2014 - 2024 La Convention du Conseil de l'Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l'égard des femmes et la violence domestique, connue sous le nom de Convention d'Istanbul, fête les 10 ans de son entrée en vigueur. La convention d'Istanbul est un outil essentiel et un réel instrument global de prévention et de lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles ! La France a ratifié cette convention cependant elle n'a toujours pas intégré dans le droit national l'ensemble des dispositions de la Convention ! Aussi, avec un collectif d'associations féministes ; Le Planning Familial , Fédération nationale des CIDFF, La Cimade, France terre d'asile , Féministes contre le cyberharcèlement nous avons rédigé un rapport remis au GREVIO, l'organe d'expert.e.s chargé de veiller à la mise en œuvre de la Convention par les États signataires que vous retrouverez en pj afin de signifier les manquements ! Manque de moyens financiers, difficultés accrues dans le parcours des victimes, manque de formations des professionnels-les, etc, ...la France peut et doit mieux faire dans la lutte contre les violences sexistes et sexuelles ! La convention d'Istanbul sauve des vies, nous demandons sa mise en œuvre complète et globale 💜 Rapport réalisé avec le soutien de La Vague.
Post de Mine Günbay
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Il est temps de mettre en lumière la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes qui a eu lieu le 25 novembre 2024. ✨ Dans le cadre de cette journée, le premier ministre Michel BARNIER a pris la parole pour annoncer les nouvelles mesures pour lutter contre ces violences qui s’avèrent être, encore aujourd’hui, bien trop présentes. 📚 Monsieur BARNIER annonce un plan s’appuyant sur trois priorités centrales : - Répondre à l’urgence - Accueillir et accompagner - Aider à la reconstruction Les objectifs de ce plan sont de : - Consolider les actions déjà engagées - Soutenir les initiatives de la société civile et des partenaires - Apporter des premières réponses concrètes et immédiates face a l’émergence de nouvelles formes de violence comme la soumission chimique En tant que professionnels de ce domaine qui est le notre, la veille législative est inévitable dans notre quotidien. 🔍 Soyons informés afin de mieux informer l’autre. ✨
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Ce 25 novembre, journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes marque le début de la campagne internationale «16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre ». Cette année, cette campagne est commémorée sous le thème: « Riposter et se reconstruire après les violences. » Il met en lumière les actions nécessaires pour prévenir la violence et soutenir les victimes, afin qu‘elles puissent mener une vie libre de violence. L’accent est mis à la fois sur le soutien individuel et sur la prise de responsabilité collective et structurelle.Pour une prévention efficace et un soutien adapté, il est indispensable de promouvoir des changements sociaux, de garantir des ressources financières suffisantes et d‘améliorer la protection juridique des personnes concernées. 🟠Rejoignez-nous du 25 novembre au 10 décembre 2024 pour unir nos voix dans la lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles.⛔🙅 IPPF Africa Region #16joursdactivisme #StopVBG #pasdexcuse #VBG #SoutienAuxVictimes #EndViolenceAgainstWomen #OrangezLeMonde
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ℹ️ L'Organisation des Nations unies (ONU) a choisi en 1999 de proclamer le 25 novembre comme journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes. Marches, conférences, ateliers et expositions prévus pour éduquer et mobiliser les communautés. Avec l' EGOC et le CafLab, depuis un an, nous avons expérimenté avec les CAF des ateliers de sensibilisation pour les personnels d'accueil: > 80 professionnels formés > Tous réceptifs et sensibles au sujet, > Tous confrontés à un moment ou un autre à l’accueil d’une victime de violences conjugales > Tous unanimes sur la mise en relation directe de l'atelier avec leurs propres pratiques qui concrétise les messages importants à passer en termes d'accueil de victimes de violences > Tous accordés sur l'importance de prendre conscience des enjeux et d'un rôle à endosser pour mieux repérer, rassurer, informer, orienter, considérer. Si vous souhaitez : ➕ Maintenir une logique d’amélioration continue de la qualité d’accueil dans votre organisation ➕ Former les professionnels d'accueil à appréhender et traiter les primo-demandes des personnes victimes de violences 🤙 Contactez-moi! Isabelle Doal PHILIPPE LACHAUD Cnaf - Caisse nationale des allocations familiales EGOC ------------------------------------------------------------------------------------- Je suis Marie DEBRUYNE, coach-consultante et formatrice, spécialiste de l'accompagnement.
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"Nous sommes à un moment crucial de notre histoire. Un moment où l'engagement pour la justice sociale et la lutte contre les violences faites aux femmes ne peuvent plus se contenter de demi-mesures. Les chiffres sont accablants. Partout dans le monde, chaque heure qui passe, cinq femmes perdent la vie sous les coups de leur conjoint ou ex-conjoint. Ce ne sont pas que des statistiques, ce sont des vies brisées, des familles détruites. Il est temps d'agir avec force et conviction. Aujourd'hui, l'association & ONG Mots et Maux de femmes (MMF) dont j'ai l'honneur d'être marraine se dresse avec une vision claire et un objectif : faire de la lutte contre les violences sexistes et sexuelles une priorité mondiale. Ce qu'elle propose n'est pas simplement une énième série de mesures, mais une transformation profonde, à la fois technologique, sociale et politique. La feuille de route de l'association présente plusieurs initiatives ambitieuses et innovantes pour lutter contre les violences faites aux femmes et aux filles. Ces actions se distinguent non seulement * par leur caractère technologique pour sensibiliser de nouvelles audiences * par une approche systémique qui relie prévention, soutien juridique, accès l’emploi et protection à travers le monde * et par un ancrage international grâce à la coopération avec des instances diplomatiques et européennes mais aussi par des actions législatives et sociales concrètes directement orientées vers les besoins des victimes. L’originalité de la stratégie de MMF repose sur l’implication massive de marraines qui, au-delà de la visibilité, sont engagées dans des actions concrètes et durables. En combinant une dimension technologique, éducative, et itinérante, ce modèle vise à faire évoluer les mentalités tout en soutenant activement les victimes. L’approche innovante du réseau et son ancrage international font de l’association & ONG MMF un nouvel acteur clé dans la lutte contre les violences faites aux femmes et les féminicides. Ce 25 novembre, avec les autorités gouvernementales et les plus hautes instances, l'association procédera à Libreville au lancement officiel de la campagne africaine pour dénoncer plus massivement les viols en zone de guerre et durant les conflits, les mariages précoces et forcés, l’esclavage et le tourisme sexuel, l’excision. MMF fait du Gabon le pays chef de file pour le continent africain et agira de même sur les autres continents avec des nations leaders. Il est temps d’agir, de faire entendre nos voix, de transformer notre indignation en action concrète." N'hésitez-pas à me contacter si vous subissez des violences physiques ou psychologiques. Il y a de nombreuses structures pour vous épauler en Suède ou ailleurs. Vous trouverez une oreille à votre écoute et des conseils. Le chemin peut être long et tumultueux mais il y a une porte de sortie et une fin possible au cauchemar que vous vivez ! https://lnkd.in/dV5mnF6W https://lnkd.in/dV5mnF6W
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https://lnkd.in/eZVnHwqv Titre : Mobilisation pour les 16 jours d'activisme contre les violences faites aux femmes et aux filles Le Refuge des Femmes d’Haïti (Ref-Haïti) s’inscrit dans la campagne mondiale des 16 jours d’activisme, du 25 novembre au 10 décembre, en mettant un accent particulier sur deux problématiques critiques : -Les violences domestiques, affectant profondément les femmes au sein de leur foyer. -La violence des gangs, exposant femmes et filles à des viols, kidnappings et autres abus graves. Ces violences entraînent des impacts psychologiques (dépression, anxiété), physiques (blessures, décès), économiques (appauvrissement) et sociétaux (désintégration du tissu social). Ref-Haïti recommande de: Renforcer les lois et politiques contre les violences basées sur le genre. Assurer un meilleur soutien médical, juridique et psychosocial aux survivantes. Lutter contre l’impunité des gangs à travers une justice renforcée. Sensibiliser les communautés pour briser le silence et encourager la dénonciation. Ref-Haïti invite toutes les parties prenantes à unir leurs efforts pour mettre fin à ces violences, en priorisant la sécurité, la dignité et l’égalité des droits des femmes et des filles en Haïti. Fondation des Femmes Emmanuelle Bomba
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𝐏𝐋𝐄𝐍𝐈𝐄𝐑𝐄 « 𝟕 𝐀𝐍𝐒 𝐀𝐏𝐑𝐄𝐒 𝐋’𝐀𝐕𝐈𝐒 𝐃𝐔 𝐂𝐄𝐒𝐄 : 𝐀𝐌𝐏𝐋𝐈𝐅𝐈𝐎𝐍𝐒 𝐋𝐀 𝐋𝐔𝐓𝐓𝐄 𝐂𝐎𝐍𝐓𝐑𝐄 𝐋𝐄𝐒 𝐕𝐈𝐎𝐋𝐄𝐍𝐂𝐄𝐒 𝐅𝐀𝐈𝐓𝐄𝐒 𝐀𝐔𝐗 𝐅𝐄𝐌𝐌𝐄𝐒 𝐃𝐀𝐍𝐒 𝐋𝐄𝐒 𝐎𝐔𝐓𝐑𝐄-𝐌𝐄𝐑 » - 𝟐𝟔 𝐍𝐎𝐕𝐄𝐌𝐁𝐑𝐄 𝟐𝟎𝟐𝟒 En 2017, le Conseil économique, social et environnemental avait émis 40 recommandations claires et ambitieuses pour combattre les violences faites aux femmes dans les Outre-mer. Cependant, force est de constater que la situation ne s’est pas améliorée. Au contraire, les violences recensées ont augmentées sur tous les territoires ultramarins. Nous notons également que la mise en œuvre de ces recommandations, a été, jusqu’à présent, largement insuffisante. C’est un constat amer : ces propositions, qui étaient porteuses d’espoir et de solutions concrètes, demeurent donc toujours d’une brûlante actualité. Nous appelons aujourd’hui, encore plus qu’hier, à un sursaut de responsabilité politique. Nous n’entrerons pas ici dans le détail de ces mesures, mais leur pertinence est indéniable et leur mise en œuvre devrait être une priorité absolue. Cela implique une meilleure formation et une sensibilisation accrue des professionnelles et professionnels en première ligne. Cela exige également un accompagnement renforcé des victimes, que ce soit lors du dépôt de plainte ou dans la judiciarisation des violences subies, qui doivent cesser d’être banalisées. Et cela nécessite, enfin, des moyens financiers à la hauteur des enjeux, car les discours sans financement ne sauveront aucune vie. Mais il ne s’agit pas seulement d’actions isolées. Ce dont nous avons besoin, c’est d’une stratégie globale, transversale et ambitieuse du gouvernement. Une stratégie qui prenne en compte la spécificité des territoires ultra-marins. Ce combat doit être celui de tous, celui de l’État, des collectivités locales et des acteurs de terrain. Protéger les femmes, sur tous nos territoires, c’est protéger la dignité humaine et les fondements mêmes de notre société. Nous appelons donc à un engagement politique ferme et immédiat, à la hauteur de l’urgence et de la gravité de la situation. Enfin, comme lors de sa déclaration en 2017, le groupe CFE-CGC réitère qu’une attention particulière doit se mettre en place en entreprise pour une meilleure prise en compte des violences faites aux femmes sur le lieu de travail. Il est nécessaire pour cela de mobiliser les organisations syndicales, les employeurs et les services de santé au travail. Le lieu de travail doit être un lieu de protection, de prévention et d’aide aux victimes. Le groupe CFE-CGC votera cette résolution. Fabrice NICOUD Djamel SOUAMI Valerie GAYTE Gaetan METZGER CFE-CGC Métallurgie CFE-CGC Fédération Assurance CFE-CGC
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ICYMI: Evénement “Femmes en exil, un chemin semé de violences : comprendre pour mieux agir”: Le Groupe SOS, acteur associatif majeur du vivre-ensemble et de l'économie sociale et solidaire en Europe, organise en partenariat avec Stand Speak Rise Up ! un évènement dédié à la lutte contre les violences faites aux femmes en situation d'exil. En présence de Chékéba Hachemi, militante internationale engagée contre les violences faites aux femmes, cofondatrice de l'ONG Stand Speak Rise Up !, dédiée à l'éradication du viol comme arme de guerre, et fondatrice d'Afghanistan Libre (Groupe SOS) Objectif : mettre la lumière sur les violences subies par les femmes sur le chemin de l' exil et réfléchir aux moyens d'accompagner les survivantes sur le terrain, notamment lors de leur arrivée en France, en abordant des sujets cruciaux tels l'utilisation du viol comme arme de guerre mais également la santé sexuelle, la santé mentale, et l'accès aux droits (...) - Groupe SOS / Paris (75), Région Ile de France, Solidarité internationale / ONG / Coopération, Groupe SOS, Promotion de la santé, Agenda, grand public, Paris, Afghanistan Libre, Stand Speak Rise Up !, Chékéba Hachemi, Gaëlle Tellier
Evénement “Femmes en exil, un chemin semé de violences : comprendre pour mieux agir”
ess-et-societe.net
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👏 La DGOM a eu le plaisir d'accueillir Marine ANAYA, coordinatrice des Fédération nationale des CIDFF, pour des Palabres consacrées à l'accompagnement des femmes victimes de violence. Elle a fait un focus notamment sur la Guadeloupe, la Guyane, Mayotte et la Polynésie française, en lien avec la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, le 25 novembre prochain. 👉 Les chiffres sont éloquents : entre 2022 et 2023, les violences sexuelles ont augmenté de 1️⃣2️⃣% dans les outre-mer, contre 8️⃣,7️⃣% au niveau national (Données SSMSI). Cette situation est encore plus préoccupante dans le Pacifique : en 2022 et 2023, le ratio des violences intrafamiliales (VIF) est plus de 2️⃣ fois ➕ élevé en Polynésie française et près de 3️⃣ fois ➕ élevé en Nouvelle-Calédonie que dans la France entière. Pour mettre fin à ce fléau, la DGOM soutient notamment la Fédération nationale des CIDFF, dont l’action est majeure sur la France entière, par la signature en 2024 d’une convention pluriannuelle d’objectifs avec un soutien financier de 6️⃣5️⃣ 0️⃣0️⃣0️⃣€ par an, jusqu’à 2026.
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Je ne pourrai pas passer cette journée sans rappeler que le 25 novembre est la Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes. Instaurée par les Nations Unies en 1999, cette journée a pour objectif de sensibiliser l'opinion publique à la violence dont sont victimes les femmes et les filles dans le monde entier. La violence à l'égard des femmes et des filles prend de nombreuses formes, notamment : -La violence physique et sexuelle -Les mariages forcés et les mariages d'enfants -La mutilation génitale féminine -Le harcèlement et les abus psychologiques -La violence économique et la privation des droits. Cette journée est une occasion importante pour alerter sur la gravité de ces violences, mobiliser les efforts collectifs pour y mettre fin, et promouvoir des actions concrètes en faveur des droits et de la sécurité des femmes et des filles partout dans le monde.
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Dominique VIENNE Président du CESER Réunion et CESER De France était invité hier à une table ronde consacrée aux violences faites aux femmes dans les Outre-mer pour la publication du rapport du Conseil économique social et environnemental. ↗️ Les chiffres parlent d'eux-mêmes : en 2022, 13 femmes ont été tuées par leur mari ou ex-conjoint dans les Outre-mer, représentant 11 % des féminicides en France pour une population de seulement 4 % du total national. 🌍 À La Réunion, en 2023, 14,6 victimes pour 1000 habitantes ont été recensées, plaçant l'île au deuxième rang des départements français les plus touchés par les violences conjugales. 🎤 Lors de son intervention, Dominique VIENNE à insisté sur trois axes majeurs pour répondre à ce fléau : 1️⃣ Renforcement des dispositifs de protection : augmenter le nombre de places d’hébergement et simplifier l’accès aux dispositifs d’aide pour les victimes. L'objectif de 11 000 places d’accueil d’ici 2025 doit être une priorité concrète. 2️⃣ Formation des professionnels : assurer une formation continue pour les forces de l’ordre, les professionnels judiciaires et sociaux, afin d’améliorer l’accueil et la prise en charge des victimes. Déjà, 160 000 policiers et gendarmes ont été formés. 3️⃣ Sensibilisation et prévention : déconstruire les stéréotypes de genre et promouvoir l’égalité, notamment auprès des jeunes. Les campagnes comme "Tous UNiS" ou l’action des associations locales sont essentielles dans ce combat. ✅️ Pour rendre ces actions efficaces, il est indispensable de mettre en place une évaluation rigoureuse des politiques publiques. Cette évaluation, réalisée "in itinere" et "post", permettrait de mesurer l’impact réel des mesures prises, de corriger rapidement les insuffisances et de renforcer la coordination des acteurs au niveau national et régional. 📒 Dominique VIENNE a ainsi proposé qu’un rapport annuel État-Région sur la lutte contre les violences faites aux femmes soit publié sur la base de cette évaluation continue. Ce rapport pourrait devenir un outil stratégique pour créer les conditions d’une coordination et contractualisation entre les acteurs publics/privés concernés, tout en favorisant une appropriation collective des enjeux au niveau local. 💰 Enfin, le financement dédié à cette cause en Outre-mer doit être à la hauteur. Les spécificités sociales, culturelles et géographiques de ces territoires aggravent ces violences et exigent un investissement renforcé. ‼️Face à cette urgence sociale, nous avons le devoir collectif de protéger, prévenir et agir. CESER Bourgogne-Franche-Comté CESER de Bretagne CESER Grand Est CESER Normandie CESER NOUVELLE-AQUITAINE - Conseil Économique Social & Environnemental Régional CESER Pays de la Loire CESER Hauts-de-France CESER Auvergne-Rhône-Alpes CESECE GUYANE CESER DE GUADELOUPE CÉSEM - Conseil Économique, Social et Environnemental de Mayotte Conseil économique, social et environnemental - Île-de-France (Ceser IDF)
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Éducatrice chez ASSOCIATION HOME PROTESTANT
5 moisJe suis d’accord !