Post de Mohamed TRICHA

Pourquoi est-il important d’avoir un équipement adapté au cavalier ? 🐎 Une selle bien ajustée joue un rôle fondamental pour plusieurs raisons : 🌿 Posture et équilibre : Un cavalier en déséquilibre oblige son cheval à compenser pour rester stable. Cela signifie que le cheval doit non seulement exécuter ses propres mouvements, mais aussi s’adapter aux déséquilibres du cavalier. 🤷♂️ ➡️ 🐴 De plus, cela rend les demandes moins claires, ce qui peut désensibiliser le cheval, réduisant sa réactivité et sa capacité à répondre rapidement. ⚡🐴 🔒 Sécurité : Une selle inadaptée peut compromettre la stabilité du cavalier, augmentant les risques de chute et d'accidents. Un bon maintien assure non seulement la sécurité du cavalier, mais aussi celle du cheval, permettant ainsi une pratique plus sereine et harmonieuse. 🤝 💪 Confort et performance : Une selle confortable permet au cavalier de s'asseoir correctement pour utiliser sa musculature profonde, libérant les muscles superficiels pour réaliser les demandes. Cela rend le travail plus efficace et agréable 🎯. 😊 Toutefois, cela ne remplace pas l’importance d’un bon gainage et d’un entraînement physique 🏋️. Une selle bien ajustée contribue donc au confort et à la performance globale du couple cavalier-cheval. 🏆🤩 🌸 Bien-être du cheval : Une selle inadaptée pour le cavalier impacte directement le cheval. Si le cavalier est inconfortable 😣 il ne peut pas bouger correctement, cela peut créer des tensions qui affectent le confort de l'animal. 🐴 Il est crucial que la selle convienne aussi bien au cavalier qu’au cheval pour garantir leur bien-être et favoriser une communication harmonieuse 🧘♂️💫. Des doutes sur l’adéquation de votre matériel ? 🤔 N’hésitez pas à me contacter ! Je suis à votre disposition pour vous conseiller et vous aider à choisir le meilleur équipement pour vous et votre cheval 🐎. 👉 Appelez-moi, consultez mon site ergo-fitting.ch ou suivez-moi sur mes réseaux sociaux 📱 pour découvrir toutes mes solutions adaptées à vos besoins !

L’équilibre du cheval. L’équilibre d’un cheval est un concept essentiel dans les disciplines équestres, qu'il s'agisse de l'équitation de loisir, du dressage, du saut d’obstacles ou de toute autre activité équestre. Voici les principaux éléments qui définissent l’équilibre d’un cheval : 1. **Répartition du poids** : Un cheval en équilibre répartit son poids de manière harmonieuse entre ses quatre membres. Cette répartition permet au cheval de se déplacer avec fluidité et efficacité, et de réagir promptement aux aides du cavalier. 2. **Aplomb et posture** : Le cheval doit avoir une posture correcte, avec la tête, le cou et le corps alignés. Un cheval en équilibre garde sa tête à un niveau qui permet de voir le sol devant lui sans trop baisser ou lever le nez. Le dos doit être droit et le cheval doit être capable de fléchir ses articulations sans difficulté. 3. **Souplesse et flexibilité** : Un cheval bien équilibré est capable de se mouvoir avec souplesse et de s'adapter facilement aux changements de direction et de rythme. Cette souplesse est souvent obtenue par un entraînement adéquat et une condition physique optimale. 4. **Impulsion et propulsion** : L’équilibre d’un cheval est lié à son impulsion, c’est-à-dire à sa capacité à utiliser ses membres postérieurs pour se propulser vers l’avant. Un bon équilibre permet au cheval de maintenir une cadence régulière et une impulsion continue. 5. **Coordination des aides du cavalier** : Pour maintenir et améliorer l’équilibre du cheval, le cavalier doit utiliser ses aides (mains, jambes, poids du corps) de manière coordonnée et harmonieuse. Une communication claire et précise entre le cavalier et le cheval est essentielle pour maintenir l’équilibre. 6. **Travail sur les différentes allures** : Un cheval en équilibre doit être capable de se mouvoir avec aisance dans toutes les allures : pas, trot, galop, et transitions entre celles-ci. Chaque allure nécessite une adaptation spécifique de l’équilibre. En résumé, l’équilibre d’un cheval repose sur une combinaison de posture correcte, répartition harmonieuse du poids, souplesse, impulsion, et une communication efficace avec le cavalier. Un cheval bien équilibré est non seulement plus performant, mais aussi moins susceptible de se blesser, ce qui est crucial pour sa santé et son bien-être.

 Extrait entretien. JO 2024 -Equitation : « Le très haut niveau est compatible avec le bien-être équin »   Que ressent un cheval ? Aime-t-il la compétition ? Autant de questions que la chercheuse Léa Lansade s’échine à répondre depuis vingt ans. La directrice de recherche à l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae) étudie le comportement et le bien-être des chevaux. Elle fait partie de la commission qui veillera au bien-être des chevaux lors des JO. Elle vient de publier un livre passionnant « Dans la tête d’un cheval ». Quel cavalier n’a pas rêvé de savoir à quoi pense son cheval. S’il est heureux de son mode de vie, de son écurie, de son activité… Léa Lansade est chercheuse en éthologie et spécialiste des émotions et de la cognition animale. Avec d’autres chercheurs, elle mène de nombreuses études et expériences pour comprendre cet animal fascinant. Alors que le bien-être des chevaux sera scruté de près aux Jeux olympiques, la scientifique mène déjà un travail avec une commission pour étudier le comportement des chevaux de haut niveau. Durant les épreuves olympiques, on imagine la pression des cavaliers, la ferveur du public… Que ressentent les chevaux ? C’est la grande question ! Dans le cadre d’un projet financé par le fond Equiaction de la fédération française d’équitation, nous cherchons à y répondre. L’étude se fait sur trois ans, nous sommes à la moitié. Par exemple, on analyse très finement le comportement des chevaux filmés avant leur entrée en piste. Grâce à des indicateurs déjà connus, nous essayons d’identifier des états émotionnels. Ce que l’on peut déjà dire c’est qu’il y a une grande variabilité avec des différences très importantes entre les chevaux. Nous sommes allés étudier le comportement des chevaux présélectionnés pour les JO. Et on a déjà des indicateurs intéressants sur leur mode de vie et leur état de bien-être. Qu’observez-vous ? Ce qui compte pour un cheval, c’est son mode de vie. Il faut qu’il ait accès le plus possible à du fourrage à volonté, à ses congénères et à la liberté. Il y a pas mal de chevaux, notamment en équipe de France pour lesquels tous ces critères sont déjà très bien respectés. Et ce sont souvent ces chevaux qui vont le mieux. Le très haut niveau est donc compatible avec le bien-être et avec un mode de vie proche de leurs besoins naturels. On peut combiner le respect de leurs besoins fondamentaux et... 🙏 💛

🎪 La piste du cirque est d'origine militaire ! 🐎 De 13m de diamètre et de 40m de circonférence, la piste circulaire est d'origine militaire et servait à l'origine à dresser les chevaux pour la guerre. 🌏 Ses dimensions désormais universelles font aussi écho aux 13 000 km de diamètre et 40 000 km de circonférence de la Terre. 💡C'est au 18ème siècle que le sergent-major Philip Astley, célèbre écuyer anglais, exporte à Paris la piste circulaire et devient ainsi le pionnier du #cirque moderne. Grâce à la #piste, pivot de la représentation et de l'universalité, cœur du #cirque, centre du monde à la fois infini et parfait, le cavalier et sa monture y développent leur meilleur #équilibre dans une allure constante afin de réaliser des démonstrations équestres dont l'origine remonte aux exercices militaires à #cheval. 🎠 De la piste au manège, il n'y a donc qu'un sabot... 👩🏻 Mais au fait Sabrina, quelles sont les origines du management ? ☎️ 📞 👱🏼♀️ Répondre @ Ludivine : 🐴 Le management selon son étymologie première nous vient du monde du cheval ! En anglais « to manage » vient de deux mots : - De l’italien "maneggiare" (issu du latin « manus ») qui signifie contrôler, manier avoir en main, - Du français "manège" de l’action de mener un cheval avec la main. 👉 La célèbre citation du général L’hotte sur l'équitation de tradition française se transpose parfaitement au #manager d’aujourd’hui : 📍Calme : en toute circonstance, 📍En avant : une dynamique pour servir sa vision, 📍Droit : authentique. 🔔 Avec Sabrina, nous vous partageons notre expérience #commandement et #management autour du #cheval et de l’#équicoaching chaque semaine ! #horseleadcoach RS Coaching & Consulting Fonds de dotation Alexis Gruss Vincent Giraudeaux

La théorie du cheval mort À mettre en relief la photo du cheval mort sur les murs des salles de réunion pour inspirer davantage … Il existe une sagesse transmise de génération en génération par une tribu des Indiens d'Amérique du Dakota : « Lorsque tu découvres que tu montes un cheval mort, la meilleure stratégie est de descendre. » Cependant, certaines organisations et institutions adoptent souvent des techniques et des stratégies différentes, qu’elles considèrent comme les meilleures pour gérer leur cheval mort, telles que : - Acheter un fouet plus puissant pour le chef. - Changer le cavalier qui monte le cheval mort. - Menacer le cheval mort de le licencier. - Nommer une commission pour étudier la situation du cheval mort. - Visiter d'autres organisations pour comprendre comment elles montent leurs chevaux morts. - Abaisser les critères d’évaluation des chevaux morts. - Reclasser le cheval mort en affirmant qu’il est vivant, mais qu’il a des défis de mobilité. - Engager des cavaliers étrangers pour monter le cheval mort. - Créer un esprit de compétition entre le cheval mort et un groupe d’autres chevaux morts pour améliorer sa performance. - Élaborer un plan de développement et de formation pour le cheval mort. - Restructurer les critères de productivité pour améliorer l'efficacité du cheval mort. - Se vanter que le cheval mort permet de réduire les coûts puisqu'il n'a pas besoin d’être nourri, contrairement aux autres chevaux qui nécessitent des dépenses alimentaires. - Revoir les attentes en matière de performance pour les chevaux afin de les adapter. A méditer….

Ce texte sur le « cheval mort » m’a forcément interpellée en tant qu’equicoach. Il met en lumière un problème clé que l’on rencontre aussitôt bien dans les organisations qu’au niveau individuel : la difficulté à lâcher des schémas ou des pratiques qui ne fonctionnent plus. 💡Et si, au lieu de persister, nous osions une approche différente pour avancer ? 🐴 L’équicoaching offre une méthode puissante et innovante pour explorer ces blocages. Avec le cheval comme partenaire, il devient possible de : 🎯Identifier les freins inconscients : Le cheval, en tant qu’animal hypersensible, reflète immédiatement nos intentions et nos états émotionnels. Cela permet de mettre en lumière des comportements qui restent souvent invisibles dans un contexte classique. 🎯Développer des solutions alignées : L’interaction avec le cheval favorise l’écoute, l’authenticité et l’adaptation, des qualités essentielles pour naviguer dans un monde complexe et en constante évolution. 🎯Créer une dynamique de transformation : contrairement aux “fouets” ou aux “changements de cavaliers” évoqués dans la métaphore, l’équicoaching invite à une remise en question en profondeur et à des actions durables. 🚀 En entreprise, cette approche permet de repenser les modes de collaboration, d’affiner les postures de leadership ou encore de renforcer la cohésion des équipes. 🤔 Alors, peut-être que la meilleure réponse face à un cheval mort n’est pas seulement de descendre, mais aussi d’apprendre, grâce au cheval, à mieux monter à l’avenir. Curieux d’en discuter ? Je suis à votre disposition pour échanger! #Leadership #coaching #transformation #changement #equicoaching #coachingavecleschevaux #intelligenceemotionnelle #communicationauthentique #leadershipnaturel #cohesiondequipe #management #softkills #innovationRH #bienetreautravail

La théorie du cheval mort À mettre en relief la photo du cheval mort sur les murs des salles de réunion pour inspirer davantage … Il existe une sagesse transmise de génération en génération par une tribu des Indiens d'Amérique du Dakota : « Lorsque tu découvres que tu montes un cheval mort, la meilleure stratégie est de descendre. » Cependant, certaines organisations et institutions adoptent souvent des techniques et des stratégies différentes, qu’elles considèrent comme les meilleures pour gérer leur cheval mort, telles que : - Acheter un fouet plus puissant pour le chef. - Changer le cavalier qui monte le cheval mort. - Menacer le cheval mort de le licencier. - Nommer une commission pour étudier la situation du cheval mort. - Visiter d'autres organisations pour comprendre comment elles montent leurs chevaux morts. - Abaisser les critères d’évaluation des chevaux morts. - Reclasser le cheval mort en affirmant qu’il est vivant, mais qu’il a des défis de mobilité. - Engager des cavaliers étrangers pour monter le cheval mort. - Créer un esprit de compétition entre le cheval mort et un groupe d’autres chevaux morts pour améliorer sa performance. - Élaborer un plan de développement et de formation pour le cheval mort. - Restructurer les critères de productivité pour améliorer l'efficacité du cheval mort. - Se vanter que le cheval mort permet de réduire les coûts puisqu'il n'a pas besoin d’être nourri, contrairement aux autres chevaux qui nécessitent des dépenses alimentaires. - Revoir les attentes en matière de performance pour les chevaux afin de les adapter. Prof. Dr. Rachid Boutti Président de la Chaire UNESCO Développement Durable Versus Afrique

Merci pour ce partage, Pr Dr BOUTTI Rachid . Cette métaphore du cheval mort nous invite à une réflexion essentielle : il vaut parfois mieux descendre du cheval un temps que de continuer à le chevaucher frénétiquement. Mais cela exige quelque chose d’essentiel : savoir distinguer le cheval du cavalier – un exercice qui nécessite une prise de recul et une réflexion en profondeur. Trop souvent, les organisations, au lieu de descendre du cheval pour réinterroger leur fonctionnement, prendre du recul, continuent à foncer tête baissée. Elles en arrivent alors à "jeter le cavalier avec l’eau du bain", une variante de l’expression bien connue "jeter le bébé avec l’eau du bain". Cela revient à sacrifier non seulement ce qui dysfonctionne, mais aussi ce qui pourrait être précieux : les managers, les salariés, ou même les messagers, pourtant essentiels à la transformation. L’enjeu n’est pas de tout sacrifier aveuglément, ni de s’accrocher à des mirages nourris par les illusions du passé, mais de prendre le temps de : - Se questionner, - Interroger l’organisation, - Et, si nécessaire, la déconstruire pour reconstruire quelque chose de viable et porteur de sens. Une réflexion qui s’applique aux organisations mais d'abord et avant tout aux individus.

La théorie du cheval mort est une métaphore qui doit faire réfléchir. Elle couvre beaucoup d’écueils du management. La résistance au changement, l’obstination, la fixation d’objectifs irréalistes, la confusion entre l’efficacité et l’efficience, l’exécution d’ordres imbéciles ( Milgram), j’en passe et des meilleurs. Chacun y trouvera des sources d’inspiration! À méditer.

La théorie du cheval mort À mettre en relief la photo du cheval mort sur les murs des salles de réunion pour inspirer davantage … Il existe une sagesse transmise de génération en génération par une tribu des Indiens d'Amérique du Dakota : « Lorsque tu découvres que tu montes un cheval mort, la meilleure stratégie est de descendre. »* Cependant, certaines organisations et institutions adoptent souvent des techniques et des stratégies différentes, qu’elles considèrent comme les meilleures pour gérer leur cheval mort, telles que : - Acheter un fouet plus puissant pour le chef. - Changer le cavalier qui monte le cheval mort. - Menacer le cheval mort de le licencier. - Nommer une commission pour étudier la situation du cheval mort. - Visiter d'autres organisations pour comprendre comment elles montent leurs chevaux morts. - Abaisser les critères d’évaluation des chevaux morts. - Reclasser le cheval mort en affirmant qu’il est vivant, mais qu’il a des défis de mobilité. - Engager des cavaliers étrangers pour monter le cheval mort. - Créer un esprit de compétition entre le cheval mort et un groupe d’autres chevaux morts pour améliorer sa performance. - Élaborer un plan de développement et de formation pour le cheval mort. - Restructurer les critères de productivité pour améliorer l'efficacité du cheval mort. - Se vanter que le cheval mort permet de réduire les coûts puisqu'il n'a pas besoin d’être nourri, contrairement aux autres chevaux qui nécessitent des dépenses alimentaires. - Revoir les attentes en matière de performance pour les chevaux afin de les adapter. Prof. Dr. Rachid Boutti Président de la Chaire UNESCO Développement Durable Versus Afrique