Post de OTEA Capital

CEC (Convention des Entreprises pour le Climat) La session 2 pour un nouveau Cap Génératif est terminée ✅. 👉 Nous y étions avec Frédéric Durand🎯 CCI Nord Isère et ces deux journées furent une nouvelle fois boulversantes mais tellement engageantes grâce à des experts qui nous ont chamboulés et inspirés. Arthur Keller, merci pour vos électrochocs pour mieux nous préparer aux chocs à venir en privilégiant les mises en mouvement collectives et les cohésions #territoriales. Romain Cristofini qui nous a démontré combien il était urgent de remettre le #vivant au centre de chaque action. 👉 Alors l’Objectif s’est présenté à nous : nous diriger vers des modèles #régénératifs meme si nous devons naviguer dans l’incertitude avec lequel nous nous sommes familiarisés avec Noémie Aubron. Merci 🙏 pour nous avoir éclairés sur le passage indispensable de la pensée linéaire à l’anticipation des possibles afin « d’avoir moins peur du brouillard et éviter ainsi le mur. » Les témoins Marc BALAY, Carole Seignovert et Thomas Huriez nous ont montré leurs chemins pour y arriver. 👏 Et c’est sans compter sur les interventions de Aurore Dallery Raphaël Hazotte et Hugo Valentiny, une conclusion remplie d’émotions, d’enthousiasme, de vérité, de peurs, de convictions, d’aspirations aux coopérations et surtout d’engagements. Merci à vous trois pour votre confiance. Après ces deux jours et le travail avec les animateurs de la #CEC, je n’ai aucun doute sur l’existence de germes au sein du #nordisere (😉Maxime Barluet de Beauchesne Mathilde Renaudin . Nous devons juste chausser les bonnes lunettes et « observer, envisager, imaginer, raconter, partager, débattre, douter et agir ». 👉 Nous sommes déterminés et souriants

Le point de vue de Maïka Sondarjee, PhD publié ce matin dans Le Devoir me rejoint particulièrement fortement. En autres, je trouve intéressant de souligner les critères selon lesquels choisir une société de remplacement : désirabilité, viabilité, faisabilité. J’utilise souvent ces critères tout simples pour guider une décision : est-ce que la solution envisagée nous donne le goût de faire l’effort de l’implanter, est-ce qu’on pourra la maintenir dans le temps, est-ce qu’on a les moyens de la mettre en œuvre ? Opter pour une société de remplacement, c’est énorme. Se questionner au fil de milliers de petites décisions pour choisir la bonne track collectivement, c’est plus accessible. Voilà trois critères puissants pour nous aiguiller.

Ça veut dire quoi, pour un client, de collaborer avec Mobicoop ?   Au-delà de notre format juridique, de notre mode de gouvernance, nous avons l’ambition de partager notre compétence pour donner de l’autonomie à nos clients. En mettant en commun, nous voulons faire de nos salarié·es, sociétaires et clients des acteur·rices éclairé·es de la mobilité.  👩🎓 C’est dans cet esprit que nous pensons nos temps coopératifs. Afin d’éclairer nos sociétaires sur les résolutions pour lesquelles ils devront se prononcer lors de notre Assemblée générale, nous organisons chaque année « notre grande réunion des sociétaires ». Ce moment est un temps de gouvernance important. Il nous permet de partager le bilan de l’année précédente, de valoriser les opportunités, les perspectives de l’année en cours…. 🤔 Cette année, pour la première fois, nous profitons de ce moment pour organiser une table ronde. Nous proposons à tous nos clients (et bien sûr à l’ensemble de nos sociétaires), de nous retrouver pour visionner le documentaire « Virage vers le futur », réalisé par Samantha Duris et Olivier Perrot (de Isotrope.Fr).  La projection sera suivie d'un échange réunissant : Marie Huyghe (animatrice), Olivier Razemon, Hélène Jacquemin, catherine lestre de rey, Présidente de notre conseil de surveillance. et moi. 💡Nous avons choisi ce documentaire parce qu’il dresse l’état des lieux de la mobilité en zone rurale et qu'il présente des solutions et des perspectives. 🎯 Il n’y a pas de solution miracle… Nous en sommes bien conscientes et conscients, mais notre rôle est aussi de partager, imaginer et construire collectivement la mobilité demain. Nous avons hâte de retrouver nos clients et sociétaires le 23 mai pour cette co-construction ! 

Voici les. 12 problématiques qui devraient susciter de vastes échangeas partout en France pour réconcilier la société civile et le monde politique et affronter les défis A chaque fois élaborer les accords de base? Engendrer la confiance Comment faire mieux connaitre les initiatives porteuses d’espoir ? Comment mieux mailler le territoire de façon à ce que liens solides se tissent et que chacun trouve une place ? Comment faire émerger une information fiable et crédible incontestable ? Permettre de grandir Comment bâtir une infrastructure de lieux , de transports, bâtiments et commerce écologiques ? Comment susciter une hygiène sanitaire et alimentaire ? Comment offrir une sécurité digne de ce nom impliquant tout le monde ? Faciliter l’ évolution Comment parvenir à une justice efficiente ? Comment encourager les mutations nécessaires pour une gouvernance incontestée ? Comment faire émerger un recit prenant en compte le local et le global ? Faire face aux incertitudes Comment augmenter la justesse face à la diversité et la finitude et ainsi déployer de nouveaux protocoles ? Comment parvenir une éducation articulant ressentir, penser et faire ? Comment mieux déployer du sens et avoir des communs incontestés ?

💡 C'est #leprintempsdesterritoires aujourd'hui !! Et pour répondre aux enjeux des territoires, les EPL se transforment…5 erreurs à éviter pour ne pas plonger dans l’ornière !  📈 Plus de 16 milliards de chiffre d’affaire portés par les EPL : aménagement, équipements, immobilier, gestion de l’eau, mobilité…les 1350 EPL, outils majeurs des politiques publiques font face à de multiples enjeux : des besoins territoriaux plus complexes et volatiles, des défis climatiques qui s'accélèrent, des équilibres financiers de plus en plus complexes, un contexte réglementaire mouvant et contraignant…Face à ces enjeux, les EPL réinterrogent leur positionnement, leur organisation et leurs pratiques pour répondre de manière optimale à leurs missions d'intérêt général.   🏄♀️ Après avoir fait le tour des réunions DG organisées pour les 350 EPL adhérentes du réseau Scet en 2023 pour parler "transformation" au sens large, l'équipe d'Aatiko est allé à la rencontre d’une 30e de DRH, la semaine dernière, pour parler pilotage/mise en œuvre de projet de transformation des organisations et partager notamment 5 erreurs à éviter pour que leurs projets ne tombent pas dans l'ornière. On profite du #printempsdesterritoires pour vous les partager :   ❌ Erreur 1 : Ne pas prendre le temps d'aligner les parties prenantes autour d’une ambition commune et d’une cible pour y parvenir : une transformation doit s’appuyer sur une vision et un cap à partager collectivement (notamment par le Conseil d'administration et le Comité de direction) permettant d’engager le collectif dans une même direction, d'apporter de la constance au projet/aux équipes et de susciter la dynamique. Sans ce socle commun, le désalignement des parties prenantes peut rapidement frapper à la porte du projet. ❌Erreur 2 : Se dire que la démarche de conduite du changement est un « truc de consultant » : l’écart à la cible qu’on se fixe peut parfois être important, et cet écart n’est pas le même pour tous les collaborateurs…il faut donc se donner les moyens d’analyser la capacité de chacun à l’atteindre et les moyens d’accompagnement à mettre en place (information, formation, co-construction…). Sinon le risque est d'en laisser un certain nombre sur le bord de la route. ❌Erreur 3 : Concentrer la dynamique de transformation sur quelques sachants et le CODIR : concrètement le projet va se concrétiser au quotidien par l’action des managers et collaborateurs, pas par celle du CODIR ! Si le projet n'est pas approprié, il deviendra inopérant. Pour qu'il soit approprié, des leviers sont indispensables : management participatif, animation dynamique et motivante, valorisation des expertises et compétences de chacun, communication didactique... ❌Erreurs 4 et 5....en commentaires ! 

🕵♀️ Parce que plusieurs personnes qui me demandent depuis 15 jours, "comme tu as l'air de t'y connaître un peu en politique, aurais-tu des conseils ?". - Parce que je pense que le sujet mérite réflexion et décision en son âme et conscience. - Parce que comme cette année est assez décisive, autant pour l'Europe et la montée fulgurante de l'extrême droite, que pour l'avenir de la Belgique, et évidemment, pour la protection de la biodiversité (70% d'insectes en moins en 40 ans) et de notre environnement/santé en général. - Parce que je me rends compte que les vérités des partis d'il y a 20 ans sont très différentes de maintenant (voir qualifications des ministres par exemple). - Parce que j'ai eu la chance de voyager et vivre plusieurs années à l'étranger, Europe et hors Europe, ce qui donne des points de comparaison enrichissants et, surtout, une fierté et une admiration pour ce petit pays où on a définitivement beaucoup de chance de vivre. 👉 Voici ci-dessous, hors marketing des partis, des analyses neutres qui sont à connaître avant de donner sa voix et de proposer à une ou plusieurs personnes de nous représenter dans nos institutions. En sachant que ces mandataires dessineront les 6 années à venir de notre région, de notre pays, notre continent et peuvent faire la différence. Exemples de cette mandature (BE) : pacte d'excellence dans l'enseignement et nouveau rythme scolaire, nouvelles infrastructures pour la mobilité douce, nouveaux parcs nationaux, soutien lors de la crise énergétique, Ukraine etc. #passé : sont disponibles les résultats des ministres actuels, càd des bulletins qui ont été fait par différents médias en fonction des accords de gouvernements. En résumé, ont-ils bien bossé ou moins bien. Le plus lisible est celui du Soir, sinon La Première en a fait en podcast aussi, le Vif et d'autres aussi, avec des résultats +/- similaires. #futur : le comparatif fait par l'organe externe neutre qu'est le bureau du plan, qui a analysé et chiffré les programmes de partis. Des résumés de l'étude sont aussi dispo : La Libre, RTBFetc #lestrucsquicomptent tout particulièrement pour moi : *Engagement en faveur de la nature *La place des femmes *La gestion financière *L'agriculture/alimentation Et bien d'autres comme l'enseignement, les soins de santé, la justice, le bien être animal, l'emploi, la mobilité. 👇 Vous trouverez en commentaires les liens vers les analyses, avec schéma si dispo. 🎯 Parce que je pense que c'est un choix à faire en connaissance de cause, en gardant en tête notre société en pleine mutation. Mes grands-mères ne conduisaient pas de voiture, mon père n'a jamais utilisé d'ordinateur, il est fort probable que je ne comprendrai pas le métier de mes enfants (francetravail). Il est donc primordial d'avoir des mandataires capables de s'adapter. Bonne réflexion pour aujourd'hui et pour demain, et bon crayonnage 🖍 😉

Quel ennui la politique en 2024 ! On ne parle que de normes, de ratios, de procédures, de mesure(tte)s, de chicayas et de chihuahuas. A quand le retour de la grande histoire et de la France 🇫🇷 ? Nous avons besoin de rêver à nouveau, de voir des grands projets sortir de terre, de constater que le génie français n’est pas mort. Nous avons besoin de croire que tout n’est pas fichu et cela passe sans doute par un bon coup de pied au c.. et un retour au travail (les 68 millions de français confondus travaillent en moyenne 2 heures par jour… confondant !) Le travail, c’est ~> Des bons gros barrages et des centrales nucléaires, de l’hydrogène et des panneaux solaires, des lignes grande vitesse et des TGV, des aéroports et des Airbus en pagaille, des ports et des beaux bateaux puissants, des autoroutes et des bagnoles électriques ou non, des routes, des ponts, des infrastructures, des usines à neige, des piscines à vagues, des parcs d’attraction et des zoos, des maisons et des immeubles, des campus et des collèges, des centre-villes qui bougent, de campagnes qui se transforment, des bovins par millions et du méthane dans des citernes, des usines d’incinération, de la récupération de chaleur, des datas centers, etc. Personnellement, je ne peux me résoudre à voir la France 🇫🇷 se rabougrir, se résigner, se délabrer, ses armées disparaître, sa jeunesse baisser les bras, partir pour les plus aisés ou se crétiniser dans le métavers ou les expédiants, s’en remettre aux allocations ou à des revenus magiques et universels financés par de la dette publique. Réinventons le travail. Tout salaire mérite travail et seul le travail de tous permettra à chacun d’accéder à la liberté et aux douceurs d’une vie raisonnable. Je ne crois pas à la décroissance, au culte du iel et du woke, au droit à la paresse, au culte du moi, à l’hubris des uns, à la niaiserie des autres. En revanche je crois aux solutions et je crois que grâce au travail des cerveaux, de l’IA et de la robotique, notamment, nous continuerons de rendre le travai plus intelligent et plus efficace au bénéfice de tous. Cela passe sans doute aussi par un peu d’altruisme et de partage mais en même temps par une défense de nos idéaux et de nos valeurs. Idéaux et valeurs… des gros mots pour les politiques technos, les vendeurs de vent et les ennemis de la France 🇫🇷. Nous devons tenir bons contre cette ligue des fous et des furieux autant que contre celle des bêtes et méchants et leurs légions de paresseux. Soyons fiers ! Soyons courageux. Et surtout … au boulot !

𝗤𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗖𝗮𝗹é𝗱𝗼𝗻𝗶𝗲 𝘃𝗼𝘂𝗹𝗼𝗻𝘀-𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗱𝗲𝗺𝗮𝗶𝗻 ? « 𝘓𝘢 𝘕𝘰𝘶𝘷𝘦𝘭𝘭𝘦-𝘊𝘢𝘭é𝘥𝘰𝘯𝘪𝘦 𝘴’𝘦𝘴𝘵 𝘥é𝘷𝘦𝘭𝘰𝘱𝘱é𝘦 𝘤𝘦𝘴 30 𝘥𝘦𝘳𝘯𝘪è𝘳𝘦𝘴 𝘢𝘯𝘯é𝘦𝘴, 𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘧𝘰𝘳𝘤𝘦 𝘦𝘴𝘵 𝘥𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘵𝘢𝘵𝘦𝘳, 𝘦𝘶 é𝘨𝘢𝘳𝘥 𝘢𝘶𝘹 𝘥𝘪𝘧𝘧𝘪𝘤𝘶𝘭𝘵é𝘴 𝘢𝘤𝘵𝘶𝘦𝘭𝘭𝘦𝘴, 𝘲𝘶𝘦 𝘭’𝘰𝘯 𝘯𝘦 𝘱𝘦𝘶𝘵 𝘱𝘢𝘴 𝘳𝘦𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘭𝘢 𝘮ê𝘮𝘦 𝘤𝘩𝘰𝘴𝘦. 𝘐𝘭 𝘴’𝘢𝘨𝘪𝘵 𝘣𝘪𝘦𝘯 𝘥𝘦 𝘵𝘳𝘢𝘯𝘴𝘧𝘰𝘳𝘮𝘦𝘳 𝘭𝘦 𝘮𝘰𝘥è𝘭𝘦 é𝘤𝘰𝘯𝘰𝘮𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘦𝘵 𝘴𝘰𝘤𝘪𝘢𝘭, 𝘭𝘦 𝘮𝘰𝘥è𝘭𝘦 𝘴𝘰𝘤𝘪é𝘵𝘢𝘭 𝘦𝘵 𝘭𝘦 𝘮𝘰𝘥è𝘭𝘦 𝘪𝘯𝘴𝘵𝘪𝘵𝘶𝘵𝘪𝘰𝘯𝘯𝘦𝘭. » Sa situation financière, économique et sociale était déjà dans le rouge. Les émeutes du 13 mai dernier n’ont fait que précipiter la Nouvelle-Calédonie dans le chaos. Force est aujourd’hui de constater qu’avant de reconstruire, il faut refonder les modèles économique, social, institutionnel et sociétal calédoniens. À cet effet et en marge des rencontres avec l’ensemble des acteurs du Territoire, le gouvernement lance une consultation publique après du grand public pour en dessiner les contours. Notre article est à retrouver ici => https://lnkd.in/gx5bGppf ©Ch. A.-P.

Rencontre avec Janco 😄 J’ai pu participer à la conférence “Le sens et l’action” animé par Céline Puff Ardichvili ⏲️. Celle-ci a eu la volonté de faire une interview de Jean-Marc Jancovici sous un prisme différent avec une projection dans le futur en s’imaginant en 2034 en train de commenter 2024 et le chemin parcouru. ⌛ Janco est dans son rôle “terre à terre” qui décrit les enjeux d’un monde où l’énergie et les ressources sont de plus en plus limitées et où il faut donc repenser le fonctionnement systémique et faire des choix dans les priorités, tout ne pourra pas être maintenu .. (nda: le devrait-il d’ailleurs, cf:trading hyperfréquence 💸 , SUV électriques 🚘 faisant des bruits de V12 ..? 🙄 ) Il nous rappelle les traits de se monde contraint qui demandera moins d’emplois tertiaires basés sur la gestion de la complexité d’une activité mondialisée grâce à l’énergie abondante 🛢 , plus de main d’œuvre aux champs 🥦 , moins de flux physiques de marchandises conduisant à une réindustrialisation locale 🏭 et limitation de la pénétration des innovations technologiques de part une plus faible rotation des produits. Il a décrit sa vision des leviers possibles d’ajustement à ces contraintes qui sont l’amélioration de la performance (même service pour moins d’énergie), la sobriété (le choix de se passer du service) et la pauvreté (ne plus pouvoir accéder à ce service). Je regrette toujours qu’il fasse tant de similitude entre sobriété et pauvreté, rendant peu attractif le premier et laissant pied aux commentaires de retour au moyen âge. J’ai eu la chance de pouvoir l’interroger sur ce point et lui demandé son regard d’une décroissance telle que décrite par Timothée Parrique dans son livre Ralentir ou périr. J’y vois personnellement l’esquive de l’écueil de voir la sobriété comme une perte et l’habile description d’une évolution vers un modèle orienté cherchant le bien être par la solidité des interactions sociales et la coopération 🤝 . Cela devient alors bien plus attractif que le monde matérialiste actuel et son lot de burn-out et inégalités exacerbées. Janco sur ce point aura regretté de ne pas avoir lu Parrique et sera resté circonspect sur le fait d’y voir une vision réaliste du quotidien de l’ensemble de la société tel que tente de le décrire le PTEF. Peut-être évoluera t il à la lecture du livre 😉 Donc une très belle soirée, merci aux organisateurs du Collège des Directeurs du Développement Durable (C3D) et son président Fabrice Bonnifet. #adaptation #durabilité #réindustrialisation

Qu'attendre de la #paie pour cette rentrée ⏳ ? 4 thèmes principaux se dessinent : l'#ExpérienceCollaborateur en tête des priorités, le terrain 🆚 la vision globale, l'IT pour mieux gérer les enjeux internationaux et les défis de modernités 🚀 ! Retrouvez toutes les explications et plus encore juste ici 🔗 https://lnkd.in/gVTN7GzE