Post de Montpensier Finance

Les programmes de la NUPES 2.0 et du RN sont des désastres économiques annoncés🚨 La NUPES 2.0 de Jacques Oberti propose 130 milliards d’euros de hausses d’impôts et de taxes, impactant directement la classe moyenne et populaire. Ces hausses incluent la réintroduction de charges salariales sur les heures supplémentaires, l’augmentation de la CSG pour les retraités, la réduction du quotient familial et la majoration des droits de succession, ce qui réduirait le pouvoir d’achat des travailleurs et des retraités. De plus, leur programme de dépenses supplémentaires de 300 milliards d’euros par an, incluant la retraite à 60 ans et le SMIC à 1600€, nécessiterait une augmentation massive des prélèvements, détruisant 1,2 million d’emplois et créant un déséquilibre budgétaire insoutenable. Du côté du Rassemblement National, leurs propositions incluent des baisses de TVA sur l’énergie et l’exonération de l’impôt sur le revenu pour les moins de 30 ans, coûtant respectivement 10 et 4 milliards d’euros par an, sans garanties d’efficacité. Leur programme de nationalisation des autoroutes et la retraite à 60 ans ajouteraient 75 milliards d’euros supplémentaires aux dépenses annuelles, poussant le déficit public à des niveaux record. Les propositions du RN sont économiquement irréalistes, risquant de fragiliser la position de la France au sein de l'Union européenne, et augmentant la dépendance envers des créanciers étrangers et des importations d'énergies fossiles, aggravant ainsi la situation économique du pays. Le 30 juin, ne vous trompez pas : votez pour la seule liste républicaine dans notre intérêt économique. 🗳️ Et je ne suis pas la seule à le dire ! 🗞️ https://lnkd.in/eK9CtFKN 🗞️ https://lnkd.in/e4tR4fyE

Conséquences de l'Élection d'un Premier Ministre du Nouveau Front Populaire ou du Rassemblement National en France L'élection d'un premier ministre du Nouveau Front Populaire (NFP) ou du Rassemblement National (RN) pourrait transformer radicalement le paysage politique, économique et social en France. Découvrez les impacts potentiels de ces élections sur la politique économique, sociale, étrangère, ainsi que leurs effets sur la bourse, les actionnaires, les entreprises et les dividendes. Nouveau Front Populaire Politique économique : Augmentation des dépenses sociales, fiscalité progressive, investissements publics. Politique sociale : Réduction des inégalités, renforcement des droits des travailleurs, intégration des immigrés. Politique étrangère : Renforcement des liens européens, engagement environnemental, indépendance stratégique. Impact boursier : Volatilité accrue, pression sur les grandes entreprises, investissements responsables, impact sur les dividendes. Rassemblement National Politique économique : Protectionnisme économique, réduction des dépenses publiques, baisse des impôts. Politique sociale : Réforme des prestations sociales, sécurité et immigration stricte, promotion de l'identité nationale. Politique étrangère : Réduction de l'intégration européenne, relations bilatérales renforcées, défense nationale accrue. Impact boursier : Réactions mitigées des marchés, avantages pour les entreprises nationales, risques d'isolement économique, impact sur les actionnaires. Pour une analyse détaillée, lisez l'article complet ici : https://lnkd.in/eSXNXyEV #Politique #Économie #Investissement #Bourse #NouveauFrontPopulaire #RassemblementNational #France #Élections

Et si il y a un balayage démocratique de la Maison Blanche et du Congrès ? : 1. L'augmentation de l'impôt sur les sociétés et de la réglementation pourrait peser sur les actions et affaiblir le dollar américain, bien que l'augmentation des dépenses liées au déficit et les politiques d'immigration ouvertes offrent un certain soulagement. 2. Des déficits plus faibles pourraient profiter aux obligations, les marchés s'adaptant à mesure que les attentes s'éloignent d'un balayage républicain.

🇫🇷 Michel Barnier Premier ministre : Une nouvelle ère pour votre pouvoir d'achat ? 💶 L'arrivée de Michel Barnier à Matignon pourrait bien transformer la politique économique française. Avec des mesures qui ciblent les classes moyennes et les primo-accédants, Barnier vise à alléger les charges tout en boostant le pouvoir d'achat. Mais à quel prix ? 🤔 Quels impacts sur votre quotidien ? Et surtout, quelles marges de manœuvre pour un Premier ministre confronté à l’inflation ? 👉 Découvrez les enjeux à venir : https://lnkd.in/e3hEqqQA #politique #pouvoirdachat #France #MichelBarnier #économie #gouvernement #inflation

Michel Barnier sauve son budget, mais n’empêche pas le spectacle d’une classe politique dont l’irresponsabilité effraie les investisseurs Les concessions négociées sur le budget peuvent éviter la tempête financière. Michel Barnier va sauver son gouvernement, mais n’évitera pas la classe politique française de s’enfermer dans l’irresponsabilité et d’imposer des risques aux investisseurs étrangers. « On devrait apprendre aux responsables politique ce qu’est l’ indice Wix, l’indice de la peur... Il grimpe comme le bitcoin mais pas pour les mêmes raisons. Comment un pays aussi puissant et brillant par son histoire et sa culture peut-il donner le spectacle aussi désolant qu’irresponsable d’une classe politique qui organise le chaos sous prétexte de protéger ses électeurs ? » Cette réflexion d’un cadre dirigeant de BlackRock, le fonds d’investissement le plus important au monde, à l’ouverture d’un colloque sur l’attractivité de la France, donne une idée de l’état d’esprit qui a envahi les investisseurs étrangers et les dirigeants des multinationales. Pour appréhender les risques d’un pays, les investisseurs étudient trois catégories de critères.

France – L'économie française est-elle en perte de vitesse depuis l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale ? Un mois après l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale par le président de la République et donc de la tenue de nouvelles élections législatives, certains signes de ralentissement de l'économie française seraient apparus. C'est du moins ce qu'on pourrait croire à la suite des déclarations du gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau. En réalité, cela est très contestable. Bien que des épisodes précédents d'incertitude politique dans d'autres pays aient déclenché des révisions à la baisse de la croissance (par exemple, la Grèce en 2015, l'Italie en 2018), nous ne voyons aucune preuve tangible de cela en France à ce stade. Source : https://lnkd.in/esGtfH8h file:///Users/Secours/Downloads/Persp24-202-France-20240718_FR_MP-fin.pdf

Hollande a matraqué fiscalement les Français, Macron a parié que la croissance économique suffirait à remplir les caisses de l’Etat. Cela faisait les affaires des Français qui s’étaient accoutumés aux coups de pouce du gouvernement. Et des politiques pour qui le clientélisme était devenu un horizon indépassable. C’est avec cette logique que le Premier ministre doit rompre.

📣 La dernière veille #macroéconomie, #commerce et #finance du SER de l’Ambassade de France au #RoyaumeUni est sortie ! 🕵♀️ Fait marquant : Rachel Reeves exclut toute hausse surprise des impôts de la part d'un futur gouvernement travailliste. Pour en savoir plus ➡ https://lnkd.in/ePGtgiK5

Pour les milieux d’affaires , Michel Barnier peut mieux faire : la feuille de route economique n’est pas encore convaincante . Michel Barnier limite le « choc fiscal », mais promet « un gros effort de réduction des dépenses publiques » sans préciser comment ! Alors que les chiffres clefs du budget nous rapprochent du mur des réalités Michel Barnier aura été plus convaincant sur le chapitre de l’immigration, de l’autorité et de la sécurité que sur la politique économique et budgétaire. Il faut dire que la question budgétaire est quasiment insoluble, sauf à prendre le risque d’un clash politique et social. Le budget 2025, c’est la quadrature du cercle. Le déficit approche les 6 % du PIB, alors que la norme européenne est à 3 %, avec une hypothèse de croissance faible (environ 1 %) et un endettement public abyssal dont les frais financiers vont dépasser les 60 milliards pour un stock de dettes supérieur à 3 250 milliards d’euros. En théorie, Michel Barnier avait deux solutions : soit il augmentait les impôts, soit il baissait les dépenses. Mais avant de choisir et de doser, il fallait scanner les chiffres clés que tout Bercy, tous les économistes, toute la Commission de Bruxelles et, enfin, une grande partie du monde des affaires, à commencer par les marchés qui nous prêtent de l’argent, ont commencé à analyser. Les chiffres clés sont hélas très simples à mémoriser. La France est aujourd’hui, dans le monde, le pays où les prélèvements obligatoires sont les plus élevés, impôts et charges sociales confondus, et le pays en Europe où les dépenses publiques et sociales sont les plus lourdes. Ajoutons à cela que la France est sans doute le pays occidental le plus redistributif de revenus, donc le pays le plus fiscalement équitable, puisque les grands services publics sont gratuits : santé, école, mobilité et administration générale. Alors qu’une majorite de l’ opinion a un ressenti contraire . Maintenant, ce qu’il faut savoir aussi, c’est que les services publics, qui coûtent de plus en plus chers, sont de moins en moins efficaces, performants et satisfaisants pour les usagers. Économiquement et politiquement, ces chiffres ne sont pas neutres, ce qui rend très délicat pour un Premier ministre sans majorité de les toucher. Politiquement, Michel Barnier sera « invité » par la gauche, l’extrême gauche et une grande partie de l’opinion de la classe moyenne à taper sur les « riches et les super riches », mais il lui sera interdit par les mêmes de raboter les dépenses publiques. Les économistes, pour leur part, lui conseilleront de ne pas alourdir la facture fiscale, car trop d’impôt tue l’impôt et l’activité économique. Les mêmes économistes lui recommanderont de réduire les dépenses publiques et sociales…. https://lnkd.in/eEkBjaw7

Et la France s’est endettée de 58 milliards d’euro sur le premier trimestre 2024. Les remous politiques savamment orchestrés par EM ne sont-ils pas là pour cacher l’impensable ? Sommes-nous arrivés au stade de la Grèce ? La réalité est bien là. L’insincérité des comptes de la France a été rapportée par le Sénat qui a dû ´perquisitionner’ Bercy pour avoir les bons chiffres des comptes de la France. Et qui plus est, nous ne sommes pas à 5,5% de déficit si l’on réintègre les 20 milliards reportés sur 2025… Il FAUT des chefs d’entreprises à la tête de notre pays pour rétablir les comptes.