👀 🔎 Le design des pales d'éoliennes bénéficie de l'observation et de l'étude du vol des oiseaux, ainsi que des avancées technologiques issues de l'aéronautique ! 🦅 🏔️ La Nature fait bien les choses ! Quel bel exemple que l'Aigle, infatigable planeur, qui dispose en bout d'aile de longues plumes courbées afin d'améliorer son vol et sa finesse de plané. 🪽🪶La présence de winglet en bout de pale de certaines éoliennes, par biomimétisme, tel l'Aigle avec ses longues plumes courbées ! 🛩️ 🆕 Ce dispositif, aussi présent sur les avions et planeurs en bout d'aile, permet la réduction de la trainée induite par les tourbillons (vortex) en bout de pale, l'amélioration de son rendement aérodynamique de 1 à 3 % et l’augmentation de la productivité de l’éolienne.
Post de Philippe Gauquelin
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🛩 𝐃𝐀𝐇𝐄𝐑 𝐄𝐱𝐩𝐞𝐫𝐭𝐬 𝐏𝐚𝐭𝐡 𝐍𝐞𝐰𝐬 🎓 La théorie de l'évolution 🐵 est elle applicable aux avions ❓ "𝘑'𝘢𝘪 𝘥𝘰𝘯𝘯é 𝘭𝘦 𝘯𝘰𝘮 𝘥𝘦 𝘴é𝘭𝘦𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘯𝘢𝘵𝘶𝘳𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘰𝘶 𝘥𝘦 𝘱𝘦𝘳𝘴𝘪𝘴𝘵𝘢𝘯𝘤𝘦 𝘥𝘶 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘢𝘱𝘵𝘦 à 𝘤𝘦𝘵𝘵𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘦𝘳𝘷𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦𝘴 𝘥𝘪𝘧𝘧é𝘳𝘦𝘯𝘤𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘥𝘦𝘴 𝘷𝘢𝘳𝘪𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘪𝘯𝘥𝘪𝘷𝘪𝘥𝘶𝘦𝘭𝘭𝘦𝘴 𝘧𝘢𝘷𝘰𝘳𝘢𝘣𝘭𝘦𝘴 𝘦𝘵 à 𝘤𝘦𝘵𝘵𝘦 é𝘭𝘪𝘮𝘪𝘯𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦𝘴 𝘷𝘢𝘳𝘪𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘯𝘶𝘪𝘴𝘪𝘣𝘭𝘦𝘴." Charles Darwin : L’Origine des espèces (1859). Avec 265 000 aéronefs, 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐯𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐥é𝐠𝐞𝐫𝐬 (moins de 5 760 kg et moins de 10 passagers) représentent plus de 𝟖𝟎% des aéronefs volants dans le monde 🌍 Sachant qu’un programme est considéré comme une réussite à partir de 30 avions par an, cela signifie qu’il existe de très nombreuses « espèces » qui se sont développées pour couvrir une très grande variété de cahier des charges. De plus, les « faibles » coûts de développement (vs aux avions commerciaux ou militaires) et l’existence de catégories fortement dérèglementées (ultraléger, record, construction amateur) font que 𝐭𝐨𝐮𝐭, 𝐨𝐮 𝐩𝐫𝐞𝐬𝐪𝐮𝐞 𝐭𝐨𝐮𝐭, 𝐚 𝐝𝐞́𝐣𝐚̀ 𝐞́𝐭𝐞́ 𝐞𝐬𝐬𝐚𝐲𝐞́ à un moment ou à un autre. Or, force est de constater que, pour un cahier des charges donné, il est très rare de voir plusieurs configurations d’avions « survivre » au temps : ➡ Tous les planeurs sont devenus composites avec un empennage en T ➡ Tous les avions-écoles sont monoplans, monomoteurs tractifs, empennage arrière, etc. La raison ? Darwin et la sélection naturelle…𝐮𝐧 𝐛𝐨𝐧 𝐚𝐯𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐬𝐭 𝐮𝐧 𝐛𝐨𝐧 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐫𝐨𝐦𝐢𝐬 entre une multitude de variables techniques, réglementaires, économiques, opérationnelles. Les aéronefs ne répondant pas à ce compromis « meurent » ⚰ commercialement. C’est pourquoi, lors de mes interventions à l’ISAE-SUPAERO pour le module de conception avions légers, j’insiste sur l’importance pour l’ingénieur d’effectuer un 𝐛𝐞𝐧𝐜𝐡𝐦𝐚𝐫𝐤 𝐚𝐩𝐩𝐫𝐨𝐟𝐨𝐧𝐝𝐢 🔍 sur les solutions techniques en place sur les avions ayant un succès commercial, et sur ceux ayant échoué. Si une solution, considérée comme techniquement non optimale a pris le dessus, c’est sans doute qu’un autre paramètre est rentré en ligne de compte ! Autant bien le comprendre avant de pousser plus avant. Donc: 𝐨𝐮𝐢, 𝐥𝐚 𝐭𝐡𝐞́𝐨𝐫𝐢𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐞́𝐯𝐨𝐥𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐬’𝐚𝐩𝐩𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐩𝐥𝐞𝐢𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐚𝐮𝐱 𝐚𝐯𝐢𝐨𝐧𝐬 ❗ Un changement majeur (sociologique, politique, technique, …) peut être un élément déclencheur d’une mutation en masse des espèces. Est-ce le cas aujourd’hui face à 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐞́𝐭𝐚𝐥𝐞 𝐥𝐢𝐞́𝐞 𝐚𝐮 𝐜𝐡𝐚𝐧𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 🌳 ? Qui qu’il en soit, il est démontré que, même face à un évènement majeur, l’évolution des espèces reste 𝐥𝐞𝐧𝐭𝐞 𝐞𝐭 𝐢𝐧𝐜𝐫𝐞́𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐥𝐞 ⁉ 𝐄𝐭 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐪𝐮’𝐞𝐧 𝐩𝐞𝐧𝐬𝐞𝐳-𝐯𝐨𝐮𝐬 ❓ #DAHER #EXPERTS
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une bonne piste ?
Les voiles mécaniques représentent peut-être l'avenir de la navigation maritime mondiale. 🚢 💨 🌍 Les voiles à rotor d'ANEMOI Marine Technologies exploitent la puissance du vent pour propulser des navires géants. 🌬️ Elles permettent une réduction significative de la consommation de carburant, de 5 % à 30 % ! ♻️ Légères et robustes, ces voiles se déploient depuis le pont, simplifiant les opérations de fret et minimisant les contraintes de tirant d'air. Ces voiles utilisent l'effet Magnus, une force générée par la rotation des cylindres, pour optimiser la propulsion éolienne. Bien que dépendantes du vent, elles modernisent les flottes mondiales et relèvent les défis environnementaux du commerce maritime. Cette technologie de turbo voiles a été pensée et imaginée dès les prémices. Elle a été montée sur l'Alcyone, un voilier appartenant à Jacques-Yves Cousteau, en 1985. L'Alcyone est un navire océanographique à turbovoile expérimental. #science #technologie #innovation #environnement #tech4good
Des voiles à rotor pour les supertankers ?
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Transport maritime et écologie : le rotor Flettner. Anton Flettner est un ingénieur allemand, inventeur dans les années 20 du rotor qui porte son nom, et des deux premiers hélicoptères à rotor engrenant, type "Flettner Fl 282 Kolibri", mis au point durant la seconde guerre mondiale pour l’aviation et la marine allemande. En 1947, il immigre aux Etats-Unis. Naturalisé, il fonde en 1949 la Flettner Aircraft puis intègre la Kaman Aircraft pour qui il met au point le K-Max, qui reprend les caractéristiques de son premier hélicoptère. En 1924, Il installe deux de ses rotors nouvellement inventés sur la goélette convertie Buckau. Les rotors Flettner utilisent un phénomène aérodynamique appelé effet Magnus mis en évidence par le physicien prussien, Heinrich Gustav Magnus (1802-1870), bien connu ou nom, des joueurs de football, tirant des penalties en contournant « le mur ». Principe : lorsque le vent (un fluide) entre en contact avec un cylindre en rotation, celui-ci s’écoule à des vitesses relatives différentes de chaque côté du cylindre. Cela se traduit par une différence de pression, créant ainsi une force perpendiculaire à la direction du vent. C’est le même type de phénomène physique qu’on utilise en voile, avec à minima un angle de 45° au vent (principe de Bernoulli, on utilise la pression sur l’intérieur de la voile et la dépression sous la voile, le vent accélère sous le vent de la voile) particulièrement pour les allures de près. Au portant comme le terme le laisse sous-entendre, c’est le vent qui pousse/porte l’esquif. Les essais réalisés par Flettner en 1924 montrent qu’un navire ainsi équipé remonte plus près au vent. Le rotor ne nécessite aucune manœuvre particulière, pas d’haubanage, pas d’écoute, pas d’enrouleur. De nous jours, les rotors proposés sont fabriqués en matériaux composites, et leur fonctionnement est totalement automatisé. Un programme détermine le moment adéquat de mise en marche et optimise les réglages (orientation) afin d’atteindre les économies visées. On estime que pourraient être ainsi équipés 11 000 vraquiers et navires citernes d’ici à 2030 soit +/- 12% de la flotte mondiale. Pour mémoire l’économie engendrée est de 5 à 20% de fuel lourd. A noter qu’en 2019 le rotor de la société finlandaise Norsepower Rotor Sail a été homologué #RotorFlettner #Flettner #PrinicipedeMagnus #PrincipedeBernoulli #FlettnerFl282Kolibri #Buckau #NorsepowerRotorSail
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ALPINUM Drone a réalisé pour le compte de l'Equipe de Secours Animalier en Montagne (E.S.A.M.), une mission de recherche de vaches échappées d'un alpage à 1850m d'altitude. La mission présentait plusieurs difficultés majeurs : - des vols dans une zone potentiellement habitée par des rapaces pouvant être stressés par la présence du drone et susceptibles de l'attaquer et d'être blessés par les hélices, - une zone de recherche couverte par une végétation dense de feuillus et de conifères gênant le repérage depuis le ciel, - un terrain accidenté associé à une végétation resserrée gênant la progression des équipes au sol de l'ESAM et le tir à l'aide de fusils hypodermiques afin d'endormir les vaches, - le même environnement rendant difficile l'hélitreuillage des vaches. Le risque aviaire a été réduit au maximum en réalisant ce vol en dehors des périodes de nidification, en procédant à une vérification préalable de l'absence de rapaces dans le secteur et en mettant en place une surveillance constante du ciel par un membre de l'E.S.A.M. accompagnant le télépilote. Le télépilote a également adopté un profil de vol non agressif avec des vols assez lents et en évitant les changements de directions et de régimes moteurs brusques. Malheureusement ces vaches livrées à elles-mêmes depuis trois mois, se sont avérées très sauvages et n'ont pas permis aux équipes de l'E.S.A.M. de les approcher à une distance permettant un tir dans de bonnes conditions malgré trois heures d'efforts sous la surveillance constante du drone. Mais ce n'est que partie remise car il faut absolument les redescendre en plaine avant l'arrivée des premières neiges. #UAV #drone #recherche #ALPINUMDrone #ESAM #bétail #M30T #rapace
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Proposition pour les européennes. Obligation de renouveler 100% des navires sur 25 ans pour les armateurs. Donc, limite d'âge de 25 ans, remplacer, soit par des voiliers, soit par des navires hybrides gaz + voiles mécaniques. 2 ans et demi de carence pour les premières mises en chantier, loi applicable au 1ᵉʳ janvier 2027. Pour le commerce intra-occidental, les chantiers, les pavillons, les équipages, les assureurs, l'acier, etc, devront être d'Occident et obligatoirement côtés sur une bourse occidentale à partir d'un certain chiffre d'affaires annuel. Le co2 du gaz carburant devra être intégralement récupéré pour être revendu dans les ports, pour refabriquer du gaz carburant. Les assureurs et armateurs, pour être autorisés à exercer dans l'U.E., devront respecter cet échéancier, quel que soit leur lieu d'activité dans le Monde ! #européennes #climat #business #maritime
Les voiles mécaniques représentent peut-être l'avenir de la navigation maritime mondiale. 🚢 💨 🌍 Les voiles à rotor d'ANEMOI Marine Technologies exploitent la puissance du vent pour propulser des navires géants. 🌬️ Elles permettent une réduction significative de la consommation de carburant, de 5 % à 30 % ! ♻️ Légères et robustes, ces voiles se déploient depuis le pont, simplifiant les opérations de fret et minimisant les contraintes de tirant d'air. Ces voiles utilisent l'effet Magnus, une force générée par la rotation des cylindres, pour optimiser la propulsion éolienne. Bien que dépendantes du vent, elles modernisent les flottes mondiales et relèvent les défis environnementaux du commerce maritime. Cette technologie de turbo voiles a été pensée et imaginée dès les prémices. Elle a été montée sur l'Alcyone, un voilier appartenant à Jacques-Yves Cousteau, en 1985. L'Alcyone est un navire océanographique à turbovoile expérimental. #science #technologie #innovation #environnement #tech4good
Des voiles à rotor pour les supertankers ?
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Les voiles mécaniques représentent peut-être l'avenir de la navigation maritime mondiale. 🚢 💨 🌍 Les voiles à rotor d'ANEMOI Marine Technologies exploitent la puissance du vent pour propulser des navires géants. 🌬️ Elles permettent une réduction significative de la consommation de carburant, de 5 % à 30 % ! ♻️ Légères et robustes, ces voiles se déploient depuis le pont, simplifiant les opérations de fret et minimisant les contraintes de tirant d'air. Ces voiles utilisent l'effet Magnus, une force générée par la rotation des cylindres, pour optimiser la propulsion éolienne. Bien que dépendantes du vent, elles modernisent les flottes mondiales et relèvent les défis environnementaux du commerce maritime. Cette technologie de turbo voiles a été pensée et imaginée dès les prémices. Elle a été montée sur l'Alcyone, un voilier appartenant à Jacques-Yves Cousteau, en 1985. L'Alcyone est un navire océanographique à turbovoile expérimental. #science #technologie #innovation #environnement #tech4good
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Bien choisir sa prestation de #drone - Post n°10 Vous êtes en #zone « #interdite » et vous pensez qu’il n’est pas possible de faire des prises de vue de votre site ? C’est normal, seules les zones en pleine campagne ou en pleine montagne, bref isolées et exempts d’habitation sont libres de vol. Un télépilote professionnel a la possibilité de faire une demande en préfecture pour réaliser votre prestation de #drone en zone « interdite ». C’est donc possible. Pas forcément simple, surtout si vous êtes en plus prêt d’un aérodrome, d’un héliport, ou d’un site dit « #sensible », mais c’est possible.
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𝗨𝗻 𝗷𝗮𝗰𝗸-𝘂𝗽 𝘃𝗲𝘀𝘀𝗲𝗹, ç𝗮 𝗽𝗲𝘂𝘁 𝘀𝗲𝗿𝘃𝗶𝗿 à 𝗾𝘂𝗼𝗶 ? Pour commencer, la propriété "jack-up" permet au navire de se poser sur le fond marin. Une fois à la position souhaitée, il descend ses 4 "jambes" (sur la photo les structures triangulaires noires dont le sommer et rouge). Stabilisé sur le fond marin (préalablement vérifié par d'autres navires, éventuellement préparés, ratissés ...) il monte le long de ses pieds. Sa coque se retrouve alors plusieurs mètres au dessus de la surface de l'eau, à l’abri des vagues et du courant. Le travaille commence. Ici il s'agissait de forer puis de mettre en place la première fondation du parc éolien de Yeu-Noirmoutier. On la distingue, en place, à côté du navire. Une deuxième fondation est posée à plat pont à l'arrière. Ce sera pour la prochaine position, avant de retourner au port charger d'autres éléments. La grue (Liebherr Maritime Cranes) se prépare à lever le TP (Pièce de transition), ce gros module jaune qui recevra ensuite une éolienne. Sur le pont du DEME Group "Innovation" on aperçoit sous la grue la foreuse, spécialement développée par Herrenknecht AG pour forer verticalement, sous l'eau. Un modèle assez proche a été utilisé lors de la construction du parc de Saint Nazaire. A l'avant du navire, le "château". C'est le centre névralgique du navire avec la passerelle, les logements. Au dessus prends place l'helideck "H" qui permet les transferts de personnels. Ces navires installateurs sont des véritables fourmilières optimisées pour mener à bien des missions assez dingues, et permettre aux techniciens, marins, ingénieurs, experts, de vivre et de travailler 24 h sur 24, 7 jours sur 7, et souvent 365 jours par an. (bien entendues, ils se relaient) Le drone est limité en hauteur par rapport à la réglementation. Ici le navire opère en zone gérée par le Ceclant, autorité militaire pour la façade Atlantique et le vol de drones y est très réglementé. Cette fois c'est suite à une demande de #deme que j'ai pu embarquer dans un hélico de AIRTELIS Connect, qui, en s'associant avec Oya Vendée Hélicoptères est devenu le premier opérateur français d'hélicoptères certifiés pour les activités offshore. Mes offres vont des prises de vues aux captations vidéo, du tournage au montage, l'accompagnement dans vos besoins d'images quels qu'ils soient, avec 30 ans d'expérience de la mer, des navires, des marins, des sites offshores pétroliers et éoliens. #GWO #BOSIET #HUET #H0B0 #EPI #helico #drone Je propose de se parler au téléphone ou en visio afin de mieux se connaitre, même sans projet précis, pour être prêt à bondir le jour J !
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Le SeaExplorer acquis par le Shom est un planeur sous-marin de 59 kilos pouvant atteindre 1 000 mètres de profondeur avec une autonomie, selon le profil d’emploi, allant jusqu’à six mois. Ce premier planeur permettra de densifier l'acquisition de données océanographiques en mer. Le planeur acquiert des données pendant des jours et des jours contribuant à mieux caractériser certains phénomènes océaniques. La continuité des mesures in situ permettra de mieux prendre en compte les échelles de variabilité des océans et ainsi d’affiner les modèles et les produits. https://lnkd.in/ebEYUh4z https://lnkd.in/eH-58hhY
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La première mission robotique d’un starship sur Mars ne sera pas facile. Ce n’est pas une raison pour ne pas l’envisager ! Les missions robotiques préparatoires aux missions habitées sur Mars sont incontournables. Les risques sont trop grands et les possibilités de retour immédiats sur Terre impossibles en cas de problème grave. Ces missions, utilisant le Starship, devront tester la fiabilité du vaisseau et autant que possible de préparer sur place l’arrivée du vol habité, le support vie du premier équipage, le décollage du vaisseau et la production des ergols nécessaires pour revenir sur Terre. Il en faudra probablement deux mais elles devront être précédées d’une mission classique propulsée par un Falcon Heavy (avec un rover avec hélicoptère, doté d’un radar et d’une lame de bulldozer). Pour les derniers mètres de l’EDL du starship, le relais de la propulsion arrière sera passé à une couronne de propulseurs situés dessous le niveau de la porte du sas comme prévu pour le Starship-HLS (Lune). Ces propulseurs, orientés pour éviter de nuire à la coque du vaisseau, ne seront pas suffisants pour le maintenir en altitude (la gravité martienne est le double de la gravité lunaire) mais quand même suffisants pour limiter l’accélération résultant de l’arrêt des moteurs principaux. Il ne faut pas détériorer le sol sous le vaisseau. Ensuite le problème sera de descendre les équipements embarqués. Ils passeront par un ascenseur glissant sur deux rails le long de la coque. Il faudra auparavant qu’ils aient été déplacés à l’intérieur de la soute sur des rails jusqu’à l’entrée du sas et que ceux qui sont aux niveaux supérieurs, soient descendus jusqu’au niveau du sas ! Une fois les équipements au sol, il faudra les mettre en place (charriot + grue) et les faire fonctionner. Cela suppose la connexion à une source d’énergie (panneaux solaires et plusieurs petits réacteurs à fusion plutôt qu’un seul gros). Un autre problème sera la connexion des flexibles transportant les volatils. Peut-être quelques robots humanoïdes, comme en fabrique Tesla, y seront affectés. Il faudra ensuite choisir l’endroit le plus plat, plan et libre de pierre possible (lame de bulldozer) et aller explorer le gisement de glace à proximité, pour être certain qu’il sera exploitable (un tunnelier). Et pendant ce temps-là les laboratoires assurant l’électrolyse et produisant le méthane et l’oxygène pour le retour, devra travailler à plein régime. Pour changer les filtres, les humanoïdes de Tesla devront donner « un coup de main ». Le jour du départ, peut-être aura-t-on pu fixer au sol au droit des réacteurs, des plaques d’acier pour soutenir la poussée des moteurs allumés. Et comme la soute sera vide, ce serait « bien » d’allumer le moins de moteurs possible tout en utilisant les propulseurs sous le sas ! lisez mon article de blog: https://lnkd.in/ed3NhWvA #Mars
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