Post de Ministère de l'Environnement et du Développement Durable

L'Afrique est confrontée à de graves problèmes environnementaux, notamment la dégradation des terres, la déforestation, la perte de biodiversité et l'extrême vulnérabilité aux changements climatiques. Les questions environnementales sont une préoccupation majeure pour notre génération et, la situation de l’Afrique est bien particulière. En effet, bien que les États africains soient les plus faibles émetteurs de gaz à effet de serre car ils produisent moins de 4% des émissions mondiales, ils sont les premières victimes des conséquences directes et dévastatrices du réchauffement climatique. Depuis plusieurs années, le continent est ravagé par des catastrophes naturelles et des phénomènes climatiques extrêmes qui s’intensifient en raison de la dégradation de l’environnement. Cette forte vulnérabilité de l’Afrique est due à sa situation géographique mais également à une forte dépendance à l’égard de secteurs tributaires du climat, comme l’agriculture. Les populations locales souffrent de la diminution des ressources naturelles, de l’assèchement des lacs et de l’allongement des périodes de sécheresse qui font chuter les rendements agricoles et mettent en péril la sécurité alimentaire. D’autre part, l’épuisement des ressources et la raréfaction de l’eau ont entraîné une augmentation des flux migratoires qui exacerbe les tensions et intensifie le risque de conflits armés dans certaines régions telles que le Sahel ou la région des Grands Lacs à l’Est du continent. Ainsi, les répercussions du dérèglement climatique génèrent une instabilité politique qui soulève également des questions de sécurité internationale. Cependant, l’Afrique est un continent qui regroupe de multiples réalités différentes et il est ainsi difficile de faire des recommandations générales. Il est primordial de ne pas déterminer des stratégies à l’échelle continentale car chaque pays a ses propres atouts, spécificités et défis. Comment contribuer à la résolution des problématiques environnementales en Afrique ? Retrouvez ce samedi 24 février 2024 en live sur la page Facebook RAPEE, Marcel Kossou, et son invité Gergino Chounna Yemele S.M. ASCE pour 1h30 entretien (15h GMT à 16h 30 GMT) sur le thème : "positionnement stratégique de la Jeunesse Africaine dans la recherche des solutions aux problèmes environnementaux" pour échanger sur les pistes de solutions et la contribution de la jeunesse Africaine à la résolution des problèmes environnementaux. Lien d'accès au live 👉🏽 https://lnkd.in/evX-NFGt

Ce lundi, s'est ouvert à Baku, en Azerbaïdjan, la 29e Conférence des Parties (COP29) de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques. Malgré les engagements pris en 2009 par les pays développés de verser chaque année 100 milliards de dollars aux pays vulnérables, cet objectif reste difficile à atteindre, soulevant des inquiétudes quant à la réalisation des efforts collectifs de préservation du climat, notamment en Afrique de l’Ouest et en Afrique Centrale, actuellement frappées par de graves inondations ( plus de 7 millions de personnes touchées). Le Sénégal y est représenté par le ministre de l'environnement Daouda Ngom pour trois thématiques majeures pour notre pays : Finance climatique - Adaptation - Pertes et Dommages LE DON DE SOI POUR LE CLIMAT EST PLUS QUE NÉCESSAIRE DANS NOTRE PAYS Direction de l'Environnement et des Etablissements Classés Actu-Environnement PNA-FEM SENEGAL

L'Afrique est confrontée à de graves problèmes environnementaux, notamment la dégradation des terres, la déforestation, la perte de biodiversité et l'extrême vulnérabilité aux changements climatiques. Les questions environnementales sont une préoccupation majeure pour notre génération et, la situation de l’Afrique est bien particulière. En effet, bien que les États africains soient les plus faibles émetteurs de gaz à effet de serre car ils produisent moins de 4% des émissions mondiales, ils sont les premières victimes des conséquences directes et dévastatrices du réchauffement climatique. Depuis plusieurs années, le continent est ravagé par des catastrophes naturelles et des phénomènes climatiques extrêmes qui s’intensifient en raison de la dégradation de l’environnement. Cette forte vulnérabilité de l’Afrique est due à sa situation géographique mais également à une forte dépendance à l’égard de secteurs tributaires du climat, comme l’agriculture. Les populations locales souffrent de la diminution des ressources naturelles, de l’assèchement des lacs et de l’allongement des périodes de sécheresse qui font chuter les rendements agricoles et mettent en péril la sécurité alimentaire. D’autre part, l’épuisement des ressources et la raréfaction de l’eau ont entraîné une augmentation des flux migratoires qui exacerbe les tensions et intensifie le risque de conflits armés dans certaines régions telles que le Sahel ou la région des Grands Lacs à l’Est du continent. Ainsi, les répercussions du dérèglement climatique génèrent une instabilité politique qui soulève également des questions de sécurité internationale. Cependant, l’Afrique est un continent qui regroupe de multiples réalités différentes et il est ainsi difficile de faire des recommandations générales. Il est primordial de ne pas déterminer des stratégies à l’échelle continentale car chaque pays a ses propres atouts, spécificités et défis. Comment contribuer à la résolution des problématiques environnementales en Afrique ? Retrouvez ce samedi 24 février 2024 en live sur la page Facebook du Réseau Africain pour la Promotion de l'Education à l’Environnement_RAPEE, Marcel Kossou, et son invité Gergino Chounna Yemele S.M. ASCE pour 1h30 entretien (15h GMT à 16h 30 GMT) sur le thème : "positionnement stratégique de la Jeunesse Africaine dans la recherche des solutions aux problèmes environnementaux" pour échanger sur les pistes de solutions et la contribution de la jeunesse Africaine à la résolution des problèmes environnementaux. Lien d'accès au live 👉🏽 https://lnkd.in/evX-NFGt

30 à 40 % des terres et des eaux mondiales doivent être protégées pour préserver la capacité de la nature à assurer la survie des populations de la planète (COP15)    Notre projet RÉELS vise une restauration, conservation et exploitation durable des écosystèmes dans la région du Liptako Gourma (Burkina Faso, Mai, Niger), sous l’impulsion d’un leadership accru des femmes    En savoir plus sur le projet : https://lnkd.in/eFpA8Atc    #PrioritéCECI #AdaptationChangementsClimatiques  #GénérationRestauration Global Affairs Canada | Affaires mondiales Canada

Issus de la COP27, les présidents gabonais (Ali Bongo Ondimba déchu depuis lors) et français organisèrent l’année dernière à Libreville l’«#OneForestSummit », tout en rappelant qu’il «ne sera pas un sommet de plus. Il sera un sommet utile pour l’action, la mise en application à grande échelle de décisions vitales pour l’avenir de notre planète.» Plus d’un an après, qu’elles sont les premières avancées tangibles ? Lire la suite => https://lnkd.in/e9hT34pQ #Gabon #OrganisationInternationaleDeLaFrancophonie #AliBongoOndimba #EmmanuelMacron #UnionEuropeenne #ChangementClimatique Organisation internationale de la Francophonie (OIF) Union européenne à Madagascar et aux Comores Emmanuel Macron Brice Clotaire Oligui Nguema Ali Bongo United Nations Benoist MALLET Di BENTO

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[ENQUÊTE] Le monde entier célèbre ce 16 septembre 2024, la journée internationale pour la protection de la couche d’ozone dont la détérioration est à l’origine du réchauffement climatique. À l’instar des autres pays du monde, la Côte d’Ivoire s’emploie à lutter efficacement contre ce changement climatique et ses effets à travers plusieurs mécanismes notamment l’adoption d’un nouveau code de l’environnement, l’élaboration d’une loi sur la lutte contre les changements climatiques, la mise en œuvre du projet de transition bas-carbone, du projet d’investissement forestier (PIF-2) etc.

RDC : PAYS SOLUTION AUX QUESTIONS LIÉES AU RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE MONDIAL Pour conforter son emprise en tant que pays solution au changement climatique, la RDC doit, non seulement participer activement dans les divers fora internationaux y relatifs, mais surtout renforcer ses capacités en matière de négociations sur les changements climatiques et mobiliser les investissements climatiques en sa faveur. Point n’est besoin de rappeler le rôle crucial que joue les forêts du Bassin du Congo comme une solution au changement climatique mondial. En effet, la RDC possède la moitié des forêts d'Afrique, d'importantes ressources en eau douce, un potentiel hydroélectrique et des réserves minérales essentielles à la transition verte. Avec ces ressources naturelles qui contribuent à l'action climatique, la RDC devrait s'imposer comme un acteur majeur et pays solution au changement climatique et générer des revenus substantiels. Selon le Rapport national sur le climat et le développement de la Banque mondiale publié en novembre 2023, « les forêts de la RDC peuvent générer une valeur estimée entre 223 milliards et 398 milliards $US par an grâce au carbone stocké et aux services écosystémiques associés nécessaires pour atténuer les impacts des catastrophes et renforcer la résilience des communautés de la RDC. Cependant, si elles ne sont pas protégées, la perte de 40% de leur étendue actuelle pourrait signifier que le secteur de l'utilisation des terres, du changement d'affectation des terres et de la foresterie de la RDC deviendrait une source nette de carbone et non plus un puits. Le coût total pour le monde d'une telle perte de stock de carbone - et donc de la capacité des forêts à fournir des services de séquestration du carbone - serait d'environ 95,3 milliards de dollars. » Le Directeur pays de la Banque mondiale pour la RDC, Monsieur Albert ZEUFACK, ajoute que « la RDC pourrait devenir le premier pays solution en Afrique et au-delà, avec ses énormes réserves de minéraux verts, ses forêts vierges et sa capacité hydroélectrique. Des institutions plus fortes et plus résilientes ainsi que des financements substantiels sont nécessaires pour réaliser cette ambition. » il appartient à la RDC de sensibiliser les acteurs politiques et économiques internationaux pour apporter le soutien technique et financier nécessaire pour préserver et réduire la déforestation du Bassin du Congo, par le biais de mesures d'adaptation et d'atténuation appropriées. D’où la nécessité de combler le poste de Ministre délégué en charge de la Nouvelle économie du climat, vacant jusqu’à ce jour, par une personne qui a des bonnes connaissances sur les enjeux climatiques et un habile négociateur assidu, afin de permettre au pays de participer activement aux diverses rencontres internationales sur le changement climatique avec des projets bien conçus et planifiés qui contribuent à la réduction de la déforestation et de la pauvreté des populations du Bassin du Congo. Isidore KWANDJA

gabon-newsroom.com FONDS POUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES | Un atelier organisé par l'IFDD Lire l'article : https://lnkd.in/eCJPnw5J Selon les constats faits, les pays d’ #Afriquefrancophone en particulier les États insulaires, les pays du #BassinduCongo, ceux d’#AfriqueduNord et du #Sahel, sont confrontés de manière disproportionnée aux impacts du #changementclimatique. #Gabon #FCCA Institut de la Francophonie pour le développement durable - IFDD African Development Bank Group Organisation internationale de la Francophonie (OIF) #financement #climat #biodiversité

🌍🐟 Innovation en Action : Lancement de l'Observatoire Régional pour l'Adaptation au Changement Climatique dans le Secteur de la Pêche 🌊 Nous sommes au cœur d'une époque où la collaboration et l'innovation ne sont pas seulement souhaitées, mais essentielles. Le récent lancement de l'Observatoire régional dédié à l'impact du changement climatique sur le secteur de la pêche dans le Sud-Ouest de l'océan Indien en est un brillant exemple. Cette initiative, menée par la Commission de l'océan Indien en partenariat avec l'Institut océanographique de Maurice, réunit sept pays dans un effort collectif pour affronter l'une des plus grandes menaces de notre temps : le changement climatique. Chez Ukuzola, nous saluons cette démarche audacieuse qui met en lumière l'importance de la gestion durable des ressources halieutiques, vitales pour l'économie et la subsistance des communautés côtières. Les effets du réchauffement climatique sur nos océans ne sont pas à sous-estimer, avec des répercussions profondes sur la biodiversité marine, la productivité halieutique, et par extension, sur la sécurité alimentaire et économique des populations. L'observatoire sert de rappel poignant que la science et les données précises sont nos meilleur·e·s allié·e·s dans la lutte contre le changement climatique. En fournissant des informations cruciales sur les tendances et les impacts, cette plateforme permettra de prendre des décisions éclairées et d'adopter des mesures proactives pour préserver nos ressources marines. Le défi est de taille, mais l'esprit de coopération et la détermination de la région du Sud-Ouest de l'océan Indien sont une source d'inspiration. Nous, à Ukuzola, sommes convaincu·e·s que de telles initiatives peuvent transformer les défis en opportunités pour un avenir durable. Nous encourageons nos partenaires, supporter·e·s et la communauté mondiale à soutenir et à s'engager avec des projets similaires. Ensemble, nous pouvons faire face à la crise climatique et œuvrer pour la préservation de notre planète bleue pour les générations futures. #ukuzola #hackingthefuture #entrepreneuriatsocial #innovation #innovationsociale #entrepreneurship #impactsystémique #impact #environnement #avenir #engagement #opportunité #afrique #cameroun #entrepreneuriat #environnemental #changemakers #positivimpact #JusticeClimatique #Durabilité #TransitionJuste