Post de Noël ZIERSKI

Le #commerce du centre-ville d'#Orléans tousse-t-il vraiment ? Les murs vides, rue de la République ou ailleurs, symbolisent-ils les tensions sur ce secteur d’activité ? Lors du conseil municipal du mardi 14 janvier, luc nantier, adjoint au commerce à la Ville d'Orléans, a apporté un éclairage sur ces interrogations. ▶️ Une vacance de 6,1% « Le taux de vacance des cellules est de 6,1 % contre 13,5 % au niveau national. » Par comparaison, celui de Tours est de 8,1 %, Angers 6,1 % et Reims 6,7 %. Depuis janvier 2024, 95 enseignes se sont installées à Orléans. ▶️ Les métiers de bouche sous-représentés Toujours dans le centre-ville, « les métiers de bouche, comme les boulangeries, les poissonneries, les boucheries, les primeurs, sont sous-représentés. Nous avons, également, une volonté de canaliser les centres médicaux. Notre objectif est d’avoir une offre équilibrée entre grandes enseignes et commerces indépendants. » ▶️ Carmes-Madeleine, un quartier en pleine mutation Les commerces indépendants occupent les cellules d’un quartier Carmes-Madeleine en pleine transformation. « Cinq nouvelles enseignes s’y sont installées en 2024. Tout n’est pas encore bouclé. Notre volonté est de développer un pôle d’artisanat d’art... » ▶️ Projet commercial pour Madeleine Faubourg Madeleine, la galerie marchande Rives-de-Loire est promise à un profond changement, à une meilleure visibilité. Une première réunion publique sera organisée avant l’été 2025 pour évoquer l’avenir de ces commerces de quartier. Plus d'infos : https://lnkd.in/gw_mwJnw

Commerce français - Et si l’on retrouvait le goût de flâner en ville ? Sur 500 centres-villes étudiés par Procos, la fédération du commerce spécialisé, c’est le secteur de l’habillement qui a perdu le plus de boutiques, passant d’une occupation de 22,7 %, en 2012, à 17,2 %, en 2022, au profit de la restauration, notamment rapide, qui est passée de 2,4 % à 4,9 % durant cette période. Chausseurs et bijoutiers reculent aussi, mais dans une moindre mesure. Dans le centre-ville de Bruxelles, sur le terrain, on a le même sentiment mais d'après les chiffres peut-on verifier ce changement de type de commerce? https://lnkd.in/euvUwwAf

Les assises du commerce de la Ville de Lyon D’après le site de la Ville de Lyon : « Les Assises ont pour objectif d’élaborer collectivement des propositions pour renforcer le commerce et l’artisanat de proximité au service de TPE-PME dynamiques et d’une attractivité renouvelée de notre ville. » Après la présentation du déroulement de la journée, nous avons introduit par une présentation du contexte économique et sociétal puis les attentes et évolution des consommateurs et donc du commerce de demain. Ensuite, nous avons discuté de Lyon et de son attrait, en détaillant par arrondissement et secteur. Il y avait des ateliers prévus sur les thèmes suivants : ➡️ Diversité commerciale et urbanisme commercial : comment garantir l’installation et la pérennisation des commerçants et des artisans dans nos quartiers ? ➡️ A vos côtés tout au long de la vie de l’entreprise : quel accompagnement pour un parcours serein ? ➡️ Lyon et ses commerçants-artisans, un duo gagnant : comment l’identité de Lyon peut favoriser son attractivité commerciale ? ➡️ Présence physique, présence en ligne : quelles mesures pour une expérience client complète et un commerce lyonnais qui tire son épingle du jeu face au e-commerce ? ➡️ L’engagement écologique et social comme levier de développement : quelles actions et comment les valoriser ? ➡️ Lyon + désirable : quelles priorités pour que les mutations et les usages de l’espace public soient facteur d’attractivité pour les commerces Préalablement un questionnaire avait été envoyé sur l’ensemble de la Ville et 2000 personnes avaient répondu (500 commerces et 1500 riverains). De ce fait l’orientation des réponses étaient proposées, nous avons été étonnés et soumis en propositions comme les problématiques de sécurité ou l’accès à nos boutiques, que nous réclamons à chaque réunion depuis le début du mandat. Pour clore cette journée et en conclusion, tout est parfait. Les perspectives sont encourageantes et les commerces et artisans n'ont aucun souci à se faire. Lyon est attractive les locaux vacants sont nombreux mais cela vient de l’effet de « quoiqu’il en coute » puisque de nombreux entrepreneurs ont bénéficié du PGE et c’est l’heure des remboursements. Je me demande pourquoi la ville de Lyon a mis en place ces 'assises' dans ce contexte, alors que les voyants sont au « vert ». De plus, quel exemple à l'heure des réductions budgétaires ? #deception #lyon

Imaginez une rue commerçante, au cœur de la Presqu’île lyonnaise. Devantures colorées, vitrines alléchantes, passants affairés. Mais derrière cette façade dynamique, l’inquiétude grandit parmi les commerçants. En cause : les projets de la municipalité écologiste, entre piétonnisation et zone à faible émission (ZFE). Face à la gronde, la mairie vient d’annoncer la tenue d’Assises du commerce en novembre prochain. Une main tendue qui peine pourtant à convaincre… Des commerçants sur le qui-vive Depuis plusieurs mois, les tensions montent entre la Ville de Lyon et les acteurs du commerce local. Au cœur des préoccupations : la future zone à faible émission qui limitera l’accès des véhicules polluants au centre, et l’extension des zones piétonnes sur la Presqu’île. Des projets perçus comme une menace par de nombreux commerçants, qui redoutent une baisse de fréquentation et de chiffre d’affaires. Pour faire entendre leur voix, ils se sont regroupés au sein du collectif “Défenseurs de Lyon”. Mathieu Bruel, membre du collectif et patron d’une boutique, résume le sentiment général : “On n’a jamais eu l’impression d’être entendus ni par la mairie, ni par la métropole. Là, ils voient que ça bouge du côté des commerçants et veulent calmer les choses”. Une défiance qui s’est matérialisée ces derniers mois par des manifestations et des actions symboliques, comme la “fermeture” de l’Hôtel de Ville avec des cartons. La mairie tend la main Face à cette fronde, la municipalité a décidé de réagir en annonçant la tenue “d’Assises du commerce et de l’artisanat” le 4 novembre prochain. L’objectif affiché est de “construire avec le secteur des propositions concrètes pour améliorer le dynamisme de Lyon”, dixit le communiqué de la Ville. En amont, une consultation en ligne est lancée pour “identifier les habitudes et les perceptions des commerçants, artisans et habitants”. Les commerçants et artisans ont une place particulière dans le cœur des Lyonnais et dans la vie de la cité. Les entendre et les impliquer, c’est tout simplement prendre le pouls de la ville. Camille Augey, adjointe au maire de Lyon déléguée à l’Emploi et à l’Économie durable Un “coup de com” pour les commerçants Mais pour beaucoup de commerçants, cette main tendue a un goût amer. Ils y voient avant tout une opération de communication de la part d’une mairie qui n’aurait pas su les écouter jusqu’ici. “Ça fait deux ans que personne ne nous écoute sur la piétonnisation et les travaux. On n’a jamais rencontré un élu. C’est une forme de mépris”, tacle Mathieu Bruel, pour qui ces Assises sonnent comme une “moquerie”. Malgré tout, les commerçants assurent qu’ils participeront bien à la réunion du 4 novembre. “L’espoir fait vivre”, ironise le représentant du collectif. Mais il prévient d’ores et déjà : la rencontre s’annonce tendue pour l’exécutif écologiste. Après des mois de bras de fer, la confiance semble rompue. Il faudra plus que des mots pour restaurer le dialogue entre la Ville et se...

Quel avenir pour le commerce ? 🏬 Les Assises du Commerce et de l’Artisanat se tiennent aujourd’hui à l’hôtel de ville, avec pour objectif de préserver et renforcer l’attractivité de la ville. 👉 Je m'inscris à l’Essentiel Lyon, notre newsletter locale, brève, gratuite et factuelle : lyon.lessentiel.fr LE CONTEXTE 📉 ◾ Face à la concurrence croissante du e-commerce, aux défis de la transition écologique et à la transformation du cadre urbain, les commerçants lyonnais doivent s’adapter aux nouvelles habitudes de consommation. ◾ Depuis plusieurs années, le centre-ville a vu de nombreux magasins indépendants fermer, atteignant un pic l’an passé. Ils sont souvent remplacés par de grandes enseignes, à l’image de ce nouveau KFC qui débarque au 12 rue de la Ré. ◾ « La conjoncture nationale est complexe, et les commerçants en ressentent directement les effets, mais Lyon demeure une ville très dynamique », analyse Camille Augey, adjointe au maire à l’Emploi et à l’Économie Durable, pour l’Essentiel Lyon. LES ENJEUX 🛍️ ◾ « Lyon compte plus de 10 000 commerçants indépendants. Nous souhaitons réellement dresser un état des lieux de leur situation », poursuit l’élue avant d’ouvrir les Assises ce lundi. Les commerçants et artisans de la ville sont invités à se rencontrer, échanger, assister à des conférences et participer à des ateliers. ◾ Ces discussions porteront sur les enjeux essentiels, tels que la diversité commerciale, la réponse aux défis du e-commerce et l’engagement écologique et social comme levier de développement. ◾ Le sujet le plus clivant est sans doute celui de la gestion de l’espace public et notamment de la réduction de la place de la voiture en Presqu’île, louée par certains, critiquée par d’autres. LES PISTES 🎯 ◾ Sur la plateforme de participation citoyenne Oyé !, 2 000 personnes ont partagé leur point de vue sur le commerce lyonnais actuel. ◾ Plus de 80 % des consommateurs expriment le désir d’accéder à des produits de qualité, et la proximité des commerces est un critère déterminant dans leur choix. ◾ « Les solutions qui émaneront des Assises doivent être concrètes. La Ville de Lyon pourra en mettre certaines en œuvre, mais les autres acteurs comme l’État devront prendre leur part », conclut Camille Augey. #commerce #ecommerce #artisanat #attractivité #lyon

Depuis plus d’un siècle et demi, la place de la Madeleine à Paris était synonyme de raffinement culinaire. Les épiceries fines comme Hédiard et Fauchon attiraient gourmets parisiens et touristes du monde entier, faisant de ce quartier un véritable temple de la gastronomie française. Mais aujourd’hui, le vent semble tourner. La fermeture définitive d’Hédiard en 2013 et l’arrivée prochaine de l’enseigne de matériel informatique LDLC à sa place marquent un tournant décisif pour ce haut lieu du 8ème arrondissement. Hédiard, une institution parisienne qui disparaît Fondée en 1854, la maison Hédiard était devenue au fil des décennies une véritable institution. Ses produits d’exception, ses créations originales et son cadre luxueux en avaient fait une destination incontournable pour les amateurs de bonne chère. Mais malgré son prestige, l’enseigne a connu des difficultés financières croissantes au début des années 2000. Même son rachat en 2007 par l’homme d’affaires russe Sergueï Pougatchev n’aura pas suffi à inverser la tendance. Après plusieurs tentatives de relance infructueuses, Hédiard a fini par baisser définitivement le rideau en 2013, laissant un grand vide au 21 place de la Madeleine. Depuis, les habitués du quartier et les nostalgiques de l’épicerie fine espéraient un repreneur qui perpétuerait la tradition gastronomique des lieux. Mais c’était sans compter sur l’évolution des modes de consommation et l’appétit des enseignes spécialisées pour les emplacements de choix. LDLC, le renouveau high-tech de la Madeleine C’est finalement LDLC, leader français du matériel informatique et high-tech, qui a été choisi pour prendre la suite d’Hédiard. Dès la fin des Jeux Paralympiques de Paris en septembre, d’importants travaux seront engagés pour transformer les deux niveaux de l’ancienne épicerie fine en un espace dédié aux nouvelles technologies. Un changement radical qui ne manque pas de faire réagir. La Madeleine, un quartier en déshérence commerciale. Les emplacements de Fauchon et Hédiard restent définitivement vides. – Un internaute sur le réseau social X (anciennement Twitter) Si certains déplorent ce qu’ils considèrent comme une perte d’identité pour la place de la Madeleine, d’autres y voient l’opportunité d’un nouveau souffle pour ce quartier emblématique. Avec l’arrivée de LDLC, c’est en effet toute une clientèle de passionnés de tech et de gaming qui pourrait être amenée à fréquenter les lieux, contribuant ainsi à redynamiser le tissu commercial local. Entre tradition et modernité, la Madeleine en quête d’un nouveau visage Au-delà du cas d’Hédiard, c’est toute la place de la Madeleine qui semble aujourd’hui à la croisée des chemins. Avec la fermeture récente de Fauchon, autre figure historique de la gastronomie, c’est un pan entier de l’identité du quartier qui s’efface peu à peu. Mais plutôt que de céder à la nostalgie, certains acteurs locaux préfèrent voir dans cette période de transition une opportunité de réinvent...

La revue de presse du retail : "Un esprit de village à l'ancienne"… À l'ouest de Toulouse, pourquoi cette commune résiste ...: "Un esprit de village à l'ancienne"… À l'ouest de Toulouse, pourquoi cette commune résiste à l'installation de la grande distribution. ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce

Assistons-nous à la fin d'une époque pour nos centres-villes 🏙️ ? La fermeture progressive de boutiques emblématiques marque un tournant significatif dans le paysage commercial urbain. Face à ce défi, l'Association des Villes de France se mobilise pour soutenir les commerces de centre-ville, plaidant pour une équité fiscale renforcée afin de permettre une concurrence plus juste avec les géants du commerce en ligne 🛍️. L'enjeu est de taille : rétablir l'équilibre fiscal pourrait non seulement aider les magasins physiques à rivaliser, mais aussi encourager la réimplantation des commerces en centre-ville. Cette démarche vise à revitaliser l'économie locale et à recréer des espaces de vie attractifs pour les habitants et les visiteurs 🌆. La disparition des commerces de centre-ville ne menace pas seulement l'économie, mais également le tissu social et culturel des villes. Pour inverser cette tendance, des stratégies diversifiées sont envisagées, allant des aides directes aux commerçants à l'organisation d'événements pour attirer les visiteurs. L'importance d'une action collective est soulignée, nécessitant une collaboration étroite entre autorités locales, commerçants et citoyens pour redynamiser les centres-villes 🤝. Que pensez-vous de ces initiatives ? Partagez votre opinion dans l'espace commentaire ! #RevitalisationUrbaine #CommerceLocal #VieDeQuartier