📈 NEWSLETTER ENERGIE | Le froid, la faiblesse des ENR et l'épisode OMV ont tiré les prix du gaz et de l'électricité à la hausse : 🔥#Gaz : +8,7% sur les prix pour 2025 et +9,4% pour les prix de décembre 2024. Les températures plus froides que la normale et la faible production d’énergies renouvelable ont conduit à une augmentation de la consommation de gaz en #Europe, provoquant une baisse significative des réserves, qui sont passées à 91,26 % contre 93,53 % la semaine dernière. Par ailleurs, #Gazprom a été condamné à une amende de 230 millions d’euros, ce qui a entraîné une cessation anticipée des livraisons de gaz russe, exacerbant les tensions sur l’approvisionnement. Cette situation accentue les inquiétudes sur la sécurité énergétique dans un contexte de forte demande hivernale. ⚡#Électricité : +2,1% sur les prix pour 2025 et +4,8% pour les prix de décembre 2024. Le prix de l’électricité a atteint des niveaux élevés cette semaine, en raison des températures froides, d’une faible production renouvelable (-70 % pour l’#éolien) et de la hausse des prix du gaz et du charbon. Bien que la reprise de la production éolienne puisse limiter cette pression, la volatilité du gaz liée à l’épisode OMV pourrait maintenir les prix élevés. En France, la disponibilité #nucléaire est stable et confortable, avec 47 GW disponibles, bien au-dessus des 37 GW de l’an dernier. 🏭 #CO2 : -0,01% sur le prix des quotas pour décembre 2024. Le maintient du prix du CO₂ à des niveaux élevés s'explique par deux facteurs principaux. D’une part, l’achat de quotas pour compenser les émissions accrues liées à l’utilisation de gaz et de #charbon par les producteurs d’énergie, qui cherchent à pallier la faible production des énergies renouvelables. D’autre part, les investisseurs institutionnels ont acquis d’importants volumes de quotas pour réduire leurs positions à découvert, en prévision de la clôture de leurs comptes en fin d’année. 🛢️#Pétrole : -2,39% sur le prix du pétrole brut. Le prix du pétrole a poursuivi sa baisse cette semaine, en raison des difficultés persistantes de la #Chine à redresser son économie. Premier consommateur mondial, le pays peine à relancer sa croissance, comme en témoignent des chiffres de consommation toujours atones. Par ailleurs, l’appréciation du dollar, consécutive à l’élection de Donald #Trump, a renforcé cette pression baissière au cours de la semaine. En vous souhaitant une bonne semaine. L'équipe OMNEGY 👉 Retrouvez la newsletter complète d'OMNEGY en commentaire.
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Bonjour Team, Le froid, la faiblesse des ENR et l'épisode OMV ont tiré les prix du gaz et de l'électricité à la hausse : Gaz : +8,7% sur les prix pour 2025 et +9,4% pour les prix de décembre 2024. Les températures plus froides que la normale et la faible production d’énergies renouvelable ont conduit à une augmentation de la consommation de gaz en Europe, provoquant une baisse significative des réserves, qui sont passées à 91,26 % contre 93,53 % la semaine dernière. Par ailleurs, Gazprom a été condamné à une amende de 230 millions d’euros, ce qui a entraîné une cessation anticipée des livraisons de gaz russe, exacerbant les tensions sur l’approvisionnement. Cette situation accentue les inquiétudes sur la sécurité énergétique dans un contexte de forte demande hivernale. Électricité : +2,1% sur les prix pour 2025 et +4,8% pour les prix de décembre 2024. Le prix de l’électricité a atteint des niveaux élevés cette semaine, en raison des températures froides, d’une faible production renouvelable (-70 % pour l’éolien) et de la hausse des prix du gaz et du charbon. Bien que la reprise de la production éolienne puisse limiter cette pression, la volatilité du gaz liée à l’épisode OMV pourrait maintenir les prix élevés. En France, la disponibilité nucléaire est stable et confortable, avec 47 GW disponibles, bien au-dessus des 37 GW de l’an dernier. CO2 : -0,01% sur le prix des quotas pour décembre 2024. Le maintient du prix du CO₂ à des niveaux élevés s'explique par deux facteurs principaux. D’une part, l’achat de quotas pour compenser les émissions accrues liées à l’utilisation de gaz et de charbon par les producteurs d’énergie, qui cherchent à pallier la faible production des énergies renouvelables. D’autre part, les investisseurs institutionnels ont acquis d’importants volumes de quotas pour réduire leurs positions à découvert, en prévision de la clôture de leurs comptes en fin d’année. Pétrole : -2,39% sur le prix du pétrole brut. Le prix du pétrole a poursuivi sa baisse cette semaine, en raison des difficultés persistantes de la Chine à redresser son économie. Premier consommateur mondial, le pays peine à relancer sa croissance, comme en témoignent des chiffres de consommation toujours atones. Par ailleurs, l’appréciation du dollar, consécutive à l’élection de Donald Trump, a renforcé cette pression baissière au cours de la semaine. En vous souhaitant une bonne semaine.
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En mars 2011, il a été créé une "European Union Agency for the Cooperation of Energy Regulators" (les régulateurs de l'énergie sont ceux qui "régulent les marchés"), l'ACER, qui publie désormais une fois par an un rapport sur les marchés de l'énergie (en pratique électricité et gaz, c'est à dire les "énergies de réseau", les produits pétroliers n'étant pas concernés par ce dispositif). Le rapport 2024 fournit un bilan très intéressant de l'année 2023, ainsi que sa comparaison avec 2022 : https://t.ly/iIQgi En matière d'électricité, on retiendra que : - à cause de l'abandon allemand et des problèmes français, le nucléaire, qui reste la première source de production en Europe, a néanmoins perdu 140 TWh en 4 ans (soit la production de 14 gros réacteurs environ), et même 300 TWh depuis 2004 (soit 1,5 fois la production solaire de 2023) - le non pilotable (éolien et solaire) représente désormais 27% de la production européenne, pour 40% de la capacité installée - à part le nucléaire, tous les autres moyens de production ont des facteurs de charge inférieurs à 50% (le facteur de charge est la production réelle de l'année comparée à une situation où le dispositif produirait en permanence à pleine capacité), et même inférieurs à 35% si l'on excepte la biomasse (en pratique du biogaz issu de méthaniseurs) - le facteur de charge moyen a tendance à baisser, puisque la capacité installée augmente alors que la baisse de la demande (qui a démarré en 2008) se poursuit - les prix moyens sur les marchés de gros sont plus élevés qu'avant "la crise" de 2022, à cause de la hausse du prix du gaz. L'Italie, qui a été importatrice nette chaque heure de 2023, est aussi le pays où le prix a été le plus élevé en moyenne - la volatilité des prix de gros a baissé depuis 2022 mais augmenté depuis 2021 - il y a eu une très forte hausse des épisodes de prix négatifs de l'électricité sur les marchés de gros, notamment due à la hausse des moyens non pilotables En matière de gaz, on retiendra que : - les importations de gaz russe ont baissé de 115 TWh (1 TWh = 1 milliard de kWh) de 2021 à 2023 (mais nous avons encore 60 TWh de gaz russe en 2023) - baisse de la consommation de gaz (qui s'inscrit dans une tendance qui a démarré en 2005) et hausse du GNL ont contribué pour moitié chacune à "compenser" cette baisse - les prix du gaz en Europe ont désormais quasiment rejoint ceux de l'Asie (à cause du GNL), 5 fois plus hauts que ceux des USA - dans le scénario "Fit for 55" la demande de gaz ne baisse pas beaucoup ! Un autre rapport de la même agence (https://t.ly/pmBXo ) indique que les capacités d'exportation de GNL en construction dans le monde ajouteront d'ici 2030 50% à celle de 2022. L'observation du passé ne prescrit évidemment pas complètement l'avenir. Mais cela fournit quand même une base précieuse pour en débattre !
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LA PRODUCTION ÉLECTRIQUE AU GAZ EST CE VRAIMENT UNE BONNE IDÉE ? L'Avis A-24-1 du conseil de la concurrence, est une véritable mine d'informations, d'analyses pertinentes, je tiens encore une fois à féliciter ses auteurs, pour cet excellent travail, très utile. Le conseil s'est intéressé aux coûts de production du kWh pour différents combustibles de 2018 à 2022, le graphique montre cette évolution pour le charbon et le gaz, avant 2022, on voit pratiquement une constance des coûts entre 2018 et 2021 à 0.59 Dh/kWh pour le charbon, et 0.69 Dh/kWh pour le gaz, soit 17% en plus par rapport au charbon. L'année 2022, à été l'année de toutes les surprises, avec la flambée des prix internationaux, le kWh charbon est monté à 1.03 Dh/kWh, pour la gaz, c'est 4.55 Dh/kWh, compte tenu des productions électriques en 2022, la perte cumulée a été de 3 840 MDh/TWh pour le gaz, alors que le charbon a été à 440 MDh/TWh soit un facteur 8.7. Ce qui veut dire que le gaz a été acheté en 2022, a un coût très exorbitant, le ministère de la transition énergétique n'a jamais communiqué sur les prix du gaz, même suite à des demandes de la presse. Le gouvernement avait intervenu pour combler le déficit de l'ONEE cette année, mais ceci n'est qu'un échantillon de ce qui peut nous arriver, si on opte pour une production au gaz nettement plus importante que les 860 MW actuels. Pour un oui ou un non, et avec l'instabilité mondiale actuelle, personne ne peut garantir que les marchés du gaz ne vont pas subir un tel dérèglement. Effectivement il y'a plusieurs arguments qui militent pour le gaz, en particulier les renouvelables, les centrales à gaz étant pilotables, mais la coupure du gaz Algerien pendant une année, n'a posé aucun problème au réseau, dans la mesure où le mix EnR electrique, ne représente que 20% de l'électricité produite, et la faible évolution des renouvelables, a une moyenne de 200 MW/an depuis 2010, ne permet pas d'affirmer que nous avons besoin du gaz en toute urgence, pour les EnR. L'argument de la decarbonation ne tient pas non plus, la baisse des émissions, ne serait que de 40%, le gaz naturel est une énergies fossiles, et donc une fois qu'on aura mis nos centrales électriques à la merci d'un marché très imprévisible, nous devons faire une deuxième transition, pour sortir du gaz à autre chose, très bas carbone, et oublier les milliards de Dh qui vont être investis. Le gaz naturel n'est pas l'hydrogène. Avec la Pologne, le Maroc occupe une bonne place en matière d'électricité carbonée, mais ce pays va passer directement au nucléaire avec un plan entre 5 et 7 GW, sans dilapider ses ressources par passage au gaz. Dans la conjoncture actuelle, il serait suicidaire d'équiper le pays avec une infrastructure et centrales à gaz, pour la simple raison qu'on doit les arrêter et passer à autre chose, on reste au charbon jusqu'en 2040, et on prépare de vraies solutions, qui ne vont pas nous ruiner, ça sera 10 à 20 fois plus ruinant que le projet solaire Noor.
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La tendance à la baisse des prix de l’énergie semble s’installer Chaque semaine, nous vous informons sur l’actualité des marchés de l'énergie 👉 Ci-dessous le résumé de ce 11 juillet. Gaz naturel Le risque sur la production de GNL américain est passé ✔ Les prix poursuivent leur tendance à la baisse dans un contexte de fondamentaux inchangés, avec une offre stable à un niveau relativement élevé. ✔ La demande de gaz pour la production d'électricité devrait rebondir légèrement, compte tenu des prévisions à la baisse de production renouvelable. ✔ L'impact de l'ouragan Béryl sur la production américaine de GNL a finalement été limité. Certains ports ont rouvert hier et la plupart des producteurs ont augmenté leur production. ✔ Le prix du TTF CAL25 se situe actuellement autour de 36 EUR/MWh. Électricité La tendance à la baisse semble s’installer ✔ Le prix du BE CAL25 a fortement baissé cette semaine. Il se situe actuellement aux alentours de 86 EUR/MWh, bénéficiant de la tendance favorable des prix des combustibles et du bon niveau de disponibilité des capacités de production. ✔ La baisse de prix des droits d’émission de CO2 (67 EUR/t) pourrait s’expliquer par la baisse des prix du gaz. Mais attention, le prix du charbon poursuit également sa diminution, ce qui pourrait soutenir le prix du CO2. ✔ Au niveau des prix Spot, on note une réduction de l'écart entre les prix des pays du Nord-Ouest de l’Europe. Des précipitations importantes sont attendues, ce qui aura un impact positif sur la production hydroélectrique. Comment vont évoluer les marchés de l'énergie ? 👉 Inscrivez-vous à l’Energy Market News https://bit.ly/30qmJv7 pour recevoir chaque semaine votre analyse complète par e-mail 👈 #electricité #gaz #énergie #CO2
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📈 Marchés de l'énergie | L'info à retenir cette semaine : L'apaisement actuel sur le marché du #gaz se répercute sur le prix de l'électricité et au-delà : ⚡ Électricité : -10,5% sur les prix pour 2025 et +35,7% pour les prix de juillet 2024. Le prix de l'électricité pour 2025 a fortement réagi à la baisse des prix du gaz mais également du charbon (-9%) et du CO2 la semaine passée. L'électron s'échange actuellement au plus bas depuis deux mois pour 2025. La disponibilité nucléaire satisfaisante, couplée à la production d'hydroélectricité et renouvelable permet à la France de continuer à disposer d'un prix parmi les plus faibles d'Europe. 🔥 Gaz : -4,3% sur les prix pour 2025 et -3,9% pour les prix de juillet 2024. Alors que le marché s'était en premier lieu affolé suite aux incidents survenus sur les opérations de maintenance en Norvège, celui-ci s'est bien calmé après l'annonce par le gestionnaire de réseau norvégien que la production allait bientôt revenir à la normale, avec des hausse de flux. L'annonce a immédiatement fait réagir les prix à la baisse. Le marché du gaz reste toutefois sous pression, du fait de stocks de GNL en baisse, de remplissage des stockages à un rythme ralenti et du risque toujours fort sur le pan géopolitique. 👉 retrouvez la newsletter complète en commentaire.
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𝗧𝗲𝗻𝗱𝗮𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗺𝗮𝗿𝗰𝗵𝗲́ 𝗱𝗲 𝗹’𝗲́𝗻𝗲𝗿𝗴𝗶𝗲 : 𝗰𝗲 𝗾𝘂’𝗶𝗹 𝗳𝗮𝘂𝘁 𝘀𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝘀𝗲𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲 📉 Electricité : des prix fluctuants Les prix spot de l’électricité ont connu une baisse en début de semaine grâce à une forte production éolienne, compensant la demande accrue due au froid. Mais cette accalmie n'a pas duré longtemps, car fin de semaine, les prix sont repartis à la hausse, corrélés à ceux du gaz, et reviennent finalement au même niveau que la semaine précédente. Prix du MWh d'électricité pour les prochaines années de livraison : Cal-25 : 72,53 €/MWh Cal-26 : 64 €/MWh Cal-27 : 61,71 €/MWh Cal-28 : 61,60 €/MWh 🔥 Gaz : Tensions au Moyen-Orient et impact sur les prix européens Le marché du gaz européen est sous pression, avec les prix spot en hausse à cause des températures basses et des exportations norvégiennes retardées après des travaux. Le contrat TTF CAL25 dépasse désormais 38 EUR/MWh, son plus haut niveau depuis septembre, poussé par les tensions géopolitiques qui menacent l'approvisionnement en gaz naturel liquéfié. Prix du MWh de gaz pour les prochaines années : Cal-25 : 39,494 €/MWh Cal-26 : 34,274 €/MWh Cal-27 : 28,596 €/MWh La situation est à surveiller de près. Entre les variations de production et les tensions géopolitiques, le marché de l’énergie restera très volatil dans les semaines à venir. Tout savoir sur l'actualité du marché : https://lnkd.in/gJNmSuAp #Energie #Prix #TransitionEnergetique #CO2 #Electricite #Gaz #courtierénergie
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La consommation de gaz naturel a baissé en Europe. ✅ Fin mars, la consommation de gaz, calculée sur 12 mois glissants, était inférieure de 16,5% à ce qu'elle était en avril 2022. ✅ Dans une moindre mesure, il en va de même pour la consommation électrique avec une baisse de 5%. Dans ce contexte, lié notamment à une baisse significative de l’activité et donc de la consommation dans certaines industries fortement consommatrices de gaz, la bonne nouvelle est que les comportements évoluent sans doute vers plus de sobriété dans les entreprises, tous secteurs confondus, ainsi que chez les particuliers. 💡 Cette inflexion de la consommation, combinée à l'augmentation de la part des énergies renouvelables et du nucléaire, explique la diminution des prix. Sur le marché du gaz, la baisse contribue à l'équilibre offre - demande à des niveaux de prix proches de ceux de 2012. C'était avant l'essor du shale gaz américain. ❓ La consommation peut-elle rebondir ❓ Un rebond, même partiel, pourrait faire monter les prix du gaz naturel au-dessus de 35 €/MWh. En France, le prix de l’électricité pourrait quant à lui se situer entre 75 et 80 €/MWh dans le courant du second semestre. Ce en imaginant un amenuisement des tensions géopolitiques mondiales. Si la vigilance reste de mise, observons et restons zen 🧘🏻♂️ #gaz #électricité #consommation
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💡 Quoi de neuf sur le marché de l'#énergie ? 📉 Les cours de l'#électricité et du carbone sont en baisse, tandis que les prix du #gaz et du pétrole sont à la hausse. 🔎 Comment expliquer cette évolution ? Découvrez l'analyse de nos experts 👉 https://lnkd.in/erDVTfd2 #copropriété #énergie #gaz #syndicdecopro
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〽 Les marchés boursiers en chute libre ➖ le prix du Brent repart à la hausse ➖ le marché du gaz naturel inquiet suite au regain de tensions au Moyen-Orient
⚡ (08/08/2024) La hausse des prix des combustibles se répercute sur l'électricité ✔️ Le prix du BE CAL25 se situe aux alentours de 91 EUR/MWh. ✔️ Le prix du charbon atteint son niveau le plus haut depuis début juin : la demande augmente suite à la hausse de prix du gaz et certaines craintes concernant l'approvisionnement inquiètent le marché. ✔️ Dans ce contexte, le prix des droits d’émissions de CO2 se rapproche à nouveau des 70 EUR/t. #electricité #marchésénergie #énergie ENGIE Energy Market
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Les prix de l'énergie sont stables à baissiers, mais sans direction bien marquée Chaque semaine, nous vous informons sur l’actualité des marchés de l' #énergie 👉 Ci-dessous le résumé de ce 16 mai. #gaz naturel ✔Les prix spot européens ont baissé en début de semaine en raison d'une offre confortable, avant de rebondir modérément hier. ✔Le contexte géopolitique, en Ukraine et ailleurs, pourrait entraîner une certaine augmentation des prix. Mais probablement dans une mesure limitée grâce à l'offre de gaz élevée, qui est actuellement supérieure à celle des trois dernières années. ✔Les exportations de GNL de Freeport (États-Unis) ont repris (après les problèmes techniques d'avril), ce qui a également un effet baissier sur le prix. ✔Le TTF CAL25 se situe actuellement aux alentours de 35 EUR/MWh. ⚡️ #Électricité ✔En début de semaine, la combinaison d'une faible demande et d’une production solaire exceptionnellement élevée (ainsi qu’une bonne disponibilité des centrales nucléaires françaises) a conduit à des prix spot fortement négatifs dans toute l'Europe. ✔Sur le marché à long terme, le contrat BE CAL25 est proche de 88 EUR/MWh. ✔Le prix des émissions de CO2 est actuellement de 68,08 EUR/t et pourrait rester à ce niveau en raison des conditions météorologiques défavorables actuelles et de la baisse de la demande (due aux nombreux jours fériés du mois de mai). ✔Le prix du charbon retombe également à 110 USD/t : les analystes s'attendent à une nouvelle baisse qui s’expliquerait, entre autres, par le ralentissement de la demande et l'abondance de l'offre. Comment vont évoluer les prix du #gaz et de l' #électricité dans les prochaines semaines ? 👉 Inscrivez-vous à l’Energy Market News https://bit.ly/30qmJv7 pour recevoir chaque semaine votre analyse complète par e-mail 👈 #electricité #gaz #énergie #CO2
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