Prendre une Décision Éclairée Je suis touché qu’un jeune leader mauricien partage cette prise de conscience fondamentale et l'en remercie. « Agir sans faire porter le fardeau des décisions actuelles aux générations futures » dit Cédric de Spéville, CEO du groupe Eclosia. Savoir prendre la bonne décision est le défi quotidien de tous les leaders. Mais comment savoir si une décision est bonne avant d’en voir les conséquences? Les figures historiques comme Napoléon, Hitler, Mao, Staline étaient convaincus de la justesse de leurs décisions. Malheureusement, l'histoire a souvent révélé combien ils étaient aveuglés par leur propre démons. Cependant, grace à leurs actions disruptives, des avancées significatives ont eu lieu aux niveaux sociétal, économique, technologique, médical et politique. Aujourd’hui, dans un monde en proie à la tension, à la peur et à la perte de repères, beaucoup se tournent vers des leaders autoritaires, populistes, voir dictatoriels. Ils attirent l'attention par leur capacité à instaurer l'ordre et la stabilité. Mais comment distingué ceux qui comme Kagame, Lee Kuan Yew et De Gaulle ont élevé une majorité des leurs vers plus de respects, intelligence, créativité et conscience de ceux qui par cupidité ou par démence, attisent les foules à la haine et à la destruction? La clé réside dans le modèle de leadership conscient, qui repose sur une vision holistique et éthique. Décider en fonction du bien-être du plus grand nombre, présent et futur, est probablement le critère majeur que chaque leader doit intégrer. Depuis des siècles, et particulièrement depuis 75 ans, les choix de nombreux leaders politiques et économiques ont été motivés par la gratification instantanée de leurs électeurs ou clans. L'arrivée des bonus, des rapports trimestriels, des parachutes dorés, et des mandats gouvernementaux courts a stimulé la destruction de notre biodiversité et de notre diversité culturelle, impactant négativement l’avenir de nos descendants. Sortir de ces schémas demande vision, courage et un autoritarisme bienveillant. Le leader conscient doit incarner la compassion ferme. Cette capacité à prendre et à implémenter une décision désagréable à court terme pour le bien-être à long terme de nos descendants. Je propose un modèle éprouvé en six étapes pour prendre des décisions éclairées et conscientes dans la tourmente. Veux-tu développer ton niveau de conscience? Rejoins le challenge de 21 jours et suis le à ton rythme: https://lnkd.in/eM337aEz
Post de Marc-Antoine Tschopp 🌍
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🇫🇷 5 leçons de leadership apprises en renversant une dictature. Happy 14 juillet, jour de révolution ! 🧠 Un des meilleurs livres de leadership que j'ai lu est une BD d'Alan Moore (avec une très bonne adaptation ciné de 2006) : V pour Vendetta. L'action se déroule dans le futur à Londres. Un régime totalitaire opprime le peuple. V, un mystérieux anarchiste masqué, mène une révolution pour renverser le gouvernement. Il inspire une jeune femme à se joindre à lui. L'oeuvre explore la liberté, la justice et le pouvoir du peuple. 🙈 Comme V, mon leadership est participatif : j'aide ceux avec qui je travaille là où ils en ont besoin, qu'ils me le demandent ou que je le vois. Je n'impose (presque) rien. Pas assez même disent certains. Je cherche à créer un bon terreau et semer des graines (en vrai, je tue les plantes, je suis bien plus doué avec les humains). Je veux faire passer à l'action. Alors, qu'est ce que j'ai appris dans cette BD pour en arriver là ? 🙀 Le peuple ne devrait pas craindre son gouvernement. Le gouvernement devrait craindre son peuple Le pouvoir véritable naît du respect, pas de la peur. Un leader doit gagner la confiance de ceux qu'il dirige, non pas les intimider. La véritable autorité est dérivée du consentement et de la confiance. 🔫 Les idées sont à l'épreuve des balles Les idées justes sont indestructibles. Elles transcendent les tentatives de suppression. Promouvoir des idées durables et justes est le fondement du leadership. 👍 Ce ne sont pas nos compétences qui montrent ce que nous sommes, ce sont nos choix Le caractère et l'intégrité définissent un leader, plus que les compétences techniques. Faire des choix éthiques, souvent au détriment de ses propres intérêts, montre la véritable essence du leadership. Les choix difficiles révèlent la véritable nature du leader. 💣 La violence peut être utilisée pour de bonnes raisons ou pour de mauvaises, mais elle reste toujours violence La violence a toujours des conséquences imprévues. Un leader sage cherche des solutions pacifiques et constructives. Promouvoir le dialogue et la réconciliation est le chemin vers un leadership respecté et durable. 👺 Vous portez ce masque pendant tellement longtemps que vous oubliez qui vous êtes L'authenticité est cruciale. Les leaders ne doivent pas se perdre dans leur rôle. Ils doivent rester fidèles à leurs valeurs et motivations profondes. L'authenticité inspire confiance et permet aux leaders de rester connectés à leur humanité. 👉 Je conseille vivement cette lecture, pas que pour le leadership. Qu'en pensez-vous ? 🔔 Suivez-moi pour un cocktail de leadership, entrepreneuriat et cyber. -- PS: évidemment, aucun dictateur n'a été maltraité pour écrire ce billet.
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🌍 Un leader ne bâtit pas seulement pour aujourd’hui, il façonne l’avenir et laisse une empreinte durable. Devant les Colosses de Memnon, je ne peux m’empêcher de réfléchir à leur symbolique. Ces statues majestueuses, dressées il y a des millénaires, ne sont pas seulement des vestiges d’une époque révolue. Elles incarnent une vision, un courage, et une ambition qui ont traversé le temps. Elles témoignent de l’héritage laissé par un leader qui a marqué son époque. 💡 Et nous, en tant que leaders, entrepreneurs ou professionnels, que laisserons-nous derrière nous ? L’héritage d’un leader ne se mesure pas à la taille de ses réalisations matérielles, mais à la profondeur de l’impact qu’il a sur les autres. C’est la somme des vies que nous touchons, des valeurs que nous transmettons et des changements que nous inspirons. 👉 La responsabilité d’un leader, c’est de penser au-delà de soi-même. • Comment nos actions d’aujourd’hui influenceront-elles ceux qui nous entourent ? • Quels souvenirs, quelles valeurs, ou quelles inspirations planterons-nous dans les esprits ? • Quelles fondations poserons-nous pour les générations futures ? 🔥 Le secret ? Ne pas attendre. L’héritage ne se construit pas dans un grand moment de gloire, mais dans les petites actions quotidiennes. Chaque décision, chaque mot, chaque geste contribue à ce que nous laissons derrière nous. Un héritage ne se mesure pas en années, mais en vies transformées. 🎯 Alors aujourd’hui, je vous invite à agir : Prenez un moment pour réfléchir à ce que vous construisez. À ce que vous transmettez. Et si cette réflexion vous inspire, posez un acte concret. Cela peut être un encouragement, une transmission de savoir, ou simplement un moment de reconnaissance pour quelqu’un de votre entourage. ✨ Un véritable leader n’est pas celui qui brille pour lui-même, mais celui qui éclaire le chemin pour les autres. Nous sommes tous capables de créer un impact durable si nous agissons avec intention, humilité et vision. 💬 Et vous, quel héritage souhaitez-vous bâtir dès aujourd’hui ? Partagez vos réflexions en commentaires, car c’est ensemble que nous créons l’avenir. #Leadership #Vision #Héritage #Inspiration #ImpactDurable #DéveloppementProfessionnel
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Dans leur ouvrage Power, for All: How It Really Works and Why It’s Everyone’s Business, Julie Battilana et Tiziana Casciaro redéfinissent notre compréhension du pouvoir. Elles réfutent l’idée selon laquelle le pouvoir est intrinsèquement sale ou réservé à une élite restreinte. Au contraire, elles affirment que le pouvoir est un outil universel et indispensable pour provoquer des changements positifs, à condition de savoir l’exercer avec éthique. Les autrices notent que le pouvoir repose sur le contrôle des ressources valorisées par autrui, qu’elles soient matérielles ou immatérielles, comme la reconnaissance ou l’appartenance sociale. Contrairement à une idée reçue, l’autorité, qui confère un droit formel de commandement, ne garantit pas le pouvoir. Dans les organisations, les véritables agents de changement ne sont pas nécessairement les dirigeants, mais souvent ceux que les autres consultent pour des conseils ou un soutien. Le pouvoir peut engendrer deux effets toxiques : l’hubris, ou excès de confiance, et l’auto-centrisme, où les dirigeants deviennent insensibles aux besoins d’autrui. Pour contrer ces dérives, elles proposent deux antidotes. L’humilité, nourrie par la conscience de l’impermanence des succès, invite à reconnaître ses limites et à s’appuyer sur les autres. L’empathie, quant à elle, se cultive en comprenant les réalités d’autrui. Les autrices déconstruisent un autre mythe : celui selon lequel la richesse et le statut social sont indispensables pour accéder au pouvoir. Des ressources immatérielles, comme la moralité ou l’autonomie, peuvent compenser l’absence de richesse. De plus, l’histoire montre que l’action collective est un levier puissant pour redistribuer le pouvoir. Les autrices identifient trois rôles clés dans les mouvements de changement : les agitateurs, qui dénoncent les injustices ; les innovateurs, qui conçoivent des solutions ; et les orchestrateurs, qui implémentent ces solutions à grande échelle. Elles insistent sur l’importance de démocratiser l’accès au pouvoir pour éviter la concentration excessive entre les mains de quelques-uns. Le pouvoir, expliquent-elles, n’est pas un bien que l’on possède, mais une dynamique basée sur des interactions humaines. Cette perspective incite chacun à reconnaître son potentiel d’influence et à s’engager activement dans des causes collectives. Selon les autrices, la montée des inégalités et les crises actuelles — sanitaire, économique et environnementale — offrent une opportunité de réévaluer nos systèmes. Elles évoquent les méfaits du néolibéralisme, qui a renforcé les déséquilibres sociaux et écologiques. Cependant, ces crises pourraient aussi devenir un catalyseur de changement, si elles sont utilisées pour orchestrer des actions collectives et remodeler les hiérarchies de pouvoir créées par les humains. En conclusion, elles invitent à transformer le pouvoir en un outil partagé, fondé sur l’interdépendance et la coopération, afin de relever les défis globaux.
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Ecole de leadership : Venez avec moi dans votre imagination aux funérailles d'un être cher. Imaginez-vous en train de vous rendre au salon funéraire ou à l'église, de garer votre voiture et de sortir. En entrant dans le bâtiment, vous ressentez le chagrin partagé de perdre et la joie d’avoir connu qui rayonne du cœur des gens présents. En vous dirigeant vers l’avant de la pièce et en regardant à l’intérieur du cercueil, vous vous retrouvez face à vous-même. Ce sont vos funérailles, dans cinq ans. Toutes ces personnes sont venues vous honorer et exprimer des sentiments d’amour et d’appréciation pour votre vie. En regardant le programme que vous avez en main, vous voyez que le premier intervenant est de votre famille. Le deuxième intervenant est un ami. Le troisième vient de votre travail ou de votre profession. Le quatrième orateur vient de votre église ou d’une organisation communautaire dans laquelle vous avez été impliqué dans le service. Le cinquième et dernier intervenant est votre conjoint. Maintenant, réfléchissez profondément. Qu’aimeriez-vous que chacun de ces intervenants dise de vous et de votre vie ? https://rb.gy/c26vso
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Enfants, nous avons tous rêvé d'être ces héros de légendes, ceux qui, avec courage et sagesse, changeaient le cours des destinées. Aujourd'hui, à la tête de mon entreprise, je réalise que ces récits héroïques ne sont pas si éloignés de notre réalité. Là où émergent les défis, surgissent les leaders, pas avec des épées étincelantes, mais avec l'écoute et l'empathie en guise de boucliers. Il y a deux ans, notre navire a affronté une tempête : la transition numérique. Loin de m'enfermer dans la tour d'ivoire de l'exécutif, j'ai plongé dans l'arène avec mon équipe. Comme ces sages anciens, je me suis mis à l'écoute de mes collaborateurs, chacun porteur d'une part de la vérité nécessaire à notre quête. Nous avons façonné une table ronde, échos moderne de celles des chevaliers, invitant chacun à partager doutes et ambitions. Les idées ont fusé, se heurtant parfois, telles les vagues contre les rochers, mais toujours avec un respect mutuel. Les décisions n'étaient plus des décrets, mais des choix partagés, forgés dans le creuset de la diversité d'opinions. La cohésion n'était pas un mot vide de sens, mais la clé voûtée de notre entreprise, chaque voix écoutée se transformant en pierre fondatrice de notre succès. Nous avons navigué à travers les eaux troubles du changement en nous appuyant les uns sur les autres, éveillant un sentiment d'appartenance digne des plus grandes épopées. En plaçant l'humain au cœur de notre stratégie, nous avons non seulement survécu, mais prospéré. Notre environnement travaille désormais pour nous, avec nous, et le mot "équipe" a pris une toute nouvelle dimension. Je conclus sur cette note : soyons des leaders qui, à l'image des héros de nos enfances, inspirent et unissent. Parce que, finalement, la vraie force réside dans la capacité à élever ceux qui nous entourent, et à transformer ensemble l'ordinaire en extraordinaire. #Leadership #Equipe #Motivation #Innovation Si cette approche résonne en vous comme la corne d'appel à l'aventure, je vous invite à explorer davantage cette quête de l'excellence humaine en leadership. Découvrez les lectures incontournables pour affûter vos outils personnels de leadership en suivant ce lien et voyons ensemble vers quels nouveaux horizons nous pouvons naviguer : https://lnkd.in/ecM6YnJd
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Le leadership est la capacité d’un individu à inspirer et à guider les autres vers un objectif commun. Les entreprises ont besoin de leaders capables de prendre des décisions, porteurs d'une vision pour eux-mêmes, pour leurs collaborateurs et leur entreprise dans un climat de confiance. Si on définit la régénération comme "donner aux êtres vivants (dont les humains) les ressources leur permettant d’être en capacité d’atteindre leur plein potentiel dans leur environnement". Et postule que l’économie régénérative repose sur "l’économie de la mutualité pour poser un cap contributif à une coalition d’acteurs à visée régénérative réunie au delà du seul profit économique". Alors qu'en est il du leadership régénératif ? Certains se concentrent sur les qualités nécessaires pour faire basculer les collaborateurs d'une entreprise d'un modèle économique à l'autre. Pour beaucoup ça ne peut venir que d’un chemin de transformation personnelle, souvent spirituel toujours mené dans une grande humilité qui finalement croise le monde de l'entreprise. Bien sûr, la prise de conscience des rapports de prédation entre les humains et la nature est nécessaire à la prochaine évolution des comportements durable et coordonnée. Passer de la prédation à la régénération est une bascule de modèle mental majeure. Nous avons besoin de transformer notre rapport au pouvoir, pour abandonner la logique de conquête, de domination, et embrasser le pouvoir comme énergie, comme création démultipliée par la coopération. Penser le pouvoir non pas comme le pouvoir sur quelqu'un, une forme de domination, mais comme une forme d'encapacitation : le pouvoir de faire (ensemble). Mais c'est le propre du bon leader. Ce que la régénération apporte au leadership c'est l'intégration du vivant non humain dans le périmêtre d'action du leader. Comme dit Baptiste Morizot "Par sa prise de conscience du vivant, l’humain se rend capable de saisir le « tissu » du vivant dans ses interdépendances, et le « fleuve » du vivant dans sa continuité depuis l’apparition de la vie sur Terre. Or ce sont ce tissage et ces dynamiques qui rendent la Terre habitable pour nous et pour les autres, et on comprend par là que ce sont elles qu’il faut défendre, et dont il faut prendre soin, et pas seulement de chaque espèce séparée comme si elle était posée là sur un décor". Dit autrement le leadership régénératif, c'est prendre le leadership de l'écologie, pour défendre le vivant. Ainsi les leaders régénératifs continuent de développer les capacités des humains et portent la même attention aux non humains. Fort d'une intention personnelle. Dans un intérêt mutuellement bénéfique pour le vivant et pour l'entreprise. ✊ ❤️🩹 🤘 🧚 🦚 🌱 🎗️ 🦅 🐝 🌝 = 🕺 👉 Une note de réflexion à lire ici "Le leadership régénératif " : https://lnkd.in/egbgTgy9 Avec quatre exemples : - Interface - Patagonia - Faith In Nature - Fairphone NOUS SOMMES VIVANTS, LE COLLECTIF DE LA TRANSITION ECOLOGIQUE
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Dans l'ombre de notre réalité contemporaine, un récit se dessine, révélant les dynamiques de pouvoir qui façonnent le monde dans lequel nous vivons. Ce n'est pas l'histoire d'un leader éclairé guidé par la vertu, mais celle d'un dirigeant mû par ses intérêts égoïstes, une figure qui, bien que familière, reste dissimulée derrière le voile de la persuasion et du consentement apparent. Ce leader, par sa rhétorique habile et son charisme, parvient à rallier non pas une poignée, mais des milliers à sa cause, non par la force brute, mais par une manipulation subtile des désirs et des peurs. Son pouvoir ne réside pas dans l'aptitude à inspirer par l'exemple, mais dans l'art de convaincre que son intérêt personnel est, d'une manière ou d'une autre, aligné sur le bien commun, même quand il s'agit clairement d'une illusion. Dans cette réalité, la majorité se retrouve enchaînée non pas par des liens physiques, mais par les chaînes invisibles de l'acceptation passive. Comme l'éléphant retenu par une simple cordelette, nous restons paralysés, captifs d'un système qui favorise les désirs d'une minorité au détriment du bien-être collectif. C'est une manifestation de notre temps, où l'intérêt d'une poignée semble éclipser systématiquement les besoins de la majorité, creusant ainsi les fossés de l'inégalité et de l'injustice. Ce panorama n'est pas une fatalité mais un appel à l'éveil. La propriété et le droit à la propriété, conçus comme des piliers de notre société, sont devenus pour certains un droit à l'accaparement, exacerbant les disparités au lieu de les atténuer. Cette réalité actuelle, marquée par des crises écologiques, économiques et sociales, témoigne de l'urgence d'une réorientation vers des principes d'éthique, d'honnêteté, de développement durable et de partage équitable des richesses. Face à cette prise de conscience, la voie du changement semble s'incarner dans l'entrepreneuriat éthique, où les valeurs de justice et de durabilité priment sur le profit à court terme. En embrassant des modèles économiques alternatifs qui valorisent l'humain et l'environnement, nous avons l'opportunité de redéfinir le cours de notre avenir commun. Ainsi, la réalité de notre monde n'est pas seulement un miroir de ses dirigeants mais aussi le reflet de nos choix collectifs. En reconnaissant notre part de responsabilité et notre potentiel de transformation, nous pouvons commencer à dénouer les liens qui nous retiennent et forger un avenir où la majorité ne se contente pas de survivre sous la volonté d'une minorité, mais prospère à travers un engagement commun pour un monde plus juste et équitable. C'est dans cette prise de conscience et dans l'action collective que réside la clé pour arracher la cordelette et marcher librement vers un horizon renouvelé. Bien sûr, voici les hashtags sur une seule ligne pour faciliter la copie : #ChangementSystémique #LeadershipÉthique #UnitéEtAction #RéveilCollectif #JusticeSociale #DéveloppementDurable #ÉconomieÉthique
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Ça me rappelle évidemment l'aphorisme de Churchill, à propos des âges pour le conservatisme... "Combien sommes-nous, tournés vers l’avenir, avec l’impératif de devoir changer un système imbriqué par des crises ? Nous voulons du changement, du nouveau, du jamais vu. « Il existe un préjugé positif en faveur de ce qui n’a pas encore été essayé. Nous supposons volontiers que tout changement est, en quelque sorte, pour le meilleur, et nous nous persuadons facilement que toutes les conséquences de notre activité innovatrice sont elles-mêmes des améliorations ou, tout au moins, un prix raisonnable à payer pour obtenir ce que nous voulons. » Ces mots n’ont pas été prononcés il y a quelques années, mais au milieu du XXe siècle par le philosophe Michael Oakeshott (1901-1990)." [...] "Malgré la richesse de sa pensée, ce n’est pas le théoricien politique que je souhaite aborder, mais le philosophe, qui s’est penché sur une attitude qui, parce qu’elle n’est pas à la mode, est peut-être somme toute originale et pertinente. Il s’agit de notre disposition au conservatisme." [...] "En outre, Oakshott fait une importante distinction entre le « changement », qui est de l’ordre de ce qui est « subi » (contingence), et « l’innovation », qui est un changement impliquant nécessairement l’idée d’amélioration. Toute innovation sans une amélioration suffisante pour contrebalancer la perte de ce qui était familier avant sa création (par exemple, l’innovation pour certains outils) est dès lors aussitôt critiquée par l’individu disposé au conservatisme." https://lnkd.in/d22Hyv8D
Qu’est devenue notre disposition au conservatisme?
ledevoir.com
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les grands #leaders conduisent leur peuple sur une voie révolutionnaire, ce qui lui leur confère un caractère conflictuel ; tout changement majeur crée une opposition à ce changement, donc une révolution générera toujours des conflits évaluant le leader qui conduit au changement d'état du peuple. Le conflit est inhérent aux interactions humaines, c'est la manière dont vous interagissez dans le conflit qui détermine la qualité de votre #leadership. Les grands leaders ne passent pas beaucoup de temps à se plaindre des attaques de leurs adversaires (ce qui est previsible de la part de vos adversaires, imaginez Mike Tyson se plaignant des coup qu'il reçoit lors d'un combat) mais plutôt à savoir comment neutraliser et vaincre vos adversaires. Les grands leaders proposent des solutions pour vous conduire vers la terre promise, qu'il s'agisse du paradis, de la prospérité ou du progrès ; ce que Bouddha, Jésus Christ, le prophete Muhammad SAW ont fait. Dans le cas de Moïse, les Israéliens avaient raison de se plaindre de leurs conditions de vie dans le désert, qu'a fait Moïse ? Il n'a pas blâmé le fait qu'ils étaient dans le dessert, où il n'y a pas de boulangerie, mais il a pourvu la manne. Une révolution qui est un changement d'état pour le peuple vers le meilleur doit évidemment engendrer de meilleures conditions de vie pour le peuple, la plus grande d'entre elles est la religion qui promet le paradis, suivie par la politique promettant la prospérité et l'économie parlant de progrès qui est la croissance ; ainsi, passer d'un état à un autre qui est meilleur, cela s'appelle l'évolution ; une révolution doit faire évoluer la société vers un meilleur état, c'est pourquoi les grands dirigeants sont des révolutionnaires, ils contribuent à l'évolution de la société et de leur peuple, surmontant les conflits sur leur chemin en apportant des solutions aux défis auxquels ils sont confrontés. C'est la qualité des grands entrepreneurs qui ne se laissent pas dissuader par l'opposition, mais parce qu'ils sont orientés vers l'amélioration de l'humanité, ils proposent toujours d'excellentes solutions. Dans le milieu des affaires, le secteur où leur créativité peut s'exprimer magnifiquement est dans la technologie, c'est pourquoi nous trouvons du grand leadership dans l'espace technologique. Lorsque cela deviendra la norme en matière religieuse, politique et économique, alors notre monde sera la terre promise que nous esperons. Nous aurons alors du progrès, de la prospérité, avant d'atteindre le paradis.
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⚪️𝐋'𝐢𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐛𝐢𝐞𝐧 𝐜𝐡𝐨𝐢𝐬𝐢𝐫 𝐧𝐨𝐬 𝐝𝐢𝐫𝐢𝐠𝐞𝐚𝐧𝐭𝐬 Je crois que l’engagement politique est l’un des plus grands sacerdoces qui soit. Je crois qu’il faut être soit totalement fou, soit totalement ignorant pour désirer présider à la destinée de tout un peuple. Je crois qu’une grande part de notre malheur vient du fait que les personnes de bonnes moralités ont justement trop de valeurs pour se salir l’âme en politique. Paradoxe suprême, par leur refus de se salir, ils laissent toute la place à des personnes moins valeureuses d’influencer leur destinée. Choisir nos dirigeants est un acte de grande responsabilité. Comme des chefs d'orchestre, ils dirigent notre destinée collective, guidant nos sociétés vers des horizons de progrès, de justice et d'harmonie. Quand je constate que la parole de nos leaders n’a plus aucune valeur, je suis triste. Lorsque je vois le désintérêt actuel de la jeunesse pour la politique, je suis terrifié. Parce que l’Homme politique travaille d’abord pour la génération future, nous devons rechercher en nos dirigeants la vision qui transcende les intérêts personnels immédiats, la sagesse qui éclaire les décisions et la compassion qui embrasse toute l'humanité. L'intégrité, le dévouement et le courage sont autant de vertus indispensables qui doivent être évaluées avec soin. Leurs paroles doivent être dictées par la vérité, leurs actions empreintes de probité. Ils doivent être les architectes d'un monde meilleur. Nous devons apprendre et éduquer les générations futures à choisir leur leader. En choisissant des meilleurs dirigeants, nous édifions les fondations d'une société où chacun peut s'épanouir, où la justice règne et où l'espoir fleurit. 𝑩𝒐𝒏 𝒎𝒐𝒊𝒔 𝒅𝒆 𝑴𝒂𝒓𝒔 à 𝒕𝒐𝒖𝒔 𝒆𝒕 à 𝒄𝒉𝒂𝒄𝒖𝒏. 𝐽𝑒𝑎𝑛-𝑃ℎ𝑖𝑙𝑖𝑝𝑝𝑒 𝐺𝑈𝐼𝐷𝐼𝐵𝐼, 𝐶𝑜𝑛𝑠𝑢𝑙𝑡𝑎𝑛𝑡 & 𝐹𝑜𝑟𝑚𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟. #newmonth #valeursactuelles #moralpolicial #ethique #bienseillance #bienveillance #generationfutureleader
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