Post de Matthieu Bacquin

- 40% : c'est la baisse du montant des levées de fonds en 2023, quels enseignements pour les #startup early stage ? Plusieurs élements intéressants dans ce dernier article du Le Journal des Entreprises : 1️⃣ Fini la bamboche (même si en région ça n'a jamais été trop la bamboche...), les fonds sont devenus plus exigeants 2️⃣ De l'argent, il y en a malgré tout 3️⃣ Bien travailler sa roadmap de financement et mixer intelligemment plusieurs sources (crowdfunding, love money, banque, prêt d'honneur, invest) est devenu un facteur clé de succès 4️⃣ C'est devenu tellement technique que s'entourer est indispensable 5️⃣ Si vous voulez lever, vous devez savoir précisément pour quoi 6️⃣ Plus dur pour les SAAS que pour les deeptech 7️⃣ Il est venu le temps des Cathédrales ! (lisez l'article pour comprendre...) Bref, l'éco-système se professionnalise et devient plus exigeant, est-ce que ça nuira à la créativité et à l'innovation ? Peut-être. On est toujours dans ce paradoxe d'un système de financement qui fonctionne sur le risque mais qui cherche à le maîtriser. Allez vite lire les témoignages de Nadya EL KHAYER, Mickael FROGER, Claire BRETTON, Ulric Le Grand, Antoine Cheul, Julien Boucault, Nolwenn Belléguic, Anaïs VIVION et Florian HERVÉOU, ils savent de quoi ils parlent ! https://lnkd.in/eAQpW9WD ----------------------------------------------------------- Je suis Thomas Lelievre 🟡 Je t’aide à mettre mettre ton projet innovant sur orbite 🟡 #Stratégie, #Vente, #Financement, #Innovation Tu as aimé ce post ? Tu veux en voir plus ? 👍 Like, commente pour me donner de la force. 🔔 Suis-moi et abonne-toi sur mon profil.

💡 La crise de financement dans les #startup : comment survivre à la tempête ? En 2023, les levées de fonds dans la French Tech ont chuté à 7,7 milliards d'euros, suscitant des inquiétudes quant à la viabilité de nombreuses start-ups. Le cash runway revenant au premier plan, la pression monte pour les jeunes pousses qui ont levé des fonds en 2021 et 2022. 💰 Le paradoxe de l'abondance : risques et réalités Les entreprises ayant levé des montants considérables se retrouvent face à un dilemme : dépenser rapidement pour croître ou s'efforcer d'atteindre la rentabilité. Comme l'explique Renaud Guillerm, "lever beaucoup de fonds peut engendrer de nouvelles problématiques à gérer". 📉 Éviter le crash : stratégies de survie Pour les start-ups en difficulté, trois scénarios se profilent : 🎯la restructuration, 🎯la recherche d'un nouvel acquéreur 🎯l'acceptation d'une nouvelle valorisation plus basse. Benjamin Bitton met en garde contre le maintien d'un train de vie insoutenable : "refuser de s'adapter au nouvel environnement peut mener droit dans le mur". 💡 Vers une nouvelle voie : l'importance de la rentabilité Matthieu Lavergne souligne la nécessité pour les start-ups de repenser leur modèle économique : "la rentabilité devient plus un objectif que l'hypercroissance". Ce changement n'est pas sans défis, surtout pour les entreprises de grande taille, mais il est essentiel pour assurer la survie à long terme. 🌱 Innovation et résilience : les clés de la survie Dans un écosystème où l'échec fait partie intégrante du jeu, les start-ups doivent innover et s'adapter rapidement pour rester en tête. Pour beaucoup, cela signifie se concentrer sur la rentabilité et réduire les coûts pour garantir un avenir durable. 💬 Quelles sont vos stratégies pour naviguer dans cette tempête de financement ? Est-ce que vous êtes d'accord avec l'idée que la rentabilité devrait être privilégiée par rapport à l'hypercroissance pour les start-ups ? #FrenchTech #Startups #Finance #Innovation #Survie #Rentabilité

L’écosystème startup face au défi du financement 🚀   Un grand merci à Raphael Hazan du Journal du Net avec qui j’ai eu l’occasion d’échanger sur ce sujet structurant pour les acteurs du Venture Capital. Je suis ravi d’être cité aux côtés d’experts tels que Benjamin Bitton, Managing Partner de 2CFinance et Matthieu Lavergne, Partner chez Serena Capital. Les années post-COVID ont été marquées par d’importantes levées de fonds propulsant les startups françaises vers des records historiques en matière de levées de fonds. 🏆 En 2023, ces levées ont nettement diminué par rapport aux années précédentes et de nombreuses startups pourraient bientôt atteindre la fin de leur "cash runway", suscitant des préoccupations quant à leur survie. L’article du JDN met l’accent sur cette raréfaction du financement dans l'écosystème des startups françaises qui les incite à prioriser la rentabilité plutôt que l'hypercroissance. 📈 "En 2021 et en 2022, on a investi dans une cinquantaine d'entreprises" 💼 SideAngels investit en early stage dans des startups sélectionnées sur des critères assez stricts, ce qui explique que « aucune d'entre elles n'a mis les clefs sous la porte ». La situation peut être en revanche plus compliquée pour les entreprises ayant réalisé des levées de fonds en série A ou B : "lever beaucoup de fonds peut entraîner de nouvelles problématiques à gérer, et toutes les startups ne sont pas assez matures pour dépenser efficacement de si grosses sommes". 💰 👇Accédez à l’intégralité de l’article SideAngels est la première plateforme de club deals pour investir aux côtés de Business Angels expérimentés. Contactez-moi pour en savoir plus ! 📩💡 Samuel Norych, Lucas Demiray, Davy Li, Grégoire Chataigner #Investissement #JDN #LeveeDeFonds #BusinessAngels #VentureCapital #Startup

La Levée de Fonds : Une Illusion d’Optique ? En observant l’effervescence autour des levées de fonds, et en tant qu'observateur du monde de la startup, je ne peux m’empêcher de me demander : assistons-nous à une illusion d’optique qui déforme notre perception du succès ? 🤔 📊 L’écosystème startup est en ébullition. Les annonces de levées spectaculaires s’enchaînent et sont souvent saluées comme des victoires en soi. Pourtant, n’y a-t-il pas là un risque de voir émerger une nouvelle bulle, semblable à celle des TMT en début de millénaire ? Je l'ai vécue en tant que financier, la désillusion fut énooooorme. On se souvient de ces entreprises, basées sur la "nouvelle technologie" et valorisées à des milliards sans même avoir trouvé de modèle économique viable…On parlait à l'époque de nouveau paradigme, de "nouvelle économie". Pourquoi parler d’illusion ? Le phénomène actuel pourrait bien être une distorsion de la réalité. On célèbre le chiffre levé comme un indicateur de succès, mais cela ne reflète en rien la santé réelle de l’entreprise. Cela revient à confondre l’outil (les fonds) avec le résultat (la création de valeur). Les levées de fonds, censées soutenir le développement, sont parfois exhibées comme des trophées... mais à quel prix ? 🚨L’alerte est là : si des entreprises se retrouvent avec des valorisations gonflées, justifiées par une course effrénée au capital plutôt que par une traction réelle sur le marché, le risque de bulle est bien présent. Comme dans les années 2000, la croissance est déconnectée de la rentabilité, et les startups finissent par s’effondrer dès que la confiance s’érode. Quels signes faudrait-il surveiller ? 1. Valorisations exponentielles sans preuve de rentabilité. Des levées de plusieurs dizaines de millions pour des entreprises qui n’ont pas encore généré de revenus significatifs. 2. Dépendance excessive aux financements. De nombreuses startups jonglent avec des tours de table successifs, mais peinent à trouver un équilibre financier. 3. Course à l’échalote. Le succès se mesure à la capacité à lever toujours plus, au lieu de capter des parts de marché ou fidéliser les clients. La levée de fonds est devenue un objectif en soi, déconnectée de sa mission première : développer un business pérenne. Une illusion d’optique qui risque de se transformer en bulle lorsque les indicateurs financiers se confronteront à la réalité du marché. Si cette bulle éclate, quelles startups survivront ? Celles qui ont mis l’accent sur leur produit et leur marché… ou celles qui ont fait la course au financement ? Et pour terminer, je dirais qu'il n'existe pas qu'un modèle, le modèle startup est certes séduisant et emprunte de gros raccourcis, mais il ne convient pas à tout le monde. Le modèle side-business est souvent peu utilisé, il est pourtant séduisant et praticable par beaucoup plus de gens présents sur ce réseau, que le modèle startup. What do you think ?

Les start-ups qui lèvent des millions ne sont pas les plus innovantes. Environ 70% des startups échouent dans les 2 à 5 ans. On applaudit les levées de fonds comme s'il s'agissait du Graal. Des millions injectés, des titres de presse flashy, des fondateurs célébrés comme des rock stars. Mais derrière tout cet éclat se cache une vérité bien moins glamour : lever des fonds ne garantit en rien le succès à long terme. ⭕️ Lever des fonds, c’est bien. Mais ça ne suffit pas. Trop de start-ups se concentrent sur l'argent, oubliant l'essentiel : une vision solide, une exécution impeccable, une vraie valeur ajoutée pour les clients. Elles finissent par brûler des millions sans jamais atteindre la rentabilité. ⭕️ L'innovation véritable se trouve souvent là où l'argent manque. Les start-ups qui bootstrapent, qui avancent sans levées de fonds spectaculaires, sont souvent celles qui restent agiles, qui innovent vraiment, qui trouvent des solutions créatives à des problèmes réels. Elles savent que chaque euro compte et ne peuvent se permettre de gaspiller ni temps ni ressources.  ⭕️ Le mythe de la levée de fonds comme gage de succès doit cesser. Ce n’est pas l’argent qui fait une grande entreprise, c’est la capacité à transformer des idées en réalité durable. Les financements peuvent acheter de la croissance, mais ils ne peuvent pas acheter la vision, la persévérance, ou l'authenticité. Pour ma part (et pour une majorité des projets), si tu dois lever des fonds pour survivre ou te développer, c'est qu'il y a déjà un problème... Attention, je ne dis pas que les levées de fonds sont de la 💩, mais pour la majorité d'entre elles, c'est déjà un signe de faiblesse. Arrêtons de glorifier les levées de fonds et commençons à célébrer ceux qui, avec peu de moyens, réussissent à changer la donne. Les vrais innovateurs ne sont pas toujours ceux qui attirent le plus de capitaux, mais ceux qui créent le plus de valeur. Et vous, où placez-vous votre argent : dans les millions levés ou dans les idées qui comptent vraiment ? ____________________________________ Je suis David Licoppe, fondateur et CEO de l'agence Youpi Media. Nous aidons les entrepreneurs et professionnels à optimiser leur présence en ligne grâce à des stratégies SEO+IA efficaces et personnalisées. ☀️ Décrypter les tendances search marketing du moment avec Youpi News. Le média 100% humain écrit par des entrepreneurs pour des entrepreneurs. 🔗 Suivez-moi pour des conseils SEO et digital 360 au quotidien, ma newsletter est dans ma bio.

#startup, réussir une levée de fonds en amorçage est un parcours déjà sélectif pour toute startup. Passer à l’étape suivante de la levée, série A, est encore plus difficile. Beaucoup de startups n’y parviennent pas. Cette capacité potentielle à lever des fonds en série A pourrait bien (devrait ?) constituer un critère de sélection dès l’amorçage .

Faire des RP quand on lève des fonds, pourquoi faire ? Qu’est-ce qui a changé dans la manière dont les médias traitent cette question? Dans un environnement économique « constrasté » lever devient un tour de force. On vous explique tout dans ce post et cet article ⬇️

Vous avez levé ou êtes sur le point de le faire ? 🤔 Faites des RP ! Mais pas n'importe comment. On vous explique tout : 👉 A fin 2023, les levées de la French Tech ont atteint 8,3 millions d'euros soit -36% versus 2022. L'argent devient plus rare, et cela a directement impacté les montants investis par les acteurs du financement de startups. Et bien évidemment, cela a eu des conséquences sur leurs critères d'évaluation des startups qu'ils financent. Les levées de fonds sont donc plus difficiles aujourd'hui. Cela se voit également dans la nature des fonds levés, qui englobent de plus en plus de la dette bancaire, de la subvention, bien plus qu'auparavant. La licorne Mirakl 🦄n'a ainsi pas hésité à communiquer sur un emprunt de 100 millions d'euros qu'elle a réussi à obtenir pour financer une opération de croissance. 🚀 La leçon à retenir est claire  : la communication sur la levée ne concerne plus uniquement  des montants énormes. Mais cela est une bonne chose : cela oblige à ne plus considérer le seul montant comme gage de réussite et de succès. 🏆 Lever des fonds est une entreprise difficile, et la folie des dernières années a peut-être éloigné l’écosystème et certains médias de la réalité : lever des fonds est difficile et l'a toujours été, quel qu'en soit le type ou les acteurs impliqués. La donne actuelle doit pousser à être transparent et pragmatique dans la communication et donner une vraie granularité à l'information donnée en précisant : - les différents acteurs impliqués - la destination des fonds - les ambitions de l'entreprise selon son stade de développement Pendant la période d'euphorie, alors que seules ou presque comptaient les dizaines de millions obtenus, certains fondamentaux ont presque été oubliés: la véritable quête d'une startup ne se résume pas à des millions levés ou brûler du cash. Elle consiste à ouvrir ou conquérir un marché, puis à grandir et s’imposer, le plus vite ou le plus intelligemment possible, car différents modèles de croissance cohabitent désormais. . Communiquer sur la levée de fonds est désormais un temps majeur pour les startups et les entreprises, au cours duquel elles peuvent préciser leur raison d'être. Et les journalistes ont fait exactement la même chose que les investisseurs : ils ont revu leurs critères qualitatifs à la hausse, et sont revenus de certaines annonces grandiloquentes mais creuses. La meilleure attitude face à cette nouvelle donne est donc de pratiquer la clarté et la transparence dans sa communication ⚠️(et non, on ne gonfle pas les montants, et non, on n'inclut pas des sommes si elles ne sont pas sonnantes et trébuchantes).⚠️ Vous voulez en savoir plus sur les relations presse pour une levée de fonds ? Lisez notre billet sur le blog de l'agence ! 🤓

Fin juillet, à Paris, j’ai croisé par hasard Guillaume Moubeche (lemlist)dans la rue, et il m’a ouvert les yeux ! 👀 En France, la levée de fonds est souvent perçue comme "𝘁𝗵𝗲 𝗺𝗶𝗹𝗲𝘀𝘁𝗼𝗻𝗲", la preuve ultime de la réussite d’une startup. Les médias y jouent un rôle clé. 👉 Mais en réalité, quand une boîte lève des fonds, ce n’est que le début de l’aventure. La levée en elle-même ne garantit pas le succès d’une entreprise : d’autres facteurs clés entrent en jeu, comme l’exécution post-levée, la qualité des recrutements, et bien d’autres éléments essentiels. J’ai lu le livre 𝘛𝘩𝘦 $150𝘔 𝘴𝘦𝘤𝘳𝘦𝘵 de GM et voici un passage que j’ai trouvé particulièrement intéressant (schéma du post). Voici l’histoire : 💰 D’un côté, nous avons 𝐒𝐚𝐦𝐮𝐞𝐥 𝐏𝐢𝐞𝐫𝐩𝐨𝐧𝐭 𝐋𝐚𝐧𝐠𝐥𝐞𝐲, qui avait obtenu un financement conséquent de la part du gouvernement, suscitant l’attention des médias et des journaux les plus prestigieux. On le dépeignait comme un héros, simplement parce qu’il avait levé des fonds, comme si cela suffisait à garantir sa capacité à faire voler un avion pour la première fois de l’histoire. Le 7 octobre 1903, il tente de faire décoller son prototype... mais celui-ci finit dans l’eau. Le 8 décembre 1903, nouvelle tentative, nouvel échec. ❌ 🔩 Pendant ce temps, à des centaines de kilomètres de là, 𝐥𝐞𝐬 𝐟𝐫𝐞̀𝐫𝐞𝐬 𝐖𝐫𝐢𝐠𝐡𝐭 — les bootstrappers ! — parviennent, sans levée de fonds massive, à réaliser l’exploit historique : faire voler un avion pour la toute première fois. ✅ 👉 Et pourtant, aucun journaliste n’était là pour assister à cet exploit. Pas le moindre article de presse pour en parler au début, seulement deux frères passionnés. Alors oui, la levée de fonds est essentielle pour certains modèles économiques (on imagine mal Uber prospérer sans financement). Mais le bootstrapping mérite davantage d’attention dans la #FrenchTech. Surtout aujourd’hui, face à l’hécatombe d’entreprises qui, malgré des levées de fonds à rallonge, n’atteignent pas la rentabilité et finissent par mettre la clé sous la porte. Donc non, l’argent levé ne fait pas tout ! Comme le dit si bien Guillaume Moubeche : 💭 “𝑅𝑎𝑖𝑠𝑖𝑛𝑔 𝑚𝑜𝑛𝑒𝑦 𝑤𝑖𝑙𝑙 𝑔𝑖𝑣𝑒 𝑦𝑜𝑢 𝑓𝑎𝑚𝑒 𝑎𝑛𝑑 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑛𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝐵𝑢𝑡 𝑓𝑎𝑚𝑒 𝑤𝑖𝑙𝑙 𝑛𝑜𝑡 𝑎𝑙𝑤𝑎𝑦𝑠 𝑏𝑟𝑖𝑛𝑔 𝑦𝑜𝑢 𝑠𝑢𝑐𝑐𝑒𝑠𝑠.” – Guillaume Moubeche Qu’en pensez-vous ? #Entrepreneuriat #fundraising #LevéeDeFonds #GuillaumeMoubeche #Startup #Réussite #Innovation

💬 Pas besoin de courir après des millions pour exister. Ma société est en phase de création, et non, elle ne s’auto-finance pas encore. Mais cela ne veut pas dire que je vais me lancer dans la course aux levées de fonds massives juste pour avoir des gros titres. 🚀 Dans l'écosystème startup, beaucoup se concentrent sur des levées de fonds impressionnantes, qui remplissent les tabloïdes, mais derrière ces chiffres se cachent souvent des business models peu viables. Pourquoi lever des millions si, en fin de compte, l’entreprise n’est pas capable de générer ses propres ressources et de se maintenir à flot ? 💼 Je crois fermement que la création de valeur et la viabilité doivent venir avant les tours de financement spectaculaires. Lever des fonds sans une vision claire, c'est risquer de créer une structure vide de substance. Comme l’a dit Paul Graham : « La meilleure startup n’est pas celle qui lève le plus d’argent, mais celle qui n’en a pas besoin. » Je préfère concentrer mes efforts sur le développement de mon projet, sur la création de produits qui résonnent avec le marché, plutôt que de participer à cette course à la levée de fonds. L'objectif est la solidité à long terme, pas des chiffres artificiels. #ConstruireSurDesBasesSolides #BusinessModelViable #PasDeCourseAuxMillions #CréationDeValeur #RentabilitéAvantTout #FrenchTech #Entrepreneurship