Post de MoneyVox : l'info pour votre argent

📚✨ Astuce pour la rentrée : Gérez vos finances comme des pros ! 1️⃣ Établissez un budget réaliste en identifiant vos dépenses incontournables et comparez-les à vos revenus. 2️⃣ Fractionnez les gros paiements en négociant des paiements échelonnés pour étaler les dépenses. 3️⃣ Faites des économies en profitant des promos et en comparant les prix 4️⃣ Planifiez vos imprévus en créant un fonds d’urgence pour les surprises de la rentrée. #UMOATitres #Finance #Épargne

ATTENTION Si vous souhaitez conserver votre taux de prélèvement à la source 2024 pour 2025, une action de votre part est nécessaire. Pour cela, rendez-vous dans votre espace particulier sur impots.gouv.fr et indiquez vos revenus estimés pour l'année 2025. En actualisant votre taux avant le 6 DÉCEMBRE, il sera transmis à votre verseur de revenus, ce qui lui permettra, de le prendre en compte pour vos revenus versés à partir de fin janvier 2025. Sans action de votre part, c’est le taux calculé à partir de votre dernière déclaration de revenus qui sera appliqué.

📣 Lors de sa dernière session plénière, le CESER Pays de la Loire a voté la Décision Modificative n°2 2024. Cette Décision Modificative est la dernière étape budgétaire permettant d’apporter des modifications au Budget Primitif (BP) 2024. Elle fait suite au Budget Supplémentaire (BS) qui a, outre les modifications apportées au BP, permis de prendre acte du report du résultat de l’exercice 2023. Les dernières prévisions de la Banque de France pour 2024 sont supérieures aux estimations précédentes avec un taux de croissance attendu de 1,1 % (vs. 0,9 % initialement prévu lors du vote du BP et 0,8 % lors du vote du BS). L’inflation est toujours attendue à 2,5 %. Comme indiqué par la Région Pays de la Loire, cette DM s’inscrit donc dans les lignes directrices présentées à l’occasion du BP 2024 sans en bouleverser les équilibres. 📌 Consulter l'avis sur la Décision Modificative n°2 2024 : https://lnkd.in/eDdeQcf8 👋 Martineau Damien, marc marhadour, Jacques Brousseau, Isabelle Thoumin, Frédéric Triou, Sophie Descarpentries, Laurent DEJOIE

la conjoncture des Finances Locales présentée par la banque postale et l'observatoire des finances et de la gestion publique aux assises de l'afigese de Grenoble souligne notamment pour l'ensemble des collectivités le constat d'un décrochage entre l'évolution des dépenses et des recettes de fonctionnement, son effet ciseaux et son corollaire, une dégradation inéluctable de l'épargne brute. Même s'il est évoqué une amélioration pour l'année prochaine notamment en ce qui concerne les DMTO pour lesquels il semblerait que le plancher soit atteint, il est à craindre, de mon point de vue, de grosses incertitudes quant à l'évolution de la croissance de la TVA qui risque, en considération de la perspective de mise en place progressive d'un nécessaire plan de rétablissement des finances publiques, d'engendrer, pour les structures touchées par une aggravation de leur fiscalité, un impact sur leur résultat, impact qui pourrait, pour préserver les marges des structures, avoir un effet prix et une incidence sur la consommation. Nous sommes sur un chemin de crête où chaque faux pas se paie comptant. Il faudra donc aux collectivités être prudentes dans leurs prévisions de recettes pour, si possible, éviter la reconduction de 2024 c'est à dire le décrochage constaté de l'évolution des dépenses et des recettes et par là même préserver l'ensemble de nos équilibres, nos ratios, nos marges de manœuvre...

Les prévisions des recettes fiscales ont été, une fois de plus, parfaitement foireuses. Rappelons que pour prédire ces dernières, il faut prédire l'activité économique à venir, donc prédire le futur. Quels enseignements en tirer ? Changer la manière d'appréhender le problème ? Accroître la fréquence des mesures pour éviter les dérives annuelles ? Développer une approche plus adaptive ? Non. On va juste changer de madame Irma.

Bruno le Maire devant la commission des finances du Sénat sur la dégradation des comptes publics. On démissionne pas pour 1 arbitrage perdu. On démissionne pour 1 désaccord de fond. Hausse du déficit de +15%. En 2008, +35%. Une fois la sortie de la crise du COVID-19 et de l'inflation, a présenté 1 plan d'économies, les financements de chèque énergie, de bouclier énergétique doivent devenir pérennes. Prévision de recettes : le modèle tient pas compte de l'inflation. 1 point de recette = 1 point de croissance. Le taux d'élasticité passe à 0,4. Puis 0,6 donc 20+20 MDS € en moins. Les modèles prédictifs se sont donc plantés. Pour Bruno le Maire, il faut des réunions plus régulières des différents services de finance. Faire un suivi ex-post des dépenses et 1 suivi des données haute fréquence (CB). Contre l'abandon des prévisions de fin de gestion au profit seul des prévisions du PLF. Étanchéité entre le ministre et les services de la prévision. Bruno le Maire est solidaire des décisions prises. Retour sous les 3%de déficit, la croissance, le plein emploi, l'investissement. La politique de l'emploi. La seule pour faire de la France 1 nation de production. 50% des dépenses : le social. Il faut travailler sur cette dépense et l'insuffisance du travail. 70% dépenses de l'État, 20% collectivités territoriales. Est-il utile de se priver de recettes de l'État en période de crise ? Notre modèle social est mis en péril avec l'insuffisance de travail et la chute de natalité. Les allemands ont perdus 58 MDS €. Les comptes sont sincères pour fin 2023. Mais comme le rappelent le Président et le rapporteur, ils veulent revenir sur 2024. La note du Trésor alerte sur les baisses de TVA. Forte incertitude sur les prévisions. Manque l'IS. Transmettre les notes en temps réel aux chambres. Le budget doit faire l'objet d'1 co-construction entre exécutif et législatif. Le ministre doit tenir les objectifs des finances sinon tout est ouvert derrière. Les chiffres de prévision sont arrivés confirmés. Début janvier, seul était disponible la croissance estimée du FMI et de la Commission européenne 1,3 et 1,2. En février alerte sur la dégradation des rentrées fiscales : 30 MDS € 5 MDS sur la consommation finale d'électricité 10 milliards d'annulation de crédits. Une loi de finance rectificative de 15 MDS. Gros décret d'annulation de crédit de 10 MDS en février. C'est très rare. il faut prévoir 34 MDS € d'économies. Et redéfinir les objectifs stratégiques économiques. Agences de notation Standard and Poors mai 2024, Moody's avril 2024. Pour tenir un engagement, il faut avoir les moyens de le tenir. ,Obstination à faire le PLFR. Il a perdu l'arbitrage. Est-ce lié aux élections européennes ? il faut demander la raison de l'arbitrage à ceux qui l'ont pris. La notion d'homme libre est dégradée. La liberté n'empêche pas la responsabilité. c'est un sujet politique. Suite post n°2 Public sénat https://lnkd.in/gw_v5M5N vidéo huff post

📊 Gérants et associés uniques d'EURL : Maîtrisez votre prélèvement à la source ! 💼 L'heure de la mise à jour de votre taux de prélèvement à la source approche ! 🕒 Mais saviez-vous que vous avez le pouvoir d'ajuster ce taux selon votre situation ? Voici quelques astuces pour garder le contrôle de votre trésorerie : 1️⃣ Diminuer votre prélèvement : Si vos revenus 2024 s'annoncent inférieurs à ceux de 2023, vous pouvez moduler votre taux à la baisse. Comment ? Rendez-vous sur impots.gouv.fr et suivez le guide ! 📉 2️⃣ Reporter une échéance : Besoin d'un peu de répit ? Vous pouvez reporter jusqu'à 3 fois vos acomptes mensuels ou 1 fois vos acomptes trimestriels. Attention aux délais : agissez avant le 22 du mois précédent ! ⏳ 3️⃣ Supprimer un acompte : Dans les moments difficiles, la suppression d'un acompte est possible. Ce n'est pas une annulation, mais un report bienvenu. 💡 4️⃣ Augmenter un acompte ou effectuer des versements spontanés : Pour les prévoyants qui veulent éviter les mauvaises surprises l'année suivante ! 👀 N'oubliez pas : ces ajustements sont à votre portée, directement depuis votre espace personnel sur impots.gouv.fr. Profitez-en pour optimiser votre gestion financière ! Entrepreneurs, gardez la main sur vos finances ! 💪 Partagez vos astuces de gestion dans les commentaires. Et si ce post vous a été utile, n'hésitez pas à le partager avec vos collègues dirigeants ! #GestionPatrimoniale #Entrepreneuriat #OptimisationFiscale

Il y a des règles tellement instaurées en finances, qu’on ne pense plus à les challenger 💁♀️ ⚖️ Vous connaissez celle des 50-30-20 pour sa répartition budgétaire ? Elle voudrait que sur la base de ses revenus, chacun et chacune alloue : 🏠 50% à ses dépenses vitales (loyer, frais électricité, courses, transports, etc.) 🛍️ 30% à ses dépenses plaisirs (sport, shopping, vacances, etc.) 💸 20% à son épargne (vous avez compris !) Sur le papier, ça rend bien, sauf qu’en fonction de ses revenus, la règle n’est pas toujours applicable. Johann NGUELET explique que pour un revenu de 1500€, ça devient compliqué pour vivre au quotidien. ➡️ Il propose d’adapter la règle à chaque fourchette de revenus ! Pour connaître ses conseils de répartition, écoutez l’épisode #215 ! (Lien en commentaire) #finance #budget #challenge #revenus

Bon à savoir

L’arrêté des comptes nationaux des secteurs institutionnels de l’année 2023, qui représentent la séquence complète des comptes non financiers et financiers, montre que le produit intérieur brut (PIB), aux prix courants, a affiché une valeur de 1463,3 milliards de DH en 2023, en hausse de 10% par rapport à l’année 2022.