Bon jour ! Si je me consacre désormais entièrement à déployer mes activités artistiques dans un seul concept (le spectacle « Les couleurs de la lumière »), c’est parce que moi aussi, je suis passée par la nuit noire de l’âme… et ce, dès ma jeunesse car c’est là que les graines ont été plantées. Le déni de soi, le non respect, l’exclusion là où un enfant attend l’inclusion, l’absurdité, le viol sous plusieurs formes même là où un enfant attend la protection de ses aînés… Mais fort heureusement, j’avais l’art pour m’exprimer 😊 Pour moi, c’est une question de santé. Pas seulement mentale même si c’est le départ. Tous ces déséquilibres font leur chemin dans le corps. A-t-on vraiment besoin de faire toutes ces recherches, encore ? Ne serait-il pas temps de mettre en pratique ce que l’on sait déjà ? Apprendre à se mettre dans un état de cohérence : cardiaque oui mais pas que. C’est tout le corps social qui en aurait besoin. Que fait-on de nos émotions et de notre cœur ? Par exemple, on incarcère un homme qui s’est battu toute sa vie pour sauver les baleines (#paulwatson) alors qu’on laisse ceux qui détruisent continuer et continuer encore, sous couvert de « lois » contre nature… Tout en criant l’alerte avec des mini moyens, manière de dire qu’on a fait quelque chose… 🤪 Cela aussi a ajouté des arguments à ma détresse car toute jeune, je savais que nous étions tous des habitants d’une seule patrie : la Terre. Bref. Je me suis remise en selle avec ce que j’avais de mieux à proposer. Et toi, comment fais-tu pour apporter ta lumière dans ce monde ? Heureusement, je soutiens la théorie du multivers, ça me donne beaucoup d’espoir ! 🤩 Joyeuse journée, Nadège / Na’Sara Light #joie #spectacle #freepaulwatson #lumière #développementdurable #Terre #espoir Crédit photo Nadège COMPPER Na'Sara Light
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A venir sur le blog de mon site des pistes de réflexion sur la culture, la transmission, les liens qui en découlent et non des photos de moi, celles déjà diffusées dépassant largement les limites du narcissisme :-), ce qui est sujet de + à traiter soit dit en passant : cette contradiction de l'artiste solitaire qui ne se sent pas meilleur, fait son travail par plaisir et non pour briller mais qui, pour ne pas flouer, montre à quoi il ressemble en essayant de diffuser quelques photos pas complètement ratées si possible et se fustigeant d'être au comble de l'égocentrisme en se prêtant à cet exercice. Enfin, faire ce choix de partager ses œuvres au lieu de leur faire prendre la poussière dans un grenier, l'oblige à sortir de son antre impliquant cette légère schizophrénie d'être dans une distance du monde et d' y plonger complètement d'une seconde à l'autre comme on doit prendre sur soi pour plonger dans une eau glacée dans laquelle on s'y sent bien au bout de quelques minutes. Que l'on soit chef d'entreprise, salarié, artiste ou les 3 à la fois, il semble malgré tout possible de concilier un bon équilibre. Être humble tout en participant à améliorer notre société, avoir un côté solitaire et sociable à la fois, profondeur et humour, sensibilité et détachement, ambition et valeur de l'essentiel, fort caractère et douceur.
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Actrice et camerawoman en même temps ? Ces dernières semaines, je n'ai pas eu/pris le temps de publier. Étant tous les jours sur le terrain avec un rythme décoiffant et des interventions d'une grande intensité, j'ai été embarquée par le flow. Et les minutes ont manqué de jours ^^ Me vient alors l'image d'une exploratrice en pleine Amazonie. Elle avance, elle gère les multiples éléments et évènements à prendre en compte. Elle pourrait difficilement avoir une caméra en main pour filmer et raconter ce qu'elle vit, tout en le vivant. Elle risquerait de manquer la rencontre avec un serpent ou une tarentule, de louper la beauté d'un coucher de soleil sur l'Amazone, de glisser contre une liane piquante ou encore de louper Tarzan (eh oui, c'est mon côté fleur bleue!) Il est difficile je trouve de vivre et de s'observer vivre tout en s'auto-commentant. Etre acteurs de nos vies tout en étant caméramen, c'est finalement l'inverse du moment présent. Le mental qui patine et qui nous fait sortir du corps et des ressentis. Cette manie de tout commenter et de faire du bruit en interne au lieu de faire silence et d'ETRE dans l'instant. Et en même temps, se raconter, partager son vécu avec les autres me semble aussi très important. Poser la caméra, tourner le regard vers l'intérieur de soi pour voir ce qui s'y passe (auto-empathie) et pouvoir ensuite l'exprimer. C'est d'ailleurs la démarche qu'on invite les parties en conflit à effectuer. Marquer un temps d'arrêt, s'autoriser à regarder ce qui s'est joué et comment tout cela est venu les toucher...puis les inviter à s'exprimer tout en facilitant la compréhension mutuelle. Je prendrai le temps dans les prochaines semaines de vous partager quelques anecdotes et des récits de situations qui peuvent être à mon sens des pépites pour ouvrir des réflexions communes et des partages. On digère mal si on s'agite dans tous les sens. Alors je vais marquer une pause en interne (en tâchant de me remémorer ces précieux lions de mer paressant sur la plage en Nouvelle Zélande!) pour observer et digérer pour ensuite être en mesure de DIRE ! A très vite
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L’année qui s’annonce est comme une page blanche tendue à nos mains tremblantes mais vaillantes. Que ferons-nous de cette toile, sinon y inscrire nos rêves, nos luttes, et nos silences ? Je ne viens pas vous souhaiter des jours sans tempêtes, car c’est le vent contraire qui donne au pilote la maîtrise de son voyage. Mais je viens vous parler d’espérance, cette flamme fragile qui jamais ne s’éteint. Je vous souhaite d’apprendre à regarder. Non pas avec les yeux pressés par l’habitude, mais avec l’attention de celui qui redécouvre chaque chose comme un miracle. Regardez l’enfant qui rit, et souvenez-vous que vous avez été cet enfant. Regardez l’arbre qui s’élance, et comprenez que, comme lui, vous tendez vers la lumière. Je vous souhaite de comprendre que nous sommes liés, comme les étoiles dans une même constellation. Ce que vous faites pour l’un résonne en tous. Une main tendue, une parole douce, un acte de courage : voilà ce qui bâtit un monde habitable. Et pourtant, souvenez-vous que la véritable grandeur n’est pas dans le bruit des grands gestes, mais dans le silence des cœurs qui se battent pour le bien. Je vous souhaite de goûter la solitude, non comme une absence, mais comme une rencontre avec vous-même. Car dans ce face-à-face naissent les questions essentielles : Qui suis-je ? Qu’ai-je à offrir ? Où puis-je semer le bien ? Ces questions sont des balises dans l’immensité du désert, et c’est en les suivant que vous trouverez votre étoile. Je vous souhaite de bâtir, non des murs, mais des ponts. Que vos mains façonnent des routes qui unissent, des lieux où l’on peut s’arrêter, partager l’eau et le pain, et repartir le cœur allégé. Car il n’y a de richesse que dans l’échange, et il n’y a de progrès que dans l’unité. Et enfin, je vous souhaite de rêver grand. De ne pas céder à la fatigue du monde, ni au cynisme des désillusions. Rêvez un monde où chaque homme, chaque femme, chaque enfant trouve sa place, où la beauté est un droit, et la fraternité une évidence. Et que vos rêves soient comme des graines : enfouies dans la terre, elles germeront en silence et fleuriront au moment venu. L’humanité n’est pas parfaite, et pourtant elle est belle. Elle trébuche, elle se relève, elle invente des chemins là où il n’y avait que le vide. Soyez de ceux qui allument les feux dans la nuit, pour que d’autres trouvent leur route.
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La dissociation En devenant le témoin de la personne que je suis, la vie s’anime autour de moi différemment. Je perçois sans pouvoir saisir… palper le décor… le paysage. Je vois avec du recul… avec une distance ce moment de mon existence. Car je suis assis au fond de l’orbite de mon œil. Transporté par ce vaisseau humain, j’ai ma place à l’intérieur de cette tour de contrôle… en mon œil. Des fois, je fais corps avec l’esprit derrière moi et je regarde ce monde devant moi sans y penser. Or à d'autres moments, une dissociation consciente se manifeste à des moments de vie sociale et cela m’interpelle beaucoup. Ce corps, ce vaisseau humain est ma demeure tout en étant mon véhicule social. Voilà cette protection est ma peau ou encore une enveloppe métallique comme pour un robot. Certes je commande les mouvements mais ceux-ci ne sont plus les miens. Je vis dans un corps qui s’additionne à mon être. Le dédoublement des entités, l’emboitement de l’une dans l’autre se révèle généralement lors de mes prises de paroles en public. En déclamant ma tirade en lisant mon texte, la magie opère… je m’écoute lire puis le texte se détache de ma vision. Et c’est mon corps entier que je vois se mouvoir devant l’assemblée. Loin de me focaliser sur cette impression bizarre, je continue à agir car aux yeux de mon interlocuteur, du public je ne suis qu’un. C’est ma perception qui défaille ou c’est mon trouble qui me joue des tours. A force de vouloir être normal, j’admire mon reflet. Mon histoire est tellement forte qu’elle s’est imprimée dans ma rétine. Donc à certains moments l’autre moi apparait dans mon champ de vision. Qui est-il ? Une part de moi resté en mon passé… le spectre que j’ai refusé d’être en mes années de dépression. Ou c’est ma perception qui déraille, mon trouble psychique me joue des tours. Mais je me force à vouloir être normal à occulter ce dédoublement de mes perceptions. Car j’ai l’impression de me dissocier de me dédoubler à des moments précis. Je suis comme Actarus s’introduisant dans Goldorak, j’obtiens ainsi une protection indestructible. Puissant je l’ai toujours été car mon verbe est ma plus grande armure. Dès ma jeunesse, j’ai mis mes poings dans mes poches et je me suis entrainé à interpeller et à me défendre par mon humour caractérisé et mes raisonnements bâtis. J’ai gagné en aisance et face à la vie sociale difficile et conflictuelle, j’ai du répondant. J’ai des armes à ma disposition pour livrer bataille et elles se régénèrent à l’infini. Ma voix est disponible à volonté et me permet de propulser un message à qui je veux ou contre qui je veux. Mais j’ai la chance d’être insérer dans une réelle protection en cas de retour. Je deviens sourd aux attaques des autres. Même si je vis ma dissociation je prône l’association entre tous pour créer une harmonie. D’ailleurs depuis mon adolescence, j’essaie de m’unir aux autres pour paraitre normal. Même si je suis heureux au fond de mon globe oculaire pour regarder vos sérénades sociales.
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Comment faire face à une tornade 🌪️ émotionnelle, comment éviter l’explosion quand on voit la crise arriver 🫣 🧩 Je vous propose d’essayer les jeux de décharge ✅ 💃 1. La Danse : Mettez de la musique et laissez les enfants se déchaîner. Pas de règles, juste du fun ! 👹 2. Jouez le rôle du monstre et poursuivez vos enfants autour de la maison. Rires garantis ! ⚽ 3. Utilisez des balles en mousse pour un jeu de lancer ou une bataille amicale. L’effet d’une bataille d’oreillers est quasi sûre ! 🏃 4. Créez un parcours avec des coussins et des chaises. Qui le traversera le plus vite ? 🎶 5. Le 1-2-3 musique : Dansez et figez-vous quand la musique s’arrête. Le premier à bouger est éliminé ! ⚠️ Si l’explosion est déjà là 💥Vous pouvez toujours les proposer, mais l’enfant sera envahie par ses émotions, et n’acceptera probablement pas 🤷🏻♀️ 📋 la liste des jeux est encore longue, elle est parfois à adapter selon les difficultés de l’enfant, ou du temperament du parent ✅ #astucedeparents #jeuxdedecharge #gestiondesemotions #TempêtesÉmotionnelles #accompagnementparental #familleheureuse
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Être au cœur de soi-même. Les cicatrices sont souvent indécelables pour l’entourage alors qu’elles laissent une signature indélébile pour soi-même. Elles restent gravées comme un sillon que le temps a du mal à recouvrir. Et pourtant cette tranchée invisible ou masquée devrait être portée fièrement comme la médaille d’un combat pour la vie. C’est sans compter sur le poids sociétal de l’après-cancer, auquel s’ajoute l’idée qu’il faut redevenir comme avant. Donc sans cicatrice, comme si la maladie n’avait fait que passer. Alors qu’au contraire, la clé est de vivre différemment, en se libérant des idées reçues sur la féminité (ou la masculinité). S’accorder d’être soi aujourd’hui et plus totalement comme hier. Mais cette mutation n’est pas aisée. C’est une seconde bataille qui s’impose à soi-même, en la menant, cette fois, seul(e). C’est le combat de l’image de soi. Cette image qu’on doit gérer du matin au soir, dans la salle de bain, dans la glace de l’ascenseur, dans le regard ou des remarques des « autres »… face à l’idée qu’on se fait de soi. C’est alors qu’il faut faire un « voyage photographique en Résilience ». Se faire photographier, c’est aller de soi en soi en passant par le boîtier du photographe. C’est accepter qu’il peut y avoir une nouvelle image de soi. Une image vraie, car derrière il y a une personnalité qui s’est affirmée avec les épreuves de la vie. La photographie aide alors à mettre sur la même mire, le soi et le corps qui l’enveloppe . La photographie d’un portrait ou d’un corps nu, lorsqu’elle est naturelle, artistique et respectueuse du « modèle » (c’est-à-dire sans selfies lifté, sans IA) génère un effet thérapeutique insoupçonné, car elle révèle ce nouveau MOI, avec empathie et sans jugement. Il faut « simplement » oser. Série « Portrait » Modèle : Françoise FOURNIE
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🧭 #LaBoussole n°51 | Le rêve est source de créativité et d’espérance, mais il peut aussi nous conduire hors de la réalité. Dans le cas de certains troubles psychiques, le sujet en situation de délire peut se mettre en danger en s’appuyant sur les représentations imaginaires qui le traversent. Et que penser de tous ces univers virtuels, inventés, qui envahissent notre culture et nos loisirs? 🤔 Notre imagination est-elle une ressource ? 🎧Écoutez la Boussole de la semaine ici : https://bit.ly/3tnCMs7 ✅Pour vous abonner à la Boussole : https://cutt.ly/CwoB9r1D ➡️C’est la question de la Boussole de cette semaine, pour la consulter : https://urlz.fr/mncK #FederationEntraideProtestante #Protestant #FEP
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A l'École du caméléon Si j’ai un conseil à vous donner, je vous dirai : « ouvrez votre cœur » et surtout, « allez à l’école du caméléon ; c’est un très grand professeur ». Si vous l’observez, vous verrez ... Qu’est-ce que le caméléon ? D’abord, quand il prend une direction, il ne détourne jamais sa tête. Donc, ayez toujours un objectif précis dans votre vie et que rien ne vous détourne de cet objectif. Et que fait-il, le caméléon ? Il ne tourne pas sa tête, c’est son œil qu’il tourne. Le jour où vous verrez le caméléon regarder, vous verrez, c’est son œil qu’il tourne. Il regarde en haut, il regarde en bas. Cela veut dire : « Informez-vous ! Ne croyez pas que vous êtes le seul existant de la terre. Il y a toute l’ambiance autour de vous. Et que fait le caméléon quand il arrive dans un endroit ? Il prend la couleur du lieu. Ce n’est pas de l’hypocrisie... C’est d’abord la tolérance et le savoir-vivre. Se heurter les uns les autres n’apportent rien. Jamais on n’a rien construit dans la bagarre. La bagarre détruit. Donc la mutuelle compréhension est un grand devoir. Il faudrait toujours chercher à comprendre notre prochain. Si nous existons, il faut admettre que lui aussi il existe.Et que fait-il le caméléon ? Quand il lève le pied, il se balance pour savoir si les deux pieds déjà posés ne s’enfoncent pas. C’est après seulement qu’il va déposer les deux autres. Il balance encore, il lève... Cela s’appelle la prudence dans la marche. Sa queue est préhensile. Il l’accroche. Il ne se déplace pas comme ça, hein ? Il l’accroche afin que si le devant s’enfonce, il reste suspendu. Cela s’appelle assurer ses arrières. Ne soyez pas imprudents ! Et que fait le caméléon quand il voit une proie ? Il ne se précipite pas dessus, hein ? Il envoie sa langue, c’est sa langue qui va la chercher car la petitesse de la proie ne vous dit pas qu’elle ne peut pas vous faire mourir ! Alors il envoie sa langue. Si sa langue peut lui ramener sa proie, il la ramène tranquillement. Sinon il a toujours la ressource de reprendre sa langue et d’éviter le mal.
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Si les caresses lascives embellissaient le Cœur et envolaient l’Ame vers un autre ailleurs, il plongerait sans hésiter au creux des cuisses des amantes universelles. Seulement, si elles ne s’accompagnaient pas de ce nécessaire si fragile à l’égo – pour se sentir autre qu’une tentation – toutes les caresses de toutes les femmes ne serviraient qu’à tuer les heures complices de ce sieur Temps. Il aime. Oh oui, qu’il aime sentir cette envolée qui s’empare de tout son être et qui le transporte parmi les nuages. Seulement, il est trop lucide pour se laisser enivrer et posséder. La magie des beaux atours et des formes rebondies des femmes expérimentées lui laissent toujours ces beaux souvenirs amers où le Cœur n’a pas sa place et l’Âme fuyante, laisse déferler les larmes de Sang au creux de lui. Ô combien aurait-il pu donner pour dépasser tous les barrages et se lover au creux d’un seul amour ? Comment percuter ce sale Quotidien pour toujours rester dans le Rêve ? Que lui veut-elle ? Quel amour espère-t-elle ? Faut-il tout vivre ou ne s’en tenir qu’à ce qui peut être réellement vécu ? Construire dans la durée pour tracer une route ou emprunter ces milliers de chemins pour en connaître toutes les saveurs ? Au milieu de la nuit, tous ces anciens amours viennent, parfois, le hanter. Alors, il se rapproche du corps endormi de la femme aux cheveux grisonnants, il cale le rythme de la respiration sur la sienne, pose la tête sur la poitrine cachée par le vêtement de nuit, et il attend que le sommeil le plonge dans une sorte d’inconscience, presque conditionnée sur commande afin que la Pensée se mette au ralenti et qu’aucun songe ne vienne le perturber, à nouveau. Extrait de LAISSE-MOI par Benoit Deville Commenter Partager Image pour Benoit Deville
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