Post de Nathalie Bonnevide

De quoi améliorer la finesse de la programmation archi de lieux hybrides 👌 L'analyse et la prescription de la qualité d'usage mérite d'être traitée plus en profondeur qu'elle ne l'est aujourd'hui. 👉Car la qualité sociale (et environnementale) des lieux que l'on crée ou réhabilite dépend très largement de facteurs en apparence infimes, et pourtant décisifs. Qui posent, si-si-si, des questions démocratiques, psychologiques, relationnelles et culturelles profondes ❤️ ! Programmer la qualité d'usage, c'est déployer une pensée systémique cohérente à l'échelle d'un lieu. C'est toucher à l'essentiel à partir d'un ensemble de "détails". C'est faire des lieux des outils de mise en oeuvre d'un monde tel qu'on aimerait qu'il soit. Même à la petite échelle d'un lieu, et dans un contexte donné contraint, programmer en amont de la maitrise d'oeuvre nous met en prise directe et concrète sur les choses. C'est un "pouvoir de bien faire" dont nous disposons. Saisissons-nous de ce pouvoir qui fait du bien 😊😊😊!

Nous avons le plaisir de vous annoncer la parution de l'ouvrage : Évaluation des usages et invention architecturale, co-édité par Le Moniteur et le Plan Urbanisme Construction Architecture (PUCA), Novembre 2024. Auteurs : Eric Daniel-Lacombe, Chaire "Nouvelles urbanités face aux risques naturels : des abris-ouverts" du Ministère de la Culture, professeur à l'ENSA Paris La Villette Jodelle ZETLAOUI-LEGER, Laboratoire Espaces Transformations (LET)-Umr Cnrs Lavue), Professeure à l'ENSA Paris La Villette Préface : Pierre Caye Postface : Daniel Pinson Disponible en version papier et en format E-book https://lnkd.in/gQ-4CS-w S'appuyant sur les résultats d'un ensemble de #recherches et d'expérimentations portant sur la #qualité des équipements publics menées par les deux auteurs, cet ouvrage propose une approche dynamique et constructive de l'évaluation, étroitement liée à des processus de projet. Impliquant utilisateurs, usagers et habitants, intégrée à des démarches de programmation et de conception dont elle soutient les itérations et les prises de décision, cette approche associe des dessins à des mots, des configurations spatiales à des récits de situations de vie quotidienne. Jalonné de récits d'expériences portant sur divers types d'équipements (groupes scolaires, internats pour lycéens, espaces dédiés aux pratiques artistiques en milieu éducatif, hébergements spécialisés pour étudiant.es, personnes âgées, jeunes travailleurs migrants, centres socioculturels, etc.), cherchant à clarifier un ensemble de concepts et de notions liés à la qualité d'usages des espaces, ce livre s’adresse à toutes celles et ceux, enseignant.es, chercheur.es, praticien.nes, étudiant.es, porteurs de projets, qui souhaitent s’engager dans cette voie avec méthode et en développant des imaginaires partagés. #Usages #Évaluation #Architecture #Conceptionarchitecturale #Programmationarchitecturale #Participationcitoyenne  ENSA de Paris-La-Villette #LAVUE #Chaire Nouvelles urbanités face aux risques naturels : des abris-ouverts

𝗿𝗲𝗻𝗱𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 | « Construire sans trahir | Hyperville » | 13/12 19:30 – 13/12 21:00 | Apéro, conférence | Paris Rendez-vous annoncé aujourd’hui dans l’agenda participatif de Topophile : https://lnkd.in/eV3zpfnW Lieu : Librairie Volume, 47 Rue Notre Dame de Nazareth, 75003 Paris Proposé par : Collectif Etc, éditions Hyperville Lancement d'une nouvelle publication Hyperville : Construire sans se trahir – Appel à professionnaliser les expérimentations en architecture Déserter et combattre les logiques néolibérales prédatrices en architecture, c’est possible, mais comment fait-on pour que ces pratiques plus expérimentales assurent notre subsistance au quotidien ? Comment gagner sa vie tout en répondant aux enjeux climatiques et sociaux qui sont désormais enseignés dans les écoles d’architecture ? Peuvent-elles professionnaliser à d’autres métiers que la maîtrise d’œuvre ? Comment donner des outils concrets pour aider de jeunes diplômé·es à bousculer les cadres de commandes et à réinsuffler de l’utilité publique ? Le désir est là, brûlant même, les injonctions et inspirations théoriques ne manquent pas, mais nous avons surtout besoin aujourd’hui de pragmatisme à associer à notre joie militante. #topophile #topophilia #ecologie #habiter #vernacular #geniusloci #architecture #ecoconstruction

💥 - Nouvelle publication du Collectif Etc disponible dès aujourd'hui ! Construire sans se trahir Appel à professionnaliser l'expérimentation en architecture Venez à la librairie Volume Vendredi 13 Décembre prochain à 19h30 pour fêter le lancement ! Disponible à la vente par ici : https://lnkd.in/eGsK57wb Déserter et combattre les logiques néolibérales prédatrices en architecture, c’est possible, mais comment fait-on pour que ces pratiques plus expérimentales assurent notre subsistance au quotidien ? Comment gagner sa vie tout en répondant aux enjeux climatiques et sociaux qui sont désormais enseignés dans les écoles d’architecture ? Peuvent-elles professionnaliser à d’autres métiers que la maîtrise d’œuvre ? Comment donner des outils concrets pour aider de jeunes diplômé·es à bousculer les cadres de commandes et à réinsuffler de l’utilité publique ? Le désir est là, brûlant même, les injonctions et inspirations théoriques ne manquent pas, mais nous avons surtout besoin aujourd’hui de pragmatisme à associer à notre joie militante. Cette publication retrace les échanges d’une série de rencontres organisées entre 2023 et 2024, dans le cadre du programme de recherche-action « Architecture School of Commons » initié et coordonné par le Collectif Etc. Pendant trois ans, nous avons pris le temps de faire parler et d’écouter des professionnel·les de l’expérimentation autant que des étudiant·es français, italien·nes et grec·ques, autour de l’envie de changer les manières de faire du projet d’architecture, de son apprentissage, et de l’angoisse d’un avenir professionnel incertain. – Présent.es : Reprise de savoirs, le G.R.A.P.E., Chloé Skrodzki et Samuel Béguin pour « l’ENSCI fait le mur », Caroline Lacroix et Candice Pigeard pour École Zéro, Zoé Bourret pour Bellastock, Annaëlle Terrade pour le collectif A Côté, Pauline Barlier du collectif Faro, Sylvain Guitard du collectif saga, Guillaume Bichon pour Atelier Gru - architecture, Sylvain Gasté, ENSA en lutte (représentantes de l’ENSA CF), Chloé Mariey, ENSACF École nationale supérieure d'architecture de Clermont-Ferrand, Alouna Nicolas pour Otopo - Association d'urbanisme, Alizée Gilles pour Tréteau la nuit, Nancy Ottaviano pour Quatorze, Alice de Nardi pour Les Grands Moyens scop, SINEUS MERRIL et Corinne Langlois pour Ministère de la Culture. Article "Pour une Habilitation à la Déprise d'Oeuvre en Contexte Collectif" part Théo Mouzard. Postface par Julien CHOPPIN. Coordination éditoriale : Théo Mouzard, Maxence Bohn (Collectif Etc) et Edith Hallauer. Avec l’aide précieuse d’Alouna Nicolas et Alizée Gilles Design graphique : Super Terrain ( 👋 Luc de Fouquet) Production : Collectif Etc Impression : MEDIA GRAPHIC Avec le soutien de Erasmus Plus de l’Union européenne et de l'Institut français. Plus d’infos sur le programme Architecture School of Commons par ici : www.asoc.eu.com

𝗿𝗲𝗻𝗱𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 | « L’art comme puissance de faire dans les écoles d’architecture et du paysage | Marges de manœuvre #02 » | 28/11 09:00 – 29/11 17:00 | Colloque | Marseille Rendez-vous annoncé aujourd’hui dans l’agenda participatif de Topophile : https://lnkd.in/dammDXeh Lieu : 2 Pl. Jules Guesde, 13003 Marseille Proposé par : IMVT (Institut Méditerranéen de la Ville et des Territoires) Portées par les laboratoires Project[s] de l’ensa·marseille et LIFAM de l’ENSA-Montpellier, les journées d’étude « Marges de manœuvre #02 : L’art comme puissance de faire dans les écoles d’architecture et du paysage » se dérouleront au sein des espaces de l’Institut Méditerranéen de la Ville et des Territoires (IMVT) à Marseille, les jeudi 28 et vendredi 29 novembre 2024. Elles sont ouvertes à un large public (sur inscription) et ont été pensées plus particulièrement pour les praticien·nes, enseignant·es-chercheur·es et étudiant·es des écoles nationales supérieures d’architecture et du paysage (ENSAP). Inscription (https://lnkd.in/d_M-C_GZ) Ces journées d’étude succèdent aux premières rencontres nationales des praticien·nes, enseignant·es-chercheur·es en art et techniques de la représentation (ATR) des ENSAP qui s’interrogeaient à l’ENSA de Clermont-Ferrand en 2023, sur : « Ce que peut l’enseignement des arts et techniques de la représentation pour l’architecture en temps de crise ». Elles proposent d’inscrire dans le faire, une première hypothèse de réponse. Cette notion du faire sera interrogée et éprouvée en 3 temps : - dans le champ d’une pédagogie fondée sur la fabrication (le jeudi matin) ;- dans le domaine de la recherche-création envisagé comme lieu d’émergence théorique et alternative possible de formalisation par l’écriture (le jeudi après-midi) ;- en dessin en tant que modalité singulière d’actualisation du projet architectural et paysager (le vendredi matin). #topophile #topophilia #ecologie #habiter #vernacular #geniusloci #architecture #ecoconstruction

[thèse] soutenance de Sabine Guth 11 décembre 09:00 ; Salle Bobenriether ou via zoom https://lc.cx/vel0m8 Sabine Guth soutiendra, mercredi 11 décembre à 9h, sa thèse de doctorat en architecture, intitulée Architecture et projet (de l’)urbain à l’aune de trois concepts opératoires dans la fabrique récente de la ville : la densité, la mobilité, le logement, menée sous la direction de Cristiana Mazzoni et Estelle Thibault. Cette thèse sur travaux a été réalisée à l’Université Paris-Est Sup, dans l’école doctorale Ville, Transports et Territoires, au sein du laboratoire IPRAUS institut de recherche architecture urbanistique société. Elle interroge la façon dont les relations entre architecture et projet urbain ont été envisagées en France et en Europe depuis les années 1980, à travers l’actualisation de recherches portant sur trois thématiques déterminantes de cette interface dans la fabrique récente de la ville : la densité, la mobilité et le logement. Elle met à jour le rôle d’un “projet urbano-architectural”, versé dans une culture commune mais évoluant à travers des pratiques peu écrites et en marge des réflexions théoriques, dont l’espace de jeu est façonné par des “fictions” coïncidant peu avec les réalités multiples des situations de projet. Elle suggère que ce concept gagnerait à être mieux visibilisé et défini pour devenir un réel outil critique, et contribuer à rouvrir certains champs d’exploration et d’expérimentation d’un espace de réflexion essentiel au vu des enjeux socio-environnementaux associés à l’élaboration des formes urbaines contemporaines.

#IMVT #Recherche Journées d'études • Marges de manoeuvres #02 • L'art comme puissance de faire dans les écoles d'architecture et de paysage. Cet appel à contribution s’inscrit dans la perspective des deuxièmes rencontres nationales des enseignantes-chercheuses et enseignants-chercheurs en « art et techniques de la représentation » (ATR) des écoles d'architecture et du paysage, qui doivent avoir lieu les 28 et 29 novembre 2024 à l’École nationale supérieure d’architecture de Marseille (ensa•m), au sein de l’Institut Méditerranéen de la Ville et des Territoires (IMVT). Intitulé « Marges de manœuvre », le premier opus de ces rencontres s’interrogeait en 2023 sur « Ce que peut l’enseignement des arts et techniques de la représentation pour l’architecture en temps de crise ». Pour 2024, ce nouveau rendez-vous voudrait inscrire dans le faire, une première hypothèse de réponse.  Il est proposé de travailler cette notion du faire en trois temps : d'abord, en problématisant sa compréhension tendue entre différentes modalités de formalisation du projet architectural ; ensuite en l'envisageant dans le domaine de la recherche-création comme émergence théorique depuis une expérimentation située ; enfin dans le champ de la pédagogie fondée sur l’élucidation des pratiques constitutives des gestes de fabrication. Cet appel à contribution est ouvert aux personnes, artistes, architectes et paysagistes notamment, inscrites dans l'enseignement et la recherche quel que soit leur statut et sans restriction de champ. Il aimerait favoriser la spécificité pratique de ses contributions et s’adresse donc à des praticiennes et praticiens.  Contributions à faire parvenir avant le 20 juin 2024. Contact : Anne-Valérie Gasc Photographie : Francis Alÿs, Paradox of Praxis 1 (Sometimes Making Something Leads to Nothing), 1997 En savoir plus : https://lnkd.in/dgcXNNrV #Recherche #Architecture #Art #Pédagogie #Appel à contribution

> LANCEMENT DU PARLEMENT DE LA RECHERCHE En partenariat avec le Ministère de la Culture.   Initié par le Fonds de dotation Quartus pour l'architecture en partenariat avec le Ministère de la Culture et piloté par le duo de commissaires – l'AUC et MBL architectes – le Parlement de la recherche a pour ambition d’offrir un temps de réflexion, d’exploration et d’effervescence collective aux architectes et chercheurs pour interroger les grands enjeux de notre société et identifier les possibles trajectoires de recherche pour les temps qui viennent.   > Ce que peut l’architecture : tel est l’objet du Parlement de la recherche qui va réunir, les 29 et 30 novembre 2024, une vingtaine d’architectes reconnus internationalement pour leurs postures et engagements prospectifs, installés pendant 48 heures dans un huis-clos scénographié et filmé, au Couvent Sainte-Marie de la Tourette, véritable retraite pour se placer hors du temps et des modes.   Ce processus d’intelligence collective est pour les commissaires un « moment privilégié, solennel et responsable pour considérer les conditions d’existence des mondes dans lesquels nous agissons. Que peut l’architecture dans la construction de ces mondes, dans leurs agencements et ré-agencements ? Comment penser, dessiner, habiter les mondes ? Quels seraient les horizons de recherches par le projet susceptibles d’ouvrir des imaginaires nouveaux, élégants et prospectifs dans le domaine de l’architecture, de la ville et des territoires ? »    Bien qu’il existe un nombre conséquent de revues, d’écoles et d’institutions, rares sont les opportunités de débattre sur la discipline dans un processus collaboratif, hors de toute compétition ou injonction d’actualité. Les parlementaires sont choisis selon la complémentarité et la diversité de leurs pratiques, de leurs cultures, de leurs genres et de leurs générations. En croisant ces paroles, il s’agit de permettre l’émulation avec un dispositif d’échange visant à favoriser les pensées, les solidarités, les polémiques, les convergences ou les conflits raisonnés. À l’issue de ce débat commun, par l’expérience d’une critique mutuelle, les actes du Parlement seront partagés publiquement en 2025 sous la forme d’une série de mesures et d’actions : une publication, une exposition, mais aussi des rencontres et débats au sein des écoles d’architecture françaises et internationales.   Pour les temps à venir, quelles sont nos capacités d’agir pour que demain demeure habitable et stimulant ? Quelles formes, quelles manières, quelles complicités sont opérantes pour émanciper toutes formes de vie ? Quels sont les effets de notre discipline sur les mondes actuels et ceux qui adviennent ? Comment les observer, les considérer, les saisir ? Avec cette expérience intellectuelle inédite, nous souhaitons énoncer des trajectoires de recherche répondant à la formule aussi naïve qu’ambitieuse : ce que peut l’architecture.

Cher réseau, je suis ravie de partager avec vous une vidéo récapitulative de mon projet de mémoire d'architecture intitulé : « Entre âme d’autrefois et vécu d’aujourd’hui : Habiter Kairouan ». Ce mémoire vise à présenter une analyse critique de notre héritage urbain et architectural et son évolution à travers le temps, en notant son adaptation aux besoins et aux modes de vie d'aujourd'hui. L’objectif était de s'inspirer de l'âme de la médina de Kairouan pour créer un habitat qui répond aux besoins des kairouanais d'aujourd'hui. Pour aboutir à cet objectif, nous avons adopté une méthodologie qui se développe en quatre parties: La première partie est un voyage temporel vers l’histoire de Kairouan pour faire l’analyse du tissu médinal sur trois échelles: l’échelle de la médina, l’échelle de l’habitat, et l’échelle architectonique. Cette lecture analytique de l’identité de Kairouan nous a permis de dégager une synthèse concernant les différents ancrages sur le plan urbain, social et architectural. Dans la deuxième partie, on a fait l’étude des nouvelles typologies architecturales et les changements faits par les habitants pour adapter l’espace à leurs besoins actuels. Cette étude vise à saisir les nouvelles exigences sociales et spatiales des habitants. Dans la troisième partie, on a réalisé une lecture référentielle de quelques projets d’habitations qui ont fait un essai pour s’imprégner du contexte, afin de comprendre le processus de conception et de dégager les concepts clés. La quatrième partie est le fruit de tout ce travail, ça va être le récipient où on va appliquer les concepts dégagés dans un projet architectural et urbain. Elle concerne le contexte spécifique d’intervention, les éléments programmatiques, la conception architecturale et urbaine offrant une image contemporaine tout en s’imprégnant du contexte de Kairouan. Ce travail s'est élaboré sous la direction de Mme Kaouthar Zair et Mr Mouldi Chaabani, merci pour votre soutien infini et votre professionnalisme.

Archi et Basile. Demain, quand je serai architecte : Une découverte ludique de l'architecture et de l'urbanisme pour les plus jeunes lecteurs (à partir de 7 ans)