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[ACTUALITÉ] Un horizon de trésorerie de moins de 6 mois, la réalité des healthtech françaises ? France Biotech a dévoilé, le 12 septembre, la deuxième édition son “État des lieux de la situation financière des healthtech en France”. Réalisée en juillet 2024, cette étude s’appuie sur les réponses de 111 entreprises adhérentes. Les chiffres à retenir : ➡ 63% des entreprises rencontrent des difficultés de trésorerie contre 38% en décembre 2023 ➡ 51% des entreprises disposaient d’un horizon de cash de moins de 6 mois ➡ 71% sont en recherche de financement ou comptent lever des fonds dans les six mois Découvrez une analyse de l'étude et un point sur les levées de fonds du S1 2024 👉 https://lnkd.in/eXmYcNYM

France Biotech, membre des Acteurs de La French Care, publie le Panorama France HealthTech 2023, l'étude annuelle dédiée aux startups et PME françaises des technologies innovantes de la santé, réalisée en partenariat avec EY, Bpifrance, Banque Populaire, Citeline et Euronext. Quelques chiffres : ▪ La problématique du financement des entreprises s’est fortement accentuée en 2023 ▪ Accélération notable des entreprises dans le domaine de la santé numérique. ▪ Des levées de fonds atteignant 1,8 milliard d'euros en 2023, positionnant la France comme le 2ème pays européen en capital-risque. ▪ Un soutien financier solide de Bpifrance en 2023, avec près de 1,2 milliard d'euros injectés. ▪ Croissance de 20% des emplois directs en deux ans pour la filière HealthTech française. " Cette 21ème édition du Panorama illustre la résilience et le dynamisme de l’écosystème HealthTech dans un contexte macro-économique difficile, qui a su démontrer sa capacité à innover et à se réinventer " indique Franck Mouthon, Président de France Biotech. 🔗 Le panorama est à retrouver ici : https://lnkd.in/dwsHSYKz

« Bien que notre écosystème de financement de la #HealthTech soit robuste, comme en témoigne l’investissement de près de 1,2 milliard d’euros par #Bpifrance en 2023, les défis de financement durant la phase d’industrialisation demeurent significatifs. » Une contribution de Lucas Thiery, co-fondateur de MedInTechs   Malgré le dynamisme de la France dans le domaine florissant de l’innovation en santé, un paradoxe préoccupant demeure : en dépit de financements publics substantiels en phase d’amorçage, de nombreuses #startups prometteuses échouent à un moment critique de leur développement. Ce phénomène met en lumière une faille systémique dans notre approche du financement de l’innovation en santé, un problème qu’il est urgent de résoudre.

https://lnkd.in/eA4RUw9X 🌍L'association France Biotech, en partenariat avec BPI France, Euronext et EY, a publié son étude annuelle "Panorama France Healthtech", qui analyse le secteur des start-ups et PMEs françaises dans les technologies de santé innovantes. L'étude souligne la résilience et le dynamisme du secteur, malgré des difficultés de financement, notamment aux stades d'amorçage et des tours A et B. Les investissements en healthtech ont diminué de 19% au niveau mondial en 2023, mais de nouvelles start-ups e-santé continuent d'émerger en France. ➡️Cependant, le manque de financement reste un défi majeur, avec 46% des jeunes pousses e-santé exprimant des inquiétudes quant à leur viabilité. Les entrepreneurs de l'e-santé font également face à des obstacles tels que la sélectivité accrue des investisseurs et le manque de connexion avec les acteurs de la santé sur le terrain. La disponibilité et la souveraineté des données de santé sont également des préoccupations importantes. Malgré ces défis, le secteur healthtech français continue de croître, avec un nombre croissant d'entreprises et d'emplois. Source: Maddyness, EY. #e-santé #économie #France #start-up #beMedTech

📰TICpharma.com (APM International) 🔎#Presse #Santé #Indépendante #Fiable #Globale Les médias parlent souvent des réussites dans l'univers des start-up en e-santé mais il est beaucoup plus difficile d'avoir des témoignages sur les difficultés rencontrées qui peuvent mener à la liquidation... Avec les témoignages de : Maxime Cavrois, fondateur de Myotact Charles-Antoine Robert, fondateur d'Anam'Note Jeremy ADAM, fondateur de BONE 3D 🙏MERCI beaucoup pour votre confiance et votre disponibilité. Le constat est sans appel: les financements privés se raréfient pour l'ensemble des sociétés de la healthtech et en particulier dans l'e-santé, et les soutiens publics ne sont pas suffisants pour traverser cette conjoncture difficile. Le fonds de capital-risque Karista a observé dans sa cartographie annuelle des start-up européennes de la santé numérique une décroissance de l'investissement dans ce secteur en 2023, avec 1 milliard d'euros levés par les start-up françaises en 2023, en baisse de près de moitié par rapport à 2022. Et pour celles qui y parviennent, les levées de fonds sont moins importantes et prennent plus de temps. Dans son panorama "France Healthtech", France Biotech a aussi relevé un recul des levées de fonds en France, y compris secondaires, et constaté que la question du financement constituait une préoccupation pour 45% des entrepreneurs en santé numérique. Il a également dévoilé que le nombre de liquidations de sociétés healthtech avait quadruplé en 2023. Bonne lecture : E-santé: trois fondateurs de start-up liquidées témoignent Par Marion-Jeanne Lefebvre, journaliste APM International pour TICpharma.com ➡️https://lnkd.in/ekVfV72C SantExpo! Retrouvez l'équipe d'APM International du 21 au 23 mai 2024 directement sur l’espace exposition. ➡️ Stand i28 Retrouvez l'équipe de Gerontonews du 21 au 23 mai 2024 directement sur l’espace exposition. ➡️ Stand i30 🌍Qui sommes-nous? https://lnkd.in/eKTScbHm 👋A très bientôt pour échanger ! 📩christian.ville@apmnews.com

#Healthtech #France – Un écosystème riche et dynamique (1.400 medtechs, 850 biotechs, 450 entreprises du numérique en santé et IA) mais « vulnérable, en raison de pressions financières croissantes et d'un cadre réglementaire nécessitant des ajustements pour mieux valoriser la recherche et libérer l'innovation » A la suite du « Panorama France HealthTech » (https://urlz.fr/sbnI), France Biotech a mené une enquête flash auprès de ses adhérents sur l’état de santé des entreprises de la Healthtech. Alors que ce secteur en France est un moteur de croissance et d'innovation (plus de 60000 emplois aujourd’hui), que le potentiel de ces entreprises est soutenu par une recherche académique de 1er plan et une infrastructure nationale de haute qualité, la situation financière de l’écosystème apparaît fragile. Que retenir des résultats de cette enquête ? 🔹88% (le taux le plus élevé depuis 2 ans) des entreprises se sentent impactées par le contexte économique et politique, le financement et les levées de fonds étant les activités les plus concernées ; 🔹Avec un horizon de trésorerie moyen de 6 à 12 mois, 71 % des entreprises sont en quête de levées de fonds, pour un montant moyen de 15M€ ; 🔹60 % des dirigeants jugent cependant leur santé financière égale ou meilleure qu’en 2023, grâce notamment à des relations solides avec les investisseurs ; 🔹L’État joue un rôle essentiel dans le financement des Healthtechs dans le cadre notamment du plan Innovation santé France 2030 ; 🔹Le CIR, utilisé par 95 % des entreprises, reste un pilier de leur compétitivité, représentant en moyenne 20 % de leurs dépenses d’exploitation ; 🔹En 2024, 2/3 des entreprises ont sollicité un remboursement immédiat du CIR, indispensable pour maintenir leur trésorerie. En dépit de ce contexte, les organisations demeurent optimistes notamment en raisons de la stabilisation des taux d’intérêt et de l’inflation. Il est à rappeler également que la « problématique de "contraction des investissements, notamment des fonds d'investissement", qui impacte en particulier les secteurs risqués comme la santé, n'est pas propre à la France et "liée à la conjoncture économique" » comme l’avait souligné le Pr Antoine Tesniere dans apm news en début d’année (https://urlz.fr/sbnO). Afin de répondre aux défis rencontrés par les organisations en santé, France Biotech a donc défini une FDR autour d’axes stratégiques allant de la facilitation de l’accès aux financements au renforcement de l’attractivité des talents en passant par l’accompagnement des évolutions réglementaire, la création d’un environnement favorable à l’accès et à l’utilisation des données, etc. L’association a par ailleurs appelé à un soutien renforcé pour les Healthtechs dans le contexte du PLFSS 2025. Bruno Bonnell Paul Midy Frédéric Girard Chloe Evans Olivier Chabanon Vincent Vercamer Lisa Treglia-Figliuzzi Philippe Gesnouin Christelle Ayache Stéphanie Allassonniere Céline Griener Thomas Jan Dominique Pon florence dupre Yann Bubien 

61% des healthtechs françaises n’ont pas connaissance de ce dispositif ❌ Pourtant, celui-ci peut permettre à votre PME de récupérer 50% des factures de ses prestataires de R&D en crédit d’impôt ! Si vous êtes une ETI ou une grande entreprise, ce taux est de 40% dans la limite des 6 millions d’€ de dépenses déclarées 💰 Mais alors, qui est cet allié si discret ? 👀 👉 Le Crédit d’impôt en faveur de la recherche collaborative, plus connu (quoique) sous le petit nom de CICo ! Bien qu’actif depuis le 1ᵉʳ janvier 2022, seulement 39% des 393 healthtechs interrogées par France Biotech sur ce sujet, dans le cadre du Panorama France Healthtech 2023, ont connaissance du CICo. Pire, elles ne sont que 7% à avoir utilisé le dispositif en 2022/2023 😱 Ma mission avec ce post ? Faire en sorte que vous puissiez prendre connaissance de cette belle opportunité de financement, tout simplement ! Vous souhaitez plus de contenus sur les sujets liés au financement ? Likez ou commentez ce post pour me le faire savoir 💬 #Healthtech #Medtech #InnovationSanté #Startups #HCNext 

La #HealthTech s’impose en France 🇫🇷 comme le souligne le dernier panorama de France Biotech ! Les 2 600 entreprises françaises du secteur résistent et font preuve de robustesse et ce, malgré une baisse de 38% de fonds levés en 2023 par rapport à l’année précédente. Un autre résultat réjouissant : la France conserve sa deuxième place en Europe en montants levés, après le Royaume-Uni. Ce panorama nous rappelle que l’#OpenInnovation est un maillon essentiel pour hisser l’écosystème médical à ce niveau d’excellence et faire rayonner la France hors de nos frontières. Accompagner la transformation numérique du secteur et soutenir l’émergence et la croissance de pépites tricolores innovantes est un enjeu capital. Nous en sommes convaincus chez Johnson & Johnson MedTech France et c’est la raison pour laquelle nous collaborons avec plusieurs start-ups sur des projets communs. Merci Franck Mouthon pour cette étude toujours aussi instructive ! Et si l’an prochain nous étions n°1 de la Healthtech en Europe ? Pour vous, quels seraient les leviers pour y parvenir ? #MyCompany #JnJMedTech #MedicalDevices #InnovationSanté

💊 Malgré une réelle dynamique, le secteur rassemblant biotech, medtech et start-up numériques de la santé en France se heurte à un problème de financement pour son développement, selon le panorama 2023 de France Biotech. #esanté #healthtech #startup

Le paradoxe du financement des startups HealthTech en France. Lucas Thiery, cofondateur de MedInTech (plateforme et salon annuel dédiés aux innovations en santé), publie une contribution dans Forbes sur ce sujet très important. En France, l'argent public finance très bien l'innovation à ses débuts - grâce notamment au travail exceptionnel de BPI. Les pouvoirs publics ont bien compris l'intérêt de "pousser" ces innovations hors des labo, vers l'industrie. Mais, au moment de lancer les études cliniques, dont le budget se chiffre rapidement en grosses unités de millions d'€, les financements publics stoppent... ...et, le plus souvent, les produits ne sont pas encore assez avancés pour intéresser les investisseurs institutionnels: . "Revenez me voir avec du clinique" . "Mais j'ai besoin d'argent pour obtenir du clinique !" ...le dialogue est impossible car les attentes ne sont pas alignées (visibilité sur l'obtention du marquage CE/autorisation FDA vs. fonds pour démarrer l'investigation clinique - qui va donner la visibilité). L. Thiery prône un changement de paradigme dans l'approche du financement de ses startups, de façon à mettre les startuppers et les financeurs autour de la même table dès le début du projet. Cependant, on pourrait arguer que les attentes des investisseurs institutionnels ne vont pas changer, et qu'ils auront toujours besoin de visibilité sur les 5 années de leur présence dans les startups (qui vont correspondre grosso modo aux années des études cliniques animales + humaines et aux succès des premiers dossiers de remboursement, ces derniers validant le business model de la startup). Dans ce cadre, il peut paraître également intéressant d'explorer une voie alternative : les BA et les Family Offices. Bien sûr, ces investisseurs ont des poches moins profondes que les fonds, mais ils sont plus patients, et peuvent rester au capital beaucoup plus longtemps que les fonds. Du côté de la start-up, il conviendra alors de séquencer ses levées, les petits ruisseaux faisant les grandes rivières... peut-être en séquençant aussi les études (safety/efficacy 1/efficacy 2/efficacy 3...). Bien sûr, les startuppers seront toujours en train de lever... mais c'est ça ou l'arrêt du projet.