamie dans son EMS était très contente de sa radio FM et elle ne voyait pas du tout l'intérêt. Les explications sur la qualité du son ne vont pas convaincre ses oreilles défaillantes, elle n'a pas de budget pour s'acheter un gadget supplémentaire, et elle ne comprend rien aux questions d'optimisation des ondes radios ou d'économies sur les infrastructures. Même le soussigné reconnaît qu'une radio où il suffit de tourner un bouton jusqu'à ce qu'on trouve la bonne chaîne est immensément supérieure à ce machin où il faut une procédure à douze étapes pour arriver à enregistrer la chaîne qu'on veut. C'est sans compter le fait qu'en cas de catastrophe (ces évènements possibles en prévision desquels on entretient une Protection civile) la FM serait quand même plus robuste! Le gouvernement pourrait distribuer des récepteurs qui coûteraient cinq balles au plus à la pièce, et une personne un peu débrouille pourrait fabriquer un récepteur de fortune dans son garage avec une lampe électrique, du papier alu et un vieux casque à fil. Alors que là, si le réseau cellulaire et la fibre optique s'arrêtent en cas de catastrophe (ce qui n'est pas un risque mais une certitude), le Conseil fédéral pourrait aller jouer aux jass dans son bunker: parce que plus personne en Suisse n'aurait de récepteur hertzien, mis à part l'armée et la Protection civile! Et ils comptent distribuer des récepteurs radio à 50 balles la pièce au lieu de 5? L'argent serait mieux dépensé à former et équiper des secouristes pour déblayer les victimes des décombres, n'est-ce pas? Et pour fabriquer un récepteur DAB de fortune dans son garage, bonsoir... Face à ce désastre, et avec la myopie typique des bureaucrates, le prochain plan de réduction des dépenses publiques recommandera probablement de démonter tous les émetteurs de radio, parce que "l'expérience des dernières années a démontré que la radio ne sert à rien". En bref, la Suisse n'aura pas fait de "passage à la radio numérique", elle aura juste supprimé la radio tout court au profit de la fibre optique (après avoir supprimé la télévision hertzienne). En d'autres termes, la DAB n'a pas été pas un progrès technologique, mais un démantèlement du service public de la radio, assorti d'un bousillage de la protection civile. Voilà un bel exemple du consumérisme bureaucratique à la McKinsey, où la poursuite du "nice-to-have" et la promotion de nouveaux gadgets mène tout droit à l'arrêt de la fourniture d'un service de base.

J'ai été interviewé par Marina Alcaraz pour Les Échos sur l'audiovisuel public et l'enjeu de la maîtrise de la distribution numérique. L'organisation de la RTBF en deux pôles (contenus et médias) semble aujourd'hui la plus pertinente pour optimiser la diffusion des contenus dans l'univers ultra-concurrentiel des plateformes audiovisuelles. En effet, toutes les fonctions de distribution sont regroupées dans un même pôle média. C'est également l'organisation retenue par TF1, où le PDG Rodolphe Belmer est entouré de deux DGA : Ara Aprikian en charge des contenus et Claire Basini pour les activités BtoC. Quand on examine l'organigramme actuel de France Télévisions, cela semble beaucoup moins clair, le pilotage de la distribution apparaît comme plus éclaté. Qu’en pensez-vous, quelle est aujourd’hui la meilleure organisation pour un groupe audiovisuel ? https://lnkd.in/eetmvMMf

LE SIRTI SE FÉLICITE DES CONCLUSIONS DU LIVRE BLANC DE L’ARCOM    Le SIRTI se félicite du contenu du livre blanc sur la radio proposé par l’Arcom publié aujourd’hui dans le cadre des #AssisesDeLaRadio. L’analyse faite par le régulateur de l’audiovisuel et ses propositions reprennent en grande partie les demandes des radios indépendantes, notamment autour du soutien au déploiement du #DAB+ et de l’ajustement de la planification locale afin de préserver une offre de proximité pour les auditeurs.    Le SIRTI, initiateur de l’association #EnsemblePourLeDAB+ aux côtés de Radio France et des groupes nationaux privés (NRJ GROUP, GROUPE M6, Lagardère, Altice Media) approuve la proposition de faire de cette structure le pilote de la transition et de la gouvernance de la filière.    Nous espérons une prise en considération dès la rentrée par les pouvoirs publics des propositions formulées sur les enjeux financiers, en matière d’aide à l’équipement, à la diffusion et à la promotion afin assurer le succès de ce mode de diffusion et conforter le modèle économique de la radio. Il convient également d’aborder des sujets cruciaux pour notre média comme la problématique des mentions légales ou un réexamen des contraintes musicales.    Le SIRTI émet enfin une réserve concernant la suggestion d’une évolution des règles relatives à la #concentration dans le secteur. Si des évolutions doivent avoir lieu, elles doivent aller dans le sens du renforcement du plafond anti-concentration qui garantit le pluralisme de notre média, en retranscrivant notamment dans le DAB+ les règles actuelles en FM. Christophe Schalk, Président du SIRTI, commente : « Ce livre-blanc met en avant l’ensemble des constats et des mesures partagées par le secteur et son autorité de régulation. Nous attendons que le Gouvernement et le Parlement puissent se saisir de ces problématiques si essentielles pour le média du quotidien de 70% des Français. » #radio #proximité