🍃 De la mastication ! De l’alimentation à l’information, prendre soin du #microbiote comme de l'âme ! 👉 Boyaux de l’âme et de la panse, ce combat parallèle pour notre survie et celle de l’humanité. ✒ Nous sommes vraisemblablement en ce XXI ième siècle passés en mode survie autant pour l'#esprit que pour la santé de l'humanité. 🍏 Dans l’alimentation, il y a la #pomme cueillie du jour dans laquelle on croque au pied de l’arbre. Dans l’information, il y a celle mûrie par quelques sages, longtemps retournée dans les boyaux de leur jugeote. Si comme se demandait "De Closet" dans un de ses livres, le progrès a-t’il vraiment libéré la femme, probablement pour la rendre doublement productive "Urbi et Orbi". Si certains semblent se renfermer dans le "c’était mieux avant" ou utilise la caricature "amish", d’autres pensent simplement à l'avenir inclusif de l’humanité, en adéquation avec les préceptes transmis par quelques observateurs qui avaient déjà compris l’adéquation entre esprit et estomac. ⚔ Ainsi, ce que « Inti », le dieu #amérindien avait prédit est arrivé. - Quand vous voudrez savoir quelque chose de votre destinée : Une poignée de ces feuilles lancée dans le vent vous dira le secret que vous voulez connaitre ; - Mais quand le blanc voudra faire la même chose et osera utiliser ces feuilles comme vous, il lui arrivera tout le contraire; Le jus, qui pour vous est force de la vie, pour vos maîtres sera un vice répugnant et dégénéré; Pour les Indiens, l’aliment spirituel, est cause de folie et d'idiotie pour le blanc de #Gobineau. - La #coca, c’est la mastication de nos peines vers plus de force spirituelle ; Le coca, c’est l’agressivité d’une émotivité feinte par un sucre ultra raffiné. Pour la digestion c’est tout une chaine de travail, elles sont spécifiques. Ainsi, si une des étapes est défectueuse, toute la chaine est affectée. Il en va de même dans la vie qui rompt la chaîne de son évolution spirituelle, passant de « Libres enfants de Summerhill » aux camps de rétention. Positivons, l’homme naît naturellement bon et les droits du citoyen sont là pour lui assurer l’universalité à laquelle il a droit. 🎠 C’est pourquoi l’on parle de développement de la notion d’Etat de droit pour chaque génération et à une universalisation de celle-ci. - Notamment par le droit positif du travail, de la vie communautaire, associative, de la propriété, de la religion, de la sécurité des personnes… Ainsi il est bon de rappeler l’élimination des formes de discrimination de 1963, le droit au développement de 1992, – et de nombreuses Conventions, dont celle de 1949 sur la protection des personnes en temps de guerre. Prendre un enfant par la main ou lui enseigner la haine ? En 1959, les droits de l’enfant faisaient de lui un sujet spécifique : droit à la participation à la vie sociale et culturelle de l’humanité, à l’éducation et à une protection quant à son intégrité physique ou morale…
Post de Patrick-Pierre P.
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La théorie du 100ème singe... Théorie sur les comportements face au changement, basée sur des observations réelles... Une aide pour rester confiants, motivés et persévérants, quand on est un acteur et/ou accompagnant du changement... En y regardant bien, ces phénoménes d'imitation se produisent sur beaucoup de comportements... Et ils sont renforcés ensuite par des mécanismes puissants d'entraînement à l'échelle collective : impact du récit, du conformisme et des habitudes, loi de l'offre et de la demande, amélioration de ce qui marche, etc. Ces mécanismes jouant aussi bien sur des actes à impact négatif que positif, il ne tient qu'à nous d'en prendre conscience, pour enclencher et accompagner des changements positifs, souhaitables ou nécessaires. Et vous, seriez-vous pour ou contre rincer les patates douces avant de le manger, si quelqu'un vous le suggérait?
La pleine conscience au cœur du quotidien - Psychopraticien Méthode Vittoz - 25 ans de pratique intégrée - Accompagnement en présentiel et en distanciel
Accepter le changement relève du défi pour nombre de nos congénères. La faute à l'individualisme et à la peur de l'inconnu ? Pas si sûr, la "théorie du 100e singe" démontre que la question porte davantage sur le poids du conformisme et des conventions sociales. Cette théorie vient de l’observation de macaques du Japon, observés sur l’îlot de Koshima par des scientifiques japonais. Ces derniers les nourrissaient avec des patates douces dont les animaux raffolaient. Ils les jetaient dans le sable de la plage et les mangeaient en absorbant toujours un peu de ce sable. Or, un jour, l'un des scientifiques remarqua qu’une jeune femelle de 18 mois qu’il baptisa Imo fit quelque chose de nouveau. Au lieu de manger directement la patate douce ensablée, elle la rinça dans l’eau pour enlever le sable. Et après avoir accompli une fois ce geste, elle le reproduisit systématiquement. Au début, Imo était la seule à pratiquer cet étrange rituel, mais les scientifiques remarquèrent que d’autres se mirent à la copier. La première à suivre fut sa propre mère, puis les jeunes macaques qui trouvaient ce comportement amusant. Puis les autres femelles. Mais certains étaient réticents. C’étaient notamment les vieux mâles qui faisaient des grimaces et poussaient des petits cris hostiles. Malgré tout, le nombre de singes qui pratiquèrent ce rituel se mit à augmenter. Jusqu’au jour où ce nombre atteint le chiffre de 100. Dès lors, il y eut une sorte de bascule, et ce qui semblait au début scandaleux, puis agaçant, et ne touchant qu’une minorité de pionniers, devint normal, puis une évidence, au point que même les vieux mâles finirent par adopter ce comportement. Encore plus étonnant, certains macaques d’iles éloignées n’ayant aucun contact avec celle de la tribu d’Imo se mirent dans une période proche à eux aussi laver leur patate douce. Un lien entre ces singes et nous ? C’est ce qu’a essayé de faire le sociologue Ken Keyes qui a émis l’hypothèse que tout comportement nouveau se heurte automatiquement une sorte de levée de boucliers des anciens, notamment des vieux hommes qui détiennent l’autorité et qui se considèrent comme défenseurs des traditions et des règles obligatoires. Au début, le changement ne touche qu’un nombre restreint de curieux, le plus souvent des jeunes plus souples et plus séduits par tout ce qui est nouveau. Les femmes sont, elles aussi, en général plus intéressées par les comportements différents. En tout cas, un élément vient étayer cette théorie de "l’idée nouvelle dans l’air" : c’est la constatation que certaines découvertes ont été faites simultanément dans plusieurs endroits du globe. Par exemple le feu et le tissage. Et pour reprendre une citation attribuée à Einstein : ce n’est pas en améliorant la bougie qu’on a permis l’invention de la lampe électrique. Bernard Werber, écrivain Si vous désespérez que rien ne change, que le conformisme est trop prégnant, restez confiant et pensez au point de bascule. On n'a jamais été aussi proches :)
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Persuadé d’avoir une vie compliquée ? Alors pense à celle de l’escargot gaucher 😱 A force d’enchaîner les plans Pinder 🤡 sur Tinder le doute t’habite, pourquoi trouver 👞 à son pied est-il si dur ? Roupie de Samsonite à côté du calvaire de la cagouille senestre… 🐌 Contrairement à l’immense majorité de ses congénères la coquille d’un gastéropode peut tourner à l’inverse des aiguilles d’une montre (on évoquait au début un sur un million). Et là, c’est vraiment pas de bol Abitbol ! Avoir un partenaire gaucher ou droitier ne changera rien pour vous : si vous pouvez vous entendre, vous pourrez vous étendre😍… Mais outre l’original aspect de l’habitation de notre brave cagouille, tout son intérieur s’en trouve modifié et notamment ses organes sexuels. Asymétriques, ils ne pourront s’insérer avec ceux des dextres 😩. Hermaphrodites, les 🐌 doivent quand même s’accoupler pendant 10 à 15h pour échanger leurs cellules reproductrices, et puis, sans gaudriole la vie n’est pas fofolle 🤪 ! Not’ brave gaucher va donc devoir swiper entre les feuilles de laitues et de batavias pendant une éternité avant de trouver sa moitié… Mais alors, gène récessif ou pur hasard (« pour aller danser le jerk 🎶, sur de la musique pop 🎤», si t’as la réf note-la en com en terre) ? En Angleterre, fin 2016, un chercheur passa à la BBC un appel national pour constituer un front de gauche permettant à son titi senestre/gaucho de trouver son âme frère-sœur. On lui en ramena 40, et au bout de 3 ans de patience, de copulation et de voyeurisme (2 générations) il conclua au taux de probabilité de 1 sur 40 000, excluant de facto un gène se diffusant d’une génération à l’autre (transmission mendélienne « classique »). Il s’agirait donc de la conséquence d'un accident survenu durant la période développementale et situé au niveau des gènes contrôlant la topologie du cytosquelette de l'animal, donc le sens de rotation de sa coquille. Poursuivre les recherches sur les enroulements chez l'🐌est nécessaire à la compréhension des asymétries chez d'autres espèces comme le SITUS INVERTUS qui touche environ un humain sur 10 000 (❤️ à droite, foie et vésicule biliaire à gauche etc…). Il existe également la dextrocardie isolée avec estomac à gauche et foie à droite… Alors, toujours à se plaindre ? On notera que Senestre et sinistre possèdent la même origine, prouvant ainsi qu’autrefois être gaucher flirtait avec la malédiction… Ne pas confondre avec les escargauchos de la pampa (et pas de politique ici 😉). Post ♻️ parce qu’on vit dans un monde de fragiles par rapport aux animaux (et notre part de responsabilité s’accroît de bois croix de fer si jument… L’🌊c’est la vie, cessons de tirer le 😈 par l’aqueux pour un éternel effet mer. Mes polars (avec baveux en robe), « Période Décès » et « Le Diable se cache pour pleurer » se lisent de gauche à droite et se swipent à droite sur Kobo et Amazon.
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Vie sentimentale compliquée ? Vétilles par rapport à l’escargot gaucher… A force d’enchaîner les plans Pinder 🤡 sur Tinder le doute t’habite, pourquoi trouver 👞 à son pied est-il si dur ? Roupie de Samsonite à côté du calvaire de la cagouille senestre… 🐌 Contrairement à l’immense majorité de ses congénères, la coquille d’un gastéropode peut tourner à l’inverse des aiguilles d’une montre (on évoquait au début un sur un million). Et là, c’est vraiment pas de bol Abitbol ! Avoir un partenaire gaucher ou droitier ne changera rien pour vous : si vous pouvez vous entendre, vous pourrez vous étendre😍… Mais outre l’original aspect de l’habitation de notre brave cagouille, tout son intérieur s’en trouve modifié et notamment ses organes sexuels qui, asymétriques, ne pourront s’insérer avec ceux des dextres 😩. Hermaphrodites, les 🐌 doivent quand même s’accoupler pendant 10 à 15h pour échanger leurs cellules reproductrices, et puis sans gaudriole la vie n’est pas folle 😛 ! Il va devoir swiper entre les feuilles de laitues et de batavias, not’brave gaucher, avant de trouver sa moitié… Mais alors, gène récessif ou pur hasard (« pour aller danser le jerk 🎶, sur de la musique pop 🎤», si t’as la réf note-la en comme en terre) ? En Angleterre, fin 2016, un chercheur passa à la BBC un appel national pour constituer un front de gauche permettant à son titi senestre/gaucho de trouver son âme frère-sœur. On lui en ramena 40 et au bout de 3 ans de patience, de copulation et de voyeurisme (2 générations) il arriva au taux de probabilité de 1 sur 40 000, excluant de facto un gène se diffusant d’une génération à l’autre (transmission mendélienne « classique »). Il s’agirait donc de la conséquence d'un accident survenu durant la période développementale et situé au niveau des gènes contrôlant la topologie du cytosquelette de l'animal, donc le sens de rotation de sa coquille. Poursuivre les recherches sur les enroulements chez l'🐌est nécessaire à la compréhension des asymétries chez d'autres espèces. Comme le SITUS INVERTUS qui touche environ un humain sur 10 000 (❤️ à droite, foie et vésicule biliaire à gauche etc…). Il existe également la dextrocardie isolée avec estomac à gauche et foie à droite… Alors, toujours à se plaindre ? On notera que Senestre et sinistre possèdent la même origine, prouvant ainsi qu’autrefois être gaucher flirtait avec la malédiction… L’🌊c’est la vie, cessons de tirer le 😈 par l’aqueux ! Mes polars (avec baveux en robe), « Période Décès » et « Le Diable se cache pour pleurer » se lisent de gauche à droite.
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Leçon de la Vie : L’Innocence face aux Lois Implacables de la Nature Dans cette scène poignante capturée par la vidéo, un jeune enfant, encore plein d'innocence et de curiosité, se retrouve face à une dure réalité : la nature n’épargne personne. L’enfant, fasciné par la marmite bouillonnante posée sur le feu, s'approche avec la naïveté de son âge. Peut-être attiré par le mouvement du liquide chaud, il décide d'agir comme un adulte, de remuer cette bouillie d'akassa en pleine cuisson. La spatule déjà plongée dans la marmite au feu, et sans réfléchir aux dangers, il remue l'ustensile dans le liquide en ébullition et par mégarde se fait brûler malheureusement sa partie intime. Mais la nature est implacable. Elle ne fait pas de distinction entre un adulte averti et un enfant innocent. La chaleur du feu, la brûlure du bouillon en mouvement, n'ont que faire de l'ignorance de cet enfant. La scène prend une tournure brutale lorsque l'enfant se fait surprendre par la température infernale du mélange. Ses mains, si petites, si vulnérables, ressentent immédiatement l'effet des lois naturelles. La douleur suit instantanément, rappelant que le feu brûle, peu importe qui s'en approche. Ce moment tragique est une métaphore de la vie. Il montre que la nature ne vend rien à crédit. Elle est neutre et impartiale. Elle fonctionne selon des lois immuables qui s’appliquent à tous, qu’on les connaisse ou non. Ce n'est pas parce que cet enfant ne savait pas que le bouillon était brûlant qu'il en a été épargné. Son innocence, bien que touchante, ne lui a offert aucune protection face aux lois de la physique. Cette scène, bien qu'extrêmement simple, nous enseigne une vérité profonde sur la vie. Les lois de la nature sont universelles et constantes. La gravité agit sur tout objet, le feu brûle, l'eau mouille. Ce ne sont pas les intentions ou la pureté de l'âme qui dictent ces lois, mais simplement leur nature inhérente. Pour illustrer cette idée, plusieurs philosophes et penseurs ont développé des théories sur la façon dont la nature fonctionne, indépendamment de l'homme. Ainsi, cette scène anodine, à première vue, devient une puissante illustration de la manière dont la vie fonctionne. Elle montre que la nature ne fait pas de distinction, qu'elle n'accorde pas de sursis, qu'elle est régie par des lois universelles que chacun doit apprendre, souvent à ses dépens. En conclusion, ce n'est pas parce que l'on est jeune, innocent ou ignorant que l'on est épargné par les réalités de la vie. La nature ne vend rien à crédit. Elle impose ses lois, et c'est à nous d'apprendre à les respecter. Ce genre de leçons, bien qu’amères, sont parfois les plus durables et les plus formatrices. Fawas MOUSSA dit Alpha Socrate
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La robustesse se construit sur les points faibles ?!?! 🤔🙃🤩 Comment interpréter et appliquer ce principe du vivant prôné par Olivier Hamant ? 👉 C'est dans les moments difficiles, de crise, que l'on développe la coopération, l'entraide et la réflexion (ce qui fait que souvent les meilleurs moments dont l'on se souvient sont terribles - l'amitié indéfectible développée dans les tranchées etc.) 👉 Plutôt que de se renforcer chacun pour supporter des milieux corrosifs, dangereux, stressants... comment créer des conditions pour que même le plus faible puisse contribuer et s'épanouir ? 😍 L'ouverture du cœur permise par la faiblesse, la vulnérabilité, la fragilité... cette petite fleur 🌻sur le bitume qui attendrit instantanément, cet enfant trisomique ultra affectueux qui ouvre tout le monde sur son passage 🥰 Alors, pas facile d'accéder à cette sagesse, biberonnés à la performance que je suis... (nous sommes ?) Je dédie cette journée à assumer la faiblesse et à en tirer des leçons de vie. Nous sommes faibles 🤩 Et c'est ça qui nous rend vivants, sensibles... censés ! (Nier la faiblesse et nos besoins d'être vivant nous mène à la folie guerrière... surprotection, échapper aux lois du vivant par des drogues etc. pour être plus fort, déni de ce dont nous avons besoin pour vivre heureux : se libérer des clapiers de nos vies, 'humain élevé en plein air' 🤩🤩) #Vivant #Faiblesse #Santé #Sécurité #OlivierHamant #Robustesse #émotions
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C’est une longue et lente agonie que l’existence, même parsemée de moments heureux, songe-t-il encore dans un soubresaut, secouant toute cette vieille carcasse. C’est au lever que se transforme les illusions en notoires projets qui s’avorteront pour la plupart, mais qui, pas après pas, font croire à un chemin, une sorte de sens donné par l’envie de faire quelque chose d’utile à une cause, un culte, une personne. Qu’importe qui détermine ce pointillé entre le Bien et le Mal car pour toute personne choisissant un camp, il lui suffit de croire ses motivations nobles. Nobles à les exposer comme un étendard qu’il suffirait de brandir, la bannière au vent, pour montrer aux autres que sa cause est la plus juste, la plus sincère et qu’aucune entrave ne doit empêcher son accomplissement. Il suffit de croire en ces certitudes, sans vraiment se poser et poser les bonnes questions pour que chaque pas laisse sa trace, qu’importe de quel côté se trouve les bons, les méchants. Il suffit de croire que tout est possible pour avancer, et éclairer le Doute, écarter les questions sans réponses et qui en apportent d’autres. Ainsi, croit l’homme sincère et de bonne volonté ! Qu’importe qu’il faille des victimes pour que sa cause soit reconnue comme juste ! Comment, pourtant, ne pas défaillir devant la montée de tel bouleversement en contemplant cet astre se consumant dans son agonie, programmée depuis si longtemps et qui n’a pas l’air d’en finir ? Comment sauver les souvenirs qui se transformeront en vestiges, presque effacés, voire détruits, disparus ? Comment croire à ce qui pousse tous les êtres à se lever tous les matins pour mettre un pied de plus devant l’autre, se mettre debout et espérer encore… encore… encore… - Dis-moi, toi le passant, courbé par le vent et la neige ! Dis-moi ! Dis-moi pourquoi le Rêve se brise ou se transforme devant le Réel ? Accroche-t-il l’homme qui passe, emmitouflé dans sa propre vie sans regard pour l’autre ? Et le passant de lui répondre : - Imagine qu’un jour, tu traverses n’importe quel espace dans n’importe quelle dimension ? Oublie ton monde ! Oublie ce que tu vois ! Parce que ce que tu vois n’est qu’un reflet dans une vitrine. Parce que ce que tu ressens n’est que la sensation d’être. Qu’attends-tu ? Qu’espères-tu ? Qu’un devenir s’ouvre à toi et s’exécute sans heurt ? Tout cela reste un leurre suspect, une réalité faussée où l’attente ne sert vraiment qu’à éroder la patience de cet homme, toujours assit sur l’unique fauteuil de cette antichambre. Un écran de fumée qui entretient l’espoir que demain… alors qu’aujourd’hui devrait toujours se vivre maintenant au lieu d’échafauder les plans de demain, toujours à jouer dans le bac à sable de ces existences qui s’étiolent au fil émoussé de l’épée. Une respiration pour retenir le cours du Temps – ce long corridor – à croire encore en une espérance idiote, une futilité imbécile qui permet d’admirer, Extrait de LAISSE-MOI par Benoit Deville
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Écroulé, éreinté par le rouleau compresseur de ses inlassables quêtes, il reste sur le sable échauffé et il attend que le courage de s’affronter lui reprenne. Les pieds caressés par les vaguelettes mourantes, il se surprend à respirer encore… Les grains de ce sable ocre frottant de toutes leurs justesses, les orteils. Il fait partie de ce balancement ordonné par les astres et sur lequel, tout existe. Que tous ses actes lui soient reprochés, il faut bien que l’ordonnancement des hommes se justifie. Ils croient avoir un sens à leurs propres venues, alors que lui, n’existe que dans son propre renoncement et qu’il n’aspire qu’à s’allonger sur la première paillasse venue, fermer les paupières et ne plus jamais revoir la lumière du jour. Il est si fatigué et toutes ses audaces ne font que le vider. Aucune de ses victimes n’a eut à se soucier de sa propre destinée car il était là, bien présent dans leurs existences. Mis à part, l’acte biologique de n’être que la perpétuation de l’espèce, quels avenirs s’étaient-elles arrangés ? A quelles aspirations ont-elles rêvées ? Il les a cueillis comme le fruit mûr encore accroché à la branche nourricière, libérant l’arbre de ce poids déjà mort. Tous, viennent en ce bas monde contre sa propre volonté, pourquoi faudrait-il qu’il justifie la sienne ? A quelles prétentions absurdes, ceux qui restent veulent-ils le voir périr, et certains autres, le voir souffrir avant de disparaître ? Qui sont-ils ? Qu’ont-ils de plus qu’il n’a ? Pauvres êtres humains qui traînent leur fardeau, et parce qu’ils ont l’intelligence de comprendre, après avoir observé ; et parce qu’ils ont l’audace de recopier, après avoir pillé, ils essaient d’y voir plus clair. Tous leurs agissements sont justifiés, ordonnés, classés par un semblant de sens éthique. Pourtant, ce n’est que l’application méthodique et ordonnée que Mère Nature impose à tous : survivre à soi et perpétuer l’espèce ! Il n’y a que cette seule et unique volonté qui appartient à tous et n’appartiendra jamais à l’unique usage des hommes. La mouche tournoie autour de la lumière, ignorant qu’elle risque d’y perdre la vie. Anges déchus qui aspirent à devenir des dieux… Extrait Le Captif par Benoit Deville
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« DECOUVERTE DE L’ENNEAGRAMME / MISE EN LUMIERE DES MECANISMES DU MOI » SAMEDI 1er et DIMANCHE 2 FEVRIER 2025, à PARIS (11eme ), Paroisse Saint Ambroise Horaires : 13h30-18h le samedi, et 9H-17h le dimanche Personne Solo : 170 euros, Couple : 270 euros Inscriptions : tgrandjean42@gmail.com POURQUOI CE WE ? S’Il est bon d’avoir conscience d’être unique, légitime, « d’exister » à part entière , d’avoir des droits et des libertés, de penser par soi-même , une société à forte dose d’individualisme a beaucoup de mal à établir des consensus, à privilégier le « bien commun »., à « vivre ensemble ». Au cœur de ce constat , la part « d’ombre » de l’EGO : seul maitre de « sa » vie, seul juge de ce qui est bon et « bien » pour lui, peu soucieux de « l’autre », arcbouté sur sa vision, ses opinions, ses interets…bref, « MOI » ! Nous participons tous à ces mécanismes égotiques : comportements, automatismes, réactions, attitudes, réflexes, jugements, mécanismes de défense ou d’attaque, postures idéologiques … Les mieux placés pour vous en parler : ceux qui vous cotoient : épouse, mari, compagnon/gne, enfants, amis, collègues…. Un outil de connaissance de soi, l’énnéagramme, offre une sorte de « scan » des structures psychologiques de ce « moi » ; avec toutes ses potentialités positives et ses déformations ; sans prétendre dire tout de soi, il permet de mieux se connaître , avec des effets bienfaisants sur soi, et sa relation à l’autre(couple, enfants, amis, collègues..). J’en ai fait l’expérience très riche pour moi, je lui dois beaucoup. Depuis, je propose régulièrement depuis quinze ans, ce type de WE. Thierry Grandjean
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Écroulé, éreinté par le rouleau compresseur de ses inlassables quêtes, il reste sur le sable échauffé et il attend que le courage de s’affronter lui reprenne. Les pieds caressés par les vaguelettes mourantes, il se surprend à respirer encore… Les grains de ce sable ocre frottant de toutes leurs justesses, les orteils. Il fait partie de ce balancement ordonné par les astres et sur lequel, tout existe. Que tous ses actes lui soient reprochés, il faut bien que l’ordonnancement des hommes se justifie. Ils croient avoir un sens à leurs propres venues, alors que lui, n’existe que dans son propre renoncement et qu’il n’aspire qu’à s’allonger sur la première paillasse venue, fermer les paupières et ne plus jamais revoir la lumière du jour. Il est si fatigué et toutes ses audaces ne font que le vider. Aucune de ses victimes n’a eu à se soucier de sa propre destinée car il était là, bien présent dans chacune de ces existences. Mis à part, l’acte biologique de n’être que la perpétuation de l’espèce, quels avenirs s’étaient-elles arrangés ? A quelles aspirations ont-elles rêvées ? Il les a cueillis comme le fruit mûr encore accroché à la branche nourricière, libérant l’arbre de ce poids déjà mort. Tous, viennent en ce bas monde contre sa propre volonté, pourquoi faudrait-il qu’il justifie la sienne ? A quelles prétentions absurdes, ceux qui restent veulent-ils le voir périr, et certains autres, le voir souffrir avant de disparaître ? Qui sont-ils ? Qu’ont-ils de plus qu’il n’a ? Pauvres êtres humains qui traînent leur fardeau, et parce qu’ils ont l’intelligence de comprendre, après avoir observé ; et parce qu’ils ont l’audace de recopier, après avoir pillé, ils essaient d’y voir plus clair. Tous leurs agissements sont justifiés, ordonnés, classés par un semblant de sens éthique. Pourtant, ce n’est que l’application méthodique et ordonnée que Mère Nature impose à tous : survivre à soi et perpétuer l’espèce ! Il n’y a que cette seule et unique volonté qui appartient à tous et n’appartiendra jamais à l’unique usage des hommes. La mouche tournoie autour de la lumière, ignorant qu’elle risque d’y perdre la vie. Anges déchus qui aspirent à devenir des dieux… Extrait Le Captif par Benoit Deville
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Écroulé, éreinté par le rouleau compresseur de ses inlassables quêtes, il reste sur le sable échauffé et il attend que le courage de s’affronter lui reprenne. Les pieds caressés par les vaguelettes mourantes, il se surprend à respirer encore… Les grains de ce sable ocre frottant de toutes leurs justesses, les orteils. Il fait partie de ce balancement ordonné par les astres et sur lequel, tout existe. Que tous ses actes lui soient reprochés, il faut bien que l’ordonnancement des hommes se justifie. Ils croient avoir un sens à leurs propres venues, alors que lui, n’existe que dans son propre renoncement et qu’il n’aspire qu’à s’allonger sur la première paillasse venue, fermer les paupières et ne plus jamais revoir la lumière du jour. Il est si fatigué et toutes ses audaces ne font que le vider. Aucune de ses victimes n’a eu à se soucier de sa propre destinée car il était là, bien présent dans chacune de ces existences. Mis à part, l’acte biologique de n’être que la perpétuation de l’espèce, quels avenirs s’étaient-elles arrangés ? A quelles aspirations ont-elles rêvées ? Il les a cueillis comme le fruit mûr encore accroché à la branche nourricière, libérant l’arbre de ce poids déjà mort. Tous, viennent en ce bas monde contre sa propre volonté, pourquoi faudrait-il qu’il justifie la sienne ? A quelles prétentions absurdes, ceux qui restent veulent-ils le voir périr, et certains autres, le voir souffrir avant de disparaître ? Qui sont-ils ? Qu’ont-ils de plus qu’il n’a ? Pauvres êtres humains qui traînent leur fardeau, et parce qu’ils ont l’intelligence de comprendre, après avoir observé ; et parce qu’ils ont l’audace de recopier, après avoir pillé, ils essaient d’y voir plus clair. Tous leurs agissements sont justifiés, ordonnés, classés par un semblant de sens éthique. Pourtant, ce n’est que l’application méthodique et ordonnée que Mère Nature impose à tous : survivre à soi et perpétuer l’espèce ! Il n’y a que cette seule et unique volonté qui appartient à tous et n’appartiendra jamais à l’unique usage des hommes. La mouche tournoie autour de la lumière, ignorant qu’elle risque d’y perdre la vie. Anges déchus qui aspirent à devenir des dieux… Extrait Le Captif par Benoit Deville
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