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11 novembre : Se souvenir pour ne jamais oublier 🌹 Aujourd’hui, en France et dans plusieurs pays, nous rendons hommage aux millions de soldats et civils qui ont sacrifié leur vie lors de la Première Guerre mondiale. Le 11 novembre 1918, l'Armistice a marqué la fin d’un conflit dévastateur, laissant des familles et des nations profondément marquées. Pourquoi cette commémoration est-elle si importante ? - Pour honorer les vies perdues et rappeler le courage de ceux qui ont combattu pour la paix et la liberté. - Pour préserver la mémoire historique, en rappelant aux nouvelles générations l’impact de la guerre et la nécessité de maintenir la paix. - Pour encourager la réflexion sur les valeurs de solidarité, de résilience et d’unité. En ce jour, prenons un moment pour nous souvenir, apprendre et faire en sorte que ce passé nous guide vers un avenir plus pacifique. 🙏 #Armistice #11Novembre #Mémoire #Histoire #Paix

**Mon Grand-Père, un Héros de Guerre** Dont je fais état de la bravoure de ce grand héros, dans mon livre qui sera prochainement publié ! Mon grand-père malien, dont le courage et le dévouement restent une source d'inspiration pour notre famille, a joué un rôle crucial pendant la guerre mondiale. En ces temps de grande épreuve, il n'a pas hésité à répondre à l'appel de la France, pays qu'il considérait comme sa patrie de cœur. Il s'est engagé volontairement pour défendre la liberté et les valeurs de la République contre les forces de l'oppression. Durant son service, il a fait preuve d'un courage extraordinaire et d'un sens du devoir exemplaire. Ses actes héroïques sur le champ de bataille ont aidé à sauver de nombreuses vies et ont contribué à la libération de la France. Malgré les dangers et les difficultés inimaginables, mon grand-père n'a jamais faibli dans sa détermination. Il a combattu aux côtés de ses camarades, partageant avec eux non seulement les rigueurs de la guerre, mais aussi un esprit de solidarité et de fraternité inébranlable. Son engagement va bien au-delà de ses actes militaires. Par sa bravoure et son sacrifice, il a montré que la diversité de ceux qui défendent une nation enrichit et renforce cette nation. Mon grand-père est la preuve vivante que les valeurs de courage, de solidarité et de justice transcendent les origines et les différences culturelles. Aujourd'hui, face aux discours de haine et d'exclusion, il est essentiel de rappeler l'histoire de personnes comme mon grand-père. Son exemple démontre que la lutte pour la liberté et l'égalité n'a pas de frontière et que chacun, peu importe son origine, peut contribuer de manière significative à la grandeur de la nation. Ce résumé peut aider à mettre en avant l'importance de reconnaître et de valoriser les contributions de tous ceux qui ont participé à l'histoire commune, en soulignant le rôle crucial de mon grand-père dans la défense de la France pendant la guerre mondiale. PS : Une réponse à tous les fashos mobilisés sur les RS

Le 11 novembre est un jour qui ne doit pas être oublié ! Cette date marquante de l'histoire, symbolise la fin des combats de la Première Guerre mondiale en 1918. Chaque année, cette journée est l'occasion de se souvenir des millions de soldats qui ont sacrifié leur vie pour défendre leurs pays. En effet, environ 10 millions de militaires et 7 millions de civils ont perdu la vie durant ce conflit. Ce chiffre tragique souligne l'ampleur des conséquences de la guerre et l'importance de la paix. Cependant, il est essentiel de reconnaître que, malgré la fin de la Première Guerre mondiale, d'autres conflits ont suivi. Ce qui illustre une contradiction dans notre quête de paix. Par exemple, la Seconde Guerre mondiale a éclaté à peine deux décennies plus tard. Elle a entraîné encore plus de pertes humaines, avec environ 70 à 85 millions de personnes décédées. Cela nous amène à réfléchir sur la fragilité de la paix et sur le fait que les leçons de l'histoire ne semblent pas toujours être retenues. Le 11 novembre devrait nous rappeler non seulement le sacrifice des combattants, mais aussi l'importance de promouvoir un dialogue pacifique pour éviter de futurs conflits. En tant que société, nous devons nous interroger : que pouvons-nous faire aujourd'hui pour honorer cette mémoire et prévenir la guerre à l'avenir ?

Alain de Boismenu, à 102 ans, fait partie des derniers témoins directs de la Seconde Guerre mondiale, une génération dont les récits sont de plus en plus rares. À une époque où l’histoire vivante de cette période s’efface peu à peu, il est essentiel de prendre le temps d’écouter et de transmettre leurs témoignages. Ces récits apportent non seulement une perspective personnelle sur les événements historiques, mais aussi une dimension humaine que les livres ne peuvent pas toujours capturer. Ils nous rappellent les sacrifices, la résilience et les réalités souvent brutales de la guerre. Dans le cas de figures comme Alain de Boismenu, ces souvenirs ne sont pas seulement des fragments d’un passé lointain, mais des enseignements vivants qui éclairent notre compréhension des conflits mondiaux, de la résistance, et de l’expérience humaine face aux crises extrêmes. Son histoire et celles de ses contemporains sont des trésors précieux qui méritent d’être préservés et partagés avec les générations futures, pour qu’elles comprennent l’importance de la mémoire collective et des leçons tirées des erreurs du passé. En honorant ces acteurs, nous protégeons non seulement leur mémoire, mais aussi notre propre avenir.

🇫🇷 Le 11 novembre : un jour de mémoire et d'unité 🇫🇷 Chaque année, le 11 novembre, la France commémore l'Armistice de 1918, marquant la fin de la Première Guerre mondiale. Ce jour est l'occasion de rendre hommage à tous ceux qui ont sacrifié leur vie pour défendre notre liberté et nos valeurs. 🕊️ Un moment de réflexion sur la paix Il est essentiel de se souvenir des leçons de l'histoire et de reconnaître l'importance de la paix. Ce jour nous rappelle les conséquences tragiques des guerres et l'importance de la solidarité. Dans un monde encore marqué par des conflits, célébrer cette date nous rappelle que le dialogue est la clé pour éviter la guerre. 🤝 Unité nationale et engagement En cette journée, nous sommes appelés à nous unir en tant que nation. Que ce soit en participant aux cérémonies, en partageant des témoignages ou en soutenant des initiatives en faveur de la paix. C'est une occasion de renforcer notre sentiment d'appartenance à une nation unie, solidement attachée à ses valeurs de liberté et de solidarité. 👥 Mémoire collective Ce jour nous rappelle l'importance de se souvenir des sacrifices faits par des millions de soldats. Honorer leur mémoire, c'est également reconnaître les horreurs de la guerre et s'engager à promouvoir la paix. 📖 Éducation des générations futures Évoquer le 11 novembre permet de transmettre l'histoire aux jeunes générations. Il est crucial qu'ils comprennent le poids de ce passé pour éviter de répéter les erreurs qui ont été commises. Ensemble, continuons à œuvrer pour un monde meilleur, où le dialogue prime sur la guerre.  #11Novembre #Mémoire #Paix #France #Unité #Armistice

La division #Handschar Waffen-SS de #Bosnie, 1943-1945  LIRE UN EXTRAIT En 1943, les partisans de Tito luttent avec succès contre l’occupant allemand et les fascistes croates, les oustachis. En accord avec le mufti de Jérusalem Amin al-Husseini, Heinrich Himmler décide alors de créer la 13e division de la Waffen-SS, dite Handschar (« Poignard »). Les 20 000 hommes qui la composent sont majoritairement des #musulmans de Bosnie-Herzégovine, encadrés par des officiers allemands. Entre mars 1943 et mai 1945, ils s’entraînent en France et en Allemagne avant de combattre les résistants en Bosnie, où ils commettent les pires exactions, en particulier contre la population #serbe et contre les rares #juifs rescapés des massacres oustachis. Pour la première fois, un historien spécialiste des Balkans reconstitue l’histoire de cette division en croisant les archives allemandes et yougoslaves. Xavier Bougarel va au-delà des clichés pour s’intéresser aux circonstances de la création de cette division #SS atypique, au profil et aux motivations de ses combattants, à la vie religieuse en son sein et aux raisons de sa dislocation finale. Ce faisant, il propose une nouvelle lecture de la Seconde Guerre mondiale dans les #Balkans, marquée par l’importance des enjeux matériels immédiats, la multiplicité des stratégies individuelles de survie, ainsi que les changements incessants d’alliances et d’allégeances. Le livre : https://lnkd.in/eZ2iPXEJ Gerald Darmanin,Éric Zemmour

🕊️| En ce jour de commémoration de la fin de la Première Guerre mondiale -106 ans déjà, • Tout un chacun se souvient du sacrifice de 20 millions d’hommes et de femmes, pour moitié des civils, au cours de la Grande Guerre. Si cet effrayant total regroupe les défunts de l’ensemble des États belligérants, on peut aussi observer ce total à l’échelle des communes: si chaque commune a perdu au moins un de ses fils, certains fils ont perdu leur commune, ce que l’on appelle des « villages martyrs », à l’instar de Fleury-Devant-Douaumont, village rasé en 1916 au cours de la Bataille de Verdun. • Aujourd’hui, chaque Français est invité à faire son devoir de mémoire, aussi bien en se rendant aux commémorations du village qu’en apprenant à ses enfants la valeur du sacrifice de leurs ancêtres, métropolitains comme d’outre-mer ou encore issus des troupes coloniales. • À ce sujet, je me permets de citer un extrait traduit du poème "In Flanders Fields" de John McCrae: « Nos bras meurtris vous tendent le flambeau, À vous toujours de le porter bien haut. Si vous nous laissez tomber, nous qui mourons, Nous ne trouverons pas le repos, bien que les coquelicots fleurissent Dans les champs de Flandre. » • La Der des Ders n’a pas tenu sa promesse de mettre fin à la guerre, et cette dernière évolue à un rythme effréné. Face aux enjeux contemporains en Europe, se pose question du sursaut européen. Compte tenu de la distanciation progressive mais certaine des Etats-Unis vis-à-vis de l’Europe, se pose à différentes échelles : faut-il munir certains pays à risque l’arme nucléaire ? Faut-il créer une armée européenne ? Quels risques pour notre souveraineté et l’équilibre des puissances en Europe ? • En tout cas, je remercie vivement monsieur le député Jean-Luc Warsmann, monsieur le maire de Glaire André Godin, messieurs les conseillers municipaux et porte-drapeaux, ainsi que l’ensemble des participants à cette commémoration dont les enfants de l’école primaire de Glaire pour cette journée de commémoration.

Le 11 novembre 1918, l’armistice mettait fin à la Première Guerre mondiale, marquant la fin de quatre années de destruction. Aujourd’hui, bien que les formes de guerre aient changé, nous sommes toujours confrontés à des conflits sous d’autres formes. Dans ce contexte, la paix ne se limite pas à la cessation des combats. Elle nécessite des actions concrètes pour résoudre les tensions et trouver des solutions aux défis actuels. Chaque jour, nous pouvons contribuer, à notre échelle, à gérer ces conflits, à promouvoir la coopération et à éviter que les situations ne s'aggravent. En ce 11 novembre, rappelons-nous qu’assurer la paix demande des efforts constants, même dans les aspects les plus quotidiens de notre vie.

Un séminaire à suivre.

Il y a 110 ans, l’année 1914 entrait dans l’histoire universelle comme étant celle du début de la première guerre mondiale. Afin de commémorer cet évènement qui a profondément marqué nos mémoires et nos histoires européennes, nationales et familiales ; je vous propose de nous retrouver le 9 novembre dans le cadre d’une conférence dans laquelle vous pourrez (re) découvrir une histoire de la guerre 1914-1918 à travers les parcours individuels des 36 « poilus » nohanentais morts pour la France durant ce conflit. Parcours traditionnels comme pour toute une génération de citoyens combattants, mais aussi parcours plus singuliers pour certains qui illustrent toute la complexité d’un conflit fondateur du XXème siècle dont la mémoire est encore très présente aujourd’hui.