#CONGO_PAYS_EMERGENT_EN_2025 🇨🇬 En 2012, on nous a vendu un rêve. Celui d’un Congo émergent en 2025. Et nous, peuple confiant, l’avons aveuglément acheté. Mais aujourd’hui, il est temps de poser une question fondamentale : qu’avons-nous récolté de ce rêve ? 🌑 Une mascarade bien orchestrée, des slogans enivrés de promesses et des discours qui ne servent qu’à anesthésier notre conscience collective. #À_vous_dirigeants ! L’émergence n’est pas une illusion qu’on propage dans les médias ou les campagnes électorales. C’est un processus rigoureux, nécessitant des actes concrets et durables. Entre 2012 et 2020, plus de la moitié du temps prévu, qu’avez-vous accompli ? 🤔🛑 Rien ! Si ce n’est dégainer des excuses : la Covid-19, la crise financière mondiale, et maintenant un report tacite de cette émergence illusoire. Pire encore, aucun signal sérieux de développement ne pointe à l’horizon. Comment prétendre à l’émergence quand : 🔴 L’eau courante et potable reste un luxe. ⚡ L’électricité stable est un privilège. 🏥 Un système de santé décent demeure inaccessible. ⛽ La peinerie de carburant dans un pays producteur de pétrole comme le notre bat son plein, 📚 Les universités ferment sous les grèves à répétition risquant une année blanche, 👷♂️ Les jeunes sont abandonnés, sans emplois décents ni avenir clair. 🥖 Les denrées alimentaires explosent, pendant que le SMIG est à peine augmenté à 70 500 FCFA. Et pourtant, vous osez célébrer l’échec : seulement environ 20 000 jeunes orientés sur plus de 4 millions en âge de travailler, soit 0,5 %. Et vous en êtes fiers ?! Un peuple qui lutte pour sa survie ne peut pas espérer l’émergence. #Peuple_Congolais, #ouvrez_les_yeux ! 👁️ Ce système est à bout de souffle. Il ne nous offre plus que discours creux, promesses vaines et berceuses politiques. Jusqu’à quand allons-nous accepter cette #comédie_nationale ? Il est temps de se réveiller, de devenir les artisans du changement. En 2026, utilisons la voie des urnes pour poser les bases d’un #renouveau. Mettons à la tête de notre pays des femmes et des hommes compétents, capables d’agir, et non de discourir. 🙌 Nous méritons mieux, nos enfants méritent mieux. Le Congo mérite de se tenir debout, et non de sombrer davantage. La véritable changement commence par une prise de conscience collective. ✊🇨🇬 © Mathy Mavounia, Acteur politique, membre du Parti Les Souverainistes .
Post de Mathy Mav
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#Prelude pour une #Autre #Afrique #2025 Pour la grande majorité des jeunes africains, les années passent et se #ressemblent sans perspectives…. Nous devrions pourtant nous soucier un peu plus de cette jeunesse les crises à répétition sur le continent ne sont pas le fait du hasard…. Ce qui est en jeu c’est l’existence de nos pays en tant que #NATIONS. Pourtant, nous répétons partout notre amour et notre #engagement pour l’Afrique mais très souvent, ce sont là seulement que des #mots certains d’entre nous vivent presque entièrement dans le #passé et sont complètement #déconnectés de la réalité ou alors très souvent ils rêvent d’un futur pour lequel ils ne font rien pour le #réaliser…. Le continent est confronté depuis nos indépendances à la problématique du développement #économique et #social. La fin du colonialisme avait libéré de nouvelles énergies et suscité de nombreux espoirs en Asie et en Afrique. Plus de 50 ans après l'accès à l'Indépendance, contrairement aux NPI (Nouveaux pays industrialisés) asiatiques la grande majorité de nos pays situés sont #exclus des pôles économiques, ils observent du bord de la route la course au #progrès. Les dernières #décennies d’expansion économique ont généré des attentes d’emplois décents pour la jeunesse, sans réellement augmenter considérablement la capacité de les fournir. De vastes pans de la population sont toujours #marginalisés. Nous traînons comme un #boulet cette bombe démographique qui annihile toute possibilité de développement économique tout comme cette #faillite démocratique que la majorité de nos pays trainent comme une tare congénitale. Il existe pourtant des alternatives, nous pouvons commencer à poser les jalons d’une autre Afrique en 2025. Ma priorité serait d’arriver à l’impérieuse nécessité de bâtir une #vision à le long terme de #repenser le mode de création de richesses de nos pays. Il faut également se départir de cette #victimisation qui n’est pas loin d’une cancer. La fuite de responsabilités ne peut pas être une option…. Il nous faut également plusieurs #décennies de travail sans relâche et les défis sont énormes pour le continent. Nous ne devons plus être observateurs #passifs de l’univers en marche nous sommes tous dotés du pouvoir de #changer les choses si nous pouvons en prendre conscience, nous gagnerons par la force de notre vision le pouvoir de #transformer l’avenir de notre continent et là est notre défi…. #BonneAnnee2025
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25 juin 2024 : Ce que j’en dis… Dur métier que celui de la politique… #chroniques Dur métier que celui de politicien… Depuis que j’ai la possibilité de voter, mes croyances et mes priorités se sont heurtées à la dure réalité de la politique. Une chose est certaine, je vis dans un pays qui fait partie des pays les plus développés économiquement au monde. Les conséquences en sont multiples… L’environnement naturel est entièrement à mon service… ceci implique que son maintien en un bon état fonctionnel est une absolue priorité… Les lois qui régissent ma société sont de plus en plus compliquées… ceci implique que je suis désormais incapable de suivre ces règles sans avoir recours à des personnes qui en sont spécialistes… L’attirance du pays pour des populations qui souffrent des calamités qui sont oubliées ici, est immense… ceci implique de savoir comment faire pour les accueillir ou les rejeter… Les besoins primaires étant satisfaits de nouveaux besoins apparaissent comme le simple fait d’être totalement respecté dans son intégrité physique… ceci implique de nouvelles lois et donc de nouveaux moyens pour les appliquer… L’arrivée d’internet et son immense complexité est un bouleversement que je constate sans en mesurer parfaitement les conséquences…. Ceci implique une formation et une évolution de mes savoir… La mondialisation érigée en dogme et en promesse de félicité pour tous est soudainement questionnée… ceci implique une remise en cause à base de protection renouvelée… Inutile, je pense, de parler du réchauffement climatique, dont la complexité me rend fou dès que je m’en préoccupe !!! Au milieu de tout cela, des politiciens aux avis convergeant ou divergeant, ont quelques jours pour se frayer le chemin qui arrive à leurs rêves de pouvoir, de domination et de service… Dur métier que celui de politicienne… Pourtant, depuis que j’ai la possibilité de voter, la dure réalité de la politique heurte mes croyances et mes priorités… Le bonheur pour tous, l’élimination de la pauvreté, et tous les autres objectifs visés sont des horizons en constant recul, ce qui n’empêche nullement la poursuite des efforts !!! Ce que j’en dis…
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🚀100 jours pour changer le monde : un défi pour le Sénégal💯 Cent jours, une fenêtre temporelle si étroite, une opportunité si précieuse, un défi si immense. Le Sénégal, pareil à un navire voguant vers un nouveau cap, se trouve à ce moment charnière où les espoirs, les attentes et les craintes s'entrelacent dans une danse complexe. Un gouvernement fraîchement installé, scruté avec une curiosité mêlée d'appréhension, se retrouve sous les projecteurs de l'attention nationale. Mais ce n'est pas seulement à lui que revient la charge de transformer les rêves en réalité. Non, le peuple sénégalais, porteur de son histoire et de ses luttes, doit se tenir au cœur de cette métamorphose, en acteur principal, non en simple spectateur. Les cent jours de grâce, si vite engloutis par le sablier du temps, nous interpellent plus que jamais sur l'impératif de mobiliser les énergies collectives. Nul ne saurait sous-estimer la puissance latente du peuple sénégalais. Les jeunes, face à un horizon incertain, regorgent d'une énergie débordante. Les familles, malmenées par les assauts répétés de la vie chère, exhibent chaque jour une résilience à toute épreuve, une adaptabilité hors pair. Les travailleurs, malgré les soubresauts économiques qui les secouent, persistent avec une détermination farouche à bâtir un avenir meilleur. Le moment est venu de conjuguer nos efforts, de tisser ensemble la trame d'un nouveau récit national. Les solutions ne sauraient émerger uniquement d'en haut ; elles doivent éclore des profondeurs mêmes de la société sénégalaise. Les programmes d'emploi temporaire, forgés en partenariat avec les communautés locales, peuvent offrir aux jeunes des débouchés prometteurs tout en répondant aux besoins cruciaux de notre société. Les projets axés sur le développement durable, qu'ils s'articulent autour de l'écologie ou de l'action sociale, disposent d'un réservoir inestimable de ressources et de talents qui ne demandent qu'à être mobilisés. Face à l'étreinte étouffante de la vie chère, l'union fait plus que jamais la force. Les communautés locales, bastions de solidarité et de résilience, doivent jouer un rôle central dans l'élaboration de mécanismes d'entraide, de coopératives et d'autres initiatives visant à soulager le fardeau pesant sur les épaules des familles. Quant au gouvernement, il lui revient d'ouvrir grand les portes du dialogue avec les forces vives de la société, qu'elles émanent des rangs syndicaux, des mouvements sociaux ou de la jeunesse. Transparence et communication ouverte : tels sont les piliers sur lesquels doit reposer toute action gouvernementale. Le peuple sénégalais, garant de sa destinée, a droit à la clarté, à la compréhension des décisions qui façonnent son quotidien. En définitive, les défis qui se dressent devant le Sénégal ne sauraient être relevés par le seul gouvernement. C'est un effort collectif, une mobilisation générale qui doit mobiliser tous les acteurs de la société.
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Dans un monde où l'espoir semble s'effriter, il est douloureux de constater que les promesses d'un avenir radieux pour la jeunesse sont souvent de vains discours. « Aucun pays au monde n’a été développé par la Banque mondiale ni par le FMI », ces mots résonnent comme un cri de désespoir. Ils évoquent une réalité amère : des institutions qui prétendent soutenir le progrès, mais dont les actions se heurtent à la dureté du quotidien des peuples. Les dirigeants, en proclamant que l'avenir appartient à la jeunesse, semblent oublier que ces mots doivent être accompagnés d'actions concrètes. Comment peut-on parler d'avenir lorsque les jeunes sont laissés à la marge, sans formation adéquate, sans accès à des opportunités d'emploi ? Les promesses d'un demain meilleur se heurtent à la réalité d'un présent où l'inégalité et la précarité sont omniprésentes. Un pays moderne, avec ses infrastructures flamboyantes, peut facilement donner l'illusion de la prospérité. Mais que vaut une façade brillante si, derrière, se cache une population appauvrie, désillusionnée, qui se débat dans l'absence de perspectives ? Un pays où les rêves s'éteignent lentement, où l'angoisse du lendemain ronge les esprits, est un pays fantôme. Ses rues, bien que pavées, résonnent du silence des espoirs déchus. Il est tragique de voir des jeunes, pleins de potentiel et d'énergie, se heurter à un mur d'indifférence. Leur créativité, leur ambition, leur désir de changement sont étouffés par un système qui ne leur offre que des miettes. Les discours sur le développement et la modernité deviennent alors des échos creux, des promesses non tenues qui laissent un goût amer. Le véritable développement ne peut pas se mesurer à la seule croissance économique ou à des indicateurs abstraits. Il doit être ancré dans la réalité humaine, dans l'épanouissement des individus. Pour qu'un pays puisse réellement avancer, il doit investir dans sa jeunesse, lui donner les outils nécessaires pour bâtir son avenir. Sans cela, nous ne faisons que construire des châteaux de sable, appelés à s'effondrer au moindre souffle. Il est temps de reconnaître que l'avenir d'un pays ne réside pas seulement dans ses institutions, mais dans la force et la résilience de son peuple. La jeunesse mérite d'être entendue, soutenue et encouragée. Car c'est elle qui, un jour, portera le flambeau du changement, si seulement on lui en donne l'opportunité.
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En Afrique, les ressources intellectuelles sont-elles tout-autant gaspillées que les ressources naturelles? Par ignorance ou vanité? La mauvaise utilisation de notre puissance intellectuelle contribue à maintenir nos populations dans une forme de pauvreté structurelle, qui se nourrit d’une forme de métaphysique élitiste qui fait briller des tribuns, l’espace d’une soirée. Illustration En mode promenade solitaire en voiture à travers l’Europe, je prends aussi beaucoup temps, pour écouter du fond de mon lit, des débats nocturnes sur des plateaux de télévision au Sénégal, qui commencent très tard et durent des heures. Si le temps est de l’argent ailleurs, en Afrique, le temps d’antenne de télévision n’est pas une ressource rare, surtout que le bavardage fait partie de la culture, au même titre que les interminables salutations qui introduisent les émissions. Hier soir et ce matin, j’ai regardé et écouté. Pour à la fois, m’en réjouir et m’en désoler. Mais cela m’a surtout appris beaucoup de choses qui expliquent l’inutilité objective et opérationnelle de la plupart de ceux qui disent élites au Sénégal. Me réjouir d’écouter mes compatriotes, faire montre à la fois d’éloquence, de connaissance, de capacité analytique et donc de puissance intellectuelle, toutes choses constitutives de ressources humaines indispensables, pour assurer un développement économique et social endogène, bâti sur les forces dormantes de notre économie. Me désoler que beaucoup d’intervenants s’expriment dans le désordre de leur désirs de faire croire qu’ils savent et/ou d’essayer de donner une consistance objective, à des positions subjectives, sur lesquelles ils sont plutôt venus communiquer. Tout cela a abouti à de froides assertions, sur des contrevérités historiques et objectives, qui font surtout dans le mélange des genres et désinforment sur les relations déterminantes entre l’idéologie, la politique, l’économie, la finance, le social et le sociétal. Il faut avoir la patience d’un chercheur qui essaie de comprendre certaines phénoménologies de la psycho-sociologie de la pauvreté, pour ne pas décrocher et passer à autre chose. En fin de compte, absolument aucune des émissions que j’ai suivies n’a permis d’en identifier les linéaments d’une approche constructive, pour aider à orienter des politiques économiques et sociales qui tiennent compte des aspects socio-culturels et politiques de notre environnement. Le pire, c’est que tous les intervenants et animateurs ont certainement reçus des félicitations de toutes parts, en vedettes! C’est aussi de l’opium pour intellectuels Africains qui pédalent dans le vide, sans aider à construire une nation, c’est à dire, une communauté d’intérêts et de destin.
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🌍🍰 Décroissance : Le Régime Incontournable pour Sauver la Planète🌍 Hier, j'ai eu le plaisir de participer à une conférence enrichissante sur la décroissance aux côtés de Prof. Dr. Bruno Colmant et Matthieu Peltier pour l'asbl La Contrée au Centre Culturel de Perwez. 📉 La décroissance dans nos pays occidentaux ultra-riches n'est plus une option, c'est une nécessité si nous voulons respecter les limites planétaires. Nous le savons depuis le rapport du Club de Rome en 1972 ! Mais, malgré 50 ans de prise de conscience, nous continuons à croire qu'une croissance infinie peut coexister avec une planète en équilibre… Illusion ou déni ? 😅 La décroissance, c'est comme un régime : tout le monde en comprend la nécessité, mais personne n’a vraiment envie de s’y mettre ! 🍰 Pourtant, le véritable changement ne viendra pas seulement des politiques ou des entreprises. Il commence avec chacun de nous. Peut-être est-il temps d’apprendre à trouver le bonheur dans "assez", à savourer ce qui est suffisant, plutôt que de chercher constamment à avoir plus. Le "toujours plus" nous épuise, alors que le "juste assez" pourrait bien être la clé d'un avenir plus heureux et durable. 🌿✨ Merci à tous pour cette belle discussion, riche en échanges et en sourires, même sur un sujet aussi essentiel ! 🌱✨ Edouard Rigo, CFA #Décroissance #LimitesPlanétaires #ClubDeRome #ChangementIndividuel #Soutenabilité #PaysOccidentaux #QuandAssezEstAssez
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La chaleur s'observe partout en Afrique et dans plusieurs continents également depuis un moment. Désolé mais, nous être humains sommes la première cause de cette phénomène. Les raisons : Nous sommes capitalistes, Nous sommes gourmands, Nous égoïstes, Nous n'aimons que notre peau, Nous sommes abusif. Que doit t'on faire maintenant ? Nous devrions changer la donne par: Suivre la vision de 10000codeurs , Devenir les êtres responsables, Sauvegarder notre environnement #biodiversity . Mener des actions saines. Travailler en équipe, en famille, en collaboration où l'argent n'est pas le facteur déterminant mais la survie de l'humanité. Aujourd'hui c'est demain. Pourquoi la vision de 10000 CODEURS ?? 1. Des experts responsables qui contribuent à la croissance de la jeunesse africaine par le mentorat, le coaching, des formations, et participation par un investissement de 200€ . 2. Une famille qui respecte la place de la femme et la personne de chacun. 3. Des formations disponibles pour le développement personnel. 4. Un accompagnement personnalisé de zéro compétences dans le numérique jusqu'à un emploi décent. PS: La photo est très triste 😭🥺. #Climate #Youthadvocating
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Mon dernier post s'intéresse à la fécondité, qui baisserait plus vite que prévu. Une tendance qui pourrait reconfigurer l'économie mondiale ! A la fin du siècle, 97% des pays et régions étudiées par les chercheurs seraient SOUS le seuil de renouvellement. Etude publiée il y a quelques jours dans The Lancet. Il resterait une poignée d'irréductibles baby boomers : les Samoa, la Somalie, le Niger, le Tchad et le Tadjikistan. Plus le rythme de la dénatalité augmente, plus vite nous devrons nous poser de grandes questions. Face à cette info, Il y a ceux qui vont penser moins de naissance, moins de croissance, encore plus vite que prévu, c'est terrible. Et ceux qui vont se dire, moins de ressources utilisées sur une planète finie, si ça s'accélère, c'est parfait. A court terme, on sait que l'impact économique est positif : il faut moins d'argent pour les crèches et les écoles. Vingt ans plus tard, effet négatif : moins de travailleurs donc moins de dynamisme, moins d'innovation. Dans un pays comme la France, on comprend rapidement que nous ne sommes pas au bout des réformes du système de retraite. En tout cas si rien ne change. Qu'est ce qui pourrait changer ? Un futur dystopique façon La servante écarlate? Espérons que non. Sur le papier, trois solutions existent : D'abord les politiques natalistes. On a l'exemple de la Corée du Sud. Le pays où les femmes font le moins d'enfant au monde. Moins d'une naissance par Coréenne. L'Etat a dépensé plus de 250 mds de dollars depuis 2006 en subventions. Résultat : son taux de fécondité a atteint un plus bas historique l'année dernière. Ensuite, les robots. Au Japon, pays de cheveux blancs, on les a intégrés dans l'équation depuis longtemps. L'économie japonaise n'en a pas bondi MAIS au delà des robots, on ne sait pas encore si l'intelligence artificielle nous apportera ou pas ce surcroît de productivité qui pourrait nous aider. Et puis enfin il y a l'immigration. Sans les mouvements migratoires, en Europe, nous comptons déjà plus de décès que de naissances. Notre taux moyen de fécondité est de 1,5 enfants par femme et l'espérance de vie de plus de 80 ans. Certains chercheurs anticipent une concurrence entre les pays et les continents pour attirer la main-d'œuvre. En fait nous la vivons déjà! Regardez même en Hongrie : Viktor Orban signe de plus en plus de visas de travail à des travailleurs asiatiques. Regardez Giogia Meloni : revirement complet de sa politique migratoire. Dans l'Italie vieillissante, il manque plus de 800 mille actifs, notamment dans la pêche et l'agriculture. Meloni a justifié sa volte face par cette expression : les "réalités productives" N'oublions pas non plus l'expérience britannique. Le Brexit pour faire partir les travailleurs européens et au final? Plus de 600 000 personnes hors UE ont été accueillies pour faire tourner le pays. Voilà, la distance entre les discours et les actes, les fantasmes et la réalité. A garder en tête avant le scrutin des Européennes.
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📢 Sortir de l'impasse: Repenser la coopération dans un monde polarisé. Le Rapport Mondial du Développement Humain 2024 est disponible et Nous vous invitons à le lire ici 👉 https://lnkd.in/eCrs9Dd3 Rejoignez en live la conférence de lancement👉 https://lnkd.in/ea7khiXC 🚨 Nous sommes face à une impasse mondiale exacerbée par une polarisation croissante. L'Indice de développement humain indique qu'après 20 ans, les inégalités repartent à la hausse! Comment agir pour que les pays les plus pauvres ne soient pas laissés pour compte? ✅ Combler les déficits de capacité d'agir; ✅ Faire baisser les températures et lutter contre la polarisation; ✅ Construire une architecture des biens publics mondiaux adaptée au XXIe siècle où l'aide humanitaire et l'aide au développement est destinée aux pays à faible revenu. #HDR2024 #DéveloppementHumain
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EXEMPLE DE RÉSOLUTION CROISÉE AVEC GAIN POUR TOUS (ASSERTIVITÉ) Prenons quelques exemples de soucis qui peuvent se résoudre lorsque nous essayons de les combiner afin de maximiser les gains pour chacun. Notons que ceci est : ☑ Différent (≠) d’une résolution par médiation, où chacun y perd un peu. Ici, nous nous concentrons sur le gain en relation avec les Vrais besoins de chacun. ☑ Différent (≠) là aussi de nos croyances au sujet des besoins de chacun. Nous avons éliminé nos affects respectifs et agissons comme des adultes responsables. Nous ne craignons pas la confrontation, puisqu’elle est source de progression. ☑ Différent (≠) d’une concentration sur le problème qui appartient au PASSÉ. Ici, nous nous concentrons sur la solution FUTURE que nous allons obtenir grâce à une résolution et des actions au PRÉSENT. Vous pouvez retrouver de nombreux liens en commentaire. ⚠ SOUCIS ⚠: 1️⃣ L’affaire Nord Stream (les explosions du 26 septembre 2022) sur fond de conflit international a entraîné la précarité énergétique de l’Allemagne et de la France. 2️⃣ Il existerait une possibilité de délocalisation de Total Energie au moment où la France et les Français ont le plus besoin d’autonomie énergétique. 3️⃣ Le chef d’entreprise Romain Le Goester de Fleurelle demande de l’entraide régionale car sa facture d’électricité a bondi de 4000 à 15000€ en quelques semaines. 4️⃣ Les voitures hybrides consomment plus que prévu. 5️⃣ Aurélie Trouvé (députée LFI) dénonce les bénéfices des entreprises du CAC 40 alors que cela s’accompagne de licenciements et d’une baisse de pouvoir d’achat. De même, une vidéo du 24 avril montre Thomas Piketty (économiste de gauche) ainsi que Pierre Bergé (décédé en 2017, il était le richissime héritier d’Yves Saint Laurent). Ils dénoncent tous deux les niches fiscales attribuées aux plus riches. 6️⃣ Amy Jo Hutchison explique le phénomène de pauvreté aux Etats-Unis. Il est très similaire dans notre pays. 🌞 RÉSOLUTION 🌞: A/ Chaque individu a un besoin : celui de participer activement à la mise en place de la solution. Sans cela, nous assistons à du rejet et des violences urbaines. B/ Une partie de la solution pour les points 3️⃣ , 5️⃣ et 6️⃣ est la mise en place d’un Revenu Minimum Garanti pour chacun. Ceci est une obligation. Sans cela, tout le système s’effondrerait. Voir mon article « Comment passer de la Queen Bee à la Reine Alpha en France (2ème partie) ». C/Nous avons collectivement et individuellement besoin d’autonomie énergétique. Du fait de nombreuses taxes Françaises et des normes de concurrence imposées par Bruxelles, cette énergie nous est facturée beaucoup trop chère. Voir suite et liens en commentaires.
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Consultant en stratégie Marketing Digital (Indépendant) Community Manager Entrepreneur Fondateur & CEO Sossa Kissalu
1 moisBien dit Mathy.