Post de MAÏA Africa

Pour les mêmes droits partout en France

Chers membres et sympathisants de MdM, Parmi les objectifs principaux de MdM figure la lutte contre la marginalisation des enfants métis dans les Pays des Grands Lacs et en particulier au Rwanda, où sévit toujours un fléau datant de la période coloniale. En effet, certains expatriés ont encore maintenant des relations sexuelles avec des jeunes femmes rwandaises peu éduquées et, en cas de grossesse, abandonnent ensuite leurs enfants métis. MdM souhaite arrêter ce fléau et réoriente désormais ses activités: 1)en intervenant auprès des autorités locales afin que des législations appropriées soient adoptées visant à condamner et pénaliser ces pratiques; 2)en soutenant la scolarisation d’une 30aine d’enfants métis au Rwanda pour qu’ils soient mieux intégrés dans la société rwandaise. Cela sera étendu à l’avenir au Burundi et en RDC (Kivu); 3)en formant des jeunes mères célibataires rwandaises d’enfants métis à des activités génératrices de revenus (coutures, broderies, agriculture etc…). Ceci, afin qu’en l’espace de quelques années cela soit les mères rwandaises, qui prennent elles-mêmes en charge la scolarisation de leurs enfants métis; 5) en facilitant les retrouvailles des métis coloniaux « déplacés » en Belgique avec leurs familles africaines et en faisant de même avec les familles africaines recherchant depuis + de 60 ans leurs enfants métis « déplacés » de force en Belgique. Cela nécessite régulièrement une prise en charge des frais de voyage, ainsi que des dépenses d’avocats! Grâce à la collaboration de Caritas International-Belgique, MdM a obtenu l’exonération fiscale des dons de 40€ et +. Ce qui signifie qu’avec un don de 40€ vous ne payez en réalité que 22€ après déduction fiscale. Si vous avez la possibilité d’être très généreux n’hésitez pas d’effectuer un virement permanent de 40€ par mois, 120€ par trimestre ou 480€ par an. Cela assurera une meilleure prévisibilité dans les dépenses de MdM. A titre d’exemple le coût de la scolarité d’un enfant au Rwanda tourne autour de 280€/an et MdM a 30 enfants actuellement en charge! Votre don peut être adressé: - Pour l’obtention de l’exonération fiscale des dons de 40€ et +: Au compte Fortis IBAN: BE88 0000 0000 4141 de Caritas International-Belgique avec la communication suivante: "P1516/METIS DU MONDE/RWANDA" - Pour ceux qui ne souhaitent pas d’exonération fiscale: Au compte Triodos IBAN: BE53 5231 4061 8753 de Métis du Monde (MdM) – Fonds de solidarité avec la communication suivante: « Scolarisation enfants métis au Rwanda ». D’avance nous vous remercions de vos dons et nous tenons à votre disposition et sur demande des informations complémentaires sur les enfants suivis et toutes nos actions de solidarité dans l’Afrique des Grands-Lacs et en Belgique. Antoinette Uwonkunda-Pening, Présidente de MdM et toute l'équipe de MdM. E-mail : contact@metisdumonde.org Site web : www.metisdumonde.org GSM/WhatsApp : +32 475 40 52 35

🎉 𝐋𝐚 𝐅𝐨𝐧𝐝𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐎𝐫𝐚𝐧𝐠𝐞 𝐆𝐮𝐢𝐧𝐞́𝐞 poursuit son engagement pour l’égalité des chances avec le lancement d’un projet d’appui à l’autonomisation économique des femmes dans les communes de Kaloum, Matam, et Matoto, à Conakry ! 🇬🇳 🤝 En collaboration avec 𝐥’𝐎𝐍𝐆 𝐂𝐨𝐧𝐯𝐞𝐫𝐠𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐃𝐞́𝐯𝐞𝐥𝐨𝐩𝐩𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐃𝐮𝐫𝐚𝐛𝐥𝐞 (𝐂𝐎𝐃𝐃), ce projet consiste à la 𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐥’𝐚𝐜𝐜𝐨𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝟔 𝐆𝐫𝐨𝐮𝐩𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐝’𝐈𝐧𝐭𝐞́𝐫𝐞̂𝐭 𝐄́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞 (𝐆𝐈𝐄) dans les secteurs de la saponification et du fumage de poissons, touchant directement 𝟏𝟓𝟎 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬 (𝟐𝟓/𝐆𝐈𝐄) réparties dans les 3 communes de Conakry. Avec un financement de près de 𝟐𝟎𝟎 𝟎𝟎𝟎 𝟎𝟎𝟎 𝐆𝐍𝐅, les objectifs de ce projet sont de: 📌𝑹𝒆𝒏𝒇𝒐𝒓𝒄𝒆𝒓 𝒍'𝒂𝒖𝒕𝒐𝒏𝒐𝒎𝒊𝒔𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒆́𝒄𝒐𝒏𝒐𝒎𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒆𝒕 𝒍𝒆 𝒍𝒆𝒂𝒅𝒆𝒓𝒔𝒉𝒊𝒑 𝒅𝒆𝒔 𝒎𝒆́𝒏𝒂𝒈𝒆𝒔 𝒂𝒑𝒑𝒂𝒓𝒕𝒆𝒏𝒂𝒏𝒕 𝒂𝒖𝒙 𝑮𝒓𝒐𝒖𝒑𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕𝒔 𝒅'𝑰𝒏𝒕𝒆́𝒓𝒆̂𝒕 𝑬́𝒄𝒐𝒏𝒐𝒎𝒊𝒒𝒖𝒆 (𝑮𝑰𝑬) 𝒔𝒊𝒕𝒖𝒆́𝒔 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒄𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒎𝒎𝒖𝒏𝒆𝒔 𝒅'𝒊𝒄𝒊 𝒎𝒂𝒓𝒔 2025. 📌𝐄́𝐭𝐚𝐛𝐥𝐢𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐟𝐢𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝟔 𝐆𝐈𝐄 𝐞𝐧 𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐪𝐮'𝐚𝐠𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐥𝐞 𝐚𝐮 𝐬𝐞𝐢𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐚𝐮𝐭𝐞́. 🌟Pour l’atteinte de ces objectifs, plusieurs actions sont prévues à savoir : ✔️ Recrutement d'un superviseur local et le former sur la méthodologie AVE&C (Association Villageoise d’Epargne et de Crédit) ✔️Formation des 𝟏𝟓𝟎 𝐦𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝟑 𝐚𝐠𝐞𝐧𝐭.𝐞.𝐬 𝐝'𝐚𝐧𝐢𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐦𝐞́𝐭𝐡𝐨𝐝𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐞 𝐀𝐕𝐄&𝐂, le leadership et les techniques de maraîchage, mais également en techniques d'expression en public et prise de parole. ✔️Dotation des six (𝟔) 𝐆𝐈𝐄 𝐞𝐧 𝐤𝐢𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐒𝐚𝐩𝐨𝐧𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐟𝐮𝐦𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐞 𝐩𝐨𝐢𝐬𝐬𝐨𝐧𝐬 ✔️Octroi d'une provision 𝐝'𝐮𝐧 𝐟𝐨𝐧𝐝𝐬 𝐝𝐞 𝐫𝐨𝐮𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐚̀ 𝟒𝟖 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬 les plus vulnérables (𝟏𝟔 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐜𝐡𝐚𝐜𝐮𝐧𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐞𝐬, soit 8 par GIE) à hauteur de 500 000 GNF par femme ✔️Sensibilisation sur le l'éducation des filles, les méfaits de l'excision et du mariage précoce/d'enfants ✨Cette initiative vient s'ajouter aux trois (3) autres déjà réalisées dans les localités de : Kankanma (Dabola) avec 𝟖𝟗 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬, Arafamoussaya (Kankan) avec 120 femmes et, Dounet et Soyah (Mamou) avec 𝟐𝟓𝟎 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬, avec le partenaire 𝐂𝐡𝐢𝐥𝐝 𝐅𝐮𝐧𝐝 pour un financement de plus de 𝟔𝟏𝟔 𝟎𝟎𝟎 𝟎𝟎𝟎 𝐆𝐍𝐅 de la FOG. 𝐏𝐚𝐫 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐢𝐧𝐢𝐭𝐢𝐚𝐭𝐢𝐯𝐞, 𝐥𝐚 𝐅𝐎𝐆 𝐝𝐞́𝐦𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐬𝐨𝐧 𝐞𝐧𝐠𝐚𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥’𝐚𝐮𝐭𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬. #FOG #GIE #AutonomisationDesFemmes #ÉgalitéDesChances #DéveloppementDurable #CODD

L'exploitation des enfants dans les petits commerces est une réalité troublante qui sévit dans de nombreuses villes de la République Démocratique du Congo (RDC). Cette pratique non seulement viole les droits fondamentaux des enfants mais perpétue également un cycle de pauvreté et d'abus. Les enfants, en particulier les filles, sont extrêmement vulnérables à ces exploitations, qui peuvent inclure des abus sexuels, comme l'a souligné Mme Mamy Wema, pionnière du mouvement MUKAZI.  La plate forme MUKAZI soutient que certains types d'activités économiques exercés par les enfants, contribuent à leur développement ainsi qu'au bien-être de leurs famille car ils leurs fournissent des competences, de l'expérience et les aides à se préparer à devenir des membres productifs de la société lors de leur vie d'adulte. Neanmoins, Cela ne doit être organisé que sous l'oeil de leurs parents à un endroit et à des moments bien programmer par eux. Le contraire de ça, le travail infantile prive les enfants de leur enfance, altère leur potentiel et leur dignité, en portant préjudice à leur santé physique et psychique. Il est impératif de dire "Non" à l'exploitation des enfants et de reconnaître que chaque enfant en RDC a des droits inaliénables qui doivent être protégés. Les adultes impliqués dans ces actes répréhensibles doivent être tenus responsables et jugés conformément aux lois en vigueur. La lutte contre l'exploitation des enfants dans les petits commerces nécessite une action collective et une prise de conscience à tous les niveaux de la société. Pour éradiquer cette pratique, il est crucial de mettre en place des mesures préventives et des systèmes de soutien pour les enfants à risque. Cela comprend l'éducation des communautés sur les droits des enfants, la mise en œuvre de lois plus strictes contre les exploiteurs, et la création de programmes de réhabilitation pour les enfants affectés. En outre, il est essentiel de promouvoir des alternatives économiques viables pour les familles, afin de réduire la dépendance à l'égard du travail des enfants. En tant que société, nous devons nous unir pour protéger nos enfants et garantir un avenir où leur bien-être et leur sécurité sont prioritaires. Chaque enfant a le droit de grandir dans un environnement sûr, de recevoir une éducation et de poursuivre ses rêves sans craindre l'exploitation. Il est temps d'agir et de faire respecter les droits des enfants en RDC.   Ir. YAGIRWA GEDEON GUIDE 

[FOCUS SUR NOS ACTIONS SOCIALES 3/3] 🔎 Aujourd’hui, focus sur l’axe 2 : Contributions à des associations ou organismes au Bangladesh 🤝 NUK (Nari Uddug Kendra) est une organisation non gouvernementale fondée en 1991 qui permet en premier lieu l’accès aux soins hospitaliers aux plus démunis et promeut également l’égalité des sexes et les droits de l’homme. SOLO Group soutient l’association depuis 2007 et contribue à faire fonctionner l’hôpital communautaire Agaroshindur. 🤝 The Sreepur Village, Bangladesh est une organisation caritative qui existe depuis 1981. C’est un endroit qui accueille les femmes veuves ou abandonnées par leur mari avec leurs enfants. Mais son rôle ne s’arrête pas à les recueillir. En effet, l’organisation va leur permettre d’avoir accès à des soins médicaux mais aussi à gagner en autonomie via des formations pour accéder au monde du travail : couture, élevage, fabrication de papier mais aussi pour apprendre à gérer un budget, des cours de cuisine et des activités diverses qui leur seront toutes utiles à leur sortie du Sreepur Village. Les enfants eux, reçoivent une éducation scolaire, artistique et sportive et ne sont pas séparés de leur maman, ils dorment et prennent leurs repas ensemble le soir. SOLO Group est fier d’aider cette association ! 🤝 La National Debate Federation Bangladesh (NDF BD) est l'une des plus grandes associations dedébat au Bangladesh. L'objectif est de donner aux dirigeants et responsables de demain les moyens de se créer une conscience sociale à travers la pratique du débat. Nous sommes fiers d’aider cette association. Découvrez plusieurs vidéos à ce sujet sur notre chaîne Youtube 👉 https://bit.ly/4aIGz6a #RSE #CSR #actionsociale #solidarité #textilepersonnalisable #customisabletextile #textilemedia #sologroup

LE 16 AVRIL, JOURNÉE MONDIALE CONTRE L’ESCLAVAGE DES ENFANTS. Instituée depuis le 16 avril 1995, la journée mondiale contre l’esclavage des enfants rend hommage au jeune pakistanais Iqbal Masih, après avoir été vendu par ses parents à l’âge de 04 ans et assassiné à l’âge de 12 ans pour avoir dénoncé l’esclavage qu’avec d’autres enfants il subissait. Cette journée rappelle également la continuité de cette triste et terrible réalité : l’esclavage existe toujours et des millions d’enfants en sont victimes partout dans le monde. Parmi les enfants esclaves, certains sont forcés de se marier, d’autres sont obligés de travailler. Environ un quart d’entre eux sont des domestiques (ménage, cuisine, jardinage…), d’autres dans la construction de bâtiments, dans des plantations ou dans des usines. C’est en Asie et en Afrique qu’on trouve le plus d’enfants esclaves. Il est donc très important de dénoncer toutes les formes d’esclavage des enfants et de soutenir tous les groupes qui défendent et protègent leurs droits. En Afrique, il y a quelques 41% d’enfants économiquement actifs au sein de la population, selon le Bureau International du Travail (B.I.T.). L’activité enfantine est en premier lieu tournée vers la subsistance familiale. Ainsi, le travail domestique requiert 37% des filles, soit la plus forte proportion au monde. À cela s’ajoute l’exode rural des jeunes vers les grands centres pour apporter un revenu d’appoint à la famille. Des centaines de milliers d’enfants se retrouvent donc cireurs de chaussures, vendeurs ambulants, etc. En Côte d’Ivoire, la lutte contre l’esclavage des enfants se cristallise autour de l’exploitation des enfants dans les plantations de cacao. Afin d’œuvrer pour l’élimination de l’esclavage des enfants en Côte d’Ivoire, le Ministère de l’Emploi et de la Protection Sociale, en collaboration avec le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF), l’Organisation internationale du Travail (OIT) et l’Organisation internationale pour les Migrations (OIM). Avec la mise en place du Comité National de Surveillance (CNS) et du Comité Interministériel (CIM) des actions de lutte contre la traite, l'exploitation et le travail des enfants l’État s’active à éliminer la traite des enfants surtout dans les plantations en Côte d’Ivoire (dans la région de la NAWA). #prevoyance

La reco du jour par les Cols Verts 💡 “Plus invisibles que les paysans, les paysannes !”, le reportage de Basta! en trois volets à ne pas louper. 👩🌾 Ces trois articles abordent les enjeux soulevés par le métier d’agricultrice. Le monde agricole est en effet un milieu de reproduction des inégalités de genre que cela se traduise par la répartition du travail reléguant les femmes aux tâches domestiques ou la complexité d’accès au foncier. Toutefois, on apprend également dans ce reportage l’utilité des groupes de travail en mixité choisie pour faire face à toutes ces difficultés. Car le 8 mars ne devrait pas être le seul jour pour s’intéresser aux droits des minorités de genre ! ✊ Pour plus d’informations à ce sujet, consultez le reportage très intéressant de Basta! : https://lnkd.in/eBgFPXKY #agricultrices #paysannes #luttonscontrelesinégalitésdegenre #Basta!

Le projet EFOR, Emancipation des Femmes et des Organisations Rurales, vise à renforcer l’autonomie socio-économique et les revenus des femmes travaillant dans les exploitations familiales et/ou impliquées dans des organisations professionnelles féminines (GDA/SMSA) spécialisées dans la transformation et la commercialisation de produits agricoles dans les régions de Béja, Kasserine et Gafsa. L’objectif est également de revaloriser le statut de ces femmes au niveau de leur famille et de leur communauté. D’une durée de 4 ans s’étalant de Mars 2023 à Février 2027, le projet est mis en œuvre par Expertise France, financé par L’Agence Française de Développement – AFD sous la maitrise d’ouvrage du Ministère de l’agriculture, des ressources hydrauliques et de la Pêche Maritime (MARHPM) et du Ministère de la famille, de la femme, de l’enfance et des personnes âgées (MFFEPA). #ProjetEFOR #Tunisie #Egalité

Remettre le réel au centre du village  Le Réseau Cocagne a publié la tribune ci-dessous, rejoignant beaucoup d’autres dans lesquelles nous nous reconnaissons, promouvant nos valeurs solidaires et nos pratiques inclusives. Les Jardins de Cocagne ont voulu parler ici de ce qu’ils connaissent, de là où ils agissent. Ces fameux territoires de la France des hectares qui ont voté Rassemblement national aux dernières élections européennes. La réponse n’est plus dans l’incantation progressiste, elle est dans l’engagement citoyen qui fabrique de la capacité d’agir avec les personnes quel qu’elles soient. Il y a, de ce point de vue, une vraie menace d’extrême droite contre ces valeurs et ces agirs, il y aussi une vraie faiblesse des partis du Front populaire quant à leur capacité de reconnaitre ces pratiques sociales et d’éducation populaire politiques dès lors qu’elles ne relèvent pas d’une allégeance ou simplement d’un affichage. Il y a enfin un impensé quasi-total de la société civile organisée de la part de la majorité présidentielle, nous l’avons vécu et mal vécu. Avec cette énième crise politique, « une fenêtre s’ouvre » pour nos organisations associatives et de travail social dès lors qu’elles réévaluent leur position et leur légitimité citoyennes et qu’elles pourraient l’exprimer clairement, frontalement, avec un programme progressiste. Comme le souligne un directeur de Jardin, il faut remettre le réel au centre et parler de ce que l’on connait, de là où on travaille. Certain-e-s se battent déjà avec des communes d’extrême droite (et d’autres bords) et arrivent à « négocier » leurs projets parce qu’ils ne souffrent d’aucune contestation possible par leur nature objective des sociologies locales, des territoires de vies. Il y a là un moment décisif de mobilisation citoyenne, il y aussi l’urgence d’une stratégie associative large pour refonder des actions publiques qui tiennent compte du réel. Sinon on s’y cogne. #iae #insertion #ess #legislatives https://lnkd.in/e4SEJfUs

[Les doubles invisibilisées de la terre] Les conjointes collaboratrices et les ouvrières agricoles sont un groupe hors du cadre. Comment exister dans la profession, quand on est une femme paysanne non installée à son compte ou associée ? 🙋🏻♀️ Nous sommes allées à la rencontre de plusieurs femmes pour recueillir leurs témoignages. Anne-Lise, Céline, Zoë racontent leur vécu, entre non rémunération, sexisme hors et dans les champs, précarité et difficulté d’accès au logement. Découvrez l’article complet sur notre site (lien en commentaire)