Post de — Marjorie LLOMBART —

Mercredi, on reçoit une entrepreneure spéciale : Arbia SMITI Arbia, c’est une entrepreneuse visionnaire et dynamique et la fondatrice et CEO de ROSALY, une entreprise innovante qui révolutionne la gestion des finances personnelles en France. Diplômée d'école d'ingénieur et de l'ESCP Paris, Arbia a su marier son expertise technique et son sens aigu des affaires pour créer une solution qui répond à un besoin crucial : l'accès flexible aux salaires pour les employés. Après avoir occupé divers postes dans le secteur de la technologie et de la finance, Arbia a identifié une lacune majeure dans la manière dont les entreprises gèrent les rémunérations et le bien-être financier de leurs employés. En 2019, elle a lancé Rosaly avec une mission claire : offrir une alternative aux prêts à court terme et aider les travailleurs à mieux gérer leurs finances quotidiennes. Rosaly permet aux employés de percevoir une partie de leur salaire avant la date de paiement habituelle, offrant ainsi une solution flexible et humaine aux imprévus financiers. Cette approche innovante contribue non seulement à réduire le stress financier des salariés, mais aussi à améliorer leur productivité et leur satisfaction au travail. Sous la direction d'Arbia, Rosaly a rapidement gagné en popularité et en reconnaissance, attirant des investisseurs et des partenaires de renom. La vision d'Arbia ne se limite pas à une simple application ; elle vise à transformer profondément la relation entre employeurs et employés, en promouvant une culture d'inclusion financière et de bien-être. En plus de ses succès professionnels, Arbia Smiti est une figure inspirante pour de nombreux jeunes entrepreneurs, particulièrement les femmes dans le secteur de la tech. Pour ne surtout pas rater cet épisode, on te conseille de 👇 T'abonner à notre chaine YouTube : https://lnkd.in/eG_aa8dz T'abonner sur ta plateforme d'écoute préférée : https://lnkd.in/eBxf67mS Let's go ! ✌

67% des dirigeantes d’entreprise gagnent moins de 1 500€ par mois et affirment ne pas vivre correctement de leur activité. J’ai découvert ce chiffre via un post d’Emilie Friedli, la fondatrice de Maison Mères, qui accompagne les entrepreneuses dans le développement de leur activité. Et ce chiffre m’a marquée. Car on enjoint les femmes à oser plus. Entreprendre plus. A coup d’images de “boss ladies” et de slogan à la “You can have it all”. Mais dans les faits, ce que je vois autour de moi, c’est que le système ne nous aide pas à y arriver. Il y a d’abord la charge parentale qui continue de peser de manière démesurée sur les mères, en particulier dans un contexte où trouver un mode de garde pour son enfant relève du parcours de la combattante. Mais il y a aussi un énorme sujet sur l’entourage et la perception que notre société a des femmes entrepreneures. Un homme qui devient entrepreneur est pris au sérieux, par défaut. Une femme qui monte une boite devra prouver d’abord qu’il ne s’agit pas juste d’un “passe-temps”, d’un “petit projet”. Et avec cette déconsidération, viennent les problèmes de financement. Car oui, en fonction de son business model, on ne peut pas forcément s’autofinancer et pour pouvoir lancer son activité et en vivre décemment il faut pouvoir d’abord se faire financer. Or, quand elles se financent, 75% des entrepreneures sont contraintes de recourir à du financement personnel. Pour que les choses changent, je pense qu’il est fondamental que le regard posé sur les femmes entrepreneures change, que notre potentiel économique soit compris et apprécié à sa juste valeur. —— 👋 Moi c’est Hélène, entrepreneure engagée et fondatrice de FEMCA. J’accompagne les femmes qui veulent prendre le pouvoir sur leur argent. ——

Les femmes entrepreneurs ont-elles un problème avec l'argent ? Entre conditionnement sociétal, rôle familial traditionnel qu'elles doivent encore endosser, prix de leurs prestations sous-estimés... Les entrepreneurEs sont 67% à gagner moins que le SMIC selon une étude Bouge ta Boite · France 😨 Pour découvrir tous les ressorts qui peuvent expliquer cette situation et nous pousser à la (ré)action, nous vous conseillons la lecture de cet article des Echos Entrepreneurs ⬇️ #entrepreneuriat #réseau #business #femmes

Vous savez quoi !!?? Les Femmes entrepreneuses ont la côte !! Les entrepreneuses prennent davantage en compte les questions sociétales, et sont tout aussi efficaces sur le plan de la conquête de nouvelles parts de marchés et encore plus dans le développement de nouvelles activités, Voila pourquoi elles doivent penser à se protéger, à protéger leur activité et leur famille, La protection financière des Femmes est trop souvent laissée de côté, et c’est une monumentale erreur, Mesdames, vous voulez vous consacrez sereinement à la réussite de votre entrepreneuriat, contactez-moi en MP, j’ai certainement les réponses aux questions que vous n’osez pas poser, Au plaisir de vous être utile…

Est-ce toujours possible d'entreprendre à Bruxelles ? Ma réponse (et mes solutions) 👇 Mardi, j’interviendrai sur invitation des Jeunes du Mouvement Réformateur (MR) et du BECI pour répondre à cette question. Une question que de nombreuses personnes se sont déjà posées… Entre les difficultés administratives, les coûts importants, les rentrées qui se font parfois attendre et un soutien trop limité… ❌ La tâche est parfois colossale. Vous savez probablement que je déménage pour la Suisse (ce sera pour août). Parce que j'ai encore du mal à y croire. Est-ce toujours possible d'entreprendre à Bruxelles ? Oui, à condition de changer certaines choses… urgemment ! 1) diminuer les taxes pour les entrepreneurs courageux 2) aider les parents-entrepreneurs qui cherchent des places dans des crèches Petite précision : Je suis apolitique. Je n’ai d’ailleurs aucune carte de membre dans aucun parti. Je suis simplement invitée comme oratrice. Je serai là pour défendre les entrepreneurs. Je serai là pour parler de mon expérience de femme entrepreneur. Je serai là pour encourager les familles monoparentales entrepreneures. J’y livrerai quelques-unes de mes clés pour tout de même réussir. Ça fait quand même 10 ans que je suis entrepreneure en Belgique. Mon départ en Suisse ? 💨 Ce n’est pas une fuite. Je ne pars pas parce que ma boîte est en faillite ou quelque chose dans le genre. Non. Ma structure et les clients belges restent. C’est juste que je veux offrir quelque chose d’autre à mon fils. À mon entreprise et à mon équipe. Et que je veux pouvoir plus développer mes affaires là-bas. Nous avons 2 bureaux et 2 structures (Bruxelles et Genève). Et ça ne changera pas. 😉👏🏽 Le lien pour vous inscrire est en commentaire, c'est gratuit 👇🏼

Est-ce toujours possible d'entreprendre à Bruxelles ? Ma réponse (et mes solutions) 👇 Mardi, j’interviendrai sur invitation des Jeunes du Mouvement Réformateur (MR) et du BECI pour répondre à cette question. Une question que de nombreuses personnes se sont déjà posées… Entre les difficultés administratives, les coûts importants, les rentrées qui se font parfois attendre et un soutien trop limité… ❌ La tâche est parfois colossale. Vous savez probablement que je déménage pour la Suisse (ce sera pour août). Parce que j'ai encore du mal à y croire. Est-ce toujours possible d'entreprendre à Bruxelles ? Oui, à condition de changer certaines choses… urgemment ! 1) diminuer les taxes pour les entrepreneurs courageux 2) aider les parents-entrepreneurs qui cherchent des places dans des crèches Petite précision : Je suis apolitique. Je n’ai d’ailleurs aucune carte de membre dans aucun parti. Je suis simplement invitée comme oratrice. Je serai là pour défendre les entrepreneurs. Je serai là pour parler de mon expérience de femme entrepreneur. Je serai là pour encourager les familles monoparentales entrepreneures. J’y livrerai quelques-unes de mes clés pour tout de même réussir. Ça fait quand même 10 ans que je suis entrepreneure en Belgique. Mon départ en Suisse ? 💨 Ce n’est pas une fuite. Je ne pars pas parce que ma boîte est en faillite ou quelque chose dans le genre. Non. Ma structure et les clients belges restent. C’est juste que je veux offrir quelque chose d’autre à mon fils. À mon entreprise et à mon équipe. Et que je veux pouvoir plus développer mes affaires là-bas. Nous avons 2 bureaux et 2 structures (Bruxelles et Genève). Et ça ne changera pas.😉👏🏽 Le lien pour vous inscrire est en commentaire, c'est gratuit 👇🏼

Dans un contexte où les travailleurs indépendants font face à des défis persistants, le gouvernement esquisse de nouvelles mesures pour soutenir l'entrepreneuriat en 2024. Mais au-delà des correctifs nécessaires, ne serait-il pas temps de placer véritablement l'entrepreneuriat au cœur de notre économie ? L'évolution de la législation en faveur des indépendants est encourageante, mais il reste encore beaucoup à faire pour faciliter leur quotidien. La précarité financière et les obstacles à la transmission-reprise d'entreprises sont autant de défis à relever. Cependant, pour réellement libérer le potentiel entrepreneurial, il faut développer une culture de l'entrepreneuriat et offrir un environnement favorable à ceux qui souhaitent se lancer. Vous souhaitez devenir entrepreneur.e mais vous n'avez pas encore d'idée de business ? La franchise peut-être un vrai tremplin. Faisons de 2024 l'année où l'entrepreneuriat devient réellement l'instrument du plein emploi et de nouveaux rapports au travail ? #entrepreneuriat #travailleurs #opportunites

⚠️ « Une récente étude canadienne révèle que seulement 0,6 % des entreprises majoritairement détenues par des femmes sont financées par du capital de risque contre de 2 à 4 % de celles détenues en majorité par des hommes. » En 2024, les femmes entrepreneures continuent de rencontrer des obstacles significatifs dans leur recherche de financement. Plusieurs facteurs sont recensés dans cet article, comme les critères souvent exigeants des investisseurs, réticents à l’idée de travailler avec de petites entreprises, ou qui fuient certains secteurs d’activités. Selon Ruth Vachon, « [les femmes entrepreneures] doivent avoir confiance en elles et en leurs moyens. Elles doivent avoir le goût du risque, une ouverture à se lancer et de la facilité à se vendre. Pour évoluer, elles doivent être accompagnées et soutenues par des gens qui vont les aider et les pousser. » Mesdames, ne sous-estimez pas la force de l’Humain dans votre parcours. Utilisez la puissance de votre réseau pour bâtir l’entreprise de vos rêves. Conseillères, marraines, communauté de membres, comités régionaux: le Réseau des Femmes d'affaires du Québec est à vos côtés à chaque étape de votre croissance! Lire l’article complet: https://lnkd.in/exNWHhFn Un article signé Maude Goyer chez La Presse. #femmesentrepreneures #entrepreneuresduQuébec

C'EST UNE RÉALITÉ DONT ON PARLE TROP PEU ! ... Derrière les publications éblouissantes sur les médias sociaux, derrière les punchlines bien senties, les célébrations et autres auto-proclamations se cache très souvent une dure réalité : L'absence de revenus ... D'abord imaginé et fantasmé comme une opportunité de se libérer des contraintes du salariat, entreprendre peut vite se transformer en cauchemar !! Pour réussir dans l'entrepreneuriat, et plus specifiquement l'entrepreneuriat individuel, il est selon moi essentiel de savoir préalablement prendre le temps d'acquérir ces trois habiletés : ✅️ LE MINDSET Passer du salariat à l'entrepreneuriat implique un changement d'état d'esprit. Savoir valoriser vos talents et savoir les monétiser est une étape parfois difficile à franchir. Cela peut sembler paradoxal, mais de nombreux solopreneurs ne se sentent pas légitimes à facturer leurs produits et services. ✅️ L'ADAPTABILITÉ Chaque situation nouvelle implique une prise de décision(s). Si établir une stratégie et des objectifs est utile voire nécessaire à la réussite entrepreneuriale, il faut savoir s'adapter aux circonstances. Le chemin est l'enseignant, l'expérience s'acquiert dans l'action massive et réfléchie. ✅️ LA GESTION DU TEMPS La liberté dans la gestion du temps est l'une des principales raisons à devenir entrepreneur indépendant. Il faut cependant avoir présent à l'esprit que derrière cette liberté se cache une froide réalité : vous êtes entrepreneur 24/24 et 7/7 ! Ainsi, 87% des créateurs d'entreprises individuelles génèrent des revenus mensuels inférieurs au smic et 70% d'entre eux abandonnent après 2 ans. D'autres finissent par prendre un job alimentaire en parallèle ... Entreprendre est un métier à part entière et il est parfois utile d'être accompagné dans l'acquisition d'habiletés et de compétences nécessaires à la réussite de nos projets. Je suis Frédéric Dabrowski, Mentor et Conférencier, fondateur du programme maforcedevente et j'aide les entrepreneurs à se libérer des blocages qui les empêchent de passer à l'action ou à se sentir légitimes à vendre leurs produits et services. Faisons connaissance, prenons rendez-vous : https://lnkd.in/dR9Q6D4g Derrière le mirage de l’entrepreneuriat, la réalité des patrons sous le smic https://lnkd.in/dVxpHDcv

51 555 entrepreneurs au "chômage" en 2023. Le chiffre claque comme une gifle. 140 chefs d'entreprise qui perdent leur emploi chaque jour. 40 de plus qu'en 2022. Ça pique. Le nombre de perte d'emploi des entrepreneurs atteint son plus haut niveau depuis la crise financière de 2016. Rembobinons. Près de 9 entrepreneurs sur 10 dirigent une TPE de moins de 3 salariés. Les petits se font bouffer. Les entrepreneurs expérimentés, à la tête d'une entreprise depuis 7 ans en moyenne, sont les premiers touchés. L'expérience ne protège plus. Toutes les régions connaissent un regain de pertes d'emploi. L'Auvergne Rhône-Alpes, l'Occitanie (+38%) et l'Ile-de-France (+37%) se prennent une claque. "L'inaction ne doit plus être une option" selon Anthony STREICHER, président de l'association GSC. Le cri du cœur. Il est plus que temps d'agir. On le sait, derrière les chiffres, il y a des vies... Des vies brisées. Des familles à nourrir. Des familles qui perdent leur maison. Mais surtout des années de travail réduites à néant. Alors que faire ? Choix 1 : Se lamenter, accuser... Pendant que le gouvernement tergiverse, il est urgent de prendre des mesures concrètes pour endiguer cette hémorragie. Sinon, gare au chaos. Choix 2 : Se serrer les coudes, retrousser les manches et avancer... Anticiper. Se préparer au pire, espérer le meilleur. Trouver des solutions pour générer des revenus complémentaires rapidement. Car nous le savons, les crises arrivent toujours par surprise. Et lorsqu'elles sont là, il est (souvent) déjà trop tard. Mais surtout. Ne pas rester seul.e Car c'est aussi dans ces moments-là que l'on voit qui sont nos vrais soutiens. Force à nous tous, patrons et patronnes de TPME. Merci à l'association GSC d'avoir partagé ces chiffres. Retrouvez les infos complètes dans leur observatoire : https://lnkd.in/eSvjREFh