✔ Cette IA qui classe la toile en nous gratouillant l’égo à longueur de miroirs gagnants ! 🎭 Danser jusqu’au burn-out. Il y a quelque chose d’épuisant dans ces miroirs magiques mais rentable pour certains. La plus...le plus... La folie des classements pour faire partie des cultes de la personnalité qui se « Like » en bande roulante. 👉 La fabrique de gagnants nous pousse à valoriser notre renflement brun, nous faisant croire que l’important c’est de l’emporter sur les autres, de lutter, de gagner. Nous sommes dans une société de compétition. Mais pour Albert Jacquard « Un gagnant est un fabricant de perdants ». ✝ Rebâtir une société humaine où la compétition serait éliminée, vraiment ? Je n’ai pas à être plus fort que l’autre. Je dois être plus fort que moi grâce à l’autre. Depuis le hochet de #Napoléon aux suce-médailles de #Macron, un chas de start-up nation, par lequel s’engouffre une chiée d’ambitieux. Après le « qu’il vienne me chercher » voici venu le temps de la destitution, de la démission, mais dans l’histoire à rebours possiblement l’exécution ; Allez savoir avec ces gaulois ? Une agro-industrie additivée de subventions nous rend le microbiote aux humeurs changeantes, agressées de toutes parts. Alors que les glaneuses ne demandent qu’à vivre au son de l’angelus et au rythme des quatre saisons. Balivernes…Société de service oblige, tout le monde au même rythme, le télécran à tous les coins de rue, l’assiette pour l’étranger de passage revendue au plus offrant. La notoriété du beau Serge qui ne parle qu'avec des messages construits par le titillement des péchés humanoïdes. Forcément plus attractifs que les messages de Pierre entachés de juteuses éruptions. Salle comble pour la société du spectacle vendant bienveillance à tous les étages. Nos éliténarques traversent la cour de nos palais aux fastes patrimoniaux sous les spotlights, et se disputent les maroquins convoités durant une vie de grand serviteur. 📚 L’introspection universellement écologique et circulaire, c’est pour les petites gens à qui l’on fait croire, qu’il faut un maître ou un dieu pour devenir Calife et que les derniers seront les premiers. ☮ Et pourtant, il suffira d’un signe, d’un pape qui ne joue pas aux princes pour que l’humanité ait envie de plus d’introspection, de spiritualité qui mènerait à la sauvegarde du bien commun. Dans les oraisons X, le culte du moi s’affiche sans complexe, c’est toujours un torrent d’eaux souillées et de catastrophes planétaires qui défilent, bien peu s’enquiert de récupérer les naufragés de la vie, qu’ils soient migrants ou détraqués de la création dument classés dans les colonnes d’un wokisme effréné. ❣ Les toujours du grand soir se multiplient, ainsi un bonimenteur au charisme bien huilé, fait un tabac tueur par cancer populiste. Derrière les Césars, des "monsieur Klein" que la nature a également créés. Les deux ont besoin pour vivre de se reconnaitre ! C’est l’histoire d’une vie. La vie de la planète au XXI ème siécle.
Post de Patrick-Pierre P.
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Le passé ? Autopsie du fiasco. Comprendre les ratés d'hier, c'est déminer le terrain de demain. Non pas ressasser, mais disséquer. Chaque erreur est un prototype raté, une leçon grandeur nature. L'avenir n'est pas une projection, mais une construction brique par brique, ici et maintenant. Votre présent ? Le seul chantier autorisé. Comme un athlète qui revoit ses courses perdues pour optimiser sa prochaine foulée. Le futur se forge à chaud, dans l'action, pas dans les regrets. Le passé éclaire, le présent façonne. Vous pouvez retrouver sur notre chaîne YouTube @brunomarchal sur laquelle nous parlons de relations humaines chaque jour et de relations de couple en particulier pour vous aider.
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Les tricheurs sont comme les moustiques en été : ils ont toujours existé et existeront toujours. Dans la vie personnelle et professionnelle, les tricheurs trouveront toujours un moyen de contourner les règles, peu importe les efforts déployés pour les en empêcher. L'histoire regorge d'exemples de stratagèmes et de ruses utilisés pour obtenir un avantage. Le premier exemple auquel je pense est celui des sportifs qui se dopent pour améliorer leurs performances, comme Lance Armstrong, qui a utilisé des substances interdites pour remporter le Tour de France. La vraie question est : pourquoi certains trichent-ils alors que d'autres n'y succombent pas ? Est-ce uniquement dû à la pression sociale, au désir de réussir, ou simplement à une défiance envers les règles établies ? La triche reflète d'abord nos valeurs et principes personnels. Bien que la compétition et les récompenses puissent être saines et stimulantes, les tricheurs seront toujours présents, prêts à bondir comme des chats sur un laser. La clé est peut-être de cultiver une culture d'intégrité plutôt que de multiplier les contrôles et les restrictions inutiles !
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🧐🎯 L'art de résoudre l'impossible avec #Talan Laissez-moi vous raconter une belle histoire pour commencer cette nouvelle année : comment l'innovation peut transformer un casse-tête en solution pour vos projets ou votre entreprise. "Un riche propriétaire de pur-sangs 🐎 a 3 enfants. A sa mort, les enfants découvrent dans son testament qu'il souhaite leur léguer ses 11 chevaux de cette manière : la moitié reviendra à sa plus grande fille, 1/4 à son cadet et 1/6 à son petit dernier. Très vite, la division impossible crée des tensions entre les 3 enfants qui n'arrivent pas à se partager cet héritage. Les enfants appellent donc un consultant Talan afin de les aider à résoudre ce problème qui semble insoluble. Le consultant arrive sur le lieu de sa mission à cheval et leur dit : je vous donne mon cheval, vous pourrez ainsi vous partager les chevaux sans avoir à couper un cheval en 2. Le partage commence sur cette nouvelle base : 12 chevaux. - La première fille en prend la moitié, donc : 6 - le cadet 1/4, donc : 3 - le dernier fils 1/6, donc : 2 Résultat : 6+3+2=11. Problème résolu ! Le Consultant Talan peut repartir avec son cheval et le sentiment d'une nouvelle belle mission accomplie 👍🏻" La morale de cette histoire ? L'innovation ne consiste pas toujours à créer quelque chose de nouveau, mais parfois simplement à voir le problème sous un angle différent pour comprendre que parfois le problème n'est pas dans la solution, mais dans l'expression de la question... C'est aussi ça, l'esprit #Talan : transformer les défis en opportunités avec créativité et pragmatisme. 🤝 Vous avez un défi qui semble impossible à résoudre ? Parlons-en ! #Innovation #ConseilEnStratégie #Consulting #TransformationDigitale #PositiveInnovation
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🎯🎯🎯 "On a beau nous servir de la pacotille, du divertissement, des chicanes creuses : nous avons envie d’autre chose. De gens qui l’expriment avec humanité et qui transposent nos aspirations en sens. Nous avons soif de sens ! Nos dirigeants devraient commencer à s’inquiéter. Quand on se met à parler à la fois de classes sociales et de besoin de sens, c’est peut-être que quelque chose de grave se trame…" 🎯🎯🎯 #lavraieaffaire *** "[...] Contrairement à ce qu’on pense souvent, l’ennemi n’est pas celui qui ne pense pas comme nous. C’est celui qui se barricade sur son île privée ou sur son méga-yacht, loin de nos yeux de gueux.[...] Les différences de classes sont « la vraie affaire ». Les mégariches dilapident les ressources de la planète, privent une part de plus en plus nombreuse de la population mondiale de la satisfaction de ses besoins essentiels, s’amusent avec nos désirs et nos appétits. Les vrais enjeux qui dictent nos vies sont l’appauvrissement, les inégalités, la crise climatique. Pourtant, jour après jour, on nous crinque sur les pistes cyclables, l’écriture inclusive, le wokisme, etc. On détourne notre attention avec des guéguerres politicailleuses, des ragots insipides, de l’infodivertissement. Par légion, des commentateurs interchangeables décrivent la joute politique comme une game de hockey. On veut vraiment notre mal. Nous devrions être en colère. Révoltés. L’indignation, ici, n’est pas l’apanage de la gauche ou de la droite : c’est une question d’humanité.[...]" - Marie France Bazzo
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🔴 Un décaprote au bord du Prout Debout à la proue d’un boutre - ou d’un cotre ? - qui mollement se balance sur les eaux troubles du Prout en crue, un décaprote prie après avoir rongé la croute d’un makrout : que ma route soit tranquille ou qu’elle ne le soit pas, coûte que coûte, je lèverai l’impôt dû à César se promet-il in petto en se frottant les mains. Rassurons dès à présent le lecteur qui jugerait la scène improbable en l’assurant qu’icelle - l’improbable scène - pourrait bien s’être déroulée durant le siècle d’or des Antonins dans une région qui se trouve dans l’est de l’actuelle Roumanie. Reprenons donc les termes de notre propos liminaire en commençant par celui de décaprote, ci-devant qui n’avait rien d’un dévot de Crépitus si tant est que cette divinité - mineure évidemment - ne relève de l’invention malveillante de polémistes chrétiens. Un décaprote était un notable, recruté parmi les décurions de sa cité, notable dont la tâche consistait à lever l’impôt dû à Rome, quitte à avancer la somme sur ses deniers. Une bien lourde responsabilité qui n’excluait pas, cependant, la possibilité de réaliser de confortables bénéfices. Le Prout - l’antique Pyretos - est aujourd’hui encore un affluent du Danube, fleuve dans lequel il se jette à hauteur du castrum de Bărboși et de la cité de Galați, lesquels se trouvaient dans la Mésie inférieure, une province située dans la partie hellénophone de l’imperium Romanorum. Si l’on ignore la date à laquelle fut cuit le premier makrout de l’histoire, on sait en revanche que cette délicieuse pâtisserie vient de l’ancienne Africa romana, une région richissime qui exportait alors ses produits (blé, vin, garum…) dans tout l’Empire. En témoignent des millions de tessons de poterie retrouvés in situ. Reste le boutre - ou le cotre ? - indubitable incongruité du double point de vue de la chronologie et de la géographie. Ci-dessous : quelques objets découverts sur le site du castrum romain de Tirighina-Bărboși. Photo : muséeRădăcina Vrancei.
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𝐄𝐭 𝐬𝐢 𝐨𝐧 𝐩𝐚𝐫𝐥𝐚𝐢𝐭 (𝐚𝐮𝐬𝐬𝐢) 𝐝𝐞 𝐥’𝐡𝐮𝐦𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐝𝐮 𝐜𝐡𝐞𝐟 𝐝’𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞 ? Loin des clichés colportés par les biographes des géants de la Silicon Valley, les entreprises françaises portent des histoires où valeurs familiales et force morale trouvent leur expression dans des figures discrètes bien qu’incontournables. Pour ma part, j’ai toujours été sensible aux récits sincères et transparents, à l’opposé des discours à l’emporte-pièce et du storytelling vu et revu…dont le désormais (trop) célèbre mythe du garage ! "Ce qui est or ne brille pas", écrit Tolkien dans sa célèbre trilogie : cet adage ne mériterait-il pas d’être considéré à son juste ton ? Notre époque n’a-t-elle pas besoin d’incarner l’humilité, la force tranquille, la durabilité et la synergie de l’esprit collectif au détriment du vite-fait, du consommable et des météorites, ces miroirs aux alouettes, qui, en définitive, détruisent tout sur leur passage et laissent un champ de ruines après l’euphorie des célébrations ? Michel Bernardaud, à la tête de la manufacture de Limoges depuis 5 générations, confiait récemment au journal Le Figaro « […] Mon mérite, c’est d’être né. Ce que je fais, c’est parce qu’il y a eu les autres, quatre générations de Bernardaud avant moi […] ». Ces mots empreints de respect et de sobriété, je les entends souvent dans la bouche de mes clients, anonymes ou dirigeants, et je regrette qu’ils ne soient pas plus relayés pour ce qu’ils sont, c’est-à-dire comme l’expression du goût de la transmission, du savoir-faire, et de la valeur morale qu’on donne, au-delà des considérations financières, à une entreprise familiale ou à une société qu’on souhaite voir prospérer, juste parce que le destin nous a placés un jour sur un chemin non pas tout tracé, mais méritant notre attention et toute la réflexion nécessaire à l’équilibrage des forces en marche. J’aime ces figures aux accents d’hier, dans lesquelles on perçoit l’inertie des esprits les moins vaniteux. Alors, plutôt à l’aise avec les paillettes ou avec les histoires qui durent, à l'image de ce tracé sinueux sur les hauteurs du Snowdonia Park ? (Yves, Sophie, FAÏENCE PONCHON, Jan, je ne pense pas me tromper en avançant que ce sujet vous parle !) #transmission #histoiredentreprise #durable #mémoire #entreprisefamiliale #sobriété #madeinfrance
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Pass culture. Financé par nos impôts. La fête de l’Humanité: oui. Le Puy du fou: non. La 1ere est la célébration d’un organe de propagande d’une idéologie devenue ultra minoritaire qui chante l’Internationale et continue sans honte à porter le nom de la pire répression et la pire idéologie de l’histoire du monde avec 100 millions de morts. Dans les guerres “de libération” et dans les camps. Le second est un chant permanent de la Marseillaise et du roman de la France. Reconnu officiellement comme le plus beau spectacle du monde. Et que les Français des villes et des campagnes qui aiment la France, adorent. Pourquoi? Parce que pour être de la “culture”, quand c’est de gauche, c’est mieux. Et quand c’est d’extrême gauche, c’est encore mieux. Ce pays est fou. Ses responsables politiques manquent de courage. La première vertu célébrée au Puy du Fou. Nicolas de Villiers Puy du Fou #faireface
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L’aliénation du spectateur au profit de l’objet contemplé s’exprime ainsi : plus il contemple, moins il vit ; plus il accepte de se reconnaître dans les images dominantes du besoin, moins il comprend sa propre existence et son propre désir… C’est pourquoi le spectateur ne se sent chez lui nulle part, car le spectacle est partout. Alors que dans la phase primitive de l'accumulation capitaliste l'économie politique ne voit dans le prolétaire que l'ouvrier, qui doit recevoir le minimum indispensable pour la conservation de sa force de travail, sans jamais le considérer "dans ses loisirs, dans son humanité", cette position des idées de la classe dominante se renverse aussitôt que le degré d'abondance atteint dans la production des marchandises exige un surplus de collaboration de l'ouvrier. Cet ouvrier, soudain lavé du mépris total qui lui est clairement signifié par toutes les modalités d'organisation et surveillance de la production, se retrouve chaque jour en dehors de celle-ci apparemment traité comme une grande personne, avec une politesse empressée, sous le déguisement du consommateur. Alors l'humanisme de la marchandise prend en charge "les loisirs et l'humanité" du travailleur, tout simplement parce que l'économie politique peut et doit maintenant dominer ces sphères en tant qu'économie politique. Ainsi "le reniement achevé de l'homme" a pris en charge la totalité de l'existence humaine. Le spectacle est l'idéologie par excellence, parce qu'il expose et manifeste dans sa plénitude l'essence de tout système idéologique : l'appauvrissement, l'asservissement et la négation de la vie réelle. Sans doute, le pseudo-besoin imposé dans la consommation moderne ne peut être opposé à aucun besoin ou désir authentique qui ne soit lui-même façonné par la société et son histoire. Mais la marchandise abondante est là comme la rupture absolue d'un développement organique des besoins sociaux. Son accumulation mécanique libère un artificiel illimité, devant lequel le désir vivant reste désarmé. La puissance cumulative d'un artificiel indépendant entraîne partout la falsification de la vie sociale. La société du spectacle - Guy Debord
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😏Billet bucolique aujourd’hui... Nous allons naviguer entre amende, papillon et prune ; vous l'aurez compris, nous allons parler contredanse. Pas la danse apparue au XVIIIe siècle mais la contravention, ce PV qui peut squatter le pare-brise des automobilistes distraits ou indélicats. Pourquoi donc désigne-t-on la contravention par le terme de prune ? Rien à voir avec le fruit. Pour comprendre cette image, il faut remonter au Moyen Âge, époque à laquelle la prune fait référence à un coup de poing ou de pied. Tout comme la pêche ou le pruneau, il semblerait qu’il y ait des pépins dès que l’on parle fruiticulture. Bref, la prune moderne inflige un coup... au portefeuille, et donc est douloureuse. Si vous rajoutez le fait qu’à l’époque la prune désignait également une chose méprisable, l’association des deux sens fut naturelle pour désigner la contravention. Pour conclure, il ne fait pas toujours bon de se mettre au vert, car entre les pervenches (les plus anciens d’entre nous comprendront), les prunes et les papillons... la petit virée champêtre risque de coûter cher.
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Contrairement à ce que j'ai raconté, je suis revenu de l’enfer. Je ne fais pas confiance à ma mémoire. Je fais des fiches sur tout, je collecte, je relie. Je colorie beaucoup. Fatalement, les personnes qui carburent à très haute intensité, ça m’impressionne. Je ne parlerai pas ici de celle qui m’a recruté lors d’un entretien d’embauche en 2008. Conversation longue de heures alors que j’étais en béquille et que mon pote attendait patiemment sur le parking…corrigeant ses copies d’étudiants en Espagnol. NON mais deux belles histoires quand même, à nos oreilles également aimables. HISTOIRE 1 9 mars 2021. Moral dans les chaussettes. « Leaves the doors open » de Bruno Mars dans le casque pour une arrivée chez un pote qui veut nous présenter « un magicien ». Vrai. Il présente le truc comme ça. Le cousin d’un pote d’un pote qu’il a convié chez lui avec une douzaine de convives. Imagine le tableau : des dizaines de bouteilles, collerettes protectrices pour masquer la vue. Plus communément appelée une chaussette. Et le bonhomme fait un fes-ti-val (Non rien à voir avec le Festival De Fès) = >Pas un sans-faute hein mais un score de dingue pour déterminer d’où ça vient et surtout l’année. On a ce ratio au lancer franc, direct on est champion olympique de basket devant les ricains. Bon en vrai le côté bête de foire ne m’intéresse mais je pige très vite le travail gigantesque qu’il y a derrière. Le palais musclé comme jaja, le nez Suskinien. Si tu te poses la question, rien à voir avec ce qui me fait perso kiffer avec les bouteilles. Ça ne m’empêche pas d’admirer l'admirable comme un drible de Fernando Chalanna ou les courbes du Normandie. HISTOIRE 2 1982-1988. La chronique d’un gamin qui accompagne sa grand-mère au marché vendre les poulets, pigeons et oeufs bon comme t’imagines pas. Elle va aussi chez Pochon chaque mercredi matin, moi dans ses jupes. Le gars était quincailler. Pour Gen z, c’est l’ancêtre d’Amazon et Leroy Merlin réunis. Besoin d’un boulon de 12, une poignée de porte couleur ivoire ou une courroie pour le Massey Fergusson ? Va chez Pochon, c’était le mantra de tous, au village. Il me faisait rêver le vieux, son âge était indéterminable (45 ? 60 ? 100 ?). Blouse grise, pas un mot quand mamy sortait sa liste et énonçait le contenu. Parfois une dizaine d’articles quand elle dépannait la voisine. L’autre ne notait RIEN. Il posait juste une question si besoin « Les ampoules, quelle puissance ? ». Et il ramenait TOUT. La pratique, l’exercice, la patience, on est bien d’accord que ce ne sont pas des insultes hein ? Parce que sur ce réseau parfois on a quand même l’impression que… En tout cas des questions se télescopent : - Pourquoi je ne fais plus de sport ? - Peut-on penser que c’est un vin blanc sous la chaussette alors que non ? (ben ouais mon coco !) - T’es plutôt Igor ou Grishka toi ? - Ma fiche "macération carbonique" est à jour du podcast d’hier ? C'est Où? La sucrière (Lyon)
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