Post de Mathieu Costagutta

Le tout-ski, mais à quel prix ? Pas évident de parler d'un sujet qui, tel un marronnier, agite les montagnes chaque hiver. Avec Sylvain Paley on s'est longuement interrogé sur l'angle à prendre pour parler des stations de montagne et de l'avenir du ski avec un regard neuf. Un regard qui ne soit pas redondant avec l'abondance d'articles qualitatifs déjà publiés sur le sujet. Et aussi pour éviter l’écueil stérile, du POUR ou CONTRE le ski. Avec ce souci en tête, on a donc décidé d'aller à la rencontre de deux personnes qui vivent dans leur chair ces bouleversements. L'un, Franck Piccard, a fait du ski le fil rouge de sa vie. D’abord en tant que sportif et champion de la discipline, puis en tant que chef d’entreprise dans cette industrie avec PICCARD SPORTS. L’autre, 🏔️Valérie PAUMIER ⏱ a fondé l’association Résilience Montagne dès qu’elle a pris conscience de l’impact imminent du dérèglement climatique sur les milieux alpins. Son but : permettre aux habitants de pouvoir continuer d’y vivre dignement. Ensemble, on s'interroge sur l'avenir de cette industrie et discipline sportive. Sur le coût que cela implique de continuer sur la voie du tout-ski. On évoque également ce que c'est que de vivre ces transformations, de voir les conditions de ski se dégrader, alors que pour certaines familles comme celle des Piccard, le ski n'est pas qu'un sport. C'est une histoire de famille ainsi qu'une histoire olympique. Notre enjeu avec cet épisode : faire prendre conscience que l'on ne peut plus skier aujourd'hui comme on skiait hier, et en toile de fond, aborder discrètement la question du renoncement dans le sport. Bonne écoute et merci à l'IGN (Institut national de l'information géographique et forestière) de nous soutenir dans cette belle aventure sonore. https://lnkd.in/eFH94DCW

🚴♂️Si je vous dis Sky, AG2R, Europcar, La Vie Claire ou encore FDJ, à quoi pensez-vous ? Et non, ce n'est pas une liste complètement hasardeuse de marques, mais bien des sponsors incontournables du cyclisme. À tel point que, si vous êtes un passionné de la Petite Reine comme moi, la seule évocation de leur nom ou la vue de leur logo ravive immédiatement des souvenirs. Mais alors, grâce à quoi ont-elles réussi à s’imposer comme des institutions de ce sport ?   🏆Le palmarès. C’est le principal facteur de notoriété pour le sponsor d'une équipe, notamment grâce à ses victoires et ses cyclistes les plus célèbres. C’est le cas de la formation belge Quick-Step, présente dans le peloton depuis déjà 21 saisons. Elle s’est distinguée du fait de ses innombrables succès dans les grandes classiques, mais aussi avec des coureurs comme Tom Boonen et Julian Alaphilippe.   👴La longévité. Lotto, la loterie nationale belge, le sponsor le plus ancien encore présent aujourd’hui, est acteur du cyclisme depuis 1985. Des entreprises comme AG2R LA MONDIALE (1998), FDJ (1997) ou Cofidis (1997), doivent leur notoriété dans l’Hexagone en grande partie aux exploits des équipes cyclistes qu’elles possèdent, rentrant ainsi dans l’imaginaire collectif des Français juilletistes.   ➡ Des changements majeurs apportés. Des marques ont modifié la façon de courir à travers leur équipe. L’un des exemples les plus flagrants pour moi est celui de la US Postal. Au-delà de son système de dopage interne, la formation américaine a élaboré la technique du rouleau-compresseur, muselant et essorant tous ses adversaires. Cette tactique défensive a ensuite été reprise par la Sky, qui a ajouté les fameux « marginal gains » pour dominer le peloton.   👕Le maillot. C’est à cela que l’on reconnaît avant tout une équipe, et donc une marque. Parmi les plus célèbres et mémorables, le maillot Mondrian de La Vie Claire, la formation de Bernard Tapie. La tunique qui a particulièrement marqué mon enfance est celle de la Euskaltel – Euskadi, avec son mythique orange présent dès que la route s'élevait. Et vous, quel sponsor d'équipe vous a le plus marqué ? Ce post est le premier d'une petite série consacrée au sponsoring dans le cyclisme. Alors restez connectés !

4 Vents Cup - Challenge Entreprises SPORTIF MAIS GÉNIAL !! Le Challenge Entreprises Crédit Agricole Finistère a donné vendredi le coup d’envoi de la 4 Vents Cup. Vent, soleil et mer formée ont constitué le menu d’une première journée riche en sensations et sportivement disputée. Une trentaine d’équipages ont répondu présent pour profiter des conditions de vent musclées, une quinzaine de nœuds de secteur sud-ouest le matin et un vent forcissant dans l'après-midi, mais qui n’ont pas refroidi les ardeurs de tout ce beau monde. Deux parcours côtiers ont pu être disputés sous un grand soleil, dans un clapot assez important. le moins que l’on puisse dire est que la journée a été riche en sensations À la remise des prix, tous les concurrents arboraient des mines réjouies : “C’était génial, sportif mais génial, une très belle journée”, se félicite Paul Moreau invité de l’entreprise Groupe Océanic L’équipage de PETTON Energies avec deux victoires consécutives s’impose logiquement au Classement général, devant Glaz - Crédit Agricole du Finistère et bellec-charpente-menuiserie.com. “ On est évidemment ravi de remporter cette course historique brestoise après de nombreuses participations, se félicite Matthieu Leys, dirigeant de Petton Energies. Les conditions soutenues étaient propices à notre bateau, un open 7.50, mais on a bien navigué, avec de belles pointes de vitesse sous spi. On a pris beaucoup de plaisir avec un équipage au top composé de salariés et de clients. C’était vraiment très sympa, merci à l’organisation et au comité de course”.   Le Challenge Entreprises Crédit agricole Finistère est une journée un peu particulière dans la vie de ces entreprises pour ces dirigeants et salariés qui partagent tous un même objectif : prendre du plaisir sur l’eau. “C’est un très bel évènement, confirme Marion Le Floc’h, commerciale chez GL events. Notre société a engagé deux bateaux, motivé une dizaine de collaborateurs ; on a passé une journée de cohésion incroyable !”   Au-delà de ces ambitions de collaboration et de team building, il s’agit aussi de soutenir une dynamique territoriale. “La 4 Vents Cup est un événement important pour nous parce qu’on fait partie des entreprises partenaires qui le propulse, détaille Bertrand Le Floc’h, co-dirigeant du Groupe GUYOT environnement. On a, pour notre part, à la fois une vie de sponsoring bateau de compétition et un ancrage territorial important, ici, à Brest avec une rade et un terrain de jeu exceptionnels pour ce sport. On est très heureux de contribuer au dynamisme de la voile dans le secteur brestois ; c’était logique qu’on soit présents sur cette course avec des collaborateurs passionnés.” 

Grosse nouveauté, cette année, sur le Challenge TERRE DE RUNNING – Strava. Faute de pouvoir accéder à la Piste de la Sarra, nous vous proposons de vous affronter sur un tout nouveau segment. Plus court, certes, mais ne croyez pas que ce soit un cadeau. Au départ de la Gare Saint-Paul, vous attaquerez directement dans le dur, en mode bourrin, par une phase « escaliers » bien velue avec l’enfilade de la montée des Carmes Déchaussées et de la montée Nicolas de Lange. Dès la dernière marche franchie, l’échauffement sera terminé. Comme vous serez chaud (ou déjà cuit), vous pourrez envoyer les watts sur une seconde phase roulante à souhait dans le Parc des Hauteurs. Le segment s’arrête au bout du chemin du Viaduc après avoir franchi les grilles du parc. Bravo ! Durant 4 semaines (du 8 avril au 5 mai), affrontez-vous et gagnez des bons d’achats Terre de Running de 70 euros ! Chaque lundi, les compteurs seront remis à zéro et vous aurez une semaine pour établir votre record et tenter de remporter votre bon d’achat … Attention, la meilleure performance sera uniquement féminine la semaine 15 (du 08/04 au 14/04) et la semaine 17 (du 22/04 au 28/04) et uniquement masculine la semaine 16 (du 15/04 au 21/04) et la semaine 18 (du 29/04 au 5/05). Et parce que nous ne sommes pas tous des cadors, un tirage au sort sera effectué parmi les participants avec peut-être la chance de remporter chaque semaine un bon d’achat Terre de Running de 40 euros. Pour participer : https://lnkd.in/e42yXXs8 Soyez forts mais ne vous faites pas mal, respectez vos limites ! On vous prévient, l’exercice est plus dur qu’il n’y parait. Cela vous chauffe délicieusement les cuissots et les bronches ne sont pas en reste. #challengetdrstrava #ultraboucledelasarra #terrederunning Terre de Running

La Fédération Française de Cyclisme n’aura pas son vélodrome tout neuf pour les championnats du monde 2027 en Haute-Savoie. Le choix du conseil municipal de la Roche-sur-Foron aurait-il été différent si la FFC avait financé l'équipement ? Avec un budget de 25 M€ c'est hors de question. Et pourtant, avec la LNC (ligue nationale de cyclisme), la FFC est assise sur un potentiel tas d'or. Le Tour de France bien sûr dont elle autorise l'organisation. "La poule aux œufs d'or" , "la vache à lait" d'ASO, dont on ne connait pas le résultat, une marge nette d'environ 20% sur un budget de 150 à 200 M€ selon les spécialistes, ça permet d'en construire des vélodromes ! Généreux ASO est mécène de la FFC sur le « Savoir Rouler à Vélo » dès le plus jeune âge ! Où est la solidarité entre le sport de masse et le niveau professionnel dans le cyclisme ? Une solidarité à laquelle les ministres des Sports de l’UE, opposés à la création d'une Superligue sont fondamentalement attachés ! Alors qu'en Suisse on s'interroge pour savoir si le Tour de France est à vendre (Il vaudrait entre 1 et 3 milliards d'Euros). C'est peut-être le moment de s'interroger sur un nouveau modèle d'organisation. « Gouvernance du sport :   Modèle interventionniste ou libéral, c’est peut-être le moment de choisir !  » comme disait Colin Miege. https://lnkd.in/e-KTvKVT

Un peu de musique, un peu de sport et de la bonne humeur 😃 C’est notre thématique, mais ça n’empêche pas d’être sérieux et de parler également d’environnement et pas seulement quand il y a canicule ou test décevant de l’eau de la Seine. On sait même jouer tout simplement avec une question simple ! 🥰 Quel est le poids de l’équipage de la voiture Radio Sports sur les routes du Tour à la pesée le dimanche 21 juillet pour l’arrivée à Nice ? 🚨JEU CONCOURS : la musette Radio Sports Tentez de gagner la musette Radio Sports qui contient : un Cadre Origine Cycles Axxome GTO, d’une valeur de 1 800€ un maillot vert Škoda FRANCE un maillot de la Equipe cycliste Groupama-FDJ signé par l'équipe Pro du Tour de France 2024, un sac surprise LCL , un coffret numéroté Ekoï avec 2 paires de lunettes, 1 bob Krys, 1 bob Cochonou, 1 bob Leclerc, et 1 Casquette FDJ. Pour participer, c'est simple c’est ici 👇 https://lnkd.in/eZePpwTR 🥰 Quel est le poids de l’équipage de la voiture Radio Sports sur les routes du Tour à la pesée le dimanche 21 juillet pour l’arrivée à Nice ? L’équipage composé de Christophe Pacaud , Thomas Vergouwen et de Jerome Armand pesait 260kgs au départ du Tour de France. Réponse A : Inférieur Réponse B : Égal Réponse C : Superieur 🎁 le gagnant sera tiré au sort parmi les bonnes réponses #RadioSports #LaMusetteRadioSports #JeuConcours 🍀 Doublez vos chances de gagner : ✅ en suivant Radio Sports et un petit like 💙 Bonne chance à tous 😃

Vive le sport, vraiment ? Le Tour de France s’achève dans quelques jours, et va faire place aux Jeux Olympiques. Ça m’a fait penser que ces deux événements de dimension internationale ont une gestion des sponsors vraiment différente. Quand l’épreuve cycliste offre la route à ses partenaires via la caravane, des activations dans tous les sens (coucou Brioche), sans que les sponsors d’équipes soient restreints, le CIO avait tendance à être beaucoup plus regardant.  Du coup j’ai vérifié si le fameux article 40 de la charte olympique avait évolué depuis 2016 (oui, je sais, ça me rajeunit pas 🙈 ).  Spoiler : oui Mais : c’est toujours pas très clair 🤓 Cet article définit les règles de communication, et notamment celles des sponsors des athlètes. Vous savez, ces marques qui accompagnent au quotidien les sportifs, souvent peu ou pas rémunérés pour leur pratique. Qui rêvent avec eux de médailles, d’accomplissement, et pourquoi pas de professionnalisation. Ces marques à qui l’on disait : ah ben non, tu as soutenu machin pendant 4 ans, mais là durant les jeux, tu n’as pas droit d’en parler. Tu ne peux pas te vanter d’avoir déniché une pépite, pas le droit de lui dire bravo (ou même merci). ☠ J’ai été dans le cas, et je peux vous dire que ça fait ch.. la marque, et ça fait ch.. l’athlète aussi. Depuis Tokyo 2020, la règle s’est adoucit, maintenant tout ça c’est « sous condition ». Par exemple, on peut mentionner machin dans une publicité « générique » (?) qui a débuté 90 jours avant le début des Jeux. Si je prend l’exemple de la sélection de cyclisme sur route, elle a été diffusée le 8 juillet. Ça fait un peu moins que ça non ? Aux sponsors d’anticiper voyons ! Encore plus dur, durant la période olympique, le club (structure associative la plupart du temps hein, au passage) « ne peut pas faire la promotion des Participants ni utiliser leur image » 😑 Bref, la règle a besoin de nombreux exemples pour être plus ou moins claire. Alors bien sûr, je comprends les enjeux marketing ( 🤑 ), mais quand même : - Je trouve que ça ne profite pas aux athlètes, qui ont besoin d’offrir une visibilité maximale à leurs sponsors. - Je trouve que ça ne profite pas aux sponsors « long terme », qui veulent « rentabiliser » leur investissement au meilleur moment. - Je trouve que ça ne profite même pas aux sponsors des Jeux, puisque les « périodes olympiques » durent 25 jours pour les JO et 21 pour les paralympiques… soit, à mon avis, bien trop peu de temps pour que ça imprime dans la tête du public. Conclusion : vive le bob Cochonou, le lion LCL. Et pour les Jeux, on va se concentrer sur l’essentiel : le sport ! La fameuse : https://lnkd.in/eXggcne4

🏌️⛳ Découvrez les racines fascinantes du golf et son évolution à travers les âges ! 🌟 Connaissez-vous l'histoire captivante du golf ? Ce sport emblématique, l'un des premiers à être codifié dans son fonctionnement, a des origines qui remontent à des temps lointains. Dès 1754, un ensemble de règles était édicté à Saint Andrews, en Écosse, jetant ainsi les bases du golf moderne. Pourtant, ses racines semblent plonger encore plus profondément dans le passé, avec des traces d'un sport similaire pratiqué aux Pays-Bas et ensuite exporté dans les Îles Britanniques au 15e siècle. Au tournant du 19e siècle, les premières compétitions féminines voient le jour, ouvrant ainsi la voie à une participation croissante des femmes dans ce sport prestigieux. Aujourd'hui, le golf est devenu un phénomène mondial, avec plus de 30 000 parcours à travers le monde et plus de 60 millions de passionnés qui le pratiquent. Le principe du golf est à la fois simple et exigeant, comme le décrit efficacement sa première règle : « Le golf consiste à jouer une balle avec un club depuis l’aire de départ jusqu’au trou en la frappant d’un ou plusieurs coups successifs conformément aux règles ». Une définition qui résume parfaitement l'essence de ce sport raffiné. Aux Jeux Olympiques, le golf est mis en avant dans l'épreuve du « stroke-play », où les joueurs s'affrontent pour réaliser le moins de coups possibles sur 18 trous, à réaliser quatre fois en quatre jours. Une compétition empreinte de tension et d'excitation, qui a marqué les esprits depuis son retour au programme olympique à Rio en 2016, puis à Tokyo en 2020. Le golf, bien plus qu'un sport, est un héritage culturel qui continue de captiver et d'inspirer des générations entières à travers le monde. Rejoignez-nous sur les réseaux Sociaux Instagram et TikTok pour toutes les actualités ! 🏌️♂️🏌️♀️⛳ #DiscoverGolf #GolfExperience #AdventureAwaits #HistoireDuGolf #Passion #JeuxOlympiques

Sport, solidarité et territoire portés par les domaines skiables savoyards ! Ce vendredi, les 35 domaines skiables de la section Savoie de DSF ont renouvelé leur engagement envers le sport et la jeunesse en remettant un chèque de 5,109 millions d’euros au Comité de Ski de Savoie, lors d’un événement organisé à Chambéry en présence de Marina Ferrari, ministre déléguée chargée de l’économie du tourisme. Un engagement en hausse de 10,9 % par rapport à la saison passée, illustrant le rôle essentiel des opérateurs de remontées mécaniques dans le développement sportif et territorial. Cette contribution, issue des ventes de l’assurance Carré Neige et du mécénat, s’accompagne d’une aide technique et logistique estimée à 4 millions d’euros pour soutenir les entraînements, les compétitions et l’avenir du ski savoyard. David PONSON, président de la section Savoie de DSF : "Nos actions visent à détecter et accompagner les jeunes talents tout en promouvant une pratique sportive respectueuse de notre environnement." Arnaud Mollanger, directeur général de Val d'Isère Téléphériques : "Carré Neige incarne la solidarité des exploitants savoyards et garantit la pérennité du mouvement sportif." Cette dynamique s’inscrit dans une vision résolument tournée vers l’avenir : éco-engagements renforcés, accompagnement des sportifs de haut niveau dans leur reconversion, et soutien à l’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques d’Hiver 2030. Ces actions illustrent une ambition commune : faire coexister performance sportive, préservation de l’environnement et rayonnement des territoires montagnards. Jean luc Boch - Yves Dimier - Thierry Schoenauer

🚴♂️ Le postérieur des cyclistes est le meilleur emplacement pour un sponsor sur le maillot d’une équipe ! Voici pourquoi 👇   Bien qu’il soit beaucoup plus petit que celui situé sur la poitrine, le haut du cuissard est l'espace publicitaire le plus vu par les téléspectateurs, d'après une étude de Repucom. Et pour cause, la télévision filme les cyclistes de dos, penchés la plupart du temps sur leur vélo. D'où une évolution vers des maillots de plus en plus harmonieux, pensés pour donner une visibilité maximale au sponsor de l'équipe à qui il donne son nom.   Et c'est la Cofidis qui a inventé le sponsor en haut du cuissard, lui générant une visibilité importante, sans mauvaise réaction du public. Depuis, toutes les autres formations ont imité l’équipe française et ont adopté cet emplacement.   Les marques présentes à cet endroit ont deux objectifs : ➡ Montrer leur engagement avec leur équipe ➡ Faire parler d’elles   Les fesses des cyclistes valent donc leur pesant d’or pour le sponsor qui s’y trouve, s’assurant une visibilité remarquable durant une saison entière.   Au-delà de l’esthétique, ces emplacements sont donc une véritable stratégie marketing, renforçant l’idée que le branding joue un rôle crucial dans le cyclisme. Pour moi qui regarde ce sport depuis longtemps, je me demandais souvent comment était choisi l'emplacement des sponsors sur un maillot, et je dois vous avouer que cette information m'a surprise. Je pensais, sûrement logiquement, que la marque située sur la poitrine ou le dos était la plus visible, étant plus grande en taille. Et vous, sur quelle partie d'un maillot pensiez-vous qu'un sponsor avait le plus de chance d'être visible ?