🚫 👩🏿 👩🏼🦳 Lutte contre les #violences faites aux #femmes et #filles dans les situations de crise en #Afrique centrale : Pourquoi l'action seule ne suffit pas.. 🚫 🤚En Afrique centrale, les femmes subissent des violences inacceptables en période de crise. Selon les Nations Unies et la coordination #humanitaire, des milliers de femmes et filles dans des contextes de conflit/crise ont été victimes de violences #sexuelles et continuent de l'être. Ces chiffres alarmants soulignent l'urgence d'agir pour protéger les femmes vulnérables et mettre fin à ce fléau sociétal qui persiste à travers les siècles. 🤔🚫Pour poursuivre la lutte contre la violence envers les femmes et #filles en contexte de crise en Afrique centrale, plusieurs pistes de #réflexion se dessinent : 👩🏿 👩🏼🦳 Il est essentiel de continuer à renforcer les dispositifs de protection et d'assistance aux femmes victimes de violences. Cela nécessite la mise en place de structures d'accueil sécurisées, de lignes d'écoute et de soutien #psychologique adapté aux #traumatismes subis. 👩🏿 👩🏼🦳 Parallèlement, une sensibilisation accrue au niveau communautaire et national est essentielle pour changer les mentalités et combattre la normalisation des violences faites aux femmes. L#'éducation à l'#égalité des #genres, la promotion du respect et de la #dignité de chacun, ainsi que la déconstruction des stéréotypes et des préjugés #sexistes sont des leviers puissants pour créer un environnement favorable à l'élimination de la violence. 👩🏿 👩🏼🦳 Soutenir les initiatives locales et les organisations de la société civile qui œuvrent pour les #droits des femmes est un moyen concret de renforcer la lutte contre les violences. Ces acteurs de terrain, souvent en première ligne, ont besoin de ressources et de soutien pour mener à bien leurs actions de #prévention, de protection et de plaidoyer en faveur des femmes victimes de violence. 🚫 🤚Enfin, il est impératif d'impliquer l'ensemble de la société, y compris les hommes et les jeunes générations, dans cette lutte. En faisant des violences faites aux femmes une cause collective, en encourageant le #dialogue et en promouvant des modèles positifs de relations, nous pouvons avancer vers un avenir où toutes les femmes vivent en sécurité et #dignité. 💪🏾💪🏻C’est un #combat collectif, la lutte contre les violences faites aux femmes en Afrique centrale est un devoir moral. Comme le dit un proverbe #africain : "Lorsque les femmes avancent, le monde avance avec elles." #16Jours d'activisme. #PasDExcuse à la violence sexiste #pasdexcuse à la violence envers les femmes et les filles #PasDExcuse à l’inaction #Aujourd’hui, le 25 novembre, est la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.
Tout à fait Marcelin ! La lutte contre les violences faites aux femmes et filles doit se faire avec l'implication de tous les acteurs afin d'aboutir à un changement positif et durable. C'est ce que les équipes IRC font au Tchad et dans plusieurs autres pays à travers les differentes approches : EMAP, SASA, GIRL SHINE...impliquant les filles et les garçons, les femmes et les hommes, les leaders communautaires... Le résultat de ce travail est visible au sein des communautés cibles.
Exactement, il faut agir maintenant.
Well said! On doit mener le combat jusqu’au bout. Ça doit commencer à la maison, au quartier et partout où nous sommes. Good job Marcelin RIDJA , un grand allié
I agree
Une bonne stratégie que plusieurs partenaires oublie; qui est l'implication direct des structures locaux dans les activités des préventions sur la lutte contre les SVBG. Si toutes les communautés sont sensibiliser et sont implique directement; nous espérons que des avances seront de plus en plus visible et significatives et que les hommes seront plus conscients de s'impliquent totalement aussi. Je me rappelles d'une zone où nous avons mener des activités de sensibilisation lié à l'égalité de sexe et la lutte contre le SVBG. Plusieurs communautés en avaient que des confusion entre l'égalité de sexe et l'homosexualités; et pour faire comprendre cette communauté sur les deux points ça nous avait pris du temps; mais aujourd'hui ; nous avons déjà des hommes qui ont changer leurs mentalité et les femmes et filles commencent à prendre part dans des réunions des prise des décisions au sein de leur communauté. Qui implique les organisations communautaires et locales dans les activités directement espère à un bon changement de mentalité de sa communauté.
Le post est top et je soutiens ! Dans mon pays, la RDC, les violences faites aux femmes sont de nos jours utilisées comme une arme de guerre pour contrôler et terroriser les peuples, détruire le tissu social des communautés locales et installer la stigmatisation. Au delà d'être seulement un vice ou une perversion, elles font aujourd'hui partie des tactiques de guerre des groupes armées. Les dispositifs de protection peuvent bien être mis en place mais tant que la cause du problème ne sera pas résolue nous continuerons à nous acharner jour et nuit à trouver des solutions palliatives aux conséquences.
Très informatif
J’adore
👍
Ancien enseignant avec plus de 25 ans d'expérience devenu expert en traduction | Propose des services de traduction, de relecture et de sous-titrage du français vers l'anglais et de l'anglais vers le français.
1 moisVotre post met en lumière un enjeu crucial. Au-delà des mesures de protection pour les victimes, il faut s'interroger : pourquoi certains hommes pensent-ils que la violence envers les femmes est acceptable ? En contexte de crise humanitaire, l’effondrement des structures sociales et l’impunité aggravent ces comportements. Ces crises amplifient les inégalités et normalisent souvent les violences. Il est essentiel d’éduquer les garçons dès leur jeune âge au respect et à l’égalité, même dans des environnements fragilisés, et d’intégrer des initiatives de sensibilisation sur les normes de genre dans les interventions humanitaires. Les hommes doivent aussi être engagés comme alliés pour briser ce cycle de violences et reconstruire des communautés où chacun vit en sécurité et dignité.