La diversité est source de richesses et l'emblème de l'évolution et du progrès. Néanmoins, elle souhaite parfois le déclin des valeurs humanistes : respect, acceptation, considération, appréciation, écoute attentive, ouverture, accueil, bienveillance, empathie, affection, amour et la fraternité. Dans un monde de communication où les punchlines l'emportent sur les intentions éducatives et pédagogiques se développent des croyances fallacieuses et opportunistes, sous couvert de virilité et d'une soit disant responsabilité et sincérité. En ces circonstances, la déclaration des droits de l'homme et de la société est mise à mal, particulièrement, les articles premiers, 2, 4, 7, 10 et 11 (rien que ça). Est-ce ce que nous voulons vraiment ? Quelles que soient les préférences en matière de politique économique, la première question à se poser ne reste-t-elle pas, pour reprendre Y. Arthus-Bertrand : "Quelle terre [et quelle société] laisserons-nous aux générations futures ?". Si nous ne considérons pas suffisamment cette question avec l'attention que nous lui devons, dans un monde s'appuyant sur un modèle énergétique à bases d'énergies finies et fustigeant les renouvelables et les solidarités, il ne restera que le chaos. Les Universités s'élèvent contre le projet politique du Rassemblement National. https://lnkd.in/eF2sJUB8
Post de Philippe Signoret
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Soutien aux propos du Ministre : La science doit rester objective et rigoureuse ! #ScienceSansMilitantisme #RigueurScientifique #Objectivité #Recherche LeFIGARO Les propos du ministre de l’Enseignement supérieur, Patrick Hetzel, affirmant que «la science ne doit pas se confondre avec le militantisme», sont non seulement justes mais essentiels dans le contexte actuel. La science, par sa nature, repose sur la rigueur, l’objectivité et l’analyse factuelle. Elle doit rester un terrain où la recherche de vérité prime sur les idéologies ou les croyances personnelles. Un exemple récent de cette confusion des genres se manifeste dans certains débats autour des thèses progressistes sur le genre et le sexe. Des groupes militants cherchent parfois à imposer des idées non fondées sur des données scientifiques robustes, mais sur des revendications idéologiques. Cette pression peut mener à une distorsion de la recherche, où des chercheurs hésitent à s'engager dans des travaux qui pourraient être perçus comme allant à l'encontre de ces thèses. Un autre exemple de cette confusion se trouve dans les débats militants autour de l'écologie. Si la lutte contre le changement climatique est cruciale, certaines idées militantes, en particulier les positions radicales sur des solutions énergétiques ou agricoles, peuvent parfois ignorer les réalités scientifiques et économiques. Par exemple, l’opposition systématique à l’énergie nucléaire, pourtant reconnue par de nombreux scientifiques comme une solution bas-carbone efficace, montre à quel point des idéologies peuvent détourner l’attention des faits. Ce type de militantisme risque de nuire à la recherche de solutions pragmatiques et fondées sur la science. Une approche scientifique rigoureuse est indispensable pour répondre aux enjeux écologiques, tout en évitant les dérives idéologiques qui pourraient ralentir les progrès concrets. Ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse Ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse
Patrick Hetzel, ministre de l’Enseignement supérieur: «La science ne doit pas se confondre avec le militantisme»
lefigaro.fr
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Je ne parle que très rarement de politique sur les réseaux mais les enjeux de ce 2e tour des législatives sont trop importants pour rester muet et je tiens à soutenir pleinement La Tribune des présidents d’université. Je veux pouvoir me réveiller lundi 8 juillet 2024 sans gueule de bois. Je ne veux pas avoir devoir à expliquer à ma fille de 5 ans que son avenir s’est soudainement fortement assombri sans avoir pris mes responsabilités. Mon message est simple, le Rassemblement National ne doit pas obtenir de majorité à l’Assemblée . Une majorité RN serait synonyme de repli de la France sur elle-même, privée de sa liberté, des ses étudiants, de ses scientifiques, de ses entrepreneurs et de ses grands esprits français et étrangers. Nos entreprises et nos universités seraient alors en grand danger avec une science et une économie à deux vitesses. Une France que je n’accepte pas. J’aspire à une France forte, rayonnante et fière de ses valeurs d’égalité et de liberté. Une France qui innove et qui entreprend avec et pour l’Europe et plus largement le monde. Une France qui n’a pas peur de l’autre. Une France consciente que la différence est une richesse. Une France ouverte sur le monde. La richesse de la France s’appuie sur sa diversité culturelle. L’innovation n’a pas d’origine. L’entrepreneuriat n’a pas de frontières. La France puise son dynamisme économique en partie grâce à sa richesse culturelle. La France a besoin de talents étrangers pour innover et pour entreprendre. La France innovante et entrepreneuriale, c’est avant tout des femmes et des hommes de toutes origines qui pensent out of the box, qui se dépassent et qui forment un collectif complémentaire dans le but de créer de la valeur et qui contribue indéniablement au développement économique de nos territoires. Alors je vous en prie, demain : 1) Allez voter 2) Ne voter pas RN Les universités et les entreprises sont les poumons de la France, ne les sacrifions pas. Nous avons besoin de la science pour continuer à innover, entreprendre et progresser dans les domaines de la santé, de l’énergie durable, du transport responsable, de l’éducation, de la sécurité et du quotidien. Laissons à nos enfants une France moderne, durable, libre, égalitaire, puissante et rayonnante. Soyons fiers d’être français. #liberté #égalité #innovation #entrepreneuriat
TRIBUNE. Les présidents et directeurs des universités et grandes écoles de Nouvelle-Aquitaine disent non au projet politique du RN
sudouest.fr
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Aujourd’hui, on vit quand même dans un drôle de monde. SPOILER : « drôle » est assez léger comme adjectif vu la gravité de la situation. Un monde où les publications scientifiques, mettant en avant l’impact négatif de l’humain sur l’environnement, ne sont pas prises en compte par les citoyens et les dirigeants. Un monde où les journalistes qui relaient ces publications scientifiques se font agresser, voir tuer dans certains pays. Un monde où des citoyens élisent des représentants qui ne font pas leur boulot mais qui, en plus, condamnent les générations futures par leurs inactions voir leurs actions délétères vis à vis de l’environnement. Des personnes élues parce qu’elles « présentent bien » ou parce qu’elles servent des généralités à tour de bras. On appelle ça le populisme. Un monde où il devient très compliqué de démêler une vraie information d’une fausse. Où, pour des intérêts majoritairement financiers, certains remettent en cause la science et arrivent à convaincre des milliers voir des millions de personnes. Alors, face à cette situation, le 6 Mai dernier, les vingt-sept académies des sciences de l’Union européenne ont décidé d’interpeller l’ensemble des candidats au Parlement européen sous la forme d’un plaidoyer. Le but ? Remettre l’église au centre du village et rappeler l’importance de la science et de l’éducation. Du bon sens en fait, mais forcément nécessaire vu la situation actuelle. Ça n’été jamais arrivé. Et voir monter aux créneaux les scientifiques, ce n’est jamais très bon signe. Ce sont, quelque part, les derniers remparts. Après, il ne reste plus grand monde. Est ce que cela changera quelque chose ? Pas sur, vu la tournure, notamment, des élections européennes. Mais, en tout cas, on peut constater que ces scientifiques ne lâchent pas l’affaire. Perso, je ne lâcherai pas non plus.
Les vingt-sept académies des sciences s’unissent pour interpeller les candidats aux élections européennes
lemonde.fr
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Séminaire annuel Association des Villes Universitaires de France : "Vies etudiantes, inégalités et territoires: quelles contributions des collectivités et établissements, quels engagements des étudiants?" • Ville et Eurométropole de Strasbourg 📍Le réseau VECU représente France Université pour débattre de la mobilisation des acteurs publics, de la coordination des initiatives, d'expériences inspirantes et aboutir à une charte proposant des recommandations communes. 📢 Aller vers les étudiants en difficultés, adresser les conditions de vie des étudiants internationaux, coordonner les actions sport, culture et santé, renforcer les dialogues territoriaux, accompagner l'engagement citoyen, mesurer l'impact socio-économique de la présence étudiante dans une agglomération. 🧭 Des thématiques qui doivent être abordées collectivement, avec confiance dans les modalités de gouvernance imaginées ensemble. Merci à Association des Villes Universitaires de France Francois RIO, Flora Maillard, France urbaine Lionel Delbos, France Universités Lamri Adoui Virginie LAVAL de cette invitation.
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🚨 HEC : nouvelle école de l'extrême droite ? Dans un bel article, certes un peu troublant, Mediapart révèle comment l'extrême droite, la plus business, tisse sa toile au sein de l'école. Une droitisation forte de l'école en quelques points : - Invitation de Jordan Bardella (RN) devant 900 étudiants en 2023 par l'association HEC Débats - Un partenariat entre HEC Débats avec Otium Capital, un fonds dirigé notamment par des proches du RN avec un don de 5000 €, en avril 2024, pour s'acheter une légitimité et s'offrir les portes du campus pour le recrutement Mais, derrière ces manœuvres, une idée beaucoup plus sombre et triste prend place, son nom : le « plan Périclès » de Pierre-Édouard Stérin, un projet à 150 millions € visant explicitement à "former une nouvelle élite politique" et à "lutter contre le socialisme, le wokisme, l'islamisme". (dévoilé par l'humanité en juillet 2024) Face à ces révélations, la direction d'HEC annonce ne pas vouloir reconduire le partenariat avec Otium Capital. Loin d'être une nouvelle action, cela démontre aussi que l'extrême droite a changé de tactique : moins d'actions brutales et commence de plus en plus à s'infiltrer par le business et les réseaux d'influence dans nos vies... Ps : Soutenez vos médias indépendants <3 Ps2 : Luttez contre l'extrème droite partout Source : L'article de Médiapart : https://lnkd.in/eZHvreNt L'article de l'Humanité : https://lnkd.in/egVY5bA3 Bravo Youmni Kezzouf et David Perrotin pour ce tavail <3
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🔥 Grande nouvelle ! L'Université de Lille a été retenue pour porter un gros projet de l’ANR/France 2030 sur les questions démocratiques, qui a vocation à structurer les recherches sur la démocratie en France pour les 7 prochaines années et à nourrir les politiques publiques (et la transformation sociale ;) On va bosser sur plein de trucs : la réforme des institutions et les innovations démocratiques, l’inclusion des groupes marginalisés et discriminés, les dynamiques de désinformation et de manipulation de l’opinion, les émeutes et formes d'expression violentes de la colère, la polarisation des sociétés, les libertés associatives et la fragilisation de l’état de droit... L’idée est vraiment que les recherches produites puissent nourrir l’action, et du coup participeront plein d’asso et d’institutions – une occasion aussi de légitimer un peu plus les recherche-actions et participatives. Et dès 2026 on organisera une convention citoyenne sur la démocratie – nourrie des travaux de sciences sociales -, avec des citoyens tirés au sort (et peut-être des élus) – qui auront la tache d’imaginer un autre fonctionnement constitutionnel, peut-être une 6e république – revendication de longue date, depuis les Gilets Jaunes, de Démocratie Ouverte notamment Une grand aventure qui commence, dont j’ai l’honneur et la responsabilité d’être un des pilotes. Va y avoir du taf. Heureusement on est bien entourés, et au-delà de la dream team du CERAPS - Centre d'études et de recherches administratives, politiques et sociales, on retrouvera aussi Marion Carrel, le Gis Démocratie et Participation, le CNRS, Renaud Epstein, Céline Braconnier et plein de collègues du Cesdip - Centre de Recherches Sociologiques sur le Droit et les Institutions Pénales, Marie-Laure Basilien-Gainche et les universités de Lyon3, Grenoble, Avignon, Nantes, Limoges et plein d’autres. Avec aussi ATD Quart Monde Fédération des Centres sociaux et Socioculturels de France Institut de la Concertation et de la Participation Citoyenne - ICPC et beaucoup d’autres acteurs démocratiques. https://lnkd.in/gcVMJSCH Démocraties : DémoCIS (Université de Lille) La crise démocratique multifactorielle confronte nos sociétés au défi de la (re)construction de communs face à des espaces publics fragmentés. DémoCIS engage un collectif interdisciplinaire d’excellence issu de 4 Universités, 3 IEP, de l’Institut Mines Télécom, du CNRS et d’Inria. (336 chercheurs et enseignants-chercheurs issus de 51 unités de recherche dont 16 UMR CNRS et 1 Unité Propre CNRS) autour de 4 défis majeurs : 1. Répondre à la crise des institutions par l’innovation démocratique ; 2. Repenser les lieux et formes d’expression de la citoyenneté ; 3. Agir contre la polarisation des sociétés et les désordres informationnels ; 4. Renforcer les démocraties menacées.
France 2030 : 6 projets lauréats du dispositif « programmes de recherche en sciences humaines et sociales »
enseignementsup-recherche.gouv.fr
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Nous partageons cette excellente nouvelle qui mobilisera largement l’écosystème de la recherche et de la recherche participative française sur les enjeux démocratiques ! Bravo à Julien Talpin (CERAPS - Centre d'études et de recherches administratives, politiques et sociales), Marion Carrel (Gis Démocratie et Participation), Renaud Eppstein, Céline Braconnier, Marie-Laure Basilien-Gainche et à tout le consortium. Le projet s’appelle « DémoCIS » et il est porté par l’Université de Lille : « La crise démocratique multifactorielle confronte nos sociétés au défi de la (re)construction de communs face à des espaces publics fragmentés. DémoCIS engage un collectif interdisciplinaire d’excellence issu de 4 Universités, 3 IEP, de l’Institut Mines Télécom, du CNRS et d’Inria. (336 chercheurs et enseignants-chercheurs issus de 51 unités de recherche dont 16 UMR CNRS et 1 Unité Propre CNRS) autour de 4 défis majeurs : 1. Répondre à la crise des institutions par l’innovation démocratique ; 2. Repenser les lieux et formes d’expression de la citoyenneté ; 3. Agir contre la polarisation des sociétés et les désordres informationnels ; 4. Renforcer les démocraties menacées. » Depuis sa création, l'Institut français du Monde associatif documente la contribution du fait associatif à la démocratie à travers ses groupes de travail et programmes (notamment en recherche participative) sur de nombreux sujets : "gouvernance et participation", "modèles socio-économiques et création de valeur", "contribution associative à la fabrique des territoires", "les associations et la transition écologique en territoires", "le fait associatif et la démocratie en Europe", "les relations entre générosité privée et associations". Autant de travaux à croiser avec le projet et l’ambition « DémoCIS » ! #Recherche-participative #Associations #Démocratie
🔥 Grande nouvelle ! L'Université de Lille a été retenue pour porter un gros projet de l’ANR/France 2030 sur les questions démocratiques, qui a vocation à structurer les recherches sur la démocratie en France pour les 7 prochaines années et à nourrir les politiques publiques (et la transformation sociale ;) On va bosser sur plein de trucs : la réforme des institutions et les innovations démocratiques, l’inclusion des groupes marginalisés et discriminés, les dynamiques de désinformation et de manipulation de l’opinion, les émeutes et formes d'expression violentes de la colère, la polarisation des sociétés, les libertés associatives et la fragilisation de l’état de droit... L’idée est vraiment que les recherches produites puissent nourrir l’action, et du coup participeront plein d’asso et d’institutions – une occasion aussi de légitimer un peu plus les recherche-actions et participatives. Et dès 2026 on organisera une convention citoyenne sur la démocratie – nourrie des travaux de sciences sociales -, avec des citoyens tirés au sort (et peut-être des élus) – qui auront la tache d’imaginer un autre fonctionnement constitutionnel, peut-être une 6e république – revendication de longue date, depuis les Gilets Jaunes, de Démocratie Ouverte notamment Une grand aventure qui commence, dont j’ai l’honneur et la responsabilité d’être un des pilotes. Va y avoir du taf. Heureusement on est bien entourés, et au-delà de la dream team du CERAPS - Centre d'études et de recherches administratives, politiques et sociales, on retrouvera aussi Marion Carrel, le Gis Démocratie et Participation, le CNRS, Renaud Epstein, Céline Braconnier et plein de collègues du Cesdip - Centre de Recherches Sociologiques sur le Droit et les Institutions Pénales, Marie-Laure Basilien-Gainche et les universités de Lyon3, Grenoble, Avignon, Nantes, Limoges et plein d’autres. Avec aussi ATD Quart Monde Fédération des Centres sociaux et Socioculturels de France Institut de la Concertation et de la Participation Citoyenne - ICPC et beaucoup d’autres acteurs démocratiques. https://lnkd.in/gcVMJSCH Démocraties : DémoCIS (Université de Lille) La crise démocratique multifactorielle confronte nos sociétés au défi de la (re)construction de communs face à des espaces publics fragmentés. DémoCIS engage un collectif interdisciplinaire d’excellence issu de 4 Universités, 3 IEP, de l’Institut Mines Télécom, du CNRS et d’Inria. (336 chercheurs et enseignants-chercheurs issus de 51 unités de recherche dont 16 UMR CNRS et 1 Unité Propre CNRS) autour de 4 défis majeurs : 1. Répondre à la crise des institutions par l’innovation démocratique ; 2. Repenser les lieux et formes d’expression de la citoyenneté ; 3. Agir contre la polarisation des sociétés et les désordres informationnels ; 4. Renforcer les démocraties menacées.
France 2030 : 6 projets lauréats du dispositif « programmes de recherche en sciences humaines et sociales »
enseignementsup-recherche.gouv.fr
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#VendrediLecture 📚 Tout juste paru aux Presses de Sciences Po, "La science politique", par Florence HAEGEL, professeure à Sciences Po et chercheuse au CEE. Essentielle à la compréhension du monde, la science politique observe aussi bien les institutions les plus classiques qui organisent la vie des collectivités humaines que les phénomènes agissant à leurs marges ou parfois contre elles. Elle soulève de multiples questions, que les évolutions contemporaines ne font qu'aiguiser : la mondialisation affaiblit-elle les États ? Assiste-t-on au regain des nationalismes ? Le monde devient-il démocratique ou autocratique ? Que font les réseaux sociaux à la politique ? Les partis sont-ils en train de disparaître et les modes de contestation de muter ? Pour y répondre, ce manuel s’organise en douze chapitres autonomes, chacun d’eux centré sur une grande notion, de l’État à la violence politique en passant par la démocratie, les régimes autoritaires, le vote, les partis, l’opinion publique, les mobilisations, etc. Il restitue la pensée des auteurs tout en respectant le pluralisme des points de vue et en retraçant les controverses intellectuelles et méthodologiques qui animent la discipline. Il décentre le regard et adopte une approche comparative en présentant des exemples issus de toutes les parties du monde et en discutant des références internationales qui font autorité. Une boussole pour explorer le fonctionnement politique des sociétés, destinée aux étudiantes et étudiants de premier cycle universitaire, aux professeurs et professeures du secondaire, et à toutes les personnes curieuses d'en savoir plus sur cette discipline. Consulter le sommaire : https://lnkd.in/ewjNHPtQ Sciences Po Research Association Française de Science Politique OFFICIELLE CNRS Délégation Île-de-France Villejuif
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Un ouvrage hyper riche, permettant d'approcher et/ou d'approfondir toutes les notions de Science politique, dans une perspective à la fois française et comparative. Très utile pour tous et toutes les enseignants/enseignantes de #SES.#APKHKSES #APSES #APHEC
#VendrediLecture 📚 Tout juste paru aux Presses de Sciences Po, "La science politique", par Florence HAEGEL, professeure à Sciences Po et chercheuse au CEE. Essentielle à la compréhension du monde, la science politique observe aussi bien les institutions les plus classiques qui organisent la vie des collectivités humaines que les phénomènes agissant à leurs marges ou parfois contre elles. Elle soulève de multiples questions, que les évolutions contemporaines ne font qu'aiguiser : la mondialisation affaiblit-elle les États ? Assiste-t-on au regain des nationalismes ? Le monde devient-il démocratique ou autocratique ? Que font les réseaux sociaux à la politique ? Les partis sont-ils en train de disparaître et les modes de contestation de muter ? Pour y répondre, ce manuel s’organise en douze chapitres autonomes, chacun d’eux centré sur une grande notion, de l’État à la violence politique en passant par la démocratie, les régimes autoritaires, le vote, les partis, l’opinion publique, les mobilisations, etc. Il restitue la pensée des auteurs tout en respectant le pluralisme des points de vue et en retraçant les controverses intellectuelles et méthodologiques qui animent la discipline. Il décentre le regard et adopte une approche comparative en présentant des exemples issus de toutes les parties du monde et en discutant des références internationales qui font autorité. Une boussole pour explorer le fonctionnement politique des sociétés, destinée aux étudiantes et étudiants de premier cycle universitaire, aux professeurs et professeures du secondaire, et à toutes les personnes curieuses d'en savoir plus sur cette discipline. Consulter le sommaire : https://lnkd.in/ewjNHPtQ Sciences Po Research Association Française de Science Politique OFFICIELLE CNRS Délégation Île-de-France Villejuif
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🤝 [Colloque] 📢 Le colloque annuel de la CDEFI - Conférence des directeurs des écoles françaises d'ingénieurs s'est déroulé cette année à Montpellier les 6 et 7 juin sur la thématique de la transition écologique et sociétale. La Conférence des grandes écoles (CGE), représentée par Gérald Majou de La Débutrie, y est intervenue dans le cadre d’une table ronde sur les relations partenariales et la politique DD&RS. 🔎 Les relations des Grandes écoles avec les entreprises (et d’autres organisations) prennent de multiples formes et font partie de leur ADN. Cependant, les enjeux de transition-socio-écologique auxquels la #société est confrontée viennent interroger, parfois rudement, ces relations et invitent les membres de la CDEFI comme de la CGE à ne plus considérer ces relations comme de simples opportunités mais aussi comme des facteurs de risques qu’il s’agit d’évaluer avant toute décision de #partenariat. 🎤 Sous la conduite d’Agnès Vernet, journaliste scientifique et vice-présidente de l’Association des journalistes scientifiques de la presse d’information (AJSPI), ont aussi débattu dans cette table ronde les personnes suivantes : 👉 Fabienne AMADORI, CEO du Groupe ISIA 👉 Anna Biausque, présidente du BNEI - Bureau National des Elèves Ingénieurs 👉 Anne-Valérie CRESPO-FEBVAY, déléguée à l’engagement social et sociétal chez La Poste Groupe pour l’Occitanie 👉 Claire Gillet-Monjarret, professeure à l’Université de Montpellier, Chaire Ecocirculab 🌱 Un colloque riche d’enseignements et d’échanges qui permet d’alimenter la réflexion, les orientations stratégiques futures et actuelles des Grandes écoles d’ingénieurs en relation avec des parties prenantes qui ont accueilli un nouvel acteur notable : Le Vivant. Laurent Champaney, Hugues BRUNET, Marc Sagot, Frédéric Fotiadu, Carole Deumié, Dumy Pascal, Emmanuel DUFLOT, Isabelle Schoninger
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