La série « Les Indociles » réalisée par @delphinelehericey sort le 11 novembre à 20h45 sur la plateforme on.suzane ! Une série en écho aux luttes d’hier et d’aujourd’hui. Dans une époque marquée par la résurgence des revendications sociales, Les Indociles résonne comme un miroir tendu à notre société actuelle. Cette série retrace l’épopée de trois jeunes idéalistes dans la campagne jurassienne de 1973 – Lulu, fils d’ouvrier, Chiara, fille d’immigrés italiens, et Joe, fils d’un directeur d’usine. Ensemble, ils rêvent d’un monde où liberté et égalité ne sont pas des mots vides, mais des réalités tangibles. Un monde qui, pourtant, se dérobe sous le poids des traditions conservatrices de leur village. Au milieu des champ dans une ferme où se retrouvent militants, libres-penseurs et marginaux, Ils y inventent une autre manière de vivre. La vague hippie et l’expérimentation collective dégénèrent rapidement, les drogues dures s’infiltrant là où il n’y avait que des rêves de liberté. Face à la dépendance qui ravage ses proches, Lulu entreprend de transformer la ferme en un centre d’accueil visionnaire pour toxicomanes. Alors que les années passent, les Indociles se battent, non seulement contre la société, mais souvent contre leurs propres contradictions, leurs désillusions et les épreuves du temps. Dans un monde qui semble toujours résister au changement, ils incarnent la persévérance des idéaux, la volonté de donner une voix aux invisibles et de bâtir une société où chacun·e peut exister librement. 👉 1 épisode tous les lundi à 20h45 exclusivement sur la plateforme on.suzane
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SETAL SUNU REW! FEEP! Set setal kaw ak souf, biir ak biiti” Un coup de balai à terre et de tête de loup pour les toiles puis la serpillère. Une injonction qui porte un double sens : un crédo et une doctrine sociale. Pour vivre décemment, cela exige un espace salubre pour un corps sain. Afin de bâtir un Etat solide, le PROJET engage à déblayer, les égouts immondes et jonchés de détritus, décaper et décrasser, jeter les ordures aux orties et ses relents. La RUPTURE exige de se débarrasser de la vermine, des nervis, dépravés et détraqués par la “repleture” et autres séquelles ou stigmates des “syndromés”. Une PURGE “générale”. Initier un SET SETAL imprime un élan solidaire et disciplinaire sans lequel l’essor reste improbable. Et prêcher par l’exemple donne une empreinte dynamique à l’action. Ne dit on : mieux prévenir que guérir, l’assainissement permet d’y parvenir contre les maladies et réduire la facture de la Santé publique. Le code de l'environnement prévoit le traitement des déchets, mais il faudra pérenniser cette propension à la salubrité, en mettant en place tout un arsenal et initier à la rudologie, les jeunes dans le cadre de l’Action civique, en vue d'implémenter l’économie circulaire. Et nettoyer les Écuries d'Augias consiste à lever le COUDE GÉANT du Mackyvialisme qui voile les contours insalubres du pays de cocagne. Les pelures du “COUDE” doivent être curées, astiquées, démasquer le taudis que le régime sortant a dissimulé dans ces antres de la Camorra avec moult scandales. L’affaire D.Gueye le “Monsieur missions secrètes” ouvre la boîte de pandore et une brèche menant dans les entrailles du “Macky”. Un crime de lèse État lorsqu’ un président déclare urbi et orbi que son coude cache les caïds, des patrons de cartels et agents de “missions secrètes” de cet acabit pour éviter le chaos. Le tollé sur le patron du "Groupe spécial" en déportation à New Delhi risque de révéler des ramifications et de déceler les “cambouis” de la grande muette soupçonnée d’être mêlée dans les exactions sur les présumés “terroristes”, ou forces occultes. Est ce que ce n’est pas le béret qui cachait la 5ème Colonne?Un Général qui plastronne laisse craindre ses accointances externes pour viser plus haut. Après avoir coupé la tête de la GESTAPO, il fallait en faire autant de décapiter pour démanteler cette TROUPE. Afin de produire la croissance, l’une des conditions sine qua non c’est de mettre en œuvre un modèle social assaini et ambiant salubre, pour un esprit sain dans un corps sain, seul gage de réussite.
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CHRONIQUE DE VANF Interpellation des survivants C’était un jeudi pourtant ordinaire de début octobre. Tôt le matin, je croisai de petits groupes d’écoliers, cheminant de concert par affinités, avec à la main des branches feuillues. Sans doute pour une «leçon de choses» à leur école d’Ambanitsena. L’exposition «Ravorona» ferme ce jeudi 17 octobre. Dommage qu’elle ne puisse faire le déplacement vers ces écoles primaires publiques de la campagne. J’y ai croisé des enfants de l’école américaine et d’autres du système AEFE. Où étaient les ressortissants des écoles confessionnelles, longtemps refuge d’une certaine éducation au-delà de l’instruction ? Sous la bannière «Antson’ny Tontolo Miaina» et la houlette de Ihoby Rabarijohn et de Cécile Bourne-Farrell, plusieurs artistes conjuguent avec talent le thème «plus rien ne se perd, tout doit se transformer». L’art plastique, le design, la photographie, la poésie, au service de la protection de l’environnement, et pour magnifier la Nature. «Ra-Vorona», l’oiseau, les oiseaux sont nos meilleurs agents reforestiers. Hélas, l’humain déboise plus vite que les arbres ne repoussent. Cette équation interpelle particulièrement en cette saison sèche mais nous n’avons toujours pas établi la relation entre la destruction de l’habitat sylvestre et l’absence d’humidité. Les longues queues de bidons jaunes, qui vont rester une signature visuelle de cette époque, ne suffisent pas à nous faire entendre raison écologique. Urbains, grands et petits, oubliez de couper ou élaguer exagérément les arbres de vos jardins. Ils ne sont pas juste ornementaux mais les soldats de première ligne dans la défense contre la sécheresse et la future désertification. Dans nos villes tellement minérales, de béton, de pavés granite, de gris asphalte, le feuillage des derniers arbres abrite les chants des fodilahimena revêtus de leur jaky lohataona. C’est comme pour la culture : les meilleures défenses sont à planter dans les mentalités. Mais, le comportement des adultes ayant pris un pli malencontreux, on doit procéder à une éducation à l’envers : sensibiliser les enfants afin qu’ils conscientisent les parents. Dans mon cher et vieux Collège Saint-Michel, en ce «Grand Amphi DEGS» de ma jeunesse, et partout ailleurs pour une expo itinérante, que n’avons-nous de hauteur sous plafond pour offrir un semblant de ciel au vol de «Ra-Vorona». https://lnkd.in/dJeP28NY
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CHAIR FRAICHE ET ARGENT LIQUIDE Ce n'est pas un hasard si l'ouvrage "Les Ogres" paraît demain. Après "Les Fossoyeurs", les personnes âgées et les EHPAD du 9-2, le journaliste Victor Castanet étend logiquement son interrogation à l'autre bout de la vie : la petite enfance. Et là, la réaction ne va pas tarder. Autant la mort, pire ! la surmortalité, par dizaines de milliers, de personnes âgées, est supportable par un "corps social" préparé à l'insensibilité, autant les carences alimentaires ou les soins insuffisants portés à des bambins causent, cette fois, une vraie question sur le glissement qu'on sent irrémédiable de la pseudo "start-up nation". Après la maltraitance des vieux, celle des bébés. Des bébés qui constituent l'avenir du Pays. Et "Le Petit Poucet", c'était déjà l'histoire d'une famille pauvre dont les parents prenaient la décision, déchirante mais bien effective, de l'abandon. Car ne nous voilons pas, encore une fois ! la face. Ogres et fossoyeurs sont sans doute des criminels - notre chère Justice, toujours aussi efficiente, le dira dans cinq dix ans - mais le fond de la question - ça plaît, ça ne plaît pas - est bien celle de la destruction d'une société. Oui, il existe un projet de destruction de notre société, projet largement mis en œuvre et déjà suivi de résultats trop visibles. Notre sous-directeur de banque, locataire à titre très gratuit d'un palais national, n'a cessé de multiplier les déclarations, ces six plus récentes années, sur l'immédiateté, et la facilité de générer "un pognon de dingue". Las Vegas, cette Mecque pour certains. Puisque Rome est déjà interdite, voire présentée comme le Mal, et la prescription pénale pour les morts -bien en peine de se défendre, comme tel Abbé - une histoire ancienne... Les piliers traditionnels de notre société sont constamment, systématiquement, détruits, et leurs ruines foulées aux pieds. Et ensuite, on s'étonnera de découvrir, après les Ogres, après les Fossoyeurs, les Equarisseurs et les Récupérateurs. Une société post-nazie. Une société si bête, si aveugle, avec ces métros emplis, non pas de noyés (Jaques Brel) mais de clones rivés à leur écran plat - excepté LinkeldIn, bien sûr - que l'on sait déjà, la tendance, la courbe étant tracée, vers quel mur, quelle falaise, elle se dirige. Et en dépit de cela, nous recevons des messages comminatoires de braves "accountant financial analysts" nous enjoignant de la boucler sur LinkeldIn ... Ben voyons ! L'argent d'abord ! la chair fraîche, fanée, noire, pâle ou rose foncée, écossaise ou désossée, ça ne compte pas ! Ah ! Cambronne ! __ Croquis de l'auteur
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#2 Il était une fois la violence La nature est impitoyable par essence. Très pragmatique, elle ne juge que par la capacité à survivre sur le long terme. Elle enseigne par le jeu, elle prospère par la reproduction, elle s'harmonise grâce à la chaîne alimentaire et elle s'équilibre grâce aux territoires. Chacun de ses aspects se régule via une forme de violence. Les territoires se défendent et se volent brutalement. Le concept même de chaîne alimentaire implique que des espèces en consomment d'autres. La reproduction n'est possible que pour l'individu ayant démontré sa force directement ou via des compétitions d'intimidation. Il faut également que la femelle soit disposée, ainsi on observe régulièrement des abandons prématurés forcés ou l'exécution pure et simple des petits. Enfin, le jeu, qui prépare à vivre toutes ces étapes efficacement. Tout ceci sert un but pragmatique encore une fois. Il n'est pas question de bien ou de mal. Et l'Homme ne fait non seulement pas exception, mais il est même le point culminant de cette logique. En effet, les jeux humains sont les plus complexes, sa reproduction repose sur un nombre incalculable de facteurs, il est au sommet de la chaîne alimentaire planétaire et il a une notion territoriale tellement exacerbée qu'elle est la base de ses législations. Décliner la violence, c'est abandonner une partie de son humanité.
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#POLITIQUE : À CAVAILLON, ON CULTIVE LE SAUVAGEON ! Il y a 50 ans, dans mon enfance, on cultivait le melon à Cavaillon. Aujourd'hui, on y cultive le sauvageon. Jean-Pierre Chevènement a pourtant tiré la sonnette d'alarme il y a un quart de siècle. Décryptage. ➡️ Cette nuit, le Commissariat de Cavaillon a été incendié. ➡️ L'impunité était déjà dans l'air le 12 janvier 1999, comme le prouve l'article de Libération. 👉 Voir : https://lnkd.in/eBuXptdw. ➡️ Il est dit : 👉 "C'est devenu une manie. Pour parler des jeunes délinquants, Jean-Pierre Chevènement dit «les sauvageons». Le ministre de l'Intérieur avait découvert l'expression avant son accident. Dimanche, sur TF1, il a recommencé, affirmant qu'il faut lutter contre l'insécurité «sans surenchère ni démagogie», qualifiant de «sauvageons» les mineurs multirécidivistes". 👉 "Le même soir sur France 3, sa collègue Dominique Voynet a fait savoir que ce genre de formule ne lui plaisait pas. Et hier, le syndicat CFDT-Justice lui a reproché de «stigmatiser et d'exclure» les jeunes en difficulté en employant ce mot, et a demandé à être reçu au ministère". ➡️ Le Premier ministre était alors Lionel Jospin. 👉 Jean-Pierre Chevènement, le ministre de l'Intérieur, a donné sa démission le 29 août 2000. 👉 Voir : https://lnkd.in/e_nSdMrE. ➡️ Il a suffit d'un mot, sauvageon, pour provoquer un désaccord profond, un clivage. 👉 En France, on s'attache aux mots, et non aux faits et aux urgences. 👉 On aime palabrer. 👉 La décision et l'action peuvent attendre. 👉 C'est la façon de faire, ou plutôt de ne pas faire, des politiques, formatés pour cela à Sciences Po ou à l'ENA. Conclusion. Le thème de l'insécurité devrait faire l'unanimité. Il fait l'impunité. Comment la police peut-elle protéger le peuple alors qu'elle peine à se protéger elle-même ? CQFD A republier !
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🔍 Le Syndrôme de l'Électeur Castor 🦫 un rôle héroïque et tragique L'électeur castor, celui dont la mission est de faire barrage... à la haine. 🗳️ Ces braves âmes sont les gardiens de notre démocratie, bloquant les flots de l'extrémisme avec leur vote inébranlable. Mais voici le hic : tout comme le castor peut se retrouver noyé par son propre barrage, l'électeur castor est souvent condamné à ne jamais défendre ses propres intérêts. Au lieu de cela, il se retrouve piégé dans une mission perpétuelle de sauvetage collectif. 🔧 Les caractéristiques de l'électeur castor : 1. Ingénieur civique : Il bâtit des coalitions, renforce les digues du dialogue et se bat contre les courants populistes. 2. Sacrifice personnel : Il est prêt à mettre ses propres préoccupations de côté pour le bien commun, même si cela signifie sacrifier son propre bonheur. 3. Optimisme résilient : Il croit fermement qu’un jour, son barrage tiendra sans qu’il ait à se sacrifier... mais ce jour semble toujours hors de portée. 📈 Le dilemme de l'électeur castor : L'électeur castor se retrouve souvent dans un paradoxe. À force de faire barrage, il néglige ses propres aspirations et finit par soutenir des candidats qui ne répondent pas pleinement à ses attentes. Sa noble cause de protection contre la haine devient une boucle sans fin où il est toujours le héros, mais jamais le bénéficiaire. Alors, chers électeurs castors, sachez que votre rôle est essentiel et héroïque. Mais n'oubliez pas de prendre soin de vous et de vos intérêts. Après tout, même un castor mérite de profiter des fruits de son travail, sans être constamment submergé par les eaux tumultueuses de la politique. 🌊🦫 #Politique #Élections #Démocratie #HumourAcadémique #ÉlecteursCastors #EngagementCivique 😉
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Découvrez ce reportage de France 3, on y découvre le travail des archivistes et des chercheurs face à l'histoire !
Le 4e volet de notre série sur les #80ans de la #Libération du Nord et du Pas-de-Calais explore la face sombre de l'événement. Celle de la vengeance et de l'épuration, avec notamment ces femmes tondues en public qui ont marqué la mémoire collective. Un grand merci aux Archives départementales Nord, à Elise Benoit, Léa Galasse, Yves Le Maner, Philippe Roger, Pascaline Caudron et Alban Simon pour nous avoir aidés à réaliser ce reportage sur un sujet encore très sensible aujourd'hui et complexe à illustrer.
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bel exemple à suivre
Dans un coin paisible de l’Allemagne, des sacs de nourriture sont discrètement accrochés pour ceux qui en ont besoin – les personnes démunies et fragiles. Aucun spectacle ni festivité publique, pas de caméra ou de vidéo pour capturer le geste. C’est un acte de bienveillance silencieuse, accompli avec humilité et soin. Cette forme de bonté discrète, qui ne cherche pas à être reconnue, nous rappelle que la véritable générosité est souvent invisible, mais d’une puissance remarquable. ~~~~ Faire le bien pour le bien voilà la véritable charité du coeur ✨✨✨ Ps: 🙏 bit.ly/4duF9NZ
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c'est une solution intéressante
Dans un coin paisible de l’Allemagne, des sacs de nourriture sont discrètement accrochés pour ceux qui en ont besoin – les personnes démunies et fragiles. Aucun spectacle ni festivité publique, pas de caméra ou de vidéo pour capturer le geste. C’est un acte de bienveillance silencieuse, accompli avec humilité et soin. Cette forme de bonté discrète, qui ne cherche pas à être reconnue, nous rappelle que la véritable générosité est souvent invisible, mais d’une puissance remarquable. ~~~~ Faire le bien pour le bien voilà la véritable charité du coeur ✨✨✨ Ps: 🙏 bit.ly/4duF9NZ
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La parabole de la graine de moutarde ? Vous la connaissez ? C’est une histoire de la Bible, qu’on peut retrouver dans les évangiles : « C'est la plus petite de toutes les graines ; mais quand elle a poussé, elle devient la plus grande des plantes : elle devient même un arbre, et les oiseaux peuvent faire leurs nids dans ses branches. » Le message de la parabole : Ne jamais mépriser les petits commencements. La graine de moutarde dont je veux vous parler, c’est Loubna MELIANE. Elle est née à Dijon, il y a un peu plus de quarante ans, de parents marocains. Son enfance a été difficile à plusieurs titres, et toute sa vie a été une succession de combats… Pour elle-même, mais surtout pour les autres. Pour l’égalité, pour la liberté... mais toujours en fraternité. Elle est venue me faire une bise… 𝐒𝐮𝐫 𝐮𝐧 𝐜𝐨𝐢𝐧 𝐝𝐞 𝐭𝐚𝐛𝐥𝐞 – 𝐄𝐩𝐢𝐬𝐨𝐝𝐞 28. Son plat préféré ? La blanquette de veau… à l’orientale. Graine de moutarde, et graine de cumin. Cultures métisses. Sa voix est très singulière, rauque, chaleureuse, reconnaissable entre mille. Au mégaphone dans les manifestations, invitée sur les plateaux de télévision, ou animatrice sur Fun Radio. Elle a ouvert la voie. Elle a ouvert la… voix aussi. Ni pute, ni soumise, politicienne, écrivaine, agitatrice d’idées et de cœurs, elle travaille aujourd’hui comme évangélisatrice sur les sujets d’égalité et de pluralité chez Onepoint. C’est un (rôle) modèle. D’engagement. De résilience. D’insoumission contre les injustices sociales et les vilénies du patriarcat. Je lui ai demandé 3 idées pour changer le monde. Elle m’a répondu : Des femmes, des femmes, des femmes. Je crois que le message est clair. #8mars
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