🖇️ Liens vagabonds : Quand la tech défie la justice, l'affrontement Musk-Moraes au Brésil 🤼 Dans l'arène mondiale des médias sociaux, une bataille féroce se déroule entre Elon Musk, le magnat de la technologie, et Alexandre de Moraes, un des procureurs les plus implacables contre la désinformation. Leur affrontement, centré autour de la plateforme X, soulève une question brûlante : qui détient réellement les rênes de l'avenir de nos démocraties, les géants tech ou les États? 🤔💥 Le conflit a escaladé quand de Moraes a ordonné la suspension de X au Brésil, révélant non seulement une lutte de pouvoir mais aussi un clash d'égos. Musk, qui défend ardemment la liberté d'expression, se trouve à l'opposé de Moraes qui l'accuse d'entraver la justice. Malgré ses revendications, X a cédé dans 83 % des cas aux demandes de retraits de contenus par des régimes autoritaires. 📉🚫 ❓Dans ce nouvel ordre numérique, la ligne entre défense de la démocratie et censure devient de plus en plus floue. Le défi pour les démocraties sera de concilier la liberté d'expression, la lutte contre la désinformation et la préservation de leur souveraineté face à l'influence croissante des géants de la tech. 🏛️📲 #technologie #gouvernance #libertédexpression #démocratie #réseauxsociaux #ElonMusk et aussi cette semaine : 📺 🪦 Quatre réseaux sociaux attirent plus d'utilisateurs de la génération Z que la télévision linéaire (YouTube, Instagram, TikTok, Snapchat) [eMarketer] 😶🌫️ Les YouTubeurs sont presque trop faciles à duper (Pas étonnant que la Russie trouve ses idiots utiles parmi ceux qui sont extrêmement actifs en ligne) [dit The Atlantic] 🤖 Comment changer l'avis d'un chatbot, une expérimentation de Kevin Roose [NYT] (spoiler : entre autres par le retour du texte caché sur les sites web et la création de contenu alternatif) La suite ici ➡️ https://lnkd.in/eNCbjTbb
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🔍 Désinformation et pouvoir idéologique : l’influence des réseaux sociaux inquiète les États ! Au centre des débats, la lutte pour le contrôle de la désinformation versus la liberté d’expression 🗣️. Dernièrement, un bras de fer musclé entre Elon Musk et le juge Moraes au Brésil a mis en lumière la bataille entre les géants de la tech et les États autour de la sacro-sainte Démocratie ⚖️. Avec d'énormes bases de données 📊, et peu soumises aux régulations, les entreprises de la tech peuvent influencer les opinions publiques. Les États craignent de perdre leur souveraineté 🤯. Devenus des acteurs politiques voire idéologiques, les géants de la tech soulèvent des inquiétudes majeures sur la désinformation et le contrôle des messages diffusés. 📲💭 Au Brésil, la décision fut radicale puisque X est désormais suspendu depuis le samedi 31 aout (bien que sa PDM était relativement mineure jusqu’ici). 🤔 Et vous qu’en pensez vous ? #Désinformation #LibertéDexpression #RéseauxSociaux #Tech #Démocratie
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Le péril Musk Une « place publique numérique » au service d’une « démocratie fonctionnelle ». Telle était la profession de foi d’Elon Musk, en 2022, lorsqu’il a pris le contrôle du réseau social Twitter, moyennant la somme rondelette de 44 milliards de dollars. Garantir à tous la liberté d’expression : a priori, l’ambition semble louable. Elle a pourtant pris un tour terrifiant. Rebaptisée X, l’agora planétaire version Musk est devenue le rendez-vous de la désinformation, de la provocation et de l’outrance. Où sous couvert d’une liberté dévoyée gravée dans le marbre de la constitution américaine, homophobes, racistes et complotistes multiples et variés sont accueillis à bras ouverts. De ce chaos digital, l’influent patron de X, SpaceX et Tesla apparaît comme le meilleur ambassadeur. Celui qui partage régulièrement de fausses nouvelles à ses près de 195 millions d’abonnés semble prendre un malin plaisir, dès qu’il en a l’occasion, à attiser les divisions et à promouvoir partout les marchands de haine, autrefois bannis de la plateforme. Le procédé a eu des effets délétères au Royaume-Uni, où la récente flambée de racisme a été directement alimentée par des propos tenus sur X. Elle en a aux États-Unis, où le milliardaire pousse autant qu’il le peut la campagne de Donald Trump, quitte à calomnier le camp adverse, usant au besoin de la technologie du deepfake. Ce lundi, l’entrepreneur déroulait au candidat républicain le tapis rouge pour un entretien amical conduit pendant près de deux heures sans que la moindre contradiction ne soit apportée à ses délires xénophobes et climatosceptiques. Côté européen, le commissaire Thierry Breton a bien tenté de rappeler les règles de modération en vigueur sur le Vieux Continent. En réponse, Elon Musk a opté pour ce qu’il pratique le mieux : l’insulte. Brocardant une fois de plus l’État de droit qu’il prétend protéger, pour servir ses propres intérêts. Jusqu’à quand ? https://lnkd.in/ePYwXZKf
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Il y a quelques jours, Elon Musk expliquait qu'il ne comprenait pas les "réactions négatives" provoquées par l'AfD, parti d'extrême-droite allemand, si extrémiste pourtant que même notre fascisant RN le trouve désormais infréquentable 🙅♂️ "Nous ne siégerons plus avec eux lors du prochain mandat", avait ainsi déclaré le directeur de campagne de Bardella le 21 mai dernier, suite à des déclarations du chef de file de l'Alternative für Deutschland qui estimaient que les SS "n'étaient pas tous des criminels". Même si le RN n'est pas connu pour tenir ses promesses (Bardella lui-même vient de renier, ô surprise, sa principale promesse de campagne sur la "retraite à 60 ans"), le symbole est fort. Je l'ai dit dans un post ici, lundi : on évoque beaucoup, à raison, le rôle des médias dans le drame politique qui se joue en France ces dernières semaines. Mais trop peu le rôle de la #tech et des plateformes sociales. Quand on voit pourtant les prises de position, depuis des mois, d'une figure de l'industrie comme Musk, c'est difficilement compréhensible. Tout juste parle-t-on depuis quelques jours de la campagne Tik Tok de Bardella, qui, fidèle aux usages de la plateforme, ne traite que de la forme et pas du fond. Cette résurgence des délires de #Musk – qui n’empêche pourtant pas Viva Tech de continuer à l’accueillir comme si de rien n’était – est aussi pratique pour d'autres. #Zuckerberg, longtemps considéré comme le "techno-danger" numéro 1 pour la démocratie, après l'affaire Cambridge Analytica notamment, paraît désormais doux comme un agneau. On croirait revoir la dynamique Le Pen - Zemmour, l'un "dédiabolisant" l'autre par sa hargne, joué sur un autre registre. Dans ce cinquième numéro de "Tales from the Tech", je vous propose de revenir sur les récentes évolutions des rapports entre tech et #politique. Et surtout d'évoquer les différents courants de pensée qui sous-tendent, plus ou moins discrètement, les dernières évolutions de la tech, avec des impacts politiques et sociétaux majeurs. Des courants de pensée dont vous avez peut-être entendu parler : accélérationisme efficace, altruisme efficace, long-termisme, etc. Des "théories" quasi-mystiques, semblant tout droit sorties d'un pamphlet sectaire ou de l'esprit d'un piètre auteur de science-fiction. Le créateur de la Scientologie n'était-il pas lui-même un piètre auteur de SF ? Je vous mets le lien de cette 5ème édition en commentaire. Si cela vous plaît, n'hésitez pas à vous inscrire pour recevoir les prochains numéros, chaque mois. Et n'hésitez pas à faire tourner 🤗 Surtout : allez voter les 30 juin et 7 juillet prochains. Pour contrer les délires de toute puissance de nos "techno-prêtres" de service, nous avons besoin de démocraties fortes 🗳
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Le podcast « Complorama », animé par Rudy R. Reichstadt, de Conspiracy Watch, Tristan Mendès France, spécialiste des cultures numériques à l’Université Paris Cité, et Pauline Pennanec’h de Franceinfo, analyse le rôle d’Elon Musk dans la campagne présidentielle américaine de Donald Trump. L’homme d’affaires, à la tête de Tesla, SpaceX, et de X (anciennement Twitter), s’est fortement impliqué dans la stratégie électorale en Pennsylvanie, État pivot crucial. Elon Musk a investi 69 millions d’euros dans la campagne et promet un million de dollars quotidiennement à un électeur sélectionné dans un swing state, en échange de la signature d’une pétition défendant les premier et deuxième amendements de la Constitution. Le podcast souligne comment Elon Musk a adopté les théories complotistes liées à Dominion, l’entreprise fournissant des machines à voter, et a réhabilité des figures controversées comme Rudy Giuliani et Sidney Powell. Le podcast rappelle que Musk utilise X comme une « agora mondiale », réduisant drastiquement les procédures de modération pour redonner la parole à des personnalités controversées telles qu’Alex Jones d’InfoWars. Il relaye des accusations anti-démocrates, comme l’idée que les migrants illégaux seraient naturalisés pour voter en faveur des démocrates, ou des rumeurs de camps de rétention en Grande-Bretagne pour des émeutiers d’extrême droite. MM. Mendès France et Reichstadt notent qu’Elon Musk s’aligne sur la rhétorique trumpiste, jusqu’à proposer un retour aux bulletins papier comptés manuellement, en contradiction avec ses technologies de pointe. L’équipe souligne qu’Elon Musk se transforme en « troll » de premier plan, utilisant la plateforme pour diffuser des sous-entendus antisémites à l’égard de George Soros et défendre des figures de l’extrême droite européenne. Elon Musk, selon « Complorama », est devenu un quasi-vice-président de Trump, adoptant ses discours contre « le système » et amplifiant des récits conspirationnistes visant à contester une éventuelle défaite électorale. Le trio d’experts évoque le soutien du magnat à des personnages comme Alain Soral et Bjorn Höcke, ainsi que ses critiques des condamnations judiciaires qui frappent l’extrême droite. Le podcast conclut qu’Elon Musk a lié son destin à celui de Donald Trump, apportant une légitimité et une force de frappe nouvelle aux arguments de la « trumposphère », que ce soit pour revendiquer une victoire ou pour contester le résultat du scrutin du 5 novembre.
Elon Musk, pilier complotiste de la campagne de Donald Trump
radiofrance.fr
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EMEUTES AU ROYAUME UNI, ou "Emeutes au Royaume-Uni : quand Elon Musk entretient le climat de défiance via X" "Parce que les rumeurs et les fake news qui ont conduit aux premières manifestations, c'est notamment sur son réseau social X qu'elles ont émergé. C'est aussi X qui relaie aujourd'hui la propagande des mouvements xénophobes qui sont derrière les émeutes. Et puis, Musk s'implique personnellement dans les événements. Dimanche, il a tweeté, je cite, « La guerre civile est inévitable au Royaume-Uni ». Depuis, il continue dans la provocation. Il attaque le gouvernement, s'indigne aussi des peines de prison infligées aux émeutiers. Il les compare à celles prononcées contre des étrangers criminels qui seraient forcément moins sévères. Bref, il fait tout pour entretenir le climat de défiance et alimente le flot de haine raciste qui se déverse dans le pays depuis dix jours. Pourquoi met-il ainsi de l'huile sur le feu ? D'abord, il veut régler ses comptes avec Keir Starmer. Parce qu'au lendemain des premiers troubles, le nouveau Premier ministre britannique avait dénoncé le rôle nocif des réseaux sociaux. Et puis, Musk a sans doute en ligne de mire cette loi qui devrait entrer en vigueur l'année prochaine au Royaume-Uni. Elle obligera les propriétaires des réseaux sociaux à supprimer les contenus illégaux, notamment quand ils aborderont des sujets religieux ou raciaux. Et ça, ça ne plaît pas à Musk, pas du tout. Parce que lui, c'est un libertarien favorable à une liberté d'expression totale, quitte à ce qu'elle menace la démocratie. Il estime surtout que toute régulation nuit au business, et en particulier au sien. Après, on ne peut pas exclure que le milliardaire soit devenu le réactionnaire qu'il prétend être. Et qu'en bon mégalomane, il se pique de faire de la politique et d'influer sur le débat public. C'est ce qu'il fait aux Etats-Unis d'ailleurs, où il soutient Trump. On est même au-delà du soutien." [...] https://lnkd.in/e6DrVWV3 via @franceinter
Emeutes au Royaume-Uni : quand Elon Musk entretient le climat de défiance via X
radiofrance.fr
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A toutes, tous, La participation d’Elon Musk à la victoire de Trump fait beaucoup parler et c’est tant mieux. Quelques réflexions personnelles sur le sujet : 1) Elon Musk n’est pas au service de Trump mais au service d’un projet politique très clair qui peut faire rêver, qui repousse les frontières de la connaissance, de notre espace vital avec la course à l’espace qui fait toujours rêver (cf. notre nouvelle star Thomas Pesquet), qui donne un rôle majeur à l’humain libre inventeur de technologies qui vont nous sauver mais en plus nous transformer en Homme-augmenté (jamais en femme-augmenté, ça devrait être trop dangereux))) qui s’inscrit dans le très long-terme, d'abord pour lui même avec le transhumanisme qui trouve en ce moment une réalisation dans l’IA et les biotechnologies pour nous faire tangenter l’immortalité, mais aussi dans le temps long en pensant aux populations qui viendront après nous sur terre et ailleurs (et la conquête spatiale chez Musk est aussi expliquée comme cela, vous trouverez des éléments en vous intéressant notamment au courant de pensée de l’altruisme efficace). C’est d’ailleurs intéressant de constater l’incohérence totale entre d’un coté vouloir faire disparaître toute forme de frontières, y compris la frontière de la mort, et de l’autre soutenir un candidat qui veut toujours plus de frontières pour se protéger. 2) Elon Musk est une personnalité en marge de la société. Il est extrêmement connu mais il échappe à nos grilles de classification et nous avons donc tendance à le caricaturer. Ce sujet des marges de la société est essentiel. Trump s’intéresse aux marges, aux marginaux, à ceux qui se sentent marginaux, il va vers eux. Et je ne vous parle pas seulement des américains frustrés de leur situation mais bien de mouvements puissants comme le MMA (regardez le succès de la cage sur Netflix lancé ce week-end! Regardez toute la jeunesse que ce sport incroyable draine… Et pourtant nous en sommes encore souvent à porter des jugements moraux définitifs) ou la cryptomonnaie (qui peut dire qu’il n’a pas dans son entourage proche quelqu’un qui possède des cryptos? Et pourtant…). Et Musk s’inscrit bien dans cette société des marges. Sauf que ces marges font aujourd’hui le pouvoir et dessinent la société. 3) Elon Musk a un sujet financier. Il a révolutionné des modèles économiques et changé les règles du jeu de secteurs que l’on croyait impossible à pénétrer par des nouveaux entrants. Les entreprises de Musk commencent à peine à gagner de l'argent après avoir vécu de levées de fonds. La finance est pragmatique, Musk est désormais au cœur du Pouvoir, un Pouvoir qui le finance massivement, notamment dans les fusées. Il y a peut être donc une raison purement économique qui explique le soutien massif et de dernière minute de Musk à Trump. C’est un investissement dans le business Trump dont les dividendes viendront nourrir l’économie muskienne. N'hésitez pas à critiquer et compléter. Très bon dimanche, Micaël
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ELON MUSK ET LA DÉSINFORMATION : LA GRANDE BRETAGNE ET L’UE RÉAGISSENT, LA FRANCE TRÈS SILENCIEUSE – MÀJ 15 08 24 : L’UE RETROPEDALE MISE À JOUR 15 08 24 : VOIR ARTICLE 4 : La Commission européenne prend ses distances après la mise en garde de Thierry Breton à Elon Musk EXTRAIT : « Bruxelles désapprouve le moment choisi par le commissaire français pour hausser le ton face au patron de X avant son entretien avec Donald Trump. « La Commission européenne ne veut surtout pas être accusée de se mêler de la très tendue campagne présidentielle américaine. L’institution s’est distanciée, mardi 13 août, du rappel à l’ordre adressé par Thierry Breton, commissaire chargé du marché intérieur et du numérique, à X, pile avant la diffusion d’un entretien entre le propriétaire du réseau social, Elon Musk, et le candidat républicain, Donald Trump. » « Pourquoi Elon Musk semble intouchable » TITRE LE MONDE QUI POURSUIT : « Après avoir jeté de l’huile sur le feu des émeutes au Royaume-Uni, le milliardaire, coutumier des sorties agressives, semble échapper à toute répercussion. Le patron de X devait interviewer Donald Trump sur son réseau social, lundi soir. » Elon Musk, acteur politique de la droite extrême, puissance X TITRE PAR AILLEURS LE MONDE : « En deux ans, il a transformé Twitter en instrument de pouvoir au service de ses idées, qui n’en finissent pas de dériver. Le milliardaire sait aussi se montrer conciliant, y compris avec les régimes autoritaires, quand ses intérêts sont en jeu. « VOIR NOS PUBLICATIONS PRÉCÉDENTES ET LE DOSSIER METAHODOS : ELON MUSK ET LA DÉMOCRATIE : LES DÉRAPAGES SUR X – D’AUTRES « TECH » SOUTIENNENT KAMALA HARRIS – L’UNION EUROPÉENNE AVERTIT ELON MUSK ET ANNONCE DES MESURES https://lnkd.in/euEJTnqE …/…
ELON MUSK ET LA DÉSINFORMATION : LA GRANDE BRETAGNE ET L’UE RÉAGISSENT, LA FRANCE TRÈS SILENCIEUSE – MÀJ 15 08 24 : L’UE RETROPEDALE
http://metahodos.fr
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Elon Musk et ses alliés ne sont pas seulement des milliardaires de la tech - ce sont des acteurs politiques qui démantèlent activement la démocratie, diffusent des idéologies d'extrême droite et s'attaquent aux droits des travailleurs dans le monde entier. Qu'il s'agisse du refus de reconnaître les syndicats ou de la promotion de la haine et de la désinformation sur X, les actions de Musk constituent une menace directe pour les valeurs démocratiques et la justice sociale. En tant que syndicats et citoyens, nous ne pouvons pas rester les bras croisés. Nous avons pris position en quittant X - une plateforme désormais dirigée par l'agenda extrémiste de Musk - et nous appelons tous les démocrates à faire de même. Nous devons boycotter Musk, ses plateformes et ses produits pour envoyer un message clair : la démocratie n'est pas à vendre. Ce combat va au-delà des médias sociaux. Il s'agit de protéger nos libertés, de défendre les travailleurs et de veiller à ce que le pouvoir ne soit pas concentré entre les mains de quelques élites technologiques. Il est urgent de réglementer et de responsabiliser les entreprises pour mettre fin à la dictature des Big Tech avant qu'il ne soit trop tard. Lisez l'article d'opinion de notre président Frank Moreels pour comprendre pourquoi ce combat est important et comment nous pouvons agir ensemble ➡️ https://lnkd.in/eZbnf_YQ
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La guerre des Mondes ? D'un côté la sacro-sainte liberté d'expression chère au monde anglo-saxon, plutôt Protestant et ayant pour une grande majorité fuit l'Europe et l'hégémonie des pouvoirs Catholiques. Un temps de censure que l'on a probablement oublié chez nous. Cependant, le nivellement par le bas des contenus que l'on produit sur les réseaux sociaux, suscite quelques questions. Peut on tout dire et se permettre sur un RS ? Est ce un espace de non droit ? Est ce qu'une fake news doit être modérée ? Est-ce que que publier un mensonge factuel en fait une vérité digitale ? Est ce que le fait qu'aucun acteur européen n'existe dans ce monde est salutaire ? Tout en respectant le secret médical et saluant le côté créatif et entrepreneurial d'un Elon Musk. Est ce normal que la parole d'une personne présentant des troubles de communication sociale, évoqués par plusieurs proches dans sa biographie et non démenti par l'intéressé, construise l'opinion d'une masse de plus en plus importante de citoyens qui ne croise jamais les informations avec aucun travail journalistique sérieux ? Moi je pense que l'UE a raison d'encadrer ( ici le Digital Services Act ou DSA) et de légiférer ces médias de communication sur lequel circulent de plus en plus des mensonges ou du vide cognitif. Musk est suivi par des millions de followers certes, il est milliardaire, entrepreneur à succès. Rarement inventeur mais opportuniste certainement. Mais en insultant Thierry Breton, il insultéme 450 millions de démocrates européens. Souvent on nous dit que ce qui se passe aux États-Unis, s'installe en Europe des dizaines d'années plus tard... Non merci, pas ce genre de show business, Guys ! #DSA #RGPD #AIAct
Elon Musk insulte Thierry Breton après ses mises en garde pour son interview avec Donald Trump
lalibre.be
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Adieu X et bye-bye tes dérives et manipulations ! 👋 À mon tour de quitter X. Sans aucun regret. Avec soulagement. Ce réseau social est devenu un champ de bataille numérique. La désinformation règne. Suite aux licenciements massifs dont Musk se vante (80 % du personnel) il ne reste que 20 personnes pour s’occuper des fake news pour plus de 500 millions d’utilisateurs. Bonne chance ! Elon Musk transforme une plateforme de dialogue en mégaphone personnel. Il inonde mes fils avec ses propres narratifs. Même sans vouloir le suivre. Même sans avoir rien demandé. 😡 J’en peux plus de ses posts quotidiens pour soutenir ses copains aux théories très très à droite, complotistes, masculinistes, racistes. Ses tweets mensongers pendant la campagne présidentielle américaine ont été vus 1,2 milliard de fois ! Un bel outil de propagande. 🎯 Musk prône la liberté d'expression. Mais quelle liberté ? Seulement celle qui sert ses intérêts. Sa vérité devient LA vérité. Et il a le culot de nous dire de nous méfier des médias traditionnels en plus ! Comment ce bel outil de débat et qui pourrait être tellement utile à la démocratie est-il devenu cette machine infernale ignorant le droit, méprisant l'éthique ? C’est un avertissement crucial pour l’avenir de l’IA. La technologie n'est pas neutre. Son impact dépend de ceux qui la contrôlent. On préférait les gazouillis de Twitter au X destructeur. Rendez-vous sur BlueSky - le nom est prometteur ! 🌈
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