Post de Mickael LE NEZET

Un rêve inaccessible. Plus d’un salarié de moins de 35 ans sur deux considère qu’il est difficile voire très difficile pour lui d’accéder à la propriété (62%). Bien qu’en baisse, les prix élevés de l’immobilier constituent un obstacle pour 56% d’entre eux tout comme la difficulté à économiser pour se constituer un apport initial (44%) et la difficile obtention d’un prêt (43%), selon un sondage de la Sofiap - filiale de la Banque Postale et de la SNCF - mené avec Ipsos sur 1000 salariés âgés de 18 ans et plus et sur 403 dirigeants travaillant en France dans des entreprises publiques et privées. «À travers les résultats de l’étude, il est beaucoup question d’inquiétudes et de situations compliquées, et particulièrement chez les jeunes», relève Laurent Permasse, président du directoire de la Sofiap. Ce désir d’accession à la propriété semble être un idéal lointain et inatteignable pour de nombreux salariés, et pas uniquement pour ceux de moins de 35 ans: plus d’un sur trois estime qu’il ne parviendra pas à devenir propriétaire aussi rapidement qu’il le souhaiterait, voire qu’il n’y arrivera pas du tout. Et pourtant, on observe «une forte envie de devenir propriétaire de la part d’une majorité de salariés», assure Laurent Permasse. Près de deux tiers (61 %) aspirent à le devenir rapidement (22% dans les 2 ans).

💣 Le Logement public est-il son propre bourreau ? Il y a quelques mois, une personnalité politique bruxelloise lâchait une bombe : “Le logement social est devenu un piège à l’emploi.” Provocateur ? Oui. Inconfortable ? Absolument. Mais peut-être vrai. Et si ce n’etait pas qu’un constat, mais une urgence ? Si le statut bétonné du logement public contribuait à la baisse des ambitions ? Aujourd’hui, un logement social est « social » pour la vie. Peu importe que son occupant grimpe l’échelle, décroche un emploi stable ou voit ses revenus évoluer. Le statut ne bouge pas. Le logement social ne doit pas être un piège. Et il ne doit pas non plus être ressenti comme un poids par la collectivité. Et si c’est le cas, alors il faut le transformer. 👉 Je rêve d’un logement social qui ne soit pas une habitation avec des barreaux aux fenêtres , mais une rampe de lancement. Logement social aujourd’hui, Modéré demain, Moyen après-demain et au besoin la possibilité de passer d’un statut à l’autre pour une adaptation dynamique. Un logement qui suit la vie de ses occupants, qui évolue avec leurs ambitions et ne les enferme pas dans un statut c’est peut-être là que réside une des clés du succès… 👉 Agir sur le statut et accompagner les occupants. Un logement qui s’adapte, c’est un logement qui transforme. C’est un logement qui ne dit pas « tu es condamné à rester », mais « va, prends ton envol. » Si le logement social est un piège, alors c’est à nous de lui briser ses chaînes. Parce qu’un logement à qui on donne des ailes, c’est un logement qui remplit enfin sa mission : être le marchepied de la réussite, et non l’ancre de la stagnation. 🚀 Et si ça bouscule les codes ? Tant mieux, c’est le moteur du changement. #Rupture #LogementSocial #Innovation #DisruptionPositive

Une assistante sociale au chevet du logement Samedi, lors de la présentation – tant attendue – du Gouvernement Barnier, a été dévoilé le nom de l’énième (j’ai arrêté de compter !) ministre du #Logement. Bonne nouvelle, ce sera un ministère de plein exercice, une première depuis le début de la présidence Macron ! Valérie Létard, le nom de cette sexagénaire dynamique n’est pas connu du grand public mais elle maitrise parfaitement le secteur et ses arcanes. Cette proche de Jean-Louis Borloo, encartée LIOT, est adjointe et conseillère municipale de Valenciennes et parlementaire du Nord depuis plus de 20 ans. Elle a multiplié les travaux sur le logement et les thèmes transversaux : politique de la ville, mise en place de la loi #ZAN ou encore évaluation de la loi #SRU et défense acharnée d’Action logement. Voilà qui va rassurer les bailleurs sociaux qui l’espèrent, cette semaine à leur congrès annuel. Perçue, à l’inverse de son prédécesseur, comme la « caution sociale » du nouveau Gouvernement, la nouvelle ministre prend en charge un secteur à l’agonie. Dans l’ancien, le nombre de transactions ne devrait pas dépasser 800 000 et la situation reste fragile malgré une baisse des taux amorcées depuis fin 2023, des prix qui ont chuté de 4 % et des banques davantage enclines à prêter. Quant au neuf, il poursuit sa descente aux enfers avec au 2ème trimestre 2024, seulement 13 953 logements mis en vente, le plus bas niveau observé depuis 2010. On le voit, la tâche de Valérie Létard s’annonce gigantesque. D’autant qu’elle devra composer avec un chef d’état qui n’apprécie guère le logement (c’est un euphémisme !), secteur qu’il juge trop dispendieux au regard des – maigres- finances publiques. Quant aux propriétaires bailleurs, il les perçoit à l’image des caricatures d’Honoré Daumier… Pressentie pour le maroquin du logement en 2017, Valérie Létard l’avait alors refusé. Si elle a accepté en 2024, serait-ce en raison de la gravité de la situation. Sans doute… On pourrait presqu’y voir une déformation professionnelle. Car la nouvelle ministre a eu une « vraie vie » avant de commencer en politique : elle était assistance sociale. De là à dire que c’est la bonne personne pour un secteur à l’abandon et en perdition, il n’y a qu’un pas !  Norbert FANCHON Caroline Arnould Loïc Cantin Olivier Princivalle Pascal BOULANGER Dubrac Danielle Olivier SALLERON Laure-Anne GEOFFROY-DUPREZ Emmanuelle COSSE Yannick Borde Grégory Monod Franck DESSEMON #CAPEB #APIC #FFB #USH #FNAIM #PôleHabitatFFB #PROCIVIS #FPI #UNIS #UNNE #UNSFA #UNTEC #CAFPI 

🚨 Quand le logement freine les projets de vie des salariés 🚨 Les difficultés d'accès à la propriété ont des conséquences directes sur la vie personnelle et professionnelle des salariés. Selon une étude menée par SOFIAP , filiale de La Banque Postale et de la Groupe SNCF, en collaboration avec Ipsos, 24% des salariés ont déjà retardé leur projet d’avoir un enfant faute de logement adapté. 🏠 Un rêve inaccessible pour beaucoup : Plus de 50% des salariés de moins de 35 ans jugent difficile, voire très difficile, d'accéder à la propriété. Les obstacles sont nombreux : prix élevés de l'immobilier, difficulté à économiser pour un apport initial, et obtention complexe de prêts. 👩👩👧👦 Un impact sur les projets familiaux : 22% des salariés ont renoncé à avoir un ou plusieurs enfants, 20% ont reporté leur installation en couple. 💼 Quand le logement dicte le parcours professionnel : 30% des salariés ont déjà dû changer de région pour un logement adapté, 27% ont quitté leur entreprise pour cette même raison, 26% ont refusé une offre d’emploi faute de logement proche du lieu de travail. Ces données soulignent un décalage croissant entre les aspirations des salariés et la réalité du marché immobilier. Il est temps pour les entreprises de prendre en compte cet enjeu crucial et d'agir concrètement pour soutenir leurs salariés dans l'accès à un logement adapté. 👉 Quelles solutions les entreprises peuvent-elles mettre en place pour répondre à ces défis ? #emploi #logement #immobilier #RH #conditionsdetravail #accessionpropriété #salariés

Merci à Silver Eco de mettre en lumière, dans son dernier article, l’étude IFOP réalisée pour Renée Costes sur le thème du bien vieillir chez soi. Beaucoup de Français souhaitent vieillir chez eux. Cependant, ils sont divisés sur leur capacité à pouvoir financer les conditions essentielles pour ce faire. 7 Français sur 10 de plus de 50 ans estiment que la première condition pour bien vieillir chez soi est de pouvoir financer ses soins de santé suivi de l'aménagement/adaptation de leur logement. Alors que l'utilisation de son épargne personnelle reste le principal moyen envisagé pour 72% des interrogés, 13% d'entre eux évoquent l'utilisation de leur patrimoine immobilier comme solution. Stanley Nahon, directeur général de Renée Costes a également pu appuyer cette étude en expliquant comment le viager, la nue-propriété ou la cession bail-à-vie peuvent aider à financer le bien-vieillir chez soi des retraités Français. 🔗 Pour en savoir plus sur cette étude, consultez l'article en cliquant ici : https://lnkd.in/e-iBHAZW #reneecoste #viager #article #ifop #nuepropriete

Le Plan d’Épargne Entreprise (PEE), un dispositif précieux pour les salariés Conçu pour le moyen ou long terme, il offre désormais des possibilités de déblocage anticipé pour des raisons spécifiques, sans imposition, ce qui en fait un outil flexible et avantageux. Depuis juillet 2024, les motifs de déblocage anticipé ont été élargis pour inclure des projets environnementaux tels que la rénovation énergétique d'un logement ou l'achat d'un véhicule écologique. Le PEE peut également être débloqué pour soutenir financièrement un proche en situation de dépendance ou un proche aidant, ainsi que lors d'événements familiaux comme un mariage, la naissance d'un troisième enfant ou une séparation avec garde d'enfant. En cas de difficultés financières, telles que surendettement ou perte d'emploi, le PEE peut être une aide pour les salariés. Pour débloquer les fonds, une demande écrite avec pièces justificatives est nécessaire, et certains projets nécessitent un délai de six mois. #ÉpargneSalariale #SécuritéFinancière

Malgré un impact réel sur le #travail au noir, l’aide de l’#État aux #servicesàlapersonne est trop coûteuse et profite surtout aux ménages aisés, juge la Cour des comptes, qui dénonce un effet d’aubaine et veut remettre à plat le dispositif. Avec à la clé jusqu’à 1 milliard d’euros d’économies. C’est un véritable pavé dans la mare que jette la Cour des Comptes en s’attaquant à un dispositif très prisé des familles : le crédit d’impôt pour l’#emploi à domicile, les nounous, femmes de ménage, jardiniers et autres auxiliaires de vie pour les personnes âgées auxquels les Français font appel dans leur quotidien. Ce dispositif est jugé trop coûteux, dans un rapport publié mercredi, qui recommande de remettre à plat le dispositif d’aides. Un tir de barrage compréhensible à l’heure ou le gouvernement cherche des économies tous azimuts. Mais contradictoire avec l’objectif de l’exécutif de libérer les ménages des contraintes de la garde des enfants, pour faire remonter le taux d’emploi

Selon une étude de l’institut de recherche du Liser, les femmes avec enfants sont le groupe le plus touché par les coûts élevés du logement et de l’énergie, ainsi que par l’inflation en général au #Luxembourg. Exemple logement: l’accès au logement et les coûts qui y sont liés constituent l’un des principaux défis pour tous les ménages et, en particulier, pour les moins aisés et les familles monoparentales. Pour les femmes avec enfants qui sont locataires, la part de leur revenu consacrée au logement peut atteindre jusqu’à 49%. 👉 https://lnkd.in/eSfz2JNH

🏠 La flexibilité intergénérationnelle offerte par la multiplicité des contrats d'assurance-vie permet aux bénéficiaires de refuser un contrat au profit de leurs enfants ou petits-enfants. Cette stratégie est particulièrement avantageuse dans le contexte actuel où de nombreux retraités disposent déjà d'un patrimoine suffisant. Les capitaux transmis peuvent ainsi être utilisés par les plus jeunes pour financer des projets importants, comme l'achat d'un bien immobilier. Cette souplesse rend la transmission du patrimoine plus adaptée aux besoins des générations futures. #AssuranceVie #TransmissionPatrimoine #Flexibilité #ÉpargneEtPlacements #AgentGénéralDAssurance

▪️RETRAITE▪️ Les retraités quittent le pays, ne pouvant plus faire face aux coûts de la vie et de la santé. Des prix en hausse et des loyers exorbitants les obligent à partir. [ABO] #Suisse #Retraite #Expatriation #Coûts #Prix #Hausse