Post de Nicolas Yakoubowitch

Actu membre 🗞 Entretien avec Geoffroy Roederer, Président du groupe Roederer et trésorier du Club ETI Grand Est Roederer est le 14ème courtier d’assurances français dont le siège est strasbourgeois, complété par 8 bureaux dans le Grand Est, en Ile de France, en Bourgogne-Franche Comté et en région AURA. Nous sommes concentrés sur l’assurance des entreprises pour leurs biens et leurs responsabilités ainsi que pour la protection sociale de leurs collaborateurs. L’entreprise est certifiée ISO9001, garantie de satisfaction de ses clients, et ISO27001 sur le périmètre « hébergement et fourniture d’une infrastructure sécurisée ». En juin 2024 nous avons validé une étape importante avec la création d’un Directoire regroupant la 4ème et 5ème génération familiale (1 Président, 1 Vice-Président Développement et 1 Vice-Président Moyens Généraux) ainsi que notre DGA en charge des Fonctions Ressources. 📌 Des bénéfices à la dynamique économique du Grand Est et aux autres membres du Club ETI La mise en œuvre de notre transmission s’inspire des nombreuses expériences réussies croisées lors des rencontres du club ETI Grand Est, occasion d’un partage entre dirigeants et en transparence.  En effet, le club est un lieu unique d’échange de bonnes pratiques profitable à chacun des participants, mais aussi un groupe de réflexion et d’action qui peut porter la promotion et les intérêts de nos organisations vis-à-vis des collectivités. Notre démarche pourra peut-être inspirer d’autres entreprises engagées dans ce processus et ainsi encourager à pérenniser le tissu économique régional c’est-à-dire celui qui est sincèrement impliqué sur son territoire. 📌 Nos enjeux et perspectives La refonte de notre organisation répond non seulement à la transmission en cours mais aussi à la forte transformation que nous vivons du fait des changements de notre environnement (technologique, rapport au travail, réglementaire) et du fait de notre développement (plus 50% depuis 2019).  En complément du Directoire nous avons mis en place un Comex sur un mode restreint, véritable lieu de prise de décision sur les sujets communs à l’entreprise,  et revu le format et le rôle des 2 Comités de Direction (un par branche de risques). Cette nouvelle organisation doit nous permettre d’assumer la croissance envisagée par notre prochain projet d’entreprise en cours de rédaction. Ces travaux se sont étalés sur une bonne année, ce qui était nécessaire pour respecter et intégrer toutes les parties prenantes. La communication interne et externe qui en a été faite a démontré que l’encadrement très professionnel du projet lui a permis d’être bien compris et plutôt bien accepté. Nous serons ravis de continuer à échanger au sein du club sur cette thématique qui par définition, doit continuer à évoluer.

🏆 Célébrant la Résilience Entrepreneuriale: Le Prix Ulysse 2024 Dans un climat économique difficile, le #PrixUlysse se distingue comme un phare d'espoir depuis 2011, porté par l'#ARE. Cet événement rappelle que la #restructuration est une étape possible dans le parcours d'une entreprise, célébrant des leaders et leurs équipes qui ont su naviguer avec succès à travers les tumultes. Les finalistes 2024 illustrent parfaitement la diversité de notre économie : 🌟 #ProvenceLocation : loueur marseillais de matériel événementiel, qui a failli succomber à une réorganisation privant l'entreprise de ses actifs et ébranlant la confiance de financiers. Malgré les menaces de disparition, l'entreprise se restructure, portée par les efforts personnels de son dirigeant, en se concentrant sur ses clients les plus fidèles. Provence Location a brillamment émergé de sa procédure de sauvegarde deux ans avant le calendrier prévu, retrouvant ainsi une croissance vigoureuse et s'affirmant désormais comme un futur champion régional. 🌟 #LiseCharnelle : acteur emblématique de la lingerie haut de gamme, né dans le quartier de la soie à Lyon. Après avoir été secouée par une chute dramatique de la demande à partir de 2018 et par une cyberattaque paralysante, l'entreprise a été contrainte de se tourner vers un redressement judiciaire suivi du confinement. Recentrant ses activités sur deux marques phares, elle a entrepris une réduction profonde des coûts tout en investissant dans une nouvelle plateforme logistique. En 2023, elle est ressuscitée, sans dette nette et résolument tournée vers l'international. 🌟 #GroupeCaillé : "le plus ancien concessionnaire automobile au monde" et acteur majeur de la grande distribution alimentaire à la Réunion. Après avoir été confronté à l'effondrement simultané du marché automobile et du BTP, accentué par l'acquisition malheureuse d'un concurrent, le groupe s'est retrouvé avec une montagne de stocks excédentaires et une crise de trésorerie jugée par beaucoup insurmontable. Les activités non stratégiques non stratégiques sont cédées, la taille réduite de moitié et une nouvelle organisation mise en place. 260 millions d'euros de dettes sont remboursées en 10 ans. Aujourd'hui, le groupe se prépare à transmettre le flambeau à la quatrième génération, consolidant sa position sur le podium des plus grandes entreprises réunionnaises, avec un chiffre d'affaires dépassant les 600 millions d'euros et une rentabilité multipliée par 10. Ces entreprises et leurs équipes incarnent la détermination et le courage nécessaires pour surmonter les défis. 🎉 Félicitations au Groupe Caillé, lauréat du Prix Ulysse 2024, pour son parcours remarquable de transformation. Saluons également son engagement en faveur de la parité, illustré par la composition paritaire de son comité exécutif, avec une Directrice Générale et une Directrice Administrative et Financière à sa tête. Frederic Chemin Olivier Piquet @François Caillé Xavier Bailly Pierre-Olivier Chotard

Mutuale, La Mutuelle Familiale : Financer le made in France, c’est l’affaire de tous. Les Français ne sont pas nécessairement familiers avec la #finance. Ils la connaissent mal et parfois, ils s’en méfient. Pourtant, quand nous épargnons, ou quand nous payons les primes de nos assurances, nous contribuons à ce monde. Car l’argent ainsi capté par les #banques ou les #assurances est ensuite placé par ces organismes. Sur les marchés financiers, dans l’immobilier, en emprunts d’État ou ailleurs. Ainsi, qu’on le veuille ou non, nous faisons tous partie du monde de la finance. Or, ce monde peut nous être bénéfique ou, au contraire, nous nuire, en fonction de nos choix. Et de ce que finance l’argent que nous confions à ceux qui le gèrent pour nous. Bien employée, la finance est un outil de souveraineté très puissant pour nos entreprises. Elle permet de donner les moyens à nos #PME de se développer, d’innover, d’embaucher, de former, d’investir et ainsi, de participer à l’épanouissement de nos territoires. Le fait qu’elle émane d’épargnants, d’entreprises ou d’investisseurs français les protège mieux contre les prédations étrangères ou des fuites de valeur vers d’autres pays. Aux Forces Françaises de l'Industrie, nous nous efforçons, depuis notre création, de réunir autour de nous des acteurs d’une finance pro #madeinFrance. L’un d’entre eux est Mutuale, une mutuelle de santé qui a décidé de placer une partie de ses réserves dans des entreprises qui produisent en France. Ces dernières années, cette mutuelle, gérée démocratiquement, a financé plusieurs PME dont : • La COMPAGNIE DES AMANDES. Elle a pour objectif de #relocaliser la filière de l’amande en France. Cette culture est un enjeu de relance du Midi et de la Corse. • La SOCIETE COOPERATIVE OUVRIERE PROVENCALE DE THES ET INFUSIONS. Et sa marque de thé 1336. Cette #coopérative, reprise par les salariés à la suite d’une délocalisation, a pour objectif de favoriser la revitalisation et la réorganisation d’un circuit de vente court, en privilégiant des producteurs locaux sans distinction régionale. • 1083 Vosges : Une société française qui conçoit, fabrique et commercialise des jeans en coton bio 100% français pour une mode éthique et de qualité. Mutuale, La Mutuelle Familiale apporte son soutien à la marque en consacrant une partie de ses réserves obligatoires au développement de l’#usine des #Vosges et en siégeant au comité stratégique de cette dernière. Tous ces financements ont été rendus possibles par les cotisations des entreprises et des particuliers clients de Mutuale. Cet #assureur vient d’ailleurs d’élargir son scope d’intervention à la #prévoyance et aux #assurances classiques pour particuliers et entreprises (auto…). Avec la même philosophie de participer à l’épanouissement de nos territoires. Bref, on peut tous être acteurs de la #réindustrialisation sans changer grand-chose à ses habitudes. Bravo Mutuale ! Par Laurent Moisson

ATOS, CASINO, ORPEA : débâcles boursières, quel sort pour le ( petit ) actionnaire ? ... première partie : Pour un journaliste financier, un investisseur en bourse, voire même un contribuable lambda, "assister" au naufrage boursier de trois valeurs emblématiques de la cote française, a tout d'abord quelque chose de la sidération. En un an, Atos, le "champion" français de l'informatique et de la cybersécurité a chuté de 85%. Casino, né à Saint-Etienne, leader historique de la distribution, de l'hyper jusqu'au magasin de proximité en centre-ville, en passant par l'attractif et profitable Monoprix, s'est effondré de 95%. Quant à Orpea, l'ex locomotive des maisons de retraite, le recul est abyssal : plus de 100% ! Loin de moi l'idée de contester l’évidence qu'un investissement boursier ne soit pas automatiquement un placement de « bon père de famille. » En l’espèce, dans ces 3 cas emblématiques, les raisons sont mutuelles. Citons la stratégie de développement hasardeuse, l’endettement excessif, puis l’aveuglement des dirigeants , de leur conseil d’administration, coopté dans le secret des officines. Sans oublier l’emprise du « politique », et de la technocratie. S’agissant d’Atos, en 10 ans, par une croissance externe à tout va, sans réelle stratégie (si ce n'est celle de son égo), au détriment de son core business, Thierry Breton, en toute impunité, a mis à genoux l'entreprise maintenant confrontée à une dette colossale. Et le voilà, es qualité de Commissaire européen au marché intérieur, donnant des leçons aux véritables entrepreneurs ! A l’extrême opposé de la chaîne de responsabilité, en cas de dégringolade boursière, le "petit porteur" se retrouve donc le principal dindon d'une sinistre farce. Il ne le sait sans doute pas toujours, mais il est la toute dernière roue du carrosse en déconfiture. Et pourtant s’il avait été plus attentif aux propos des "dirigeants" d'entreprises en grande difficulté, il ne se ferait pas "avoir" à chaque fois ! Ecoutons l'arrogant Jean-Pierre Mustier, qui s'était illustré à la Société Générale lors du "holdup" de son subordonné, Jérôme Kerviel. En 2008, le trader-fou avait fait perdre près de 5 milliards d'euros à la banque du boulevard Haussmann. Aujourd'hui président... d'Atos, l'X-Mines expliquait doctement le 5 janvier 2024 au Figaro, lors de sa première interview officielle : notre priorité, c'est la poursuite de l'intérêt social d'Atos, au bénéfice de ses employés, de ses clients, de ses créanciers et ... de ses actionnaires, dans cet ordre-là. Mustier faisait simplement référence au cadre légal qui sied actuellement aux procédures de protection judiciaire - mandat ad hoc - bien et trop souvent "l'antichambre" du dépeçage et de la liquidation judiciaire. ... à suivre ... :-( #atos #casinoguichardperrachon #orpea Thierry Breton Jean-Pierre Mustier Helene Bourbouloux #danielkretinsky #davidlayani Philippe Crevel

Bel outil à faire connaître largement aux chefs d’entreprise : la « boite à outil » du chef d’entreprise !!!

Plus que jamais il est nécessaire que nous soyons unis pour peser sur les choix politiques de plus en plus décorrélés du quotidien de nos entreprises.

Quels regards sur 2024 ! Des engagements pérennes qui sont la marque de confiances partagées entre celles et ceux qui agissent pour le bien commun dans des domaines comme l’économie, le sport, la culture, la solidarité et une banque comme le Crédit Mutuel Océan dont sa raison d’être est : « s’engager durablement à vos côtés ». 👉 Retenons les engagements dans l’univers de la musique, du livre avec le Le printemps du livre de Montaigu. 👉 Retenons les engagements auprès d’acteurs de l’économie avec un des phares de ce soutien celui Les Trophées Avenir Jacques Audureau qui valorisent la création/reprise. 👉 Retenons l’engagement pérenne avec le Puy du Fou : un partenariat historique et de confiance. 👉 Retenons les nombreux engagements dans l’univers de la solidarité comme ceux auprès de la BANQUE ALIMENTAIRE DE LA VENDEE, de S.O.S. FAMILLES EMMAUS VENDEE et d’autres. Des preuves d’un engagement volontariste dont les valeurs mutualistes sont les moteurs.

🤝 [PARTENARIAT] La team partenariat vous dit tout… Ou presque ! Bruno GUILMAIN, Sylvie Emad et Chantal BENETTI œuvrent au quotidien auprès des entreprises et des associations Haut-Garonnaises dans l’objectif de proposer des conditions tarifaires privilégiées à leurs salariés et/ou adhérents.   Valider les conventions de partenariats, les animer, dénicher les meilleures offres, démarcher de nouvelles entreprises et/ou associations, organiser des ventes flashs… Le quotidien de la team est bien animé et ne cesse d’évoluer.   A travers ces partenariats, le Crédit Agricole Toulouse 31 souhaite vous accompagner au mieux et vous conseiller dans la réalisation de vos projets et le choix de vos services au quotidien.   Envie d’en savoir plus sur la team partenariat ? Ils prennent la parole ! 😎 #partenariat #banque

Vous avez toujours rêvé de savoir comment la Société Générale s'est développée au XIXe siècle ? A quelle aventure a-t-elle bien pu participer au Pérou ? Pourquoi 1908 rime avec sport pour la SG ? 👇 📜 A l'occasion des 160 ans du groupe, L'ASSACT SG propose des vacances à votre fil d'actualité : un voyage à travers l'histoire de la SG, de sa création à sa privatisation en 1987. D'ailleurs, pourquoi ce nom, « Société Générale » ? On remarquera que le mot « banque » a été omis. Au XIXe siècle, ce terme désignait davantage les établissements d'émission. 👉 L'expression est employée pour la première fois en Hollande. En 1822, Guillaume Ier crée à Bruxelles la « Société des Pays-Bas pour favoriser le développement de l'industrie nationale ». Son activité dépasse rapidement l'escompte et le crédit immobilier : elle joue un rôle prédominant dans le financement du développement industriel du pays et de ses transports. Elle change sa raison sociale en 1831 au profit de « Société générale pour favoriser l'industrie nationale ». Dans la pensée saint-simonienne de l'époque, la banque ne doit pas chercher uniquement le profit des actionnaires. Elle a un vrai rôle à jouer dans le développement industriel d'un territoire donné🚂 . C'est ainsi, que l'expression arrive en France. Elle est d'abord utilisée par Isaac et Emile Pereire qui fondent en 1852 la « Société générale du crédit immobilier » C'est donc tout naturellement que les fondateurs du groupe reprennent une expression déjà employé : « Société générale pour favoriser le développement du commerce et de l'industrie en France ». L'usage gardera par la suite « Société Générale ». L'ASSACT SG vous souhaite de bonnes vacances d'été et un bon voyage à travers l'histoire du groupe 🏖 ! Avec Emmanuelle Petelle, Philippe Garcet, Delphine Le Louët, Stephane Champrigaud, Florence BARBIERI, Dominique Robert, Marie-Thérèse AMODEO, Serge BLANC, Daniel Hernandez, Véronique de La Bachelerie et Paul-Henri Perrier

Imaginez si les assureurs investissaient un peu plus dans le made in France. L’un d’entre eux, Mutuale, La Mutuelle Familiale, s’y colle déjà. Et nous avons le plaisir de vous annoncer que ce fervent défenseur des valeurs du code de la mutualité a accepté de rejoindre le jury des sessions de pitch organisées par les clubs FFI ! Bonne nouvelle. Car l’un des problèmes de notre économie est que nous n’avons pas assez d’Entreprises de Taille Intermédiaire. Trop de nos #PME restent petites et fragiles. Ceci limite leur capacité à investir, rester compétitives, augmenter les salaires, etc. Aux Forces Françaises de l'Industrie, on s’est saisi du problème à notre humble niveau : - En créant notre fonds d’investissement le 18 juin dernier. On en a parlé dans beaucoup de médias, donc ça, vous savez. Il s’adresse aux PME qui font au moins 2 millions d’€ de CA et qui sont à l’équilibre. - Mais ce que vous savez moins, c’est que, depuis 4 ans, plus de 60 de nos membres FFI ont investi dans des PME que nous leur avons présentées lors de nos sessions de pitch. Chaque mois, notre club intègre de nouveaux investisseurs privés ou professionnels qui veulent se positionner sur le #madeinFrance et l’#industrie. Pour que leur action soit encore plus efficace, nous avons décidé de structurer davantage nos sessions de pitch. C’est-à-dire avec un jury, des processus avec des noms en anglais dedans et une sorte de règlement intérieur que personne ne lira, mais qui est très bien. Pour nous aider à animer cela, nous sommes heureux d’accueillir Mutuale. - Parce que Mutuale a de l’expérience dans l’investissement de PME qui produisent en France. Donc nous pourrons nous enrichir mutuellement sur cet exercice délicat. - Parce que si elle porte en son cœur les valeurs prônées par le code de la mutualité, Mutale reste un acteur du monde de l’assurance. Et trop peu d’assureurs placent, dans les PME made in France, un peu des immenses sommes qu’ils collectent. Le secteur gère, en France, 3000 milliards. - Via des Assurances vie qui servent à financer notre dette publique (grandissante) et le logement social. (Dont un chimiste spécialiste des dissolutions disait que « ça coûte un pognon de dingue »). - Par les primes qu’ils perçoivent de leurs clients. En attendant de prendre en charge nos sinistres, ils placent ces sommes. Sur les marchés financiers, les marchés monétaires ou dans l’immobilier. Cette trop grande timidité quant au financement des PME de nos territoires, participe à l’un des paradoxes de la France : - Nous sommes le 2e pays qui épargne le plus au monde. - Nous sommes incapables de trouver les 300 milliards d’argent privé nécessaires à notre #réindustrialisation. Alors, dans notre grande tradition FFI de mettre en valeur ceux qui montrent l’exemple, nous aimerions saluer la démarche de Mutuale… En espérant qu’elle va en inspirer d’autres ! Par Laurent Moisson