🌍 Récapitulatif Hebdomadaire : Les temps forts de la première semaine de la #COP29 à Bakou La première semaine de la COP29 a été marquée par des discussions riches et des initiatives inédites, démontrant un engagement mondial renforcé pour une action climatique collective. Voici les faits saillants de ces sept journées : ➡️ 𝐉𝐨𝐮𝐫 𝟏 : 𝐔𝐧 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐥𝐚𝐢𝐬 𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 H.E. Sultan Ahmed Al Jaber, président de la COP28, a transmis la présidence à H.E. Mukhtar Babayev de l'Azerbaïdjan. Les priorités incluent l’accélération de l’Article 6 de l’Accord de Paris et des financements climatiques renforcés pour les pays en développement. ➡️ 𝐉𝐨𝐮𝐫 𝟐 : 𝐓𝐫𝐢𝐩𝐥𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐞́𝐧𝐞𝐫𝐠𝐢𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐚𝐛𝐥𝐞𝐬 Le SG de l’ONU a appelé à une action immédiate pour tripler les énergies renouvelables d’ici 2030 et renforcer les financements pour l’adaptation, particulièrement pour les pays vulnérables comme ceux du Sahel. ➡️ 𝐉𝐨𝐮𝐫 𝟑 : 𝐓𝐫𝐚𝐧𝐬𝐩𝐚𝐫𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐚𝐮 𝐜œ𝐮𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐢𝐨𝐫𝐢𝐭𝐞́𝐬 Lancement de la Plateforme Globale pour la Transparence Climatique, une initiative visant à améliorer le suivi des progrès climatiques dans les pays en développement, grâce à des formations et des outils adaptés. ➡️ 𝐉𝐨𝐮𝐫 𝟒 : 𝐅𝐨𝐧𝐝𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐞𝐫𝐭𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐨𝐦𝐦𝐚𝐠𝐞𝐬 Institutionnalisation du Fonds pour les pertes et dommages, avec des engagements concrets pour soutenir les communautés affectées par des catastrophes climatiques, notamment dans le Sahel et les petites îles du Pacifique. ➡️ 𝐉𝐨𝐮𝐫 𝟓 : 𝐋𝐚 𝐣𝐞𝐮𝐧𝐞𝐬𝐬𝐞 𝐞𝐭 𝐥’𝐢𝐧𝐧𝐨𝐯𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐧 𝐚𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 Lancement du Réseau Global de la Jeunesse pour le Climat et mise en avant de solutions technologiques innovantes pour l’adaptation, telles que l’intelligence artificielle pour des alertes climatiques précoces. ➡️ 𝐉𝐨𝐮𝐫 𝟔 : 𝐋𝐞𝐬 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐥𝐢𝐠𝐧𝐞 Focus sur le rôle des femmes dans la résilience climatique, avec des initiatives pour renforcer leur accès aux financements et aux technologies, tout en soutenant leur leadership local. ➡️ 𝐉𝐨𝐮𝐫 𝟕 : 𝐂𝐥𝐨̂𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐭𝐡𝐞́𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 Discussions autour de solutions innovantes en finance climatique, comme les obligations climatiques locales, et évaluation des contributions record pour le Fonds pour les pertes et dommages. ✍️ Avec cette première semaine riche en initiatives, la COP29 se prépare pour la deuxième phase où les négociations de haut niveau définiront les engagements finaux. Suivez-moi pour des mises à jour quotidiennes ! #COP29 #ActionClimatique #JusticeClimatique #Innovation #FinanceClimatique
Post de Mahamadou ALHASSANE KOUZI
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🌍 #COP29 en débat : Les réflexions de M. Nabil Felah, expert en communication, gouvernance et stratégie, offrent des perspectives éclairantes sur les défis critiques du climat et les pistes d'action prioritaires : 🌀 Santé mentale face aux crises écologiques 👉 https://2ly.link/218K9 Les impacts du changement climatique ne se limitent pas aux catastrophes physiques. Felah met en avant l’effet des crises écologiques sur la santé mentale, en soulignant le stress et l’anxiété générés par des phénomènes comme les déplacements forcés ou la dégradation environnementale. Il propose d’intégrer cette dimension dans les politiques d’adaptation. 💧 Crise de l’eau et agriculture 👉https://2ly.link/21BiC L’accès à l’eau est au cœur des débats. Avec des ressources hydriques en diminution et des sécheresses plus fréquentes, Felah appelle à des solutions durables pour protéger l’agriculture, pilier de la sécurité alimentaire mondiale. 🌱 Santé des écosystèmes et santé publique 👉https://2ly.link/21E33 Dans une perspective innovante, il plaide pour que la santé des écosystèmes soit incluse dans les protocoles de santé publique. La protection des forêts, des océans et de la biodiversité est essentielle pour prévenir des crises sanitaires futures. 🌏 Mobiliser l’intelligence collective pour les ODD 👉https://2ly.link/21Flt Felah insiste sur le rôle crucial de l’intelligence collective. Il propose une approche participative impliquant gouvernements, entreprises, et citoyens pour accélérer la mise en œuvre des Objectifs de Développement Durable. 📊 Transparence climatique 👉https://2ly.link/21Igz Avec la présentation des premiers rapports biennaux à la COP29, il souligne les défis de la transparence dans les engagements climatiques. Une meilleure précision et des efforts concertés sont nécessaires pour restaurer la confiance entre les nations. Ces réflexions engagent à repenser les stratégies globales pour un avenir durable. 🔗 Visitez #MYScience 👉https://lnkd.in/d5cy_5hT Partagez avec nous vos réflexions: science@madha-yahduth.com #MyScience #Opinion #Bakou #COP29 #COP30
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Il faut reformer les COP! 🌍 COP29, COP16 et G20 : Quels enjeux communs ? 🌱 Posons-nous donc la question… Les négociations internationales sur le climat et la biodiversité avancent… mais à quel rythme ? 🌐 Alors que la COP29 vient de s’achever à Bakou, un regard croisé sur cet événement, la COP16 sur la biodiversité et le G20 s’impose. 🔹 #COP29 : Des financements encore insuffisants 💰 Un accord de 300 milliards de dollars annuels pour le #climat a été adopté, mais il reste loin des besoins estimés, laissant les pays vulnérables dénoncer un "greenwashing financier". 🔹 #COP16 : Des avancées sans moyens adaptés 🌳 Sur la biodiversité, des progrès ont été réalisés pour les peuples autochtones et la gestion des ressources génétiques 🌿, avec la création de nouveaux fonds et organes de représentation. 💡 Mais le Fonds-cadre mondial pour la biodiversité ne dispose que de 400 millions de dollars, bien en deçà des 20 à 30 milliards nécessaires chaque année. 🔹 Le rôle mitigé du #G20 (on ne sait pas si bien dire....) 🤝 Malgré la réaffirmation d’un objectif de financement climatique Nord-Sud, le G20 reste paralysé par des tensions géopolitiques ⚡. 🌐 Bien qu’il représente 80 % des émissions mondiales, il peine à impulser des actions concrètes, creusant le fossé entre ambitions et réalités. 💡 Un constat clair : Climat et biodiversité sont indissociables. 📉 Le rapport Planète Vivante 2024 du WWF révèle une crise alarmante : 70 % des espèces mondiales ont disparu depuis 1970, un phénomène lié à la perte de biodiversité aggravée par le changement climatique. 🔍 Ces sommets révèlent un manque de coordination globale face aux défis du siècle. 🌱 Avec un coût de transition estimé à 5 trillions de dollars par an, investir dans des solutions durables est une nécessité économique et morale. ⚠️ Le coût de l’inaction pourrait atteindre 38 trillions de dollars par an d’ici 2050. 💎 Pourtant, face à des actifs mondiaux évalués à 1310 trillions de dollars en 2022, les montants demandés par les pays en développement apparaissent dérisoires 🌏. L'argent est LA!!! 👉 Et vous, comment percevez-vous ces grands sommets ? 🌟 Sont-ils à la hauteur des enjeux ? Ne devrait-on pas réformer la COP… ? #RSE #CSRD #Sustainability #Agriculture
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[EN DIRECT 🔴 - #AETE2024] La COP qui valait 580 milliards de dollars ! 💰 C’est le montant estimé pour permettre aux pays émergents de s’adapter au changement climatique. À seulement deux mois de la COP 29, qui se déroulera du 11 au 22 novembre 2024 à Baku, les congressistes mènent la discussion et interrogent Claudine Bichet, Vice-présidente de Bordeaux Métropole en charge du climat, François Gemenne, politologue et Donald Martel, Député à l’Assemblée nationale du Québec sur les défis et solutions nécessaires pour relever ce défi. Claudine Bichet nous parle des ambitions de son territoire : « Nous avons décidé de prendre notre responsabilité sur les émissions que nous générons en dehors de notre territoire de Bordeaux Métropole. Il nous faut des outils et des financements pour relever ces défis à l’échelle locale mais aussi internationale. » 💭 Une conférence inversée, interactive et stimulante, pour préparer les grandes décisions de demain. #AETE2024 #TransitionÉnergétique #Dunkerque #COP29 #ChangementClimatique
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J'ai été ravi de participer hier à l'émission intitulée "Avec ou sans parure" de Radio Luxe , animée par la charmante et compétente Mme Asmae Souitat . Nous avons échangé sur les enjeux importants de la COP29 à Bakou et les décisions majeures qui ont été prises et qui façonneront notre avenir climatique ,notamment : 1. Accord sur le financement climatique : Un nouvel objectif collectif chiffré d'un montant de 300 Milliards $ par an entre 2025 et 2035, a été convenu pour soutenir les pays en développement dans leur transition écologique. 2. Adoption de l'Article 6 de l'Accord de Paris : Cette étape clé, après 10 ans de négociations, permettra de renforcer les mécanismes de marché du carbone pour une réduction efficace des émissions de gaz à effet de serre que ça soit dans le cadre d'une approche bilatérale volontaire ( Article 6.2) ou d'une approche mondiale supervisée par les Nations Unies (Article 6.4). 3. Opérationnalisation du Fonds pour les Pertes et Préjudices : Une avancée essentielle pour aider les pays les plus vulnérables à faire face aux impacts du changement climatique.Un budget de 730 millions $ est déjà disponible. Ce qui permets aux pays les moins avancés de proposer des projets. 4. Fonds d'adaptation : Des ressources supplémentaires ont été allouées pour aider les pays à s'adapter aux effets inévitables du changement climatique. Le débat a été riche et animé, grâce à la qualité des intervenants, notamment Mme Nadia Zeddou, Mme Wiam Samir , M. Brahim Lekhlif et M.Hafid Boutaleb. Bien que le temps n'ait pas permis d'aborder d'autres sujets importants notamment le point relatif au bilan mondial qui est crucial pour évaluer les progrès et les écarts par rapport aux objectifs de l'Accord de Paris sur le Climat , les échanges ont été , toutefois, d'une grande profondeur et pertinence. Je remercie encore une fois Mme Asmae Souitat pour sa brillante animation et Mme Fatim-Zohra Alaoui pour son invitation. Nadia ZEDDOU Wiam Samir 🌍 Hafid Boutaleb Brahim Lekhlif Abdelaziz BELHOUJI Asmae Souitat Fatim-Zohra H. Alaoui, MBA #COP29 #Climat #FinancementClimatique #RadioLuxe
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À une semaine de la #COP29 en Azerbaïdjan, quels enjeux de #justice #climatique sous-tendent le « New Collective Quantified Goal »? 💲En 2009, les pays développés se sont engagés à mobiliser 100 milliards de dollars par an pour soutenir les efforts climatiques des pays en développement, notamment en matière d'adaptation au changement climatique, de réduction des émissions et de transition énergétique. Cet engagement de 100 milliard par an, commencé en 2020, touchera à sa fin en 2025, nécessitant donc la création d’un nouvel objectif, le « New collective Quantified Goal » (#NCGQ) 🌍 La négociation du NCQG représente un enjeu de justice climatique majeur, puisque parmi les critères de négociations figureront à la fois le montant total des fonds alloués, mais également l’identification de la base des pays donateurs en fonction de critères qui divisent actuellement les négociateurs. La base de #pays #donateurs devrait-elle se constituer en fonction de leur niveau d’émissions historiques ou actuel ? Et en fonction des émissions nationales ou par habitant ? Par exemple, la Chine est le plus gros émetteur de gaz à effet de serre si les émissions historiques sont comptabilisées au niveau national, mais elle tombe à la 20e place si ses émissions sont ramenées au nombre d’habitants. La participation financière devrait-elle aussi intégrer le PIB par habitant ou intégrer des contributions volontaires des pays ? 📈 Les #émissions de GES historiques des pays peuvent être un angle de négociation parmi d’autres pour répondre au « qui financera » le NCQG ? Selon les scénarios de prospective énergétiques EnerFuture d’Enerdata, les pays non-membres de l’OCDE représenteront plus de 70% des réductions cumulées des émissions mondiales d’ici à 2050. En parallèle, alors que les pays développés ont le plus contribué aux émissions historiques cumulées à l’échelle mondiale depuis 1750, un partage équitable de l’effort de réduction est nécessaire, ainsi que des moyens financiers de la part des pays développés pour soutenir les efforts des pays émergents et en développement. La négociation du NCQG est un enjeu de négociations majeur de la COP29. Comme le souligne le rapport 2024 de la CNUCED paru juste avant la COP29 (https://lnkd.in/g7bYSh2u), les négociations du NCQG doivent à la fois répondre aux besoins qualitatifs et quantitatifs des pays en développement, tout en s’engageant à soutenir leurs plans climatiques nationaux (#NDC) sans aggraver les problèmes de dettes et en restant aligné sur une approche de répartition équitable des efforts.
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Ce que je retiens de cette #COP29 !! 😞 Elle s'est finalement achevée dans la nuit de samedi 23 novembre à Bakou sur un accord, mais un accord très décevant😖 pour les pays en développement. Elle laisse un goût amer pour ceux qui espéraient des avancées significatives et décisives. Bien que des engagements aient été pris, notamment pour augmenter les financements climatiques à hauteur de 300 milliards de dollars 💰par an, à compter de 2035 pour les pays pauvres menacés par le changement climatique. Ces promesses restent faibles, tardives et bien en deça des besoins des pays vulnérables. Les désaccords entre les grandes puissances et les nations en développement ont une fois de plus révélé un manque de solidarité globale. À mes yeux, cette #COP29 reflète une ambition insuffisante face à l’urgence climatique, avec trop de paroles et trop peu d’actions concrètes pour notre planète 🌍, comme l'a si bien déclaré le Secrétaire général de l’#ONU, António Guterres, réagissant aux résultats de cette conférence : " J'avais espéré un résultat plus ambitieux - à la fois sur le financement et l'atténuation - pour relever le grand défi auquel nous sommes confrontés..." Je reste toujours optimiste quant à la prochaine édition à Belem, au Brésil🇧🇷 qui, je l’espère, pourra répondre efficacement aux besoins des pays vulnérables pour limiter le réchauffement climatique sous le seuil des 1,5 °C🌡fixé par l’Accord de Paris en 2015, car chaque retard coûte des vies et détruit des écosystèmes. L’espoir est permis, mais l’urgence ne laisse plus place à l’inaction🏃♂️. #COP29 #COP29Azerbaijan #DéveloppementDurable #JeunessePourLeClimat #PartenariatsDurables #ClimateAction #Sustainability
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𝗟𝗲 𝘀𝘂𝗰𝗰𝗲̀𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗖𝗢𝗣𝟮𝟵 𝗻𝗲 𝗱𝗲́𝗽𝗲𝗻𝗱 𝗽𝗮𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗲𝘂𝘅 𝗾𝘂𝗶 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗮𝗯𝘀𝗲𝗻𝘁𝘀, 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗱𝗲́𝘁𝗲𝗿𝗺𝗶𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗰𝗼𝗹𝗹𝗲𝗰𝘁𝗶𝘃𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗲𝘂𝘅 𝗾𝘂𝗶 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝘀 La #COP29 a démarré officiellement le 11 novembre à #Bakou, en Azerbaïdjan, avec un objectif clair: définir une nouvelle ambition de financement climatique pour aider les pays vulnérables à s’adapter aux effets du changement climatique et réduire les émissions de gaz à effet de serre. Bien que certains des dirigeants des plus grandes économies mondiales soient absents cette année, cela n’affaiblit en rien la détermination des représentants présents. Le président sortant de la #COP28, Sultan Al Jaber, a inspiré les participants avec son discours d’ouverture : « Laissons la positivité l’emporter et alimenter le processus. Que les actions parlent plus fort que les mots. Que les résultats perdurent au-delà de la rhétorique. Et souvenez-vous, nous sommes ce que nous faisons, pas ce que nous disons. » Ces mots résonnent profondément pour les négociateurs africains, bien décidés à faire de cette conférence un moment d’action et de progrès, et non seulement de promesses. 𝑳𝒂 𝒑𝒐𝒔𝒊𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒍’𝑨𝑮𝑵 : 𝑼𝒏 𝑶𝒃𝒋𝒆𝒄𝒕𝒊𝒇 𝒅𝒆 𝑭𝒊𝒏𝒂𝒏𝒄𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒅𝒆 1,3 𝑻𝒓𝒊𝒍𝒍𝒊𝒐𝒏 𝑼𝑺𝑫 L’un des éléments phares de la stratégie africaine à la COP29 est la proposition de l'African Group of Negotiators (#AGN) : un objectif de financement climatique de 1,3 trillion de dollars par an pour les cinq prochaines années, jusqu’en 2030. Cette demande repose sur une décision de la Conférence ministérielle africaine sur l'environnement, et elle fixe les bases de la position africaine sur le financement climatique 𝑩𝒂̂𝒕𝒊𝒓 𝒅𝒆𝒔 𝑨𝒍𝒍𝒊𝒂𝒏𝒄𝒆𝒔 𝒂𝒗𝒆𝒄 𝒍𝒆𝒔 𝑷𝒂𝒚𝒔 𝒅𝒖 𝑺𝒖𝒅 L’Afrique peut également compter sur des alliances avec d’autres économies émergentes qui partagent des objectifs similaires. Des pays comme le Brésil, qui accueillera la #COP30 l’année prochaine, partagent des priorités alignées avec celles de l’Afrique, notamment en matière d’adaptation climatique et de protection de l’environnement. 𝑼𝒏𝒆 𝑽𝒊𝒔𝒊𝒐𝒏 𝑶𝒑𝒕𝒊𝒎𝒊𝒔𝒕𝒆 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒖𝒏 𝑨𝒗𝒆𝒏𝒊𝒓 𝑷𝒓𝒐𝒎𝒆𝒕𝒕𝒆𝒖𝒓 Face à ces défis, il est essentiel de rester optimiste. Les négociateurs africains apportent une perspective unique, basée sur la résilience et une forte volonté de changement. Ils se battent non seulement pour leurs communautés mais aussi pour un avenir plus juste et durable pour tous. Le succès de la COP29 ne dépend donc pas de l’absence de certains dirigeants, mais de la force collective de ceux qui ont choisi d’être présents. Les pays africains, forts de leur unité et de leurs solutions, peuvent faire de cette conférence une réussite. C’est l’occasion de montrer que l'Afrique n’est pas seulement une victime du changement climatique, mais aussi un acteur essentiel et innovant dans la lutte pour la justice climatique. #AFRICED@COP29
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Lancement de la COP de la Vienne ! Mais qu’est-ce qu’une COP départementale ? 🤔 Inspirée des « Conferences of the Parties (COP) » réunissant les États parties à la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), les COP régionales et départementales visent à définir au sein d’un territoire les leviers d’actions permettant d’atteindre les objectifs nationaux de réduction de GES et de protection de la biodiversité. La méthode des COP repose sur 4 étapes participatives : - Un diagnostic 📝 Effectué par l’ensemble des participants, il présente les actions en cours et déjà réalisées par les collectivités. - Un débat 🗣️ Où sont proposées des objectifs concrets aux acteurs territoriaux. - Un partage à l’échelle 🤝 Des territoires infrarégionaux (départements et périmètres des CRTE) avec une déclinaison indicative des actions à mener. - Une feuille de route🎯 Pour matérialiser le choix des engagements pris par secteur. Elle décrit une trajectoire crédible permettant d’atteindre les objectifs régionaux à l’horizon 2030. A l’issue de ces quatre étapes, la COP doit être finalisée au plus tard à l’été 2024. Dans le cadre de La planification écologique – France Nation Verte, l’ADEME participe aux COP selon ses compétences, avec un objectif : la planification territoriale de la transition écologique, et d’en être une des actrices aux côtés des collectivités et entreprises. 🌱 Mathieu ANGLADE - #transition #collectivités #entreprises
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#lecture #entretien #recherche 🌍 Comment faire face à l’injustice climatique ? La COP 28 et le fonds « pertes et préjudices » : tinyurl.com/4mxtdn3x 💡 Matthieu Wemaere est avocat inscrit aux barreaux de Paris et de Bruxelles et chercheur associé à l’IDDRI, un institut indépendant de recherche sur les politiques publiques et plateforme de dialogue multi-acteurs. Il a également travaillé pendant 6 ans à la Commission européenne comme juriste à la Direction générale de l’Environnement. Dans un entretien avec le LIEPP, il revient sur la création du fonds Pertes et préjudices. 📣 L’un des enjeux majeurs de la transition écologique est de garantir une certaine justice entre les Etats, qui font face de manière inégale aux impacts négatifs du changement climatique. Lors de la COP27 qui s'est tenue à Charm el-Cheikh fin 2022, le fonds « pertes et préjudices » a été créé, afin de réparer les dommages subis par les pays les plus impactés par le dérèglement climatique. Cependant les modalités d’application et de fonctionnement de ce fonds (bénéficiaires, contributeurs, montant des contributions...) restaient à définir. La #COP28, qui s’est tenue en décembre 2023 à Dubaï, a permis de trouver un accord concernant le financement des pertes et préjudices, notamment par l'intermédiaire du fonds. Que pouvons-nous attendre de ce fonds ? Comment fonctionnera-t-il concrètement ? 📌 Pour en savoir plus, lire l'entretien : tinyurl.com/4mxtdn3x #évaluation #recherche #politiquespubliques #COP #COP28 #COP27 #changementclimatique #environnement #transitionénergétique #justiceclimatique #droitenvironnement #écologie #Europe #injustice #ONU Sciences Po Sciences Po Research Urban School of Sciences Po Univ Paris Diderot Quadrant Conseil Société Française de l'Evaluation European Evaluation Society (EES) École de la recherche de Sciences Po Centre des Politiques de la Terre IG2E- Institut Génie de l'Environnement Eco-développement Ministère de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques France Stratégie / Services du Premier ministre Martin Hendel Charlotte Halpern
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A l’occasion de l’ouverture de la #COP29 à Bakou, nous publions notre nouvelle enquête BVA Xsight sur le changement climatique réalisée pour l'European Investment Bank (EIB). Menée auprès de plus de 24000 Européens et Américains, cette édition s’intéresse cette année à l’adaptation au changement climatique, alors que l’année 2024 bat déjà tous les tristes records sur le plan du #climat. J’ai le plaisir d’analyser les résultats de la France avec Adélaïde Zulfikarpasic dans une note pour la Fondation Jean-Jaurès : https://lnkd.in/etBzdqzD Des Français déjà très sensibilisés à ce sujet de l’adaptation : ● 56% jugent que l’adaptation doit être prioritaire dans les actions que doit mener le pays dans les années à venir, et 40% qu’elle doit être importante ● 90% des Français pensent qu’investir dans l’adaptation peut contribuer à créer des emplois et à stimuler l’économie locale ● 8 Français sur 10 reconnaissent avoir subi, au cours des cinq dernières années, les conséquences négatives d’au moins un événement climatique extrême sur leur vie quotidienne ● 80% d’entre eux reconnaissent qu’ils devront modifier leur mode de vie à l’avenir pour faire face au changement climatique ● 39% des Français pensent qu’ils devront déménager dans un endroit moins risqué et 28% dans une région ou un pays moins chaud Retrouvez également le rapport sur notre site : https://lnkd.in/eWfYfchm et les résultats de tous les pays sur le site de la BEI : https://lnkd.in/emytXJJr Thomas Froimovici Adélaïde Zulfikarpasic Cloé Boulais William Charles-Lavauzelle Régis Olagne
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