Post de Nouvelle Clinique Bel-Air

[📰 Article Le Journal des Femmes Santé – « Comment protéger la prostate de la maladie ? » avec l’interview du Dr Benoit Wolff] Le Journal des Femmes Santé vient de publier un article sur la santé de la prostate et notamment sur les deux pathologies principales qui peuvent l’impacter. Pour parler de ce sujet, Le Journal des Femmes a interviewé le Dr Benoit Wolff, urologue à la Polyclinique Bordeaux Nord Aquitaine et à la Nouvelle Clinique Bel-Air. 💬 « Il existe deux pathologies principales dans la prostate. La première est bénigne et constitue l'évolution naturelle de la prostate. […] La seconde pathologie est le cancer de la prostate. Il n'y a pas de dépistage de masse pour le cancer de la prostate mais il est recommandé pour la majorité des hommes entre 50 et 70 ans et se fait par une prise de sang. » Dr Benoit Wolff, urologue à la Polyclinique Bordeaux Nord Aquitaine et à la Nouvelle Clinique Bel-Air. Retrouvez l’article complet Le Journal des Femmes Santé 👇

🩺 Dépistage du cancer de la prostate : le jugement clinique, au cœur de l’approche préventive La décision de se faire dépister doit reposer sur un consentement libre et éclairé et des données probantes sur le plan scientifique. Il est fondamental que les hommes soient d’abord bien informés des avantages et des risques associés. Le Dr Mauril Gaudreault, président du CMQ, rappelle que « si on procède de façon générale chez les hommes, on peut créer plus de dommages qu’autre chose. Les inconvénients possibles, à court terme, vont dépasser les avantages à long terme que pourrait avoir un tel dépistage ». Plusieurs outils sont à la disposition des médecins :  👉 La fiche de prévention clinique du CMQ est un reflet fidèle du Guide des bonnes pratiques en prévention clinique, publié par le Directeur national de santé publique du MSSS : https://lnkd.in/ewpaURV7 👉 Cet outil de l’INESSS, à l’intention des professionnels de la santé, permet quant à lui de faciliter la discussion sur le dépistage du cancer de la prostate par dosage de l’antigène prostatique spécifique (APS) : https://lnkd.in/eWxTCMpu https://lnkd.in/ekUiG9Fx

Novembre bleu ! Et si on parlait de la prostate La prostate est avant tout une glande qui fait partie de l’appareil reproducteur mâle Alors on ne dit pas <<j’ai la prostate >> pour faire allusion à une maladie ou une pathologie liée à la prostate car tous les hommes ont la prostate et oui donc n’ayez pas peur d’avoir une prostate c’est normal Cependant la prostate peut être atteinte de certaines pathologies telles que : l’hypertrophie bénigne de la prostate, cancer de la prostate.. dans le cas d’une pathologie le patient peut présenter les signes suivants : besoin fréquent d'uriner, surtout la nuit (pollakiurie) ; jet d'urine faible et sensation de ne pas avoir vidé complètement sa vessie ; fuites urinaires (incontinence urinaire) ;douleurs lors de l’éjaculation , infection urinaire … Lorsque vous constatez ces signes consultez votre médecin le plus proche … Prenez soin de vous et n’hésitez pas à vous rapprocher de votre médecin pour plus de renseignements sur la question

😨Votre prostate Messieurs vous inquiète ? Ou ce sont vos érections ? Eh bien c'est NORMAL ! Cette glande reproductrice grosse comme une🍊peut partir en torche et mettre tout le système en berne. On en parle ? ❓Petit rappel : le cancer de prostate est le plus fréquent chez l'homme : 60 000 nouveaux cas et 8 100 décès par an en France, soit 1 chaque heure. 20 000 prostates sont retirées chirurgicalement avec des effets secondaires sur les érections et la continence urinaire. 1 homme sur 8 aura ce cancer. 😅Pas de panique pourtant. Voici de bonnes nouvelles délivrées à l'occasion du mois de novembre consacré à la santé masculine. ✅Bonne nouvelle 1 : le taux de survie à 5 ans frôle 95% ✅✅Bonne nouvelle 2 : désormais entre 30% et 50% des cas ne sont plus traités mais surveillés, ce qui préserve la sexualité des hommes ✅✅✅Bonne nouvelle 3 : pour les autres, les traitements sont plus précis Mais tout ceci n'est possible que si les hommes se font diagnostiquer à partir de 50 ans voire 45 ans selon l'ethnie et l'histoire familiale. On vous propose l'expertise du Pr Matthieu Durand, chirurgien, chef du service d'urologie du Centre Hospitalier Universitaire de Nice (CHU de Nice), à l'occasion de la 3e campagne d'information organisée par MProvence durant tout le mois de novembre. ✅✅✅✅Bonne nouvelle 4 : pour tout savoir et interroger les👨⚕️👩⚕️, on vous invite à 5 conférences publiques à Nice le 6 novembre, Marseille le 13 avec APHM (Assistance Publique - Hopitaux de Marseille) et Institut Paoli-Calmettes, Avignon le 14, Fréjus le 27 et Toulon le 28 (les infos pratiques dans l'article). 🔫Ne jouez plus avec votre prostate. Informez-vous ! Isabelle BATTAREL Nancy Cattan Balram Dyal Geraldine PIGNOT Association Francaise d'Urologie - AFU Rémi DALLE Gérard VAN DEN BULCKE Mathilde DEMORY Ville de Nice Régis Ridolfo Caroline Péragut Costamagno Valérie RIVIER

#Ezango : Cancer de l’endométriose : risques, prévention et traitement Le cancer de l’endométriose est une complication rare, mais sérieuse, d’une maladie gynécologique courante : l’endométriose. Cette affection survient lorsque le tissu de l’endomètre, qui tapisse normalement l’utérus, se développe à l’extérieur de celui-ci. Si l’endométriose elle-même est bénigne, elle peut augmenter le risque de certaines formes de cancer. Cet article aborde les risques, la prévention et les traitements possibles du cancer de l’endométriose, en s’appuyant sur des sources médicales fiables. Les risques liés au cancer de l’endométriose Les femmes atteintes d’endométriose ont un risque légèrement accru de développer des cancers des ovaires. Bien que le risque soit faible, plusieurs […] https://lnkd.in/dacM6hB6

Novembre bleu 💙 Dans l’optique de lutter contre le cancer de la prostate, le mois de novembre de chaque année a été dédié mois de sensibilisation et de prévention de cette maladie d’où le nom « novembre bleu ». Qu’est-ce que le cancer de la prostate ? Le cancer de la prostate est une tumeur maligne qui évolue généralement lentement, à partir de cellules de la glande prostatique devenues anormales. Le grade de la tumeur est déterminé par la biopsie, ce qui aide à évaluer le risque et le stade de la maladie. Le traitement du cancer de la prostate dépend de son stade et peut inclure la prostatectomie, la radiothérapie, la chimiothérapie et l’hormonothérapie, et d'autres options déterminées par le médecin. Quelles sont les causes de cette maladie ? Plusieurs facteurs peuvent être responsables d’un cancer de la prostate comme l’âge, les antécédents familiaux, le mode de vie ou encore l’exposition à certains produits chimiques. Comment prévenir la maladie? Il est conseillé de pratiquer au moins 30 minutes d’activité physique par jour, ou 150 minutes par semaine. Avoir Une bonne alimentation. Limiter et réduire la consommation d’alcool et de tabac. #gabyhealth #santéautravail #sécuritéautravail

Coup de cœur solidarité « Movember ». https://lnkd.in/e2gTkrEi   ℹ Qu'est-ce que le cancer de la prostate ? ℹ La prostate est une glande située juste en dessous de la vessie, en face des intestins. Elle produit un fluide qui protège et enrichit le sperme. Le cancer de la prostate survient lorsque certaines des cellules prostatiques se reproduisent bien plus rapidement que d'habitude, ce qui donne ainsi lieu à une tumeur. Si elles ne sont pas traitées, les cellules cancéreuses sont susceptibles de se propager de la prostate à d'autres parties éloignées du corps, notamment aux ganglions lymphatiques et aux os, en donnant naissance à des tumeurs secondaires dans un processus connu sous le nom de métastase. L'un des aspects les plus inquiétants de la maladie réside dans le fait que la plupart des cancers de la prostate se développent sans que les hommes ne ressentent au départ aucun symptôme ℹ Les symptômes ℹ Tout le monde ne ressent pas les symptômes du cancer de la prostate. Il arrive souvent que les signes d'un cancer de la prostate soient décelés en premier par un médecin lors d'un examen médical de routine. Toutefois, certains hommes remarqueront des changements dans leur fonction urinaire ou sexuelle susceptibles d'indiquer la présence d'un cancer de la prostate. Ces symptômes comprennent : Un besoin fréquent d'uriner, notamment la nuit Des difficultés à commencer à uriner ou à se retenir d'uriner Un flux d'urine faible ou interrompu Une urination douloureuse ou qui brûle Des difficultés à avoir une érection Une éjaculation douloureuse Une présence de sang dans l'urine ou le sperme Une douleur ou une raideur fréquente dans le bas du dos, les hanches, ou le haut des cuisses Les mesures à prendre Si vous avez des doutes ou que vous ressentez certains de ces symptômes, il est important que vous contactiez votre médecin.  

𝗖𝗮𝗽𝘀𝘂𝗹𝗲 𝗻°𝟯 : 𝗤𝘂𝗲 𝗳𝗮𝘂𝘁-𝗶𝗹 𝘀𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗰𝗮𝗻𝗰𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗹'𝗲𝗻𝗱𝗼𝗺𝗲̀𝘁𝗿𝗲 ? 🎗️ Dans cette troisième capsule de notre mini-série dédiée aux cancers gynécologiques, le Dr Borghesi, chirurgien gynécologue, vous présente les informations essentielles sur le cancer de l'endomètre. Il explique que ce type de cancer survient principalement chez les femmes ménopausées, avec une prédisposition chez les patientes en surpoids. L'un des signes d'alerte à surveiller après la ménopause est l'apparition de saignements inhabituels. 🩸 Il rappelle également que lorsqu'il est diagnostiqué à un stade précoce, le traitement chirurgical permet de guérir 95 % des cas. Chaque femme a une raison d'avoir un suivi gynéco, faites-vous dépister ! 💙

#Octobre #Rose le #Cancer du #col de l'#utérus en français facile : partie 2/4 Par quels signes suspecter (#Symptômes)? pendant plusieurs annéee , le développement du cancer du col de l'utérus peut être silencieux. C'est la période où les cellules se développent de façon anarchique. Sur le plan anatomopathologique, on distingue deux grandes phases (précancéreuse et cancéreuse) avec chacune des différents stades dont je vous fais grâce ici (puisqu'on est en français facile). Les symptômes commencent par apparaître au stade 3 et 4 de la phase 2, phase ça cancéreuse: - douleur au bas ventre, - saignements en dehors des périodes de règles - saignements suite aux rapports sexuels - pertes vaginales avec forte odeur. Lorsque vous constatez, chers dames, ces différents symptômes, il est essentiel de consulter votre médecin afin d’exclure un cancer du col de l’utérus. Les #complications Les métastases : les cellules cancéreuses iront contaminer d'autres organes, ceux ci deviennent aussi ça cancéreux. Diminution de la qualité de vie de la patiente La mort: Si le cancer est non ou mal traité #Bonus: un cancer découvert assez tôt pourra être traité plus aisément et entraîner moins de complications notamment au niveau des effets secondaires des médicaments anti-cancéreux. Lorsque le gynécologue découvre des cellules anormales, mais non cancéreuses encore, il pourra les enlever tout de suite, lors de l’examen et empêcher ainsi le développement de la maladie. Il y a donc nécessité de faire un dépistage systématique régulier, même en l'absence de symptômes. On y reviendra.... #Dr #Urbain #AHOUAYITO, #Médecin

#Ezango : Cancer de l’endométriose : risques, prévention et traitement Le cancer de l’endométriose est une complication rare, mais sérieuse, d’une maladie gynécologique courante : l’endométriose. Cette affection survient lorsque le tissu de l’endomètre, qui tapisse normalement l’utérus, se développe à l’extérieur de celui-ci. Si l’endométriose elle-même est bénigne, elle peut augmenter le risque de certaines formes de cancer. Cet article aborde les risques, la prévention et les traitements possibles du cancer de l’endométriose, en s’appuyant sur des sources médicales fiables. Les risques liés au cancer de l’endométriose Les femmes atteintes d’endométriose ont un risque légèrement accru de développer des cancers des ovaires. Bien que le risque soit faible, plusieurs […] https://lnkd.in/dfvgpB5n