📣 🗓 Rendez-vous ce vendredi 3 Janvier à 17h, sur notre chaîne OpenBox Tv, pour retrouver notre émission: ▶ “ Que devient l'Afghanistan sous le régime Taliban?“ présentée par Alain Juillet et Claude Medori. Dans cette nouvelle émission, Alain juillet et Claude medori reçoivent monsieur Alain Coppolani spécialiste de l’Afghanistan, à l’occasion de la sortie de son livre, si «l’Afghanistan m’était conté». Nous abordons ce pays dans sa dimension géopolitique et nous découvrons qu’il n’est absolument pas ostracisé mais qu’il a le soutien de nombreux pays lui permettant de developper son économie riche en matières premieres. En espérant que ce développement économique permettent aux femmes Afghanes de retrouver toute leur place dans la société. https://lnkd.in/ejKpkS3R #Afghanistan #AlainCoppolani #MarineNationale #ClaudeMedori #AlainJuillet #Analyse #Américain #Géographie #SourceAlimentation #AsieDeLEst #Commerce #Agriculture #Taliban #Pavot #Safran #FleuveArghandab #RessourcesMinérales #Gaz #Chine #Pakistan #Pétrole #FleuveMurghab #FleuveKunar #FleuveKaboul #LesNouvellesRoutesDeLaSoie #Femmes #SégrégationSociospatiale #Investissement #Économie
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Actualités sur le Myanmar, un pays auquel on pense si peu qu'on ne sait même pas où il se trouve... Il faut être extrêmement méfiant à l'égard de tout reportage sur le Myanmar que l'on lit en Europe ou aux États-Unis. Si l'on lit quoi que ce soit sur le Myanmar, c'est tellement transparent si l'on se souvient de la politique du Moyen-Orient d'il y a 10 ans que les médias Américains et Européens (en particulier Britanniques) font pression sur l'Occident (les États-Unis en particulier) pour qu'il y lance une guerre par procuration. Je ne conteste pas que la junte au pouvoir au Myanmar soit dégoûtante, ils sont vraiment mauvais et terribles, mais le pays est très loin des États-Unis, les Américains n'ont pas besoin d'être là... Si les États-Unis donnaient plus d'argent à certains rebelles là-bas, cela aiderait à déplacer l'équilibre des forces au Myanmar de la Chine vers l'Occident, mais pourquoi les Américains veulent-ils faire ça ? Pourquoi veulent-ils une autre Syrie ?
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📌 Les zones d’instabilité en Afrique L'Afrique est marquée par plusieurs zones d'instabilité dues à des conflits armés, des insurrections et des tensions politiques. Le Sahel, incluant des pays comme le Mali, le Niger et le Burkina Faso, est gravement touché par les activités de groupes djihadistes. En Afrique centrale, la République centrafricaine et la région du lac Tchad subissent des violences de la part de groupes armés et de Boko Haram. L'Afrique de l'Est, notamment la Somalie, fait face à des insurrections d'Al-Shabaab. En Afrique australe, le Mozambique connaît des troubles dans sa région nord avec l'insurrection islamiste. Ces instabilités sont souvent exacerbées par des facteurs tels que la pauvreté, la mauvaise gouvernance et les rivalités ethniques. Carte de Nato Tardieu, publiée dans l’Atlas stratégique des armées françaises de l’Institut d’études de géopolitique appliquée ➡️ https://lnkd.in/e5ETUvvy
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Le 7 juillet, Recep Tayyip Erdogan a surpris en se disant prêt à inviter Bachar el-Assad en Turquie, marquant un tournant par rapport à son soutien à l'opposition syrienne depuis 2011. Cette ouverture fait suite à une déclaration précédente où Recep Tayyip Erdogan exprimait ne voir aucun obstacle au rétablissement des relations avec la Syrie. Cette tentative de normalisation s'inscrit dans un contexte d'apaisement de la politique étrangère turque, comme l'illustre la récente détente avec l'Égypte, l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis. Pour Hamza Almustafa, à la tête de la chaîne d'opposition Syria TV, ce changement doit être analysé dans un cadre international plus large. La Turquie cherche à se désengager des conflits régionaux, notamment en Libye, où son implication a engendré plus de problèmes que de bénéfices. Internement, Recep Tayyip Erdogan tente également de répondre à la crise économique et à la montée du racisme antiréfugiés en envisageant de renvoyer une partie des 3,1 millions de réfugiés syriens en Syrie. L'évolution de la position turque s'explique aussi par la pression politique interne. En 2011, le soutien de Recep Tayyip Erdogan à l'opposition syrienne visait à voir émerger un islam politique dans la région. Cependant, l'échec des Frères musulmans et l'intervention russe en Syrie ont rendu ce projet obsolète. Depuis, la Turquie s'est concentrée sur la question kurde, menant trois offensives dans le nord de la Syrie pour empêcher ce que Recep Tayyip Erdogan appelle un "corridor de la terreur". Face aux élections récentes, Recep Tayyip Erdogan a infléchi sa position à l'égard de Damas, en particulier sous la pression de discours antiréfugiés. Un article du journal Aydinlik évoque un possible accord préalable à une rencontre entre Recep Tayyip Erdogan et Bachar el-Assad. Selon ce texte, la Turquie pourrait interdire les activités de l'opposition syrienne sur son territoire, se retirer de Syrie et faire pression pour le retrait des forces américaines des zones kurdes. En retour, Damas accueillerait jusqu'à 2 millions de réfugiés et neutraliserait le PKK. Cependant, Solene Poyraz, chercheuse à l'EHESS, estime qu'il est difficile d'imaginer un retrait turc du nord syrien sans risque de voir Damas instrumentaliser les velléités kurdes. Hamza Almustafa souligne que Damas n'a ni les moyens économiques ni l'envie de reprendre les réfugiés. Un diplomate occidental rappelle que les discussions incluent également l'Iran et la Russie, alliés de Damas, rendant tout accord global incertain.
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🌿 Hydrogène vert au Maroc : le projet #Chbika, une nouvelle ambition de TotalEnergies ⚡ Je suis ravi de partager avec vous mon dernier article publié dans "Le coup d'œil de AMRI - Université catholique de Lille", où j'analyse le projet Chbika annoncé par TotalEnergies en octobre 2024. Situé dans la région de Guelmim-Oued Noun, ce projet vise à produire 200 000 tonnes d’ammoniac vert par an, grâce à une capacité combinée d’un gigawatt d’énergie solaire et éolienne. Une avancée stratégique pour répondre à la demande croissante d’hydrogène décarboné en Europe. Au-delà des aspects techniques, Chbika illustre : - 🌍 La transition énergétique de TotalEnergies, qui investit massivement dans les énergies renouvelables. - 🇲🇦 Le potentiel du Maroc en tant que hub énergétique grâce à ses ressources naturelles abondantes et son positionnement stratégique. - 🤝 Les enjeux géopolitiques et économiques, avec des partenariats internationaux clés. Pour en savoir plus, je vous invite à découvrir mon analyse complète dans l’article ici : https://lnkd.in/e5hmAuzN #HydrogèneVert #TotalEnergies #Chbika #Maroc #TransitionÉnergétique #DéveloppementDurable #EnR
Cher réseau, voici notre revue du mois de novembre ! 🇱🇧 Pour ce 25ème numéro, nous avons choisi de consacrer notre dossier au conflit israélo-libanais. Dans un premier temps, nous revenons sur l’histoire du conflit entre les deux belligérants, puis nous abordons l’avenir du Hezbollah à la suite du décès d’Hassan Nasrallah, pour enfin analyser dans une dernière partie l’incursion israélienne au Liban sous le prisme du droit international. 🌍 Ce numéro revient également sur la crise structurelle qui secoue la Martinique et sur le projet d’hydrogène vert Chbika au Maroc. Il propose plusieurs analyses sur la résistance invisible des femmes afghanes face aux talibans, le fléau de la traite des femmes en Asie du Sud-Est, et le jeu d’influence de la Turquie en Asie centrale. Nous tenons enfin à remercier tous les étudiants qui ont participé à la rédaction de ce numéro, et vous souhaitons une agréable lecture ! ✍🏼 L’AMRI Rédacteurs en chef : Marin Guillon Verne, Robin Yahi Mise en page : Lou Garcia, Alexandre Delattre Équipe de rédaction : Dimitri LAURENT, Simon Anclevic, Manon Hetsch, Léna Loup, Chloé Costecalde, Apolline Charlois, Antoine ARNOUX, Aboubacar Konate et Elias Ben Ameur
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Tension entre Carthage et ses partenaires méditerranéens Imaginons que l'Occident, à travers des actions déstabilisatrices, conspire contre notre nation. Face à cette menace, il est crucial de se demander quelles sont les motivations et les objectifs qui animent ces puissances occidentales désireuses de nuire à la Tunisie. Sans clarifications sur ces aspects clés, une analyse objective de la situation serait difficile. Il est dès lors impératif d'approfondir cette question pour saisir pleinement les véritables enjeux en jeu. Plusieurs pistes de réflexion peuvent être explorées, notamment : (i) la question de la reconnaissance de l'entité sioniste et l'établissement de relations avec cette entité ; (ii) la possibilité d'installer un gouvernement peu favorable à l'Algérie, l'ennemie déclarée de l'Occident ; (iii) la transformation de la Tunisie en un gardien des frontières maritimes de l'Italie, en particulier. Il est nécessaire d'analyser ces différents axes de manière approfondie pour mieux appréhender les intentions de l'Occident et les implications potentielles pour la Tunisie. Seule une compréhension claire de ces dynamiques pourra permettre à notre pays de prendre des décisions éclairées pour défendre ses intérêts et assurer sa sécurité. MUS 18/05/2024
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L'accueil local, international et populaire de l'accord du Hamas sur la proposition égyptienne et qatarie : L'accord du Hamas sur un cessez-le-feu est une étape avancée pour mettre fin à l'agression « israélienne », et ce qu'il faut, c'est exercer une pression internationale sur « Israël ». [Premier ministre du Liban] Bien que le Hamas ait accepté l'offre de trêve égypto-qatarie, les manœuvres d'Israël témoignent de ses mauvaises intentions, la violence de l'occupation doit être freinée. [Secrétaire général de la Ligue des États arabes] J’appelle la communauté internationale à faire pression sur Israël pour qu'il adhère à cet accord et à poursuivre les efforts visant à mettre fin à l'occupation de la terre de l'État de Palestine. [Le président palestinien, Mahmoud Abbas] Nous apprécions l'annonce du Hamas selon laquelle il accepte la proposition de cessez-le-feu et qu'« Israël » doit l'accepter. [Le président turc Erdogan] Bonne gestion de la résistance pour des négociations intelligentes, approfondies et précises. [Secrétaire général de l'Initiative nationale, Mustafa Barghouti] La méthode de négociation palestinienne a été douce et déterminée et elle a fait tomber « Israël » de l’arbre. [Le penseur et écrivain Fahmi Huwaidi]
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