"𝑶𝒏 𝒏𝒆 𝒑𝒆𝒖𝒕 𝒑𝒂𝒔 𝒃𝒍â𝒎𝒆𝒓 𝒖𝒏 𝒊𝒏𝒅𝒊𝒗𝒊𝒅𝒖 𝒒𝒖𝒊 𝒏'𝒂 𝒑𝒂𝒔 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒄𝒊𝒆𝒏𝒄𝒆 𝒒𝒖'𝒊𝒍 𝒃𝒓𝒊𝒔𝒆 𝒖𝒏𝒆 𝒓è𝒈𝒍𝒆." Cette phrase s'applique à chacun de nous et encore plus à ces milliers de ruraux qui viennent tenter leur chance dans les grands centres urbains. On nous parle d'exode rural depuis la fin des années 80. Et, pourtant, rien n'est prévu dans la conception de nouveaux pôles urbains pour prendre en compte cette autre forme d'inégalité. Résultat: le chaos que l'on vit dans nos villes surpeuplées, est AVANT TOUT une question de #coexistence de plusieurs logiques. L'occupation de l'espace commun devient de facto, un casse-tête et chacun y appliquera sa propre logique, au détriment des normes et standards. Pour y rémédier, je suis de celles et ceux qui pensent que comme pour la préparation des pélerins pour la Mecque, il nous faudrait penser à des cours de préparation à la vie en ville. Ne riez pas si vite ! Vous n'avez pas appris à marcher tout seul n'est-ce pas. On vous a tenu la main et vous avez appris, avec bienveillance à poser un pas derrière l'autre, à votre rythme. En entreprise, lors de votre première semaine, vous avez probablement bénéficié de l'indulgence de vos collègues ou MIEUX, on vous a inscrit à un programme d'induction pour vous permettre de vous familiariser avec les procédures internes et les habitudes de la boîte. Alors pourquoi assumons-nous tous que pour les nouveaux arrivants en ville, tout doit couler de source ?! Il serait de la responsabilité des collectivités territoriales (mais SURTOUT de celle du Ministère du TOURISME) de développer des programmes de présentation des spécificités de chaque grande agglomération et de fournir, aux nouveaux arrivants, la possibilité de les suivre gratuitement. Si vous êtes en mesure de l'appliquer en phase pilote une telle mesure, je serai ravie de pouvoir y contribuer. Crédit photo: Image IA générée par Adobe Firefly.
Post de Minielle Nabou Tall
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chronique : Aaah faut que je vous raconte - 11 novembre 24 Alerte aux Opérateurs Culturels : Le Piège de l'Appel à Projet Municipal - Ou Comment Vous Faire Travailler Sans Garantie 🤦♂️🎭 Ah, l’administration… Toujours là pour nous rappeler à quel point elle peut être inventive quand il s'agit de chercher des solutions rapides à des problèmes qu’elle n’a pas anticipés. Imaginez la scène : une municipalité qui se réveille un beau matin, avec un éclair de génie 💡 : "On va organiser une guinguette d'été ! Mais… on n’a pas de candidats, et franchement, le budget c’est un peu limité 💸. Ce serait bien si quelqu'un pouvait tout prendre en charge…" Et hop, voilà comment, en un éclair, ma boîte mail 📧 se transforme en un espace de décompression où vous recevez un appel à projet municipal. "Guinguette estivale, dans 19 jours ⏳ ! En plein cœur de la pré-saison, avec une météo capricieuse 🌦️ et des services municipaux aussi prêts que des chaussettes dépareillées 🧦 !" à Suivre #culture #municipalités #événementiel #professionnalisme #partenariat #garanties #administration #projetsculturels #soutienlogistique #comprendrelevide #maires #Networking #DéveloppementPersonnel #BienÊtreAuTravail #SantéMentale #ÉquilibreDeVie #TravailEtBienÊtre #Motivation #CroissancePersonnelle #Productivité #SantéEtBienÊtre #ÉpanouissementPersonnel #Leadership #InspirationProfessionnelle #CultureDEntreprise #Bienveillance #Gestionevenement
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#Hey le fil actus A.Vé marketing, revoilà le 😉 #markterr du mercredi avec un zoom 🔎 sur #attractivité de la #Bretagne et ses nouveaux arrivants 📈 Les données Insee fin 2023 et Magazine Bretons indiquent que notre région (4 depts administratifs) est celle qui voit arriver le + de nouveaux habitants : en 2020 =3,4 millions, en 1 an + 70 000 ↪ Origine : souvent des natifs Bretons ou anciens vacanciers 👥 Exit le cliché de l'envahissement des retraités parisiens, 6,4% uniquement, certes la catégorie retraités est importante avec 16.3%, et avec 40% d'Île-de-France, mais la combinaison des chiffres reste très en-deça de 10%. La majorité = des actifs en ménage avec enfants, alors pourquoi : 🏡 Un accès plus facile à la propriété maison ⚽ Le dynamisme sportif et culturel, associatif ainsi que la réussite scolaire, et des inégalités moins marquées 🏤 Un cadre de vie campagne mais avec un tissu de villes entre 10 000 et 50 000 habitants qui génère une offre de #services appréciable, là où les grandes villes de province (Bordeaux, Lyon, Toulouse, Nantes ...) à la mode saturent en prix de foncier élevé et des difficulté de vie quotidienne 💻 Un taux de chômage plus faible 5,8%, l'emploi a augmenté de 4%, attirant des professions intermédiaires et pas uniquement les CSP+ 🔎 Une économie diversifiée MAIS les signaux de vigilance sont aussi là ⚠ + 257 000 habitants en 2050 = un rythme 3,5 fois plus élevé qu'en France, un développement de services à prévoir compte-tenu des seniors, par exemple à Vannes 9,4% octogénaires à cette date A suivre ... in Ouest-France avec interview Lionel Prigent et Olivier DAVID https://lnkd.in/e9eumZpx
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PARUTION | 🧭 𝗕𝗮𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗽𝗵𝗲 𝗱𝘂 𝗽𝗮𝘆𝘀 𝗱𝗲 𝗟𝗼𝗿𝗶𝗲𝗻𝘁-𝗤𝘂𝗶𝗺𝗽𝗲𝗿𝗹𝗲́, juillet 2024 À retrouver dans ce numéro : #Territoire - 𝗘́𝘃𝗮𝗹𝘂𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗦𝗖𝗼𝗧 𝗱𝘂 𝗽𝗮𝘆𝘀 𝗱𝗲 𝗟𝗼𝗿𝗶𝗲𝗻𝘁 6 ans après l’approbation : qu’est-ce qui a bien fonctionné ? Que reste-t-il à améliorer ? #Habitat - BBO Communauté 𝗲𝘁 𝗹𝗲 𝗹𝗼𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 Démographie, parc de logement, marchés… Synthèse d’une démarche avec les élus de BBO Communauté. #économie- 𝗖𝗿𝗲́𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲 𝗱’𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲 : les projets accompagnés par Initiative Pays de Lorient. Un portrait des porteurs de projet suivis de 2018 à 2022. #économie - 𝗙𝗿𝗶𝗰𝗵𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗰𝗿𝗲𝘂𝘀𝗲𝘀 Bilan de la reconquête des friches et des dents creuses dans les zones d’activités du pays de Lorient depuis 2018. #handicap - 𝗢𝗯𝘀𝗲𝗿𝘃𝗮𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗛𝗜𝗧 Handicap Innovation Territoire : enquête sur la perception du handicap et le point de vue des personnes en situation de handicap. #tourisme #économie - 𝗥𝗲𝘁𝗼𝗺𝗯𝗲́𝗲𝘀 𝗲́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝘂 Festival Interceltique de Lorient Le Festival Interceltique de Lorient reçoit chaque année des milliers de visiteurs. Bilan de ces retombées économiques. #mobilité - 𝗗𝗲́𝗽𝗹𝗮𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗼𝗺𝗶𝗰𝗶𝗹𝗲-𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹. État des lieux 2020 et évolutions depuis 2015 Deux tiers des actifs du pays de Lorient-Quimperlé travaillent en dehors de leur commune de résidence. Quels sont les trajets les plus nombreux ? Où augmentent-ils ? et retrouvez également : 📰 l'actualité des entreprises (revue de presse), 📊 les notes de conjoncture économique. Pour consulter la Barographe n°39, c'est par ici 👉 https://bit.ly/3lbcdoQ
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𝑰𝒎𝒂𝒈𝒊𝒏𝒆𝒓 𝒗𝒐𝒕𝒓𝒆 𝒕𝒆𝒓𝒓𝒊𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒅𝒆𝒎𝒂𝒊𝒏 𝒄̧𝒂 𝒗𝒐𝒖𝒔 𝒅𝒊𝒕 ? Vous vous êtes déjà posé ces questions ? 🤔 ▫️"Je viens de décrocher mon premier emploi mais quelle solution pour me loger ?" ▫️"Nous cherchons à investir suite à la naissance de notre premier enfant." ▫️"Quelle typologie de logement pour mes parents vieillissants ?" 👉 Lamballe Terre & Mer invite les habitants de l'agglomération à participer à 3 ateliers participatifs, par type de territoire : 25 septembre - Habitants du secteur urbain 🏢 26 septembre - Habitants du secteur rural 🌳 3 octobre - Habitants du secteur littoral 🐚 💡Le but : casser les stéréotypes et comprendre au mieux les attentes de toutes les générations ! Ces contributions permettront d'identifier les défis à relever et d'imaginer des solutions adaptées à toutes et tous. Les résultats de ces rencontres viendront enrichir le diagnostic et orienter les décisions futures en matière de #logement, pour préparer le futur programme local de l'habitat de l'Agglomération. Vous souhaitez participer ? Toutes les infos sont ici : https://lnkd.in/gMGrdKJC
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Bien vieillir aux Gratte-Ciel ! C’est sous cette accroche que nous entamons un travail avec la SVU - Société villeurbannaise d'urbanisme autour de l’accompagnement de nos aîné.es dans l’hyper centre de Villeurbanne pour imaginer un « quartier autonomie ». Si pour beaucoup la solution du pouvoir vieillir à son domicile va rester le choix privilégié, l’entrée dans le grand âge nécessite un accompagnement renforcé et adaptable au fil des mois et des ans. Dans les réflexions urbaines à Villeurbanne, nous affirmons le principe d’une ville du bien habiter. C’est-à-dire une ville à échelle humaine, dotées de fonctionnalités diverses sur des échelles de distances acceptable. Ce sont des logements, mais aussi des commerces, des professionnels de santé, des transports en commun, des locaux d’activités. Certains l’appellent la ville du quart d’heure. Nous préferons la bonne échelle car cette échelle, avec l’âge, a tendance à se rétrécir compte tenu des enjeux de mobilité et des fragilités de santé. En effet habiter la ville, ce n’est pas seulement disposer d’un toit c'est s’inscrire dans la Cité avec toutes ses fonctionnalités : mobilité, services, rencontres, loisirs, culture, courses, Alors, c’est quoi un quartier autonomie ? Nous ne le savons pas encore et c’est ce travail de définition que nous débutons : Ce pourrait être : - imaginer des nouveaux services - Pousser des services déjà existants dans les étages auprès des locataires les plus âgés du parc social dans une logique d’ « d’aller vers » - inventer des coopérations avec des acteurs associatifs, médicaux « pour créer une communauté locale » au sens de l’ONU Nous sommes au travail avec l’eco-systeme local car la prise en charge du vieillissement n’est pas le cœur de métier du bailleur social. Merci à ceux qui ont accepté de participer à la première réunion de travail. Il y a tout à inventer ! Frédéric Thénot Antoine Pelcé Julie Quantin Laure PERRIN-VIDOZ
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Le guide de la sortie de crise du logement #21 « Quel type de société développons-nous si l’on empêche les actifs de se loger décemment ? La France, qui est en train de rétrograder à la 7e place des puissances économiques mondiales, qui veut lancer sa réindustrialisation mais ne se donne pas les moyens réels, concrets, de loger ses forces vives dans les lieux qui pourraient être les creusets du "bien vivre" et du "bien travailler" de demain. Si un couple d’ingénieurs, employés en CDI, ne peut pas espérer acheter un bien, qui le peut ? Si une génération entière d’actifs se voit exclue de l’accès à ce que possèdent aujourd’hui ses parents, quel type de société fabriquons-nous ? Si, parce que nous ne souhaitons pas partager nos terrains, et plus encore, parce que nous interdisons délibérément à ceux qui sont prêts à les partager de le faire… Si, par simple manque de compétence techniques et de moyens humains, nous empêchons la réalisation de ce qui, aujourd’hui, se fait de façon très maladroite et anarchique, mais répond aux besoins fondamentaux des personnes dont le jardin est trop grand, mais aussi de celles qui cherchent un petit lopin de terre pour poser leurs valises… » Les réponses ici, dans le guide des villes vivantes. Bonne lecture ☕️ https://lnkd.in/e_qSizt6
Nos réponses à la crise du logement ne sont pas à la hauteur
https://vv.guide
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#ruralité et #mobilité L'Institut Terram et Chemins d'avenirs notent dans leur étude récente les difficultés à se déplacer qui affectent fortement le quotidien des #jeunes ruraux, qui passent en moyenne plus de 2h30 chaque jour dans les transports. Ces problèmes de mobilité sont sources de contraintes et difficultés dans tous les domaines. ➡ notamment en termes d'impact sur le parcours d'orientation et d'emploi : 38% d'entre eux, en recherche d’ #emploi, disent avoir déjà renoncé à passer un entretien en raison de difficultés de déplacement contre 19% de leurs homologues urbains. ➡ en termes de #coût financier : le coût de la mobilité pour les jeunes est très élevé. Le budget mensuel dans les transports s'élève en moyenne à 528 euros pour les jeunes ruraux (dont 461 euros pour le véhicule individuel), contre 307 euros pour les jeunes urbains. ➡ entrainant une forte #dépendance à l'utilisation d'une #voiture : ils sont 69% à dépendre de la voiture quotidiennement, du fait d'une offre de transports en commun insuffisante, contre 38% des jeunes urbains. "Cette dépendance provoque une fragilité, notamment pour les 7 jeunes ruraux sur 10 de plus de 25 ans (67%) qui se disent en risque de perdre leur emploi si leur mode de transport actuel est compromis".
Se déplacer, une contrainte majeure pour les jeunes ruraux
banquedesterritoires.fr
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Réflexion à engager pour bien vieillir ensemble
C'est l'histoire d'une bande de retraités qui, plutôt que de vieillir seuls, se sont serré les coudes pour faire sortir de terre l'immeuble de leur rêve. Ça se passe à Vaulx-en-Velin, ça parle d'autogestion, de vie en coopération et d'écologie et je vous raconte tout ça par ici >
Dans une communauté de retraités : « Avant, je vivais dans un immeuble où il y avait peut-être 60 appareils à raclette. Ça n’avait aucun sens »
nouvelobs.com
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En fin de semaine passée, j'ai vécu un moment de fraicheur. Avec Tim Izzo, nous avons rejoint la résidence annuelle de l'Assemblée Virtuelle dont nous sommes membres depuis près de 2 ans via Octree. Une association qui fait son bout de chemin à rassembler des projets libres et du web sémantique (depuis plus de 10 ans maintenant), c'est-à-dire un web ouvert où les données sont contrôlées par les utilisateurs et interopérable par design. Ce que ça change : imaginer des tas de petits services spécialisés créés pour répondre à leur besoin et de manière locale, mais en même temps la capacité à retrouver et à croiser des informations de manière globale et ça sans passer par aucun GAFAM. Une approche du numérique pour répondre à des besoins concrets, de manière collaborative. En lien avec ce que nous faisons au quotidien à Octree. Ces quelques jours de résidence se sont déroulés dans un tiers lieu dédié à l'exploration de la transition heureuse à Joigny (à La Caserne Bascule). Un lieu qui permet une prise de recul sur le quotidien et fait revenir à l'essentiel du vivre ensemble, avec des moments de franche convivialité, mais aussi à expérimenter l'autogestion spontanée, la ressource principale sur place n'est plus l'argent, mais l'énergie sociale qui a la particularité d'être contagieuse. Des lieux comme ça, on aimerait bien en avoir plus ! Ces quelques jours me font commencer cette semaine inspiré de ces rencontres et perspectives technologiques, dans une sobriété heureuse, avec un souhait de rapporter un bout dans mon quotidien de cet élan de partage et de convivialité touché un court instant.
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Début avril, l’institut Paris Région publiait son étude sur la mobilité des Franciliens basée sur une méthodologie innovante. Pendant plus de 6 mois, 3 337 Franciliens âgés de 16 à 80 ans, ont été équipés de traceurs GPS pour suivre avec précision et exhaustivité leurs déplacements. Regardons ensemble les principaux enseignements de cette étude particulièrement instructive pour l’évolution de notre mobilité. Plus d’infos sur notre #MobilityBlog👉 https://bit.ly/4aUHrFg
Comment se déplacent (vraiment) les Franciliens ?
aldautomotive.fr
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