Face au gouffre de la dette et à l’explosion du déficit public, le gouvernement de Michel Barnier, sans majorité, est contraint à un numéro d’équilibriste pour doter le pays d’un budget. Comment y parvenir sans freiner la croissance et accroître les inégalités ? Pour cela, le Premier ministre devra accepter des concessions. Quitte à modifier l’architecture de sa loi de Finances – un tiers de recettes en plus, deux tiers de dépenses en moins (une répartition contestée par le Haut Conseil des Finances publiques, qui évalue plutôt à 70% la hausse des prélèvements, contre 30% pour la baisse des dépenses). Car le Rassemblement National (Off) évoque deux lignes rouges : la taxe sur le prix de l’électricité et le report de la revalorisation des pensions de retraite. Par aron matthieu et Boris Manenti
Post de Le Nouvel Obs
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Le président de la République recevra cette semaine les organisations politiques, en vue de constituer les jours suivants un gouvernement. En attendant, la préparation budgétaire se poursuit. Avec des enjeux colossaux : -Bruxelles a ouvert à l’encontre de la France une procédure pour déficits excessifs, -L’économie française emprunte à des taux de plus en plus élevés pour financer sa dette, -Nous devons malgré tout investir dans l’éducation, la transition climatique et la modernisation de notre armée. Alors il faut baisser la dépense publique d’au moins 25 milliards en 2025-2026, et jusqu’à 112 milliards dans les dix prochaines années. C’est cela l’enjeu du prochain débat budgétaire qui s’ouvrira le 1er octobre à l’Assembée nationale! Mon analyse dans Opinion Internationale
Finances publiques : mieux vaut encore un budget 2025 retardé qu’inconséquent. La Chronique de François Perret - Opinion Internationale
opinion-internationale.com
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📑 La préparation du budget 2025 devrait relancer les querelles de chapelles entre ténors de la discipline sur l’opportunité d’une politique de rigueur. Pourtant, la dérive est inquiétante et les faits sont têtus. Par Béatrice Mathieu #Économie #Finances #Budget
Finances publiques : les économistes nous ont-ils menti ?
lexpress.fr
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et il n'y a pas de dotations d'amortissement (peu d'immobilisations et surtout du fonctionnement) pour améliorer la CAF et donc couvrir le remboursement du capital emprunté. Bref avec Jerome RIVALIN on le fait avec les collectivités en conseil d'aide à la décision et ça marche. Une démarche pragmatique de revue de toutes les politiques publiques sans tabou : on parle de quel service public, combien ça coûte (en complet), comment s'est géré, quels résultats par rapport aux objectifs fixés ? Puis on regarde les priorités (et on peut y mettre la culture), on arrête ce qui ne marche pas et/ou on fait autrement : on transfert en gestion privée (vente ou DSP) ce qu'il peut mieux faire que le public (exemple : la gestion d'un zoo. A voir également en fonction de l'organisation historique ou la pertinence d'un transfert de compétences à un autre échelon public (subsidiarité). On travaille en pluriannuel avec des objectifs chiffrés. Vincent Palierne ça doit te rappeler quelque chose 😊 Bref,,,à voir pour la grande machine de l'Etat où il ne faut pas avoir peur de se donner le temps d'un diagnostic approfondi. MAIS POUR CELA : il faut de la visibilité et travailler sur le long terme... SEMAPHORES #conseil #expertise #secteur #public
« Si vous ne dites pas quelque chose d’une façon qui irrite, vous pourriez aussi bien vous taire. » George Bernard Shaw
Quant un « journal de référence » arrive à qualifier de « bonne nouvelle » un déficit budgétaire public de l’ordre de 170 Milliards c’est vraiment qu’on marche sur la tête. Certains prétendent s’attaquer au déficit et à la dette de l’Etat en augmentant les impôts; d’autres s’y opposent et privilégient la réduction des dépenses. Faux débat. Il faut évidemment faire les deux. Et il ne serait pas absurde de l’admettre et de débattre plutôt de la façon la plus intelligente (ou la moins stupide) de le faire. Est-il vraiment impossible dans un pays comme le nôtre de fonder un débat politique sur la réalité et pas sur des fantasmes? Le problème c’est que les Français ont vu beaucoup augmenter les impôts sans jamais observer la moindre réduction du déficit. Et qu’ils voient augmenter depuis des décennies les dépenses de l’Etat tout en constatant la dégradation voire la disparition des services publics les plus essentiels. Double peine. Alors si une femme ou un homme politique voulait rétablir un minimum de confiance sur ce sujet ce ne sera pas avec des discours genre: « Nous sommes sur la bonne voie pour maîtriser la croissance de l’augmentation de la dette etc… ». Mais bonne année tout de même pour vous et ceux que vous aimez. PS: j’ai quand même une bonne nouvelle: les quelques 170 milliards de deficit correspondent à un calcul conventionnel imposé par l’UE et qui conduit à y inclure environ 16 milliards au titre du besoin de financement des collectivités locale. Or ce n’est pas un déficit, c’est un endettement nouveau que vos communes, départements, regions utilisent exclusivement pour investir (écoles, colleges, lycées, transports, camions de pompiers, etc.). Si vous trouvez que cela consiste à additionner des choux et des carottes vous avez raison mais c’est fait par des gens super intelligents n’ayez aucune inquiétude 😉 #deficit #dette #budget Inspection générale des finances Alain Lambert Aline SYLLA-WALBAUM Assemblée des Départements de France Association des maires de France et des présidents d'intercommunalité
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Quant un « journal de référence » arrive à qualifier de « bonne nouvelle » un déficit budgétaire public de l’ordre de 170 Milliards c’est vraiment qu’on marche sur la tête. Certains prétendent s’attaquer au déficit et à la dette de l’Etat en augmentant les impôts; d’autres s’y opposent et privilégient la réduction des dépenses. Faux débat. Il faut évidemment faire les deux. Et il ne serait pas absurde de l’admettre et de débattre plutôt de la façon la plus intelligente (ou la moins stupide) de le faire. Est-il vraiment impossible dans un pays comme le nôtre de fonder un débat politique sur la réalité et pas sur des fantasmes? Le problème c’est que les Français ont vu beaucoup augmenter les impôts sans jamais observer la moindre réduction du déficit. Et qu’ils voient augmenter depuis des décennies les dépenses de l’Etat tout en constatant la dégradation voire la disparition des services publics les plus essentiels. Double peine. Alors si une femme ou un homme politique voulait rétablir un minimum de confiance sur ce sujet ce ne sera pas avec des discours genre: « Nous sommes sur la bonne voie pour maîtriser la croissance de l’augmentation de la dette etc… ». Mais bonne année tout de même pour vous et ceux que vous aimez. PS: j’ai quand même une bonne nouvelle: les quelques 170 milliards de deficit correspondent à un calcul conventionnel imposé par l’UE et qui conduit à y inclure environ 16 milliards au titre du besoin de financement des collectivités locale. Or ce n’est pas un déficit, c’est un endettement nouveau que vos communes, départements, regions utilisent exclusivement pour investir (écoles, colleges, lycées, transports, camions de pompiers, etc.). Si vous trouvez que cela consiste à additionner des choux et des carottes vous avez raison mais c’est fait par des gens super intelligents n’ayez aucune inquiétude 😉 #deficit #dette #budget Inspection générale des finances Alain Lambert Aline SYLLA-WALBAUM Assemblée des Départements de France Association des maires de France et des présidents d'intercommunalité
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Un déficit qui passe de manière imprevue de 5,1% à 5,6% soit dans les 15mds€... Le mur de la dette commence à nous cacher le soleil. Alors que notre pays croule déjà sous les impots, toute hausse du taux pour compenser la baisse du rendement serait mauvaise pour l'économie et donc pour les rentrées fiscales. De même, les baisses ne me paraissent pas forcement raisonnables avant d'avoir bouché le trou. Alors que la part de la depense publique dans le PIB est de 58%, toute baisse de l'investissement public devra être compensée par le privé pour sauver la nécessaire croissance... Il faudra bien boucher le trou... Quand à la structure des dépenses sociales... Je crois que jamais le pays n'a eu autant besoin d'une politique budgétaire et économique de droite "entière" qui remodèle pour demain notre systeme et sans cet en même temps aujourd'hui décrédibilisé. Mais rarement les équilibres politiques ont été autant contre à cause du poids du #NFP et... ... du #RN qui n'est même pas membre de la droite la plus étatiste sur les questions budgétaire et économique. Le RN étant le "en même temps" du social gauchisant du nord et de l'anti-immigrationniste du sud. Bonne chance à tout le monde. Car au fond, nous avons tous contribué à construire cette nasse. #PremierMinistre #Dette #économie #impôts #LR
Ces documents de Bercy qui révèlent le risque d’un sévère dérapage du déficit public dès 2024
lefigaro.fr
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J'ai beau lire beaucoup de post sur le budget de l'état Et j'ai constaté que beaucoup de personnes ne comprennent pas les véritables enjeux : Les dépenses publiques ne cessent d'augmenter. Les recettes fiscales stagnent dangereusement. La dette devient un fardeau pour les générations futures. Pourtant, nous continuons d'emprunter comme si demain n'existait pas. Non l'argent ne s'imprime pas. Je vois des ministères qui se battent pour conserver leurs budgets, des élus qui défendent leurs territoires, des citoyens qui réclament plus de services publics. Mais personne ne semble vouloir regarder la réalité en face. Nous devons collectivement faire des choix difficiles : - Optimiser l'utilisation de l'argent public - Investir dans des secteurs d'avenir - Repenser notre modèle social - Réduire certaines dépenses Ce n'est pas une question de droite ou de gauche, c'est une question de responsabilité. La vérité n'est pas toujours agréable à entendre, mais elle est nécessaire pour avancer ensemble vers un avenir plus stable.
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Ma priorité est d’avoir un budget qui protège les Français d’une crise de la dette. Je ne voterai pas un budget avec de nouvelles hausses d’impôts. Notre pays a multiplié les autorités administratives au lieu de renforcer ses services publics sur le terrain. Ensuite, il y a trop d’assistanat dans notre pays et on a découragé le travail. En France règne aujourd’hui malheureusement le travailler plus pour payer plus : plus d’impôts, plus de charges. On décourage tous ceux qui se donnent du mal, travaillent, entreprennent. On est au bout d’un système qui tolère trop d’abus et fait payer à l’arrivée ceux qui travaillent. Il faut créer une allocation sociale unique avec des heures de travail en contrepartie, en fusionnant la trentaine d’aides sociales qui sont devenues hors de contrôle. Des économies, on peut en faire partout, il faut juste avoir le courage de s’y attaquer. J’ai géré la région Auvergne-Rhône-Alpes pendant sept ans sans la moindre d’augmentation d’impôts et de taxes, sans augmentation de la dette, en faisant des économies de 15 % sur les dépenses de fonctionnement, et avec, au final, une solidité financière similaire à celle de l’Allemagne. Envisager de revenir sur la réforme des retraites sans proposer la moindre piste de financement, c’est irresponsable. Les retraités seront les premières victimes parce qu’ensuite on viendra expliquer qu’il faut baisser les pensions. La suspendre sans scénario alternatif revient à sauter dans le vide sans parachute. Ce sera sans la Droite républicaine. Que le Gouvernement ne perde pas de vue la gravité de la situation : il faut protéger la France de la tempête de la dette qui s’annonce. https://lnkd.in/dQYGbKhZ
Laurent Wauquiez : « Je ne voterai pas un budget avec de nouvelles hausses d’impôt »
leparisien.fr
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🌪️Soukez les Artimus ! 🚣 Ca commence à sentir le roussi à Bercy ! 🌡️ Le Sénat vient de recevoir les derniers chiffres du budget, et franchement, on n'est pas dans la m**de 💩! Jean-François Husson parle de "grand mensonge d’État"… et il n’a pas tort ! On est à deux doigts de sortir les gilets de sauvetage.🛟 Pour 2024, on nous annonçait un déficit de 5,1 % du PIB, mais on est déjà à 5,6 %. Et à ce rythme, on pourrait atteindre les 6,2 % l’an prochain 🤫! Bercy cherche désespérément 30 milliards d’euros d’économies… 30 milliards ! Autant dire qu’on va devoir chercher les euros 💶 comme des chercheur d'or en Picardie. Et côté recettes fiscales ? Voilà, c'est la descente aux enfers : TVA, impôt sur le revenu, impôt sur les sociétés, tout est en chute libre. Pas étonnant quand on voit les faillites d'entreprises exploser avec un record historique de 63 000 défaillances sur l’année 2024, un vrai carnage économique ! Pendant ce temps, les dépenses des collectivités s’envolent, avec un trou de 16 milliards d’euros à prévoir rien que pour cette année 💪 ! Alors, le gouvernement nous parle de transparence… comme moi, je parle de ma carrière d'acteur ! 😅 Il serait peut-être temps d'arrêter le spectacle et de sortir les calculettes. Parce que si on continue comme ça, Bruxelles va débarquer avec un marteau et un burin.⚒️ #DéficitPublic #Budget2025 #Économie #FinancePublique #Faillites #Entreprises #RecettesFiscales #Transparence #CriseBudgétaire #Gouvernance
« Tout cela va finir par ressembler à un très grand mensonge d’État » : le rapporteur général du Sénat convoque une conférence de presse sur le déficit - Public Sénat
publicsenat.fr
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Certes, mais depuis trente ans il y a eu 5 réformes significatives du système de retraite (Balladur, Filon, Woerth, Touraine, Borne), avec à chaque fois le même discours : «C’est rude mais nécessaire pour remettre le système à flot ». C’est toujours la « der des der » jusqu’à la suivante… Il faudrait comprendre la lassitude des gens… Deux commentaires, une question et une certitude: - Toutes ces réformes ont le même point de départ : il y a de moins en moins de cotisants pour un nombre croissant de bénéficiaires car nous faisons moins d’enfants et nous vivons plus vieux. Mais ce double phénomène ne va pas s’arrêter. Des lors où nous mène cette façon d’aborder le problème? Aujourd’hui 64 ans, demain 66 après demain 68? Etc. Un peu sommaire, un peu angoissant non? - Aborder la question des retraites sans la mettre en perspective dans une réflexion plus large sur le vieillissement, l’immigration, l’âge d’entrée dans la vie active (et donc nos choix en matière d’éducation et d’enseignement supérieur) et l’emploi des « jeunes vieux », sans parler des coûts spécifiques de ce vieillissement qui vont être colossaux, c’est un peu se moquer du monde. Service minimum des élites… - 43 ans de cotisations pour une retraite à taux plein depuis la réforme Touraine. Si vous avez commencé à bosser à 17 ans vous pouvez prendre votre retraite à 60 ans. Si vous avez fait des études raisonnablement longues cela vous mène plutôt vers 66 ans (incidemment cela doit être le cas de la quasi-totalite de ceux qui prennent ces décisions…). Et si vous vous contentez d’un DEUG ou d’un BTS vous arrivez autour de 64 ans. Pourquoi n’avoir pas joué sur ce critère de durée de cotisations, conforme à l’esprit d’un système par répartition et qui a, en outre, l’avantage d’éviter largement le débat sur la pénibilité, quitte à dire 43 ans ce n’est pas assez il faut passer à 44 ou 45? Ma question est candide, je ne suis pas spécialiste. Mais vu comme ça cette histoire de 64 ans me semble volontairement ou non être un mauvais coup un peu sournois contre les travailleurs les plus précoces qui sont aussi le plus souvent ceux qui exercent les fonctions les plus usantes et qui ont les plus faibles retraites. Quels arguments peuvent me convaincre que j’ai tort de le penser? Et avec moi beaucoup de Français, je le crains. - Le sujet est devant nous pas derrière. C’est le moment d’être intelligent. Inspection générale des finances @ Ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique Laurent Wauquiez Eric Woerth Nicolas Mayer-Rossignol #reformedesretraites #retraites #vieillissementdémographique #pénibilité Inspection générale des affaires sociales - Igas
Ma priorité est d’avoir un budget qui protège les Français d’une crise de la dette. Je ne voterai pas un budget avec de nouvelles hausses d’impôts. Notre pays a multiplié les autorités administratives au lieu de renforcer ses services publics sur le terrain. Ensuite, il y a trop d’assistanat dans notre pays et on a découragé le travail. En France règne aujourd’hui malheureusement le travailler plus pour payer plus : plus d’impôts, plus de charges. On décourage tous ceux qui se donnent du mal, travaillent, entreprennent. On est au bout d’un système qui tolère trop d’abus et fait payer à l’arrivée ceux qui travaillent. Il faut créer une allocation sociale unique avec des heures de travail en contrepartie, en fusionnant la trentaine d’aides sociales qui sont devenues hors de contrôle. Des économies, on peut en faire partout, il faut juste avoir le courage de s’y attaquer. J’ai géré la région Auvergne-Rhône-Alpes pendant sept ans sans la moindre d’augmentation d’impôts et de taxes, sans augmentation de la dette, en faisant des économies de 15 % sur les dépenses de fonctionnement, et avec, au final, une solidité financière similaire à celle de l’Allemagne. Envisager de revenir sur la réforme des retraites sans proposer la moindre piste de financement, c’est irresponsable. Les retraités seront les premières victimes parce qu’ensuite on viendra expliquer qu’il faut baisser les pensions. La suspendre sans scénario alternatif revient à sauter dans le vide sans parachute. Ce sera sans la Droite républicaine. Que le Gouvernement ne perde pas de vue la gravité de la situation : il faut protéger la France de la tempête de la dette qui s’annonce. https://lnkd.in/dQYGbKhZ
Laurent Wauquiez : « Je ne voterai pas un budget avec de nouvelles hausses d’impôt »
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Le devoir envers les Français 🇫🇷 Indignation face à une gestion aussi laxiste 😠. Avec un déficit public atteignant 6,1 % du PIB en 2024, contre une prévision de 4,4 %, nous faisons face à une dérive financière d’une ampleur inédite 📉 : 50 milliards d’euros de déséquilibre supplémentaires. Et pourtant, les signaux d’alerte étaient là dès octobre 2023 ⚠️. Les ministères, à travers leurs notes internes, avaient prévenu. Mais rien n’a été fait. Pourquoi ? Parce qu’il était politiquement plus confortable de repousser les décisions difficiles à demain ou après-demain ou après après demain ou...🙈. Un double discours insupportable 🤥 Bruno Le Maire à Elisabeth Borne, en passant par Gabriel Attal. En interne, des notes pointaient la nécessité de réagir ; en externe, c’était silence radio. Cette "mystification", comme le qualifie le rapport, est une trahison de la confiance des Français, rien d'autre 😔. Des choix politiques complètement irresponsables Plutôt que d’affronter la réalité, le gouvernement a refusé de présenter une loi de finances rectificative et pourtant indispensable pour corriger le cap ⚓. Ce choix, dicté par des calculs électoraux à courte vue 🗳️ à l’approche des européennes, a plongé notre pays dans une spirale déficitaire. Pendant ce temps : gel des retraites ❄️, réduction des remboursements de soins 💊, alourdissement de la charge fiscale 💸. Il est temps de sortir du déni et de restaurer une vraie responsabilité budgétaire non ?: Une réforme structurelle des finances publiques 🏛️ et non de se contenter de geler par ci par là. Un recentrage des priorités de l’État 🎯 sur ses fonctions régaliennes, en cessant de disperser les moyens dans des dépenses inefficaces. Une transparence totale vis-à-vis du Parlement et des citoyens 🔍 Le temps de l’action ⏳ Nous, Français 🇫🇷, sommes capables de grandes réalisations 🌟. Mais cela ne peut se faire sur des fondations budgétaires instables 🏗️. La responsabilité budgétaire est un devoir envers nos enfants 👶. Le temps des décisions courageuses est venu ✊. #DéficitPublic #ResponsabilitéBudgétaire #ÉconomieFrançaise #PouvoirDAchat #JusticeSociale #SécuritéNationale Hanane Mansouri Charles Alloncle #SouverainetéFrançaise #UnionNationale #TransitionÉcologique https://lnkd.in/erBzwS5K
Dérapage du déficit : le rapport du Sénat pointe les responsabilités de Bruno Le Maire, Elisabeth Borne, Gabriel Attal et Emmanuel Macron - Public Sénat
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