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Juriste d'affaires

Le Tribunal de Première Instance de Première Classe de Gondwana a en son audience donné gain de cause à la demande en dommages-intérêts, sauf en ramenant le montant de la condamnation à la juste et raisonnable somme de 5 000 000 de Francs Gondwanais, en débutant le demandeur de sa demande en démolition au Motif qu'il n'est pas rapporté de ce que c'est de mauvaise foi que Feue U (Dame U) a fait ériger le mur de clôture en cause du fait qu'aucun élément du dossier ne permet de déduire qu'elle savait que la parcelle à elle vendue est en réalité la propriété du demandeur, bien au contraire, il est évident qu'elle a été flouée par les époux WV, en pareil occurrence, le constructeur de bonne foi est protégé par les dispositions du code civil Gondwanais. Si le demandeur entend faire démolir le mur de clôture dont s'agit, cette démolition doit être précédée de l'évaluation de l'ouvrage et du remboursement de son coût aux héritiers de feu U. S'agissant des dépens, ils doivent conformément aux dispositions du code de procédure civile Gondwanais être mis à la charge des défendeurs étant entendu qu'ils ont succombé à la présente instance. Les époux WV interjettent formellement appel du jugement rendu par le Tribunal de Première Instance de Première Classe de Gondwana pour les torts et griefs que leur cause ledit jugement, afin de mettre à néant ledit jugement d'une part, de les décharger des dispositions et condamnation contre eux prononcées par ledit jugement d'autres parts, d'entendre non recevable l'intimé, en tout cas mal fondé en ses demandes, fins et conclusions avant de le débouté et enfin le condamner aux entiers dépens. Quelle pensé juridique faites-vous de cette situation critique ?

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